Une chance de cocu 12 FIN
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une chance de cocu 12 FIN
12
- Viens.
Ma passagère ne prononce qu'un mot. Sa position ne demande pas de longues explications. C'est clair , elle m'invite à lui mettre ma verge dans la chatte si bien offerte. Mon célibat nouveau au profit de Charles me ferait rechercher un défouloir. Ce sexe à portée de main, qu'un seul mouvement a suffi à dénuder, remplirait parfaitement cet office. Pour commencer, je pose ma main à plat sur les grandes lèvres et j'appuie en frottant. Tout l'arrière train de mon inconnue se met en branle. Mon index recueille au milieu, sur les nymphes apparentes, quelques gouttes de la rosée intime. Il veut trouver la source, il écarte les délicats pétales échancrés gardiens de l'entrée du vagin. Par un soubresaut la femme répond à l'intrusion, elle émet aussi un son sourd d'approbation.
C'est un appel à passer à la possession. J'y suis évidemment très sensible. Comme c'est elle qui s'est mise à disposition, je juge utile de lui faire gravir tous les échelons de la jouissance corporelle. Aux caresses digitales, je fais succéder celles de ma bouche. Tout ce que je vois de ma partenaire c'est le bas de son corps. Les jambes sont encore fines, les articulations ne sont pas graisseuses, cuisses et fesses fermes confortent mon impression que l'ensemble est relativement jeune. Le berlingot lui-même ne paraît pas avoir trop servi. Ce n'est pas un sexe de prostituée dont les petites lèvres pendraient lamentablement entre les renflements de la vulve. C'est que j'ai acquis de l'expérience.
Ces constatations me déconcertent quand je pense à la façon qu'elle a eue d'exposer son fondement sans pudeur. Je n'avais rien demandé vraimen,t ni rien exigé, je n'avais pas réclamé de voir son intimité, je n'avais pas voulu vérifier qu'elle était femme, je n'avais pas posé comme condition sine qua non qu'elle se plie à une relation sexuelle. Or je m'étais trouvé face à sa féminité accentuée par l'étroitesse de la culotte partiellement enfouie à partir de l'anus entre les grandes lèvres que j'avais délivrées du tissu indiscret et odorant. Quand on suce un sexe de femme, quand on cherche à donner du plaisir, il est difficile de se poser trop de questions sur les raisons qui vous ont amené à plonger votre nez dans la mouille.
Mon nez, mes lèvres, ma bouche et ma langue s'emploient à générer des frissons, à obtenir des secousses du corps soumis aux attouchemrnts, aux frottements ou aux succions. Je goûte le jus de femme , je savoure et je compare à celui d'autres expériences vécues dans ce camion de quarante tonnes. Rares sont les filles ou jeunes femmes aussi dociles et aussi réactives. La faire sursauter devient un jeu excitant auquel je me prends avec joie et plaisir. L'inconnue au visage voilé est une créature sensuelle qui aime toutes les caresses et qui s'ouvre à toutes les explorations, buccales comme digitales. Entre deux gros soupirs elle rappelle le pourquoi de son attitude, elle redit à plusieurs reprises:
- Viens, mais viens donc.
Elle est là pour ça. Tout en me goinfrant de sa mouille, j'ai défait ma ceinture, baissé le zip de ma braguette et sorti de mon slip le sexe qu'elle appelle de ses voeux. Les circonstances l'ont transformé. Mon pénis devenu verge ardente est prêt à se poser contre la cramouille impatiente, à taquiner un clitoris peu visible et toutes ces chairs chaudes en attente. Je suis prêt à forcer l'entrée, à pousser vers l'intérieur, à m'installer dans le vagin. Je saurai y mener une folle sarabande, une danse à trois temps ou à mille temps, ces fameux allers et retours qui mettent en furie les amantes et les mènent à l'orgasme. La générosité de l'offrande mérite que je sache faire jouir cette femme, que je lui fasse connaître un plaisir intense et apaisant.J'enflammerai ses sens, elle reposera heureuse.
Hélas, au moment où je passerais à l'abordage, juste quand d'une poussée vigoureuse je devrais franchir le vestibule, alors que mon oiseau piaffe d'impatience contre les chairs nacrées, un scrupule me bloque. Elle a dit "viens", je ne peux pas avancer. Quelque chose me gêne. Cette femme n'est pas qu'un sexe et un anus entre deux fesses. Elle ne peut pas être réduite à un défouloir sexuel pour camionneur excité, ce n'est pas qu'un sac à foutre. Je ne comprends pas son insistance et surtout sa volonté de cacher tout le reste de son corps. Pourquoi ce voile dérobe-t-il les traits de son visage?
La pénétrer sans avoir vu son visage revient à utiliser n'importe quel jouet inventé pour imiter un sexe de femme. Cela revient à secouer sa queue dans une matière douce sans âme. C'est de la masturbation anonyme. A la rigueur elle émettra des sons, elle bougera, mais que connaîtrai-je d'elle? Je n'aurai pas lu dans ses yeux la montée du plaisir, je ne verrai pas l'orgasme figer ses traits, déformer sa bouche. Non ce n'est pas possible. Et pour renforcer ce refus arrive un incident imprévisible. Quequ'un frappe contre la portière à l'extérieur et une voix railleuse résonne
- Hé, vous voulez un coup de main ? J'ai les couilles pleines, si ça peut vous aider. Dehors il fait presque nuit. Les lampadaires sont éloignés, mais On nous a observés. Ma compagne a eu un mouvement brusque de recul, s'est empalée très légèrement sur mon pieu. Elle a fait : "Ah". J'ai bondi en arrière. Je ne vais pas offrir le spectacle de l'accouplement à ce voyeur indélicat. Je lui crie
- Dégage.
Part-il ? Où, loin ? Ne prend-il qu'un léger recul avant de revenir guetter nos ébats ? Je m'adresse à elle
- Ecoute, je n'ai pas l'habitude de faire l'amour à une femme voilée. Excuse-moi. Nous pourrions nous installer sur cette couchette et tirer le rideau pour nous mettre à l'abri des regards indiscrets. Mais je ne pourrai te posséder que si tu te montres à moi.
- Montons.
La réponse est laconique comme depuis le début. Elle s'est précipitée derrière les sièges, se couche sur le dos, dégage toute la partie inférieure de son corps.
- Je veux voir ta figure, je veux pouvoir t'embrasser sur la bouche. Enlève ton masque.
- Viens d'abord en moi. Après le voile.
Elle prend un accent étranger et déforme sa voix. Est-ce une femme que je connais ? L'ex de Charles par exemple que l'ami m'aurait envoyée pour me remercier de m'être effacé en sa faveur? Ils seraient en meilleurs termes depuis le mariage de Violette et de Charles, chacun vit sa vie. Elle me jouerait la comédie déguisée en fatma ? L'hypothèse paraît vraisemblable. Qui mieux que cette Charlène, la secrétaire de l'entreprise, connaissait ma destination et voulait se rendre à Naples le jour où j'y allais?
Une farce de cette fille connue pour être facile ne surprendrait personne. La décevoir pourrait avoir des conséquences fâcheuses sur mon travail et mon salaire. Qu'elle se rassure, je ne vais pas la louper; je vais lui en mettre plein le ventre, la satisfaire à l'aller et au retour, et après, la bourrer avec ferveur et gagner ses faveurs définitivement. Mais je fais semblant de ne pas connaître l'identité qu'elle a si fermement défendue. Je sais aussi jouer la comédie.
Me voici accroupi entre les jambes écartées. Je m'allonge sur le corps qui m'attend, sur le doux coussin d'une poitrine moelleuse. Une main dirige mon vit, le place. Le ventre monte à ma rencontre. Je m'enfonce en milieu humide, lubrifié au cours des préliminaires. L'accouplement est réalisé, je bute au fond du vagin accueillant, j'entame le va et vient d'usage, sous moi la réponse est immédiate. Elle me serre comme dans un étau, cale ses talons sur mes reins et prononce d'une voix tremblante :
- Le voile
C'est l'instant de la confirmation. Je vais confondre cette secrétaire si hardie, quoique j'aie un doute soudain. La voix... je connais cette voix. J'immobilise mon bassin, bien enfoncé dans la diablesse qui s'accroche à moi comme une désespérée qui craint la noyade et je tends les mains, saisis le fameux voile. Il fait trop noir. J'allume le plafonnier. Dans la lueur faible je reconnais... Elodie. Ses bras et ses jambes m'enlacent et me retiennent:
- Pardon mon amour. Non ne te retire pas. Je t'aime tellement. Reste en moi, tu y es. Pardon d'avoir rusé pour t'aimer. Pardon de t'avoir trompé avec Boubou. Une fois. Depuis je t'ai attendu. Non, reste. Oui embrasse-moi. Je te veux. Violette m'a renseignée et m'a conseillée d'essayer ce tour. Je te veux. Allez, aime-moi encore. Viens, viens, viens, oh oui; mon amour, tout fort. Oui, comme ça... Tu te souviens... comme on s'aimait... Oui, bouge doucement.
C'est ainsi que nous avons commencé une seconde vie à deux par un voyage de noces improvisé à Naples. Elodie n'a jamais évoqué mes rencontres faites dans l'intervalle sur les routes d'Europe, je n'ai plus fait allusion à un amant. Ce qui compte c'est d'être deux unis pour la vie. Si Elodie le veut, je le veux également. Et tant pis pour ceux qui ne pardonnent pas au nom de l'amour.
- Viens.
Ma passagère ne prononce qu'un mot. Sa position ne demande pas de longues explications. C'est clair , elle m'invite à lui mettre ma verge dans la chatte si bien offerte. Mon célibat nouveau au profit de Charles me ferait rechercher un défouloir. Ce sexe à portée de main, qu'un seul mouvement a suffi à dénuder, remplirait parfaitement cet office. Pour commencer, je pose ma main à plat sur les grandes lèvres et j'appuie en frottant. Tout l'arrière train de mon inconnue se met en branle. Mon index recueille au milieu, sur les nymphes apparentes, quelques gouttes de la rosée intime. Il veut trouver la source, il écarte les délicats pétales échancrés gardiens de l'entrée du vagin. Par un soubresaut la femme répond à l'intrusion, elle émet aussi un son sourd d'approbation.
C'est un appel à passer à la possession. J'y suis évidemment très sensible. Comme c'est elle qui s'est mise à disposition, je juge utile de lui faire gravir tous les échelons de la jouissance corporelle. Aux caresses digitales, je fais succéder celles de ma bouche. Tout ce que je vois de ma partenaire c'est le bas de son corps. Les jambes sont encore fines, les articulations ne sont pas graisseuses, cuisses et fesses fermes confortent mon impression que l'ensemble est relativement jeune. Le berlingot lui-même ne paraît pas avoir trop servi. Ce n'est pas un sexe de prostituée dont les petites lèvres pendraient lamentablement entre les renflements de la vulve. C'est que j'ai acquis de l'expérience.
Ces constatations me déconcertent quand je pense à la façon qu'elle a eue d'exposer son fondement sans pudeur. Je n'avais rien demandé vraimen,t ni rien exigé, je n'avais pas réclamé de voir son intimité, je n'avais pas voulu vérifier qu'elle était femme, je n'avais pas posé comme condition sine qua non qu'elle se plie à une relation sexuelle. Or je m'étais trouvé face à sa féminité accentuée par l'étroitesse de la culotte partiellement enfouie à partir de l'anus entre les grandes lèvres que j'avais délivrées du tissu indiscret et odorant. Quand on suce un sexe de femme, quand on cherche à donner du plaisir, il est difficile de se poser trop de questions sur les raisons qui vous ont amené à plonger votre nez dans la mouille.
Mon nez, mes lèvres, ma bouche et ma langue s'emploient à générer des frissons, à obtenir des secousses du corps soumis aux attouchemrnts, aux frottements ou aux succions. Je goûte le jus de femme , je savoure et je compare à celui d'autres expériences vécues dans ce camion de quarante tonnes. Rares sont les filles ou jeunes femmes aussi dociles et aussi réactives. La faire sursauter devient un jeu excitant auquel je me prends avec joie et plaisir. L'inconnue au visage voilé est une créature sensuelle qui aime toutes les caresses et qui s'ouvre à toutes les explorations, buccales comme digitales. Entre deux gros soupirs elle rappelle le pourquoi de son attitude, elle redit à plusieurs reprises:
- Viens, mais viens donc.
Elle est là pour ça. Tout en me goinfrant de sa mouille, j'ai défait ma ceinture, baissé le zip de ma braguette et sorti de mon slip le sexe qu'elle appelle de ses voeux. Les circonstances l'ont transformé. Mon pénis devenu verge ardente est prêt à se poser contre la cramouille impatiente, à taquiner un clitoris peu visible et toutes ces chairs chaudes en attente. Je suis prêt à forcer l'entrée, à pousser vers l'intérieur, à m'installer dans le vagin. Je saurai y mener une folle sarabande, une danse à trois temps ou à mille temps, ces fameux allers et retours qui mettent en furie les amantes et les mènent à l'orgasme. La générosité de l'offrande mérite que je sache faire jouir cette femme, que je lui fasse connaître un plaisir intense et apaisant.J'enflammerai ses sens, elle reposera heureuse.
Hélas, au moment où je passerais à l'abordage, juste quand d'une poussée vigoureuse je devrais franchir le vestibule, alors que mon oiseau piaffe d'impatience contre les chairs nacrées, un scrupule me bloque. Elle a dit "viens", je ne peux pas avancer. Quelque chose me gêne. Cette femme n'est pas qu'un sexe et un anus entre deux fesses. Elle ne peut pas être réduite à un défouloir sexuel pour camionneur excité, ce n'est pas qu'un sac à foutre. Je ne comprends pas son insistance et surtout sa volonté de cacher tout le reste de son corps. Pourquoi ce voile dérobe-t-il les traits de son visage?
La pénétrer sans avoir vu son visage revient à utiliser n'importe quel jouet inventé pour imiter un sexe de femme. Cela revient à secouer sa queue dans une matière douce sans âme. C'est de la masturbation anonyme. A la rigueur elle émettra des sons, elle bougera, mais que connaîtrai-je d'elle? Je n'aurai pas lu dans ses yeux la montée du plaisir, je ne verrai pas l'orgasme figer ses traits, déformer sa bouche. Non ce n'est pas possible. Et pour renforcer ce refus arrive un incident imprévisible. Quequ'un frappe contre la portière à l'extérieur et une voix railleuse résonne
- Hé, vous voulez un coup de main ? J'ai les couilles pleines, si ça peut vous aider. Dehors il fait presque nuit. Les lampadaires sont éloignés, mais On nous a observés. Ma compagne a eu un mouvement brusque de recul, s'est empalée très légèrement sur mon pieu. Elle a fait : "Ah". J'ai bondi en arrière. Je ne vais pas offrir le spectacle de l'accouplement à ce voyeur indélicat. Je lui crie
- Dégage.
Part-il ? Où, loin ? Ne prend-il qu'un léger recul avant de revenir guetter nos ébats ? Je m'adresse à elle
- Ecoute, je n'ai pas l'habitude de faire l'amour à une femme voilée. Excuse-moi. Nous pourrions nous installer sur cette couchette et tirer le rideau pour nous mettre à l'abri des regards indiscrets. Mais je ne pourrai te posséder que si tu te montres à moi.
- Montons.
La réponse est laconique comme depuis le début. Elle s'est précipitée derrière les sièges, se couche sur le dos, dégage toute la partie inférieure de son corps.
- Je veux voir ta figure, je veux pouvoir t'embrasser sur la bouche. Enlève ton masque.
- Viens d'abord en moi. Après le voile.
Elle prend un accent étranger et déforme sa voix. Est-ce une femme que je connais ? L'ex de Charles par exemple que l'ami m'aurait envoyée pour me remercier de m'être effacé en sa faveur? Ils seraient en meilleurs termes depuis le mariage de Violette et de Charles, chacun vit sa vie. Elle me jouerait la comédie déguisée en fatma ? L'hypothèse paraît vraisemblable. Qui mieux que cette Charlène, la secrétaire de l'entreprise, connaissait ma destination et voulait se rendre à Naples le jour où j'y allais?
Une farce de cette fille connue pour être facile ne surprendrait personne. La décevoir pourrait avoir des conséquences fâcheuses sur mon travail et mon salaire. Qu'elle se rassure, je ne vais pas la louper; je vais lui en mettre plein le ventre, la satisfaire à l'aller et au retour, et après, la bourrer avec ferveur et gagner ses faveurs définitivement. Mais je fais semblant de ne pas connaître l'identité qu'elle a si fermement défendue. Je sais aussi jouer la comédie.
Me voici accroupi entre les jambes écartées. Je m'allonge sur le corps qui m'attend, sur le doux coussin d'une poitrine moelleuse. Une main dirige mon vit, le place. Le ventre monte à ma rencontre. Je m'enfonce en milieu humide, lubrifié au cours des préliminaires. L'accouplement est réalisé, je bute au fond du vagin accueillant, j'entame le va et vient d'usage, sous moi la réponse est immédiate. Elle me serre comme dans un étau, cale ses talons sur mes reins et prononce d'une voix tremblante :
- Le voile
C'est l'instant de la confirmation. Je vais confondre cette secrétaire si hardie, quoique j'aie un doute soudain. La voix... je connais cette voix. J'immobilise mon bassin, bien enfoncé dans la diablesse qui s'accroche à moi comme une désespérée qui craint la noyade et je tends les mains, saisis le fameux voile. Il fait trop noir. J'allume le plafonnier. Dans la lueur faible je reconnais... Elodie. Ses bras et ses jambes m'enlacent et me retiennent:
- Pardon mon amour. Non ne te retire pas. Je t'aime tellement. Reste en moi, tu y es. Pardon d'avoir rusé pour t'aimer. Pardon de t'avoir trompé avec Boubou. Une fois. Depuis je t'ai attendu. Non, reste. Oui embrasse-moi. Je te veux. Violette m'a renseignée et m'a conseillée d'essayer ce tour. Je te veux. Allez, aime-moi encore. Viens, viens, viens, oh oui; mon amour, tout fort. Oui, comme ça... Tu te souviens... comme on s'aimait... Oui, bouge doucement.
C'est ainsi que nous avons commencé une seconde vie à deux par un voyage de noces improvisé à Naples. Elodie n'a jamais évoqué mes rencontres faites dans l'intervalle sur les routes d'Europe, je n'ai plus fait allusion à un amant. Ce qui compte c'est d'être deux unis pour la vie. Si Elodie le veut, je le veux également. Et tant pis pour ceux qui ne pardonnent pas au nom de l'amour.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tant pis pour ceux qui pardonne pas par amour … ainsi finit cette histoire! Je dirais en réponse: cocu un jour, cocu toujours! 😉 dixit alex helderic
Mais quelle fin de merde qui tue toutes les déambulations ee ce mec qui a su retrouver sa vie ! Ps elle a couché plusieurs fois avec ce boubou …. Elle lui ment et il pardonne
La fin est nulle
Fin bien trop conventionnelle habituelle et sympa pour la femme infidèle