Une chance de cocu 4
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une chance de cocu 4
Le journal lu, que faire dans une chambre d'hôtel ? Et comment échapper au cauchemar, oui comment chasser les images de ma femme charnellement unie à ce noir Boubou. La salope, la menteuse, l'hypocrite qui cache si bien son jeu. Putain secondée par sa soeur tout aussi putain et pourvoyeuse en amants bien montés. Ha ! Elles ont dû s'amuser hier après midi, chez Sara avec leur étalon. Toutes deux libérées de leur mari ont organisé une sacrée orgie sûrement.Boubou n'a pas chômé avec ces deux garces.
J'aurais aimé voir la tête d'Elodie quand elle a lu mon mot d'adieux. A-t-elle pleuré ou dansé ? A-t-elle passé sa soirée chez nous à espérer mon retour ou y a-t-elle rappelé Boubou, désolée de mon départ mais délivrée de moi pour toujours ? A-t-elle dormi seule cette nuit ou a-t-elle vaillament surmonté pendant des heures l'élargissement de son vagin ou de son cul ? Boubou a-t-il passé son temps à rôder les circuits, à creuser les puits de cette femelle, ou a-t-il partagé ses efforts entre les deux soeurs salopes. Sont-ils déjà en train de baiser ce matin ?
Je ne devrais plus y penser, je devrais me contenter de me dire que la séparation est vraiment justifiée par la mauvaise conduite de la femme que je quitte. Je devrais m'interdire de penser à Elodie, à ses sentiments, à ses actes ou à son avenir. N'ai-je pas déjà contribué volontairement à lui créer des soucis d'argent ou de sécurité ? Hé... Oublier est plus difficile à faire que je ne l'aurais cru. Apôtre de la non violence, j'ai vu, j'ai pesé les conséquences de son appétit sexuel immodéré. J'ai compris que je n'étais pas capable d'admettre les relations sexuelles en cours, que je ne saurais pas lutter contre l'attirance éprouvée envers Boubou ou tout autre phénomène sexuel hors normes promu par la vicieuse Sara. Elle avait le doigt dans l'engrenage.
Mais la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, la raison la plus influente de mon comportement a été la duplicité des deux coquines pour se réunir et user de Boubou loin de moi, contre moi et en se moquant de ma crédulité. Sara me prenant pour un pauvre crétin était dans la droite ligne de notre relation houleuse,c'est presque normal. Pouvais-je attendre la même attitude de celle qui partageait ma vie? Non, je refuse sa façon de m'exploiter, de me traiter comme quantité négligeable. Quel mépris elle a dévoilé dans le coup de téléphone. Voilà; je rumine; j'enrage même. Dans l'histoire il y a un bénéficiaire. Boubou a conforté sa place. Le chat est parti, sa souris peut danser allègtrment dans les trous d'Elodie.
Viendra l'heure où le séducteur réclamera le salaire de sa contribution au bonheur de ma femme. Car ce voyage au septième ciel avait un prix. Où Elodie dénichera-t-elle de quoi payer autrement qu'en nature ? L'accord sera difficile si Boubou a des besoins en argent. Il convient de rappeler ce que j'ai mieux entendu que la femme curieuse de voir la marchandise plutôt que d'en connaître le prix : Boubou vit de son art: c'est un gigolo de haut vol. Le travail accompli, ce genre d'oiseau veut son picotin. Ca promet.
Le spectacle méritera d'être vu. Plus j'y pense, plus j'ai envie d'y assister et de l'entendre exprimer de trop tardifs regrets. Quant à Boubou j'aimerais lui donner l'envie de se sauver au loin. Au temps où je croyais Elodie insensible aux tentations du sexe en dehors de notre couple, j'avais enregistré l'intérêt que lui portait Romolo, un de ces collègues trop flemmards pour rouler à l'international. Il n'accomplissait que des déplacements moyens et rentrait chez sa mère chaque soir. Il était célibataire et guettait l'occasion de remplacer dans son lit un des routiers les plus souvent absents. Je comprends mieux, après mon expérience éprouvante, les hommes mariés qui sacrifient des gains pour vivre plus souvent avec leur épouse. Par amour c'est louable. Par jalousie, à la réflexion, c'est idiot, les cornes poussent aussi bien en plein jour que la nuit... Mon histoire en est l'illustration.
Romolo, célibataire mais chasseur de jupons mord directement à l'hameçon. Je n'ai que peu à parler pour le convaincre de participer ce soir à une expédition instructive sur les moeurs de la femme qu'il trouvait jolie.
- Tu la quittes? Ce n'est pas une blague? Elle te trompe et tu le sais, ça c'est drôle. D'habitude le mari ignore tout. Tu as des preuves de son adultère ou tu n'as que des soupçons?
- Je m'en sépare parce qu'elle me trompe. Je l'ai vu, tu pourrais être mon témoin. Pour cela il faut que tu m'accompagnes chez moi, à la tombée de la nuit. Je te donnerai la preuve de mon cocuage, tu la verras besognée par le plus inattendu des amants.
- C'est-à-dire ? Tu peux préciser.
- Tu es curieux d'assister gratuitement à des rapports sexuels entre un homme et une femme, alors viens.
- On ne risque rien. Regarder n'est pas un crime. Je veux bien me rincer l'oeil. Ah : m'en voudras-tu si un jour je m'occupe de ton Elodie ? Tu vois ce que...
- Ce n'est plus mon Elodie. Tu as mon accord pour én faire ce que tu voudras.
J'ai laissé trois portes sans clé. Celle du garage est bloquée de l'intérieur, la forcer ferait trop de bruit et donnerait l'alerte. Celle de la cave tient fermée grâce à deux verrous qu'on a poussés de l'intérieur. La troisième est munie d'ne serrure de sécurité. De l'intérieur on actionne un bouton cranté pour la fermeture. De l'exrérieur on l'ouvre avec la clé. Ce soir, bien que ce soit l'entrée la plus exposée au regard, c'est la seule possible. Je tente le coup. Ca marche, personne ne réagit à l'intérieur. Pourtant quelqu'un a tout fermé, donc la maison est habitée
A l'étage toutes les portes sont ouvertes, celle de la cuisine, celle des toilettes, celle du salon, celle du séjour, celle de la salle de bain et celles des chambres. Les occupants ne cherchent pas à se cacher, ne savent pas à quoi servent les portes ou sont trop paresseux pour les utiliser. " Les amoureux sont seuls au monde, persuadés que personne ne les dérangera. Une chambre est éclairée, celle où Elodie et moi dormions. Ils sont certainement là.
Boubou dort sur le dos. La chevelure d'Elodie couvre le bas ventre et le haut des cuisses de son vainqueur. Elle s'est endormie avec le sexe masculin dans la bouche, bras remontés sur le ventre noir. Ses cuisses blanches écartées laissent voir, sous la croupe grasse, entre les grandes lèvres ramollies les nymphes meurtries par les assauts du gourdin de Boubou. Ils ont succombé à la fatigue pendant leur dernière relation charnelle. Trois jours c'est court pour certains, c'est long pour d'autres. Ces deux là ne se sont pas ménagés, ont voulu épuiser toutes les positions et tous les plaisirs en un minimum de temps, victimes d'une fringale sexuelle formidable.
Romolo examine minutieusement le corps nu de la femme abandonnée au sommeil. Il la trouve sublime. Nous ne voyons pas la même créature.
- Un jour je l'aurai me glisse-t-il à voix basse.
- Ca ne dépend que de toi. Allons nous asseoir au salon. Is finiront par se réveiller ou je me chargerai de les sortir de leurs rêves.
Plus rard : On bouge, on marche pieds nus, on va pisser : au bruit je sais que Boubou est réveillé. Il retourne au lit;
- Ho ! Ma poule, ouvre les yeux. Regarde ma pine, elle gonfle. J'ai de nouveau envie de toi.
- Je suis fatiguée. Tu veux encore? Attends, viens sur moi. baise-moi. Moi j'en peux plus. ma soeur et toi, vous m'avez tuée.
- Sara m'a étonné. Je ne pensais pas qu'elle et toi étiez gouines? Faites ça souvent ?
- Première fois. mais qu'est-ce qu'elle suce bien. Elle m'a fait mouiller et après tu as eu facile à me bourrer le con puis le cul. J'ai aimé ta grosse bite dans mon petit cul, malgré l'horrible douleur de la première dilatation.
- Moi j'ai adoré passer de la fente de ta soeur à la tienne, d'aller de l'une à l'autre tout en pénétrant et chatouillant des doigts le sexe de celle qui soufflait. J 'ai adoré aussi lui ramoner les boyaux avant de forcer les tiens. Chez l'une l'habitude permettait des pénétrations rapides, chez toi , tout restait à faire et c'était délicieux de passer en force.Baiser deux soeurs en même tempsn c'était le pied.
- Je voudrais dormir encore un peu. J'ai de la peine, c'est plus pareil, mon mari m'a abandonnée. Le salaud, pour un rien. Jamais avant toi. Toujours fidèle, sauf une fois. Ul charrie, hein !
- Merde, dis-moi que tu regrettes ? Elle ne te plaît plus ma queue ? Tu n'as pas joui comme jamais avec mon truc dans ton four.
- Non , oui, je ne sais plus. J'ai joui, j'ai eu mal, je
- Nous avons un contrat de trois jours et deux nuits; mais si tu pleurniches je peux foutre le camp. Tu es trop fatiguée pour te laisser faire ? Tu veux que je parte, d'accord. Paie moi et je dégage, ta soeur m'attend.
- Ca va! Ma soeur a trop profité de mon temps. Vous étiez déjà en pleine bourre quand j'ai débarqué chez elle...Comment je me mets... Quoi ? Une levrette. va pour une levrette. Oui; plus haut mes fesses...C'est bon? Oui j'écarte mes genoux... Tu vois mieux... Ne te trompe pas de trou. pas mon cul, j'ai trop mal.
Entendre sans voir ne convient pas à Romolo. Depuis le couloir il lorgne les amants unis, il observe la progression du manche dans le sexe boursoufflé. Il secoue sa main pour souligner son admiration, se mord un index pour ne pas crier sa joie d'assister à l'assaut du noir dans la blancheur de la femme. Il est impressionné par la vigueur renaissante du mâle. Le balancement des seins l'intrigue, jusqu'au moment où les bras d'Elodie cèdent et où elle s'effondre, tête dans un coussin, mais cul en l'air.
Lorsque Boubou lui impose de venir s'empaler sur sa verge dressée, Elodie traîne. Ca lui vaut une salve de gifles sur le gras de la croupe.
- C'est pour te réveiller. A la fin, bouge ton popotin. Enerve-toi un peu, descends, monte, au tot Quelle faignasse. On va essayer autre chose. Est-ce que tu as déjà pratiqué la brouette japonaise ?
-Je ne sais pas ce que c’est. Je n'ai pas appris par coeur le nom de toutes les positions. La brouette japonnaise, peut-être avec Paul. Oh, mon Dieu, il nous a vus , c'est sûr. Que vais-je devenir?.
- Oui, il est parti, le lâche, le bon à rien . Oublie-le. Tu te couches sur le ventre et tu laisses pendre tes jambes hors du lit. J’attrape tes cuisses, je les soulève, je présente ma queue à ton trou, j’y entre, je me cale bien au fond. Accroche tes pieds derrière mon dos. Maintenant tu te dresses sur les bras et tu vas poser tes mains au sol. Tu tiens le coup? Essaie d’avancer sur les mains, je reste en toi.
- Tu me prends pour une acrobate! C’est dur.
- Avance, on va essayer de faire un tour dans le salon. Crénom, à chaque pas je risque de te perdre. Merde, qui c’est celui-là?
- Qui ?
De surprise, en me découvrant à l’entrée de la chambre au moment où il voulait la quitter, Boubou lâche les cuisses. Elles glissent sur ses jambes, les bras d’Elodie cèdent et elle atterrit brutalement en boule entre lui et moi dans un cri de douleur. Je ne prends pas le temps de me présenter, mon poing droit est parti en demi cercle horizontal frapper le creux de l’estomac de celui qui me dénigrait, me traitait de lâche. Le coup plie mon rival en deux précisément en même temps que mon poing remonte. Ca fait clac, il plie les genoux, me regarde hébété et trouve tout seul la réponse à sa question. Celui qui cogne, c'est forcément un cocu pas content
.Elodie aussi a compris, elle reste couchée, fuit mon regard. Elle est terrifiée de constater que je sais frapper, elle craint le pire. L’autre porte une main à sa bouche, en tire un morceau d’incisive cassée. Son magnifique sourire tout blanc a comme un défaut. J’attrape sa tignasse crépue et lui allonge un direct en pleine poire pour lui enlever toute idée de résistance et je l’envoie sur le lit. Je relève Elodie. Elle tremble de tout son corps, attend le coup de poing qui lui fera tout oublier; ce serait si commode de s'évanouir maintenant, mais le coup ne veut pas venir. Je la pousse sur le lit à côté de son amant.
- Allez, grosse bite, finis ce que tu as commencé. Baise la.
L’ignoble demande pitié, jure qu’il ne recommencera plus, proteste de sa bonne foi. Il est victime des avances de ma femme. Elle l’a attiré, il s’est laissé faire, c’est tout. C’est un palabreur aguerri. Il consent à remettre le couvert en voyant mon poing se fermer.
- Tais-toi et baise.
- Mais c’est ta femme, mon frère! Je ne peux pas devant toi. Regarde mon machin est devenu tout petit. Tu m’as jeté un sort.
- Elodie, redresse la situation. Bouche, mains, branlette: tu comprends ? Dépêche-toi.
- Assomme-moi plutôt. J’ai trop honte.
- Il n’y a pas de quoi ! Pourquoi avoir honte à 20 heures de ce qui te plaisait tant à neuf ? Si tu tiens à la vie, fais lui vite une pipe. En bouche avale le gros bout, suce et applique-toi. Ol est bien gros, c'est si bon. Mâche.
Elle abandonne le machin qui démonte les mâchoires et demande naïvement,
- Il y a longtemps que tu es là ? Pardonne-moi. je ne ferai plus...
- Mais si , continue. Silence, suce.
Puisque je le veux, parce que je suis le plus fort, parce que mes muscles forgés au boulot ne doivent rien à la gonflette, ils se soumettent. Pliée en deux à hauteur du sexe de son amant elle l’entoure de ses lèvres, l’encercle d’une main et le masturbe et creuse ses joues en pompant. Boubou moins glorieux ferme les yeux, il ne sait pas qui regarder. Elodie l’astique mais me surveille d’un œil craintif. Son corps nu, incliné sur mon remplaçant m’inspire un profond dégoût, ses fesses portent la marque de son nouveau maître, j’y vois la trace de ses doigts. Ces plaisirs étranges, cet accord inattendu du sadisme de l’un avec le masochisme révélé de l’autre me soulève le cœur.
- Ca suffit, même s’il n’est pas entièrement déployé, introduis son dard dans ta cramouille de putain et fais le cracher. Si tu ne réussis pas je t’enfoncerai un concombre dans la chatte.
-Pitié!
- J’ai pitié. Tu as le feu au cul, je facilite l’accomplissement de tes envies. Remue, monte, descends, plus haut, plus profond, plus vite. Regarde, j'ai amené un ami, que va-t-il penser de toi si tu ne te décarcasses pas ?
Elle n’a qu’une solution, se démener pour échapper à la réflexion, agir pour ne pas penser. J’incite l’homme à lutter, à aider sa maîtresse, à la faire jouir. Ils ont du mal à synchroniser leurs mouvements. Elodie transpire, Elodie souffle, Elodie ne jouit pas. Boubou n’est pas plus brillant. Si c’était un film x on l’intitulerait « Les lamentables ».
- Quand vous jouirez, vous me préviendrez. N’oubliez pas de me montrer le résultat liquide de vos efforts. Comme c’est beau l’amour. Romolo, sont-ils à la hauteur? Tu espérais plus de peps. Ils ont été meilleurs.
Les larmes de ma femme sont-elles des larmes de honte, de remords ou de rage? Elle peut pleurer. Je vais me prendre une bière dans le frigo. Le spectacle d’un accouplement dans mon imagination était un événement puissamment érotique. Ces deux amateurs sont plus désolants qu’excitants.
-Elodie, tu sens le goulot de ma canette sur ton anus? Si tu ne fais pas mieux, je vais t’enfoncer la canette.
Le froid du verre et la menace la réveillent. J’emploie le même argument avec Boubou, je fais entrer un centimètre dans ses fesses. Ca lui rend un peu de vaillance. Il se montre sensible à l’argument; je vais mettre ses bonnes dispositions à l’épreuve. Je les arrête et fais passer l'homme en position supérieure.
- Dans cinq minutes, si tu n’as pas craché ton foutre, j’envoie la canette par le fond. Tu pourras aller à l’hôpital pour l’extraire.
Pour encourager sa bonne volonté, je prends la liberté de lui asséner des claques vigoureuses sur les fesses. Allongé de tout son long sur l’amante il s’élance pour un long périple. Quand il remonte son cul, j’attends que le gland de son pieu arrive à la limite de la vulve pour lui taper un grand coup qui le renvoie dans les profondeurs tutoyer le col de l’utérus. J’attrape les pieds de ma femme, les porte en hauteur, les rabats vers ses épaules. Elle est ainsi mieux ouverte et je vois Boubou en profiter pour mieux exploiter l’occasion. Il doit se dire que je suis un cocu heureux qui coopère.Comme il se trompe !.
Ces considérations l’émoustillent, sous lui la chagatte retrouve de l’intérêt, il glisse de mieux en mieux, Elodie se met à produire une mouille plus lubrifiante. Le goulot de la canette appuyé à tour de rôle sur chaque trou du cul obtient d’excellents résultats. Les protagonistes s’échauffent, retrouvent le plaisir de serrer les bras. Enfin ils s’embrassent, bouches aspirantes dans des chuintements retrouvés. Lui me fixe, le regard vide, l’air de quémander l’autorisation de cracher dans le ventre. De la tête je fais oui et en même temps des deux mains et de tout mon poids je le force au fond du réceptacle. Elodie à son tour explose sous le choc des jets de sperme et crie « mon amour » en me fixant dans les yeux. Pauvre!
- Reposez-vous. Viens, Romolo. Tu te contenterais d'une femme aussi fatiguée? Moi, non, je veux une femme en forme , pas une putain usée par des fréquentations peu fiables
Je les enferme à clé dans ma chambre. Ils ont un tas de choses à se dire. Je rassemble l’essentiel de mes documents, tout ce qui sera indispensable pour vivre loin de cette maison, y compris notre réservation pour les vacances d’été. J'avais rempli un coffre de mes vêtements. Quand tout est prêt à être chargé, je retourne dans la chambre. Curieusement les amants se sont habillés et se sont assis dos à dos sur les bords du matelas.
- Maître Boubou, je renonce à mon rôle de fournisseur de viande humaine. Tu n’es pas de nature jalouse. Mais moi je ne suis pas « partageux ». Tu te réservais de faire jouir ma femme. Tu as démontré que tu en es capable. Prends-la, fais la jouir et nourris la, loge la, je te la laisse toute entière. N'oublie pas de payer le loyer, le gaz , l'eau et l'électriité.Je démissionne, puisqu’elle te préfère. Les routes sont dégagées, demain je pars bosser, je ne reviendrai pas, tu peux rester aussi longtemps que tu voudras.
Je suis parti. Elodie est devenue une charge pour Boubou, il a très vite mis les bouts: il adore les femmes blanches qui ont des revenus assurés, il a quitté la maison peu de temps après moi. Romolo attend son heure.
J'aurais aimé voir la tête d'Elodie quand elle a lu mon mot d'adieux. A-t-elle pleuré ou dansé ? A-t-elle passé sa soirée chez nous à espérer mon retour ou y a-t-elle rappelé Boubou, désolée de mon départ mais délivrée de moi pour toujours ? A-t-elle dormi seule cette nuit ou a-t-elle vaillament surmonté pendant des heures l'élargissement de son vagin ou de son cul ? Boubou a-t-il passé son temps à rôder les circuits, à creuser les puits de cette femelle, ou a-t-il partagé ses efforts entre les deux soeurs salopes. Sont-ils déjà en train de baiser ce matin ?
Je ne devrais plus y penser, je devrais me contenter de me dire que la séparation est vraiment justifiée par la mauvaise conduite de la femme que je quitte. Je devrais m'interdire de penser à Elodie, à ses sentiments, à ses actes ou à son avenir. N'ai-je pas déjà contribué volontairement à lui créer des soucis d'argent ou de sécurité ? Hé... Oublier est plus difficile à faire que je ne l'aurais cru. Apôtre de la non violence, j'ai vu, j'ai pesé les conséquences de son appétit sexuel immodéré. J'ai compris que je n'étais pas capable d'admettre les relations sexuelles en cours, que je ne saurais pas lutter contre l'attirance éprouvée envers Boubou ou tout autre phénomène sexuel hors normes promu par la vicieuse Sara. Elle avait le doigt dans l'engrenage.
Mais la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, la raison la plus influente de mon comportement a été la duplicité des deux coquines pour se réunir et user de Boubou loin de moi, contre moi et en se moquant de ma crédulité. Sara me prenant pour un pauvre crétin était dans la droite ligne de notre relation houleuse,c'est presque normal. Pouvais-je attendre la même attitude de celle qui partageait ma vie? Non, je refuse sa façon de m'exploiter, de me traiter comme quantité négligeable. Quel mépris elle a dévoilé dans le coup de téléphone. Voilà; je rumine; j'enrage même. Dans l'histoire il y a un bénéficiaire. Boubou a conforté sa place. Le chat est parti, sa souris peut danser allègtrment dans les trous d'Elodie.
Viendra l'heure où le séducteur réclamera le salaire de sa contribution au bonheur de ma femme. Car ce voyage au septième ciel avait un prix. Où Elodie dénichera-t-elle de quoi payer autrement qu'en nature ? L'accord sera difficile si Boubou a des besoins en argent. Il convient de rappeler ce que j'ai mieux entendu que la femme curieuse de voir la marchandise plutôt que d'en connaître le prix : Boubou vit de son art: c'est un gigolo de haut vol. Le travail accompli, ce genre d'oiseau veut son picotin. Ca promet.
Le spectacle méritera d'être vu. Plus j'y pense, plus j'ai envie d'y assister et de l'entendre exprimer de trop tardifs regrets. Quant à Boubou j'aimerais lui donner l'envie de se sauver au loin. Au temps où je croyais Elodie insensible aux tentations du sexe en dehors de notre couple, j'avais enregistré l'intérêt que lui portait Romolo, un de ces collègues trop flemmards pour rouler à l'international. Il n'accomplissait que des déplacements moyens et rentrait chez sa mère chaque soir. Il était célibataire et guettait l'occasion de remplacer dans son lit un des routiers les plus souvent absents. Je comprends mieux, après mon expérience éprouvante, les hommes mariés qui sacrifient des gains pour vivre plus souvent avec leur épouse. Par amour c'est louable. Par jalousie, à la réflexion, c'est idiot, les cornes poussent aussi bien en plein jour que la nuit... Mon histoire en est l'illustration.
Romolo, célibataire mais chasseur de jupons mord directement à l'hameçon. Je n'ai que peu à parler pour le convaincre de participer ce soir à une expédition instructive sur les moeurs de la femme qu'il trouvait jolie.
- Tu la quittes? Ce n'est pas une blague? Elle te trompe et tu le sais, ça c'est drôle. D'habitude le mari ignore tout. Tu as des preuves de son adultère ou tu n'as que des soupçons?
- Je m'en sépare parce qu'elle me trompe. Je l'ai vu, tu pourrais être mon témoin. Pour cela il faut que tu m'accompagnes chez moi, à la tombée de la nuit. Je te donnerai la preuve de mon cocuage, tu la verras besognée par le plus inattendu des amants.
- C'est-à-dire ? Tu peux préciser.
- Tu es curieux d'assister gratuitement à des rapports sexuels entre un homme et une femme, alors viens.
- On ne risque rien. Regarder n'est pas un crime. Je veux bien me rincer l'oeil. Ah : m'en voudras-tu si un jour je m'occupe de ton Elodie ? Tu vois ce que...
- Ce n'est plus mon Elodie. Tu as mon accord pour én faire ce que tu voudras.
J'ai laissé trois portes sans clé. Celle du garage est bloquée de l'intérieur, la forcer ferait trop de bruit et donnerait l'alerte. Celle de la cave tient fermée grâce à deux verrous qu'on a poussés de l'intérieur. La troisième est munie d'ne serrure de sécurité. De l'intérieur on actionne un bouton cranté pour la fermeture. De l'exrérieur on l'ouvre avec la clé. Ce soir, bien que ce soit l'entrée la plus exposée au regard, c'est la seule possible. Je tente le coup. Ca marche, personne ne réagit à l'intérieur. Pourtant quelqu'un a tout fermé, donc la maison est habitée
A l'étage toutes les portes sont ouvertes, celle de la cuisine, celle des toilettes, celle du salon, celle du séjour, celle de la salle de bain et celles des chambres. Les occupants ne cherchent pas à se cacher, ne savent pas à quoi servent les portes ou sont trop paresseux pour les utiliser. " Les amoureux sont seuls au monde, persuadés que personne ne les dérangera. Une chambre est éclairée, celle où Elodie et moi dormions. Ils sont certainement là.
Boubou dort sur le dos. La chevelure d'Elodie couvre le bas ventre et le haut des cuisses de son vainqueur. Elle s'est endormie avec le sexe masculin dans la bouche, bras remontés sur le ventre noir. Ses cuisses blanches écartées laissent voir, sous la croupe grasse, entre les grandes lèvres ramollies les nymphes meurtries par les assauts du gourdin de Boubou. Ils ont succombé à la fatigue pendant leur dernière relation charnelle. Trois jours c'est court pour certains, c'est long pour d'autres. Ces deux là ne se sont pas ménagés, ont voulu épuiser toutes les positions et tous les plaisirs en un minimum de temps, victimes d'une fringale sexuelle formidable.
Romolo examine minutieusement le corps nu de la femme abandonnée au sommeil. Il la trouve sublime. Nous ne voyons pas la même créature.
- Un jour je l'aurai me glisse-t-il à voix basse.
- Ca ne dépend que de toi. Allons nous asseoir au salon. Is finiront par se réveiller ou je me chargerai de les sortir de leurs rêves.
Plus rard : On bouge, on marche pieds nus, on va pisser : au bruit je sais que Boubou est réveillé. Il retourne au lit;
- Ho ! Ma poule, ouvre les yeux. Regarde ma pine, elle gonfle. J'ai de nouveau envie de toi.
- Je suis fatiguée. Tu veux encore? Attends, viens sur moi. baise-moi. Moi j'en peux plus. ma soeur et toi, vous m'avez tuée.
- Sara m'a étonné. Je ne pensais pas qu'elle et toi étiez gouines? Faites ça souvent ?
- Première fois. mais qu'est-ce qu'elle suce bien. Elle m'a fait mouiller et après tu as eu facile à me bourrer le con puis le cul. J'ai aimé ta grosse bite dans mon petit cul, malgré l'horrible douleur de la première dilatation.
- Moi j'ai adoré passer de la fente de ta soeur à la tienne, d'aller de l'une à l'autre tout en pénétrant et chatouillant des doigts le sexe de celle qui soufflait. J 'ai adoré aussi lui ramoner les boyaux avant de forcer les tiens. Chez l'une l'habitude permettait des pénétrations rapides, chez toi , tout restait à faire et c'était délicieux de passer en force.Baiser deux soeurs en même tempsn c'était le pied.
- Je voudrais dormir encore un peu. J'ai de la peine, c'est plus pareil, mon mari m'a abandonnée. Le salaud, pour un rien. Jamais avant toi. Toujours fidèle, sauf une fois. Ul charrie, hein !
- Merde, dis-moi que tu regrettes ? Elle ne te plaît plus ma queue ? Tu n'as pas joui comme jamais avec mon truc dans ton four.
- Non , oui, je ne sais plus. J'ai joui, j'ai eu mal, je
- Nous avons un contrat de trois jours et deux nuits; mais si tu pleurniches je peux foutre le camp. Tu es trop fatiguée pour te laisser faire ? Tu veux que je parte, d'accord. Paie moi et je dégage, ta soeur m'attend.
- Ca va! Ma soeur a trop profité de mon temps. Vous étiez déjà en pleine bourre quand j'ai débarqué chez elle...Comment je me mets... Quoi ? Une levrette. va pour une levrette. Oui; plus haut mes fesses...C'est bon? Oui j'écarte mes genoux... Tu vois mieux... Ne te trompe pas de trou. pas mon cul, j'ai trop mal.
Entendre sans voir ne convient pas à Romolo. Depuis le couloir il lorgne les amants unis, il observe la progression du manche dans le sexe boursoufflé. Il secoue sa main pour souligner son admiration, se mord un index pour ne pas crier sa joie d'assister à l'assaut du noir dans la blancheur de la femme. Il est impressionné par la vigueur renaissante du mâle. Le balancement des seins l'intrigue, jusqu'au moment où les bras d'Elodie cèdent et où elle s'effondre, tête dans un coussin, mais cul en l'air.
Lorsque Boubou lui impose de venir s'empaler sur sa verge dressée, Elodie traîne. Ca lui vaut une salve de gifles sur le gras de la croupe.
- C'est pour te réveiller. A la fin, bouge ton popotin. Enerve-toi un peu, descends, monte, au tot Quelle faignasse. On va essayer autre chose. Est-ce que tu as déjà pratiqué la brouette japonaise ?
-Je ne sais pas ce que c’est. Je n'ai pas appris par coeur le nom de toutes les positions. La brouette japonnaise, peut-être avec Paul. Oh, mon Dieu, il nous a vus , c'est sûr. Que vais-je devenir?.
- Oui, il est parti, le lâche, le bon à rien . Oublie-le. Tu te couches sur le ventre et tu laisses pendre tes jambes hors du lit. J’attrape tes cuisses, je les soulève, je présente ma queue à ton trou, j’y entre, je me cale bien au fond. Accroche tes pieds derrière mon dos. Maintenant tu te dresses sur les bras et tu vas poser tes mains au sol. Tu tiens le coup? Essaie d’avancer sur les mains, je reste en toi.
- Tu me prends pour une acrobate! C’est dur.
- Avance, on va essayer de faire un tour dans le salon. Crénom, à chaque pas je risque de te perdre. Merde, qui c’est celui-là?
- Qui ?
De surprise, en me découvrant à l’entrée de la chambre au moment où il voulait la quitter, Boubou lâche les cuisses. Elles glissent sur ses jambes, les bras d’Elodie cèdent et elle atterrit brutalement en boule entre lui et moi dans un cri de douleur. Je ne prends pas le temps de me présenter, mon poing droit est parti en demi cercle horizontal frapper le creux de l’estomac de celui qui me dénigrait, me traitait de lâche. Le coup plie mon rival en deux précisément en même temps que mon poing remonte. Ca fait clac, il plie les genoux, me regarde hébété et trouve tout seul la réponse à sa question. Celui qui cogne, c'est forcément un cocu pas content
.Elodie aussi a compris, elle reste couchée, fuit mon regard. Elle est terrifiée de constater que je sais frapper, elle craint le pire. L’autre porte une main à sa bouche, en tire un morceau d’incisive cassée. Son magnifique sourire tout blanc a comme un défaut. J’attrape sa tignasse crépue et lui allonge un direct en pleine poire pour lui enlever toute idée de résistance et je l’envoie sur le lit. Je relève Elodie. Elle tremble de tout son corps, attend le coup de poing qui lui fera tout oublier; ce serait si commode de s'évanouir maintenant, mais le coup ne veut pas venir. Je la pousse sur le lit à côté de son amant.
- Allez, grosse bite, finis ce que tu as commencé. Baise la.
L’ignoble demande pitié, jure qu’il ne recommencera plus, proteste de sa bonne foi. Il est victime des avances de ma femme. Elle l’a attiré, il s’est laissé faire, c’est tout. C’est un palabreur aguerri. Il consent à remettre le couvert en voyant mon poing se fermer.
- Tais-toi et baise.
- Mais c’est ta femme, mon frère! Je ne peux pas devant toi. Regarde mon machin est devenu tout petit. Tu m’as jeté un sort.
- Elodie, redresse la situation. Bouche, mains, branlette: tu comprends ? Dépêche-toi.
- Assomme-moi plutôt. J’ai trop honte.
- Il n’y a pas de quoi ! Pourquoi avoir honte à 20 heures de ce qui te plaisait tant à neuf ? Si tu tiens à la vie, fais lui vite une pipe. En bouche avale le gros bout, suce et applique-toi. Ol est bien gros, c'est si bon. Mâche.
Elle abandonne le machin qui démonte les mâchoires et demande naïvement,
- Il y a longtemps que tu es là ? Pardonne-moi. je ne ferai plus...
- Mais si , continue. Silence, suce.
Puisque je le veux, parce que je suis le plus fort, parce que mes muscles forgés au boulot ne doivent rien à la gonflette, ils se soumettent. Pliée en deux à hauteur du sexe de son amant elle l’entoure de ses lèvres, l’encercle d’une main et le masturbe et creuse ses joues en pompant. Boubou moins glorieux ferme les yeux, il ne sait pas qui regarder. Elodie l’astique mais me surveille d’un œil craintif. Son corps nu, incliné sur mon remplaçant m’inspire un profond dégoût, ses fesses portent la marque de son nouveau maître, j’y vois la trace de ses doigts. Ces plaisirs étranges, cet accord inattendu du sadisme de l’un avec le masochisme révélé de l’autre me soulève le cœur.
- Ca suffit, même s’il n’est pas entièrement déployé, introduis son dard dans ta cramouille de putain et fais le cracher. Si tu ne réussis pas je t’enfoncerai un concombre dans la chatte.
-Pitié!
- J’ai pitié. Tu as le feu au cul, je facilite l’accomplissement de tes envies. Remue, monte, descends, plus haut, plus profond, plus vite. Regarde, j'ai amené un ami, que va-t-il penser de toi si tu ne te décarcasses pas ?
Elle n’a qu’une solution, se démener pour échapper à la réflexion, agir pour ne pas penser. J’incite l’homme à lutter, à aider sa maîtresse, à la faire jouir. Ils ont du mal à synchroniser leurs mouvements. Elodie transpire, Elodie souffle, Elodie ne jouit pas. Boubou n’est pas plus brillant. Si c’était un film x on l’intitulerait « Les lamentables ».
- Quand vous jouirez, vous me préviendrez. N’oubliez pas de me montrer le résultat liquide de vos efforts. Comme c’est beau l’amour. Romolo, sont-ils à la hauteur? Tu espérais plus de peps. Ils ont été meilleurs.
Les larmes de ma femme sont-elles des larmes de honte, de remords ou de rage? Elle peut pleurer. Je vais me prendre une bière dans le frigo. Le spectacle d’un accouplement dans mon imagination était un événement puissamment érotique. Ces deux amateurs sont plus désolants qu’excitants.
-Elodie, tu sens le goulot de ma canette sur ton anus? Si tu ne fais pas mieux, je vais t’enfoncer la canette.
Le froid du verre et la menace la réveillent. J’emploie le même argument avec Boubou, je fais entrer un centimètre dans ses fesses. Ca lui rend un peu de vaillance. Il se montre sensible à l’argument; je vais mettre ses bonnes dispositions à l’épreuve. Je les arrête et fais passer l'homme en position supérieure.
- Dans cinq minutes, si tu n’as pas craché ton foutre, j’envoie la canette par le fond. Tu pourras aller à l’hôpital pour l’extraire.
Pour encourager sa bonne volonté, je prends la liberté de lui asséner des claques vigoureuses sur les fesses. Allongé de tout son long sur l’amante il s’élance pour un long périple. Quand il remonte son cul, j’attends que le gland de son pieu arrive à la limite de la vulve pour lui taper un grand coup qui le renvoie dans les profondeurs tutoyer le col de l’utérus. J’attrape les pieds de ma femme, les porte en hauteur, les rabats vers ses épaules. Elle est ainsi mieux ouverte et je vois Boubou en profiter pour mieux exploiter l’occasion. Il doit se dire que je suis un cocu heureux qui coopère.Comme il se trompe !.
Ces considérations l’émoustillent, sous lui la chagatte retrouve de l’intérêt, il glisse de mieux en mieux, Elodie se met à produire une mouille plus lubrifiante. Le goulot de la canette appuyé à tour de rôle sur chaque trou du cul obtient d’excellents résultats. Les protagonistes s’échauffent, retrouvent le plaisir de serrer les bras. Enfin ils s’embrassent, bouches aspirantes dans des chuintements retrouvés. Lui me fixe, le regard vide, l’air de quémander l’autorisation de cracher dans le ventre. De la tête je fais oui et en même temps des deux mains et de tout mon poids je le force au fond du réceptacle. Elodie à son tour explose sous le choc des jets de sperme et crie « mon amour » en me fixant dans les yeux. Pauvre!
- Reposez-vous. Viens, Romolo. Tu te contenterais d'une femme aussi fatiguée? Moi, non, je veux une femme en forme , pas une putain usée par des fréquentations peu fiables
Je les enferme à clé dans ma chambre. Ils ont un tas de choses à se dire. Je rassemble l’essentiel de mes documents, tout ce qui sera indispensable pour vivre loin de cette maison, y compris notre réservation pour les vacances d’été. J'avais rempli un coffre de mes vêtements. Quand tout est prêt à être chargé, je retourne dans la chambre. Curieusement les amants se sont habillés et se sont assis dos à dos sur les bords du matelas.
- Maître Boubou, je renonce à mon rôle de fournisseur de viande humaine. Tu n’es pas de nature jalouse. Mais moi je ne suis pas « partageux ». Tu te réservais de faire jouir ma femme. Tu as démontré que tu en es capable. Prends-la, fais la jouir et nourris la, loge la, je te la laisse toute entière. N'oublie pas de payer le loyer, le gaz , l'eau et l'électriité.Je démissionne, puisqu’elle te préfère. Les routes sont dégagées, demain je pars bosser, je ne reviendrai pas, tu peux rester aussi longtemps que tu voudras.
Je suis parti. Elodie est devenue une charge pour Boubou, il a très vite mis les bouts: il adore les femmes blanches qui ont des revenus assurés, il a quitté la maison peu de temps après moi. Romolo attend son heure.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Il prend la femme, qu'il se charge de tous les frais, c'est normal .... oui mais le coucou boubou va filer dans un autre nid
Le mari constate l'adultère. La femme rejoint l'amant chez sa soeur. Le mari comprend qu'elle persiste dans l'erreur : il quitte la maison et va à l'hôtel. le lendemain le temps ne permet pas de rouler, notre homme montre à un autre routier que sa femme le trompe avec Boubou. Romolo , pris comme. témoin était intéressé par l'infidèle : Paul voit en lui le successeur possible de Boubou. Au chapitre 12 vous saurez si Elodie a compris la leçon. La chronologie vous semble brouillée? Je prétends suivre un plan. Mais ce n'est pas une obligation. Je pourrais faire des retours en arrière. Que celui qui parle de mic-mac étaie son affirmation.
Aucun mic mac . la chronologie est toute simple et linéaire Votre mauvaise foi n'est plus à démontrer, je ne chercherai pas à vous prouver que vous lisez mal ( ce n'est pas mon problème) ou qu'une fois de plus vous vous reportez à un autre texte ( j'ai le droit de transformer mes histoires pour leur donner du piquant, que ça vous plaise ou non.
Bien joué . Une suite avec Romolo?.
Quel "mic-mac" dans la chronologie de cette histoire !!!