Une erreur qui coute cher (2)
Récit érotique écrit par Lipa94 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une erreur qui coute cher (2)
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
J’étais un peu désemparée après cet épisode, si la situation m’inquiétait je devais avouer que j’avais ressentie des sensations assez troublantes. Cela peut sembler bizarre mais l’excitation avait été tellement forte que je me masturbais après le départ de mon maitre chanteur.
Je ne sais pas trop pourquoi mais je restais nue dans l’appartement et même si je le redoutais j’attendais son retour avec impatience.
Il arriva en fin de journée, il m’avait pris les clés donc j’étais à sa merci.
Je fus surprise de voir qu’il n’était pas seul, un homme l’accompagnait, assez gros et pas très soigné.
Dans un premier temps j’eu le reflexe idiot de cacher ma nudité avec mes bras.
- Ne fais pas ta mijaurée, mon pote sais que tu n’es qu’une pute. Va plutôt nous faire un café.
J’abandonnais toute pudeur et partis dans la cuisine en sentant leurs regards appuyés sur mes fesses.
Quand je revins avec les trois tasses, ils s’étaient installés dans le canapé et papotaient tranquillement.
- Je te présente Paulo, il vit dans un foyer pour SDF depuis qu’il est au chômage et je me suis dit qu’il n’avait pas souvent l’occasion de s’amuser, donc tu vas être ma bonne action du jour, tu as compris.
La situation si elle me semblait dégradante ne me laissait pas indifférente et je répondis que j’avais compris d’une voix mal assurée.
- Bon je t’avais dit de préparer le café mais je ne t’avais pas demandé d’en faire pour toi. Comme je n’aime pas gâcher tu vas le boire mais comme la truie que tu es. Pose la tasse sur le sol et lape comme une grosse chienne.
Je dois reconnaitre que j’eus un temps d’hésitation mais je m’exécutais et commençais à boire dans la tasse en me mettant à quatre pattes.
- Cambre-toi que mon ami voit ton gros cul et bouge-le en même temps.
Jamais je ne m’étais sentie aussi humiliée mais je continuais de boire en remuant mon derrière.
- Alors Paulo tu en penses quoi de cette chiennasse, tu vas bien t’amuser.
- C’est sûr, elle est bien foutue cette salope, tu ne m’avais pas menti, tu es certain que je peux faire tout ce que je veux ?
- Bien sûr, elle n’a pas le choix, tu peux te lâcher.
Ils parlaient de moi comme si je n’existai pas mais je savais que j’allais faire tout ce qu’ils demanderaient.
- Bon j’ai envie que cette salope me nettoie les pompes avec sa langue.
- Tu as entendu pétasse allez au travail.
J’abandonnais ma tasse et me déplaçais toujours à quatre pattes pour me mettre en face de mon nouveau bourreau.
J’eus un haut le cœur en voyant l’état de ses chaussures, c’étaient de vieilles baskettes qui avaient dues être blanches il y a longtemps mais qui étaient noires de crasse.
- Madame veut faire sa bégueule, tu vas lécher les pompes de mon copain et tu as intérêt à t’appliquer.
Je me penchais et je posais timidement ma langue sur la première chaussure, en plus de l’aspect répugnant il y avait l’odeur.
- Allez dépêche-toi et craches dessus, montre que tu es une grosse dégueulasse.
La honte se mêlait à l’excitation et je commençais à prendre du plaisir à être à disposition de ces deux hommes.
Ils me firent astiquer les baskettes pendant assez longtemps, si j’avais été timide dans un premier temps, je léchais maintenant avec application et laissais même échapper de petits cris.
- Cette salope a l’air d’aimer ça mais elle n’est pas là pour prendre du plaisir. Arrête connasse et va sur la table basse, Met toi sur le ventre et écarte bien tes jambons que mon copain voit tes trous.
Inutile de dire que je n’étais plus moi-même et j’obéis sans protester.
Ma position sur cette table était assez inconfortable mais ils s’en moquaient et continuaient de siroter le café en faisant des commentaires humiliants sur mon physique et mon attitude.
Après un temps qui me sembla une éternité, je les entendis s’approcher.
Je ne sais pas lequel c’était, mais un d’eux commença à me fouiller la chatte sans ménagement avec plusieurs doigts.
Je ne pus m’empêcher de lever mon cul pour lui faciliter la tâche mais une claque retentissante me plaqua à nouveau sur le dessus en verre de la table.
- Tu crois quoi salope que tu es là pour prendre ton pied, écarte tes fesses avec tes mains et vite.
Là encore j’obéis et ils en profitèrent pour enfoncer leur doigt dans mon anus.
Tant pis si je prenais encore des coups mais je commençais à mouiller et à pousser de lourds soupirs.
- Ça suffit maintenant, tu vas lécher nos doigts.
Le premier à me présenter sa main fut Paulo et je dois dire que sa main n’était pas moins sale que ses chaussures néanmoins je pris ses doigts dans ma bouche et nettoyai avec gourmandise.
- C’est vraiment une grosse chienne, regarde comme elle aime ça.
Il enfonçait sa main de plus en plus loin dans ma bouche et je commençais à baver sentant la salive couler sur mon menton.
- Dis donc Paulo tu n’as pas autre chose à lui mettre dans la gueule ?
Et je me retrouvais aussitôt avec un sexe flasque et malodorant entre mes lèvres.
- Suce bien je veux que mon pote prenne son pied en te défonçant ta gueule de sale bourgeoise.
Le sexe de Paulo n’était plus flasque du tout, il me tenait par les cheveux et me forçait à l’engloutir complètement, je dégoulinais de bave laissant des filets tomber sur le sol. Mon voisin ne resta pas longtemps à ne rien faire et je sentis son sexe pointer vers mon anus.
Je n’avais jamais été sodomisée et je laissais échapper un cri lorsqu’il s’enfonça en moi mais Paulo me maintenait la tête et je ne pus opposer aucune résistance. Mes cris de douleurs étaient étouffés par le membre qui allait et venait au fond de ma gorge.
La douleur se mélangea au plaisir et maintenant je remuais mes fesses en cadence avec les coups de boutoir dans mon cul.
- Je te l’avais dit Paulo, elle adore ça qu’on la maltraite cette pute.
Paulo ne répondit pas étant trop occupé à jouir dans ma bouche en hurlant comme un porc.
Je n’avais jamais vu une éjaculation aussi abondante mais je m’appliquai à tout avaler, espérant que mon maitre serait satisfait de mon zèle.
- Bien salope maintenant lèche bien sa queue et nettoies.
Mon voisin accéléra le rythme et lui aussi joui dans mon cul en laissant échapper un cri.
Je les entendis se rassoir sur le canapé et je restais là étendue sur la table ,épuisée mais comblée.
- Tu es vraiment une souillon, regarde l’état de ta table et de la moquette, en plus tu es sale avec cette bave et ce jus qui coule de tes trous.
Les insultes ne me faisaient plus rien, j’étais devenue leur chose prête à tout pour les satisfaire. Aussi je n’opposai aucune résistance lorsqu’ils m’entrainèrent en me tirant par les cheveux dans la salle de bain.
- Mets-toi à genoux dans la douche et ouvre bien grand ta gueule en tirant ta langue, on va te nettoyer comme tu le mérites.
Je pressentais ce qui allait se passer mais j’avais perdu tout dignité et m’efforçai d’ouvrir la bouche et de sortir ma langue au maximum.
Le premier jet d’urine me frappa en plein visage et je me rapprochais pour ne pas en perdre une goutte, j’avais la queue de Paulo contre mes lèvres et je commençais à l’introduire dans ma bouche.
- Elle en veut encore, je n’ai jamais vu une pute comme ça. Mais ça suffit pour aujourd’huiMon maitre lui commença à me pisser dessus en visant non seulement mon visage mais aussi mes seins et le reste de mon corps.
- Bien salope, tu as été une bonne soumise, nous on se casse, je veux que quand je vais revenir tout soit nickel dans la maison toi y compris et bien sûr tu restes à poil.
- Merci Maitre.
Cela m’avait échappé mais je n’étais plus rien que sa salope et j’embrassais sa main qu’il me tendit avant de s’en aller avec son ami SDF. Je restai un moment dans un état proche de la sidération à genoux dans la douche sentant la pisse couler sur mon corps, je ne savais pas si j’avais envie de pleurer d’avoir été ainsi rabaissée mais je savais que lorsqu’il reviendrait j’obéirai à toute ses demandes.
J’étais un peu désemparée après cet épisode, si la situation m’inquiétait je devais avouer que j’avais ressentie des sensations assez troublantes. Cela peut sembler bizarre mais l’excitation avait été tellement forte que je me masturbais après le départ de mon maitre chanteur.
Je ne sais pas trop pourquoi mais je restais nue dans l’appartement et même si je le redoutais j’attendais son retour avec impatience.
Il arriva en fin de journée, il m’avait pris les clés donc j’étais à sa merci.
Je fus surprise de voir qu’il n’était pas seul, un homme l’accompagnait, assez gros et pas très soigné.
Dans un premier temps j’eu le reflexe idiot de cacher ma nudité avec mes bras.
- Ne fais pas ta mijaurée, mon pote sais que tu n’es qu’une pute. Va plutôt nous faire un café.
J’abandonnais toute pudeur et partis dans la cuisine en sentant leurs regards appuyés sur mes fesses.
Quand je revins avec les trois tasses, ils s’étaient installés dans le canapé et papotaient tranquillement.
- Je te présente Paulo, il vit dans un foyer pour SDF depuis qu’il est au chômage et je me suis dit qu’il n’avait pas souvent l’occasion de s’amuser, donc tu vas être ma bonne action du jour, tu as compris.
La situation si elle me semblait dégradante ne me laissait pas indifférente et je répondis que j’avais compris d’une voix mal assurée.
- Bon je t’avais dit de préparer le café mais je ne t’avais pas demandé d’en faire pour toi. Comme je n’aime pas gâcher tu vas le boire mais comme la truie que tu es. Pose la tasse sur le sol et lape comme une grosse chienne.
Je dois reconnaitre que j’eus un temps d’hésitation mais je m’exécutais et commençais à boire dans la tasse en me mettant à quatre pattes.
- Cambre-toi que mon ami voit ton gros cul et bouge-le en même temps.
Jamais je ne m’étais sentie aussi humiliée mais je continuais de boire en remuant mon derrière.
- Alors Paulo tu en penses quoi de cette chiennasse, tu vas bien t’amuser.
- C’est sûr, elle est bien foutue cette salope, tu ne m’avais pas menti, tu es certain que je peux faire tout ce que je veux ?
- Bien sûr, elle n’a pas le choix, tu peux te lâcher.
Ils parlaient de moi comme si je n’existai pas mais je savais que j’allais faire tout ce qu’ils demanderaient.
- Bon j’ai envie que cette salope me nettoie les pompes avec sa langue.
- Tu as entendu pétasse allez au travail.
J’abandonnais ma tasse et me déplaçais toujours à quatre pattes pour me mettre en face de mon nouveau bourreau.
J’eus un haut le cœur en voyant l’état de ses chaussures, c’étaient de vieilles baskettes qui avaient dues être blanches il y a longtemps mais qui étaient noires de crasse.
- Madame veut faire sa bégueule, tu vas lécher les pompes de mon copain et tu as intérêt à t’appliquer.
Je me penchais et je posais timidement ma langue sur la première chaussure, en plus de l’aspect répugnant il y avait l’odeur.
- Allez dépêche-toi et craches dessus, montre que tu es une grosse dégueulasse.
La honte se mêlait à l’excitation et je commençais à prendre du plaisir à être à disposition de ces deux hommes.
Ils me firent astiquer les baskettes pendant assez longtemps, si j’avais été timide dans un premier temps, je léchais maintenant avec application et laissais même échapper de petits cris.
- Cette salope a l’air d’aimer ça mais elle n’est pas là pour prendre du plaisir. Arrête connasse et va sur la table basse, Met toi sur le ventre et écarte bien tes jambons que mon copain voit tes trous.
Inutile de dire que je n’étais plus moi-même et j’obéis sans protester.
Ma position sur cette table était assez inconfortable mais ils s’en moquaient et continuaient de siroter le café en faisant des commentaires humiliants sur mon physique et mon attitude.
Après un temps qui me sembla une éternité, je les entendis s’approcher.
Je ne sais pas lequel c’était, mais un d’eux commença à me fouiller la chatte sans ménagement avec plusieurs doigts.
Je ne pus m’empêcher de lever mon cul pour lui faciliter la tâche mais une claque retentissante me plaqua à nouveau sur le dessus en verre de la table.
- Tu crois quoi salope que tu es là pour prendre ton pied, écarte tes fesses avec tes mains et vite.
Là encore j’obéis et ils en profitèrent pour enfoncer leur doigt dans mon anus.
Tant pis si je prenais encore des coups mais je commençais à mouiller et à pousser de lourds soupirs.
- Ça suffit maintenant, tu vas lécher nos doigts.
Le premier à me présenter sa main fut Paulo et je dois dire que sa main n’était pas moins sale que ses chaussures néanmoins je pris ses doigts dans ma bouche et nettoyai avec gourmandise.
- C’est vraiment une grosse chienne, regarde comme elle aime ça.
Il enfonçait sa main de plus en plus loin dans ma bouche et je commençais à baver sentant la salive couler sur mon menton.
- Dis donc Paulo tu n’as pas autre chose à lui mettre dans la gueule ?
Et je me retrouvais aussitôt avec un sexe flasque et malodorant entre mes lèvres.
- Suce bien je veux que mon pote prenne son pied en te défonçant ta gueule de sale bourgeoise.
Le sexe de Paulo n’était plus flasque du tout, il me tenait par les cheveux et me forçait à l’engloutir complètement, je dégoulinais de bave laissant des filets tomber sur le sol. Mon voisin ne resta pas longtemps à ne rien faire et je sentis son sexe pointer vers mon anus.
Je n’avais jamais été sodomisée et je laissais échapper un cri lorsqu’il s’enfonça en moi mais Paulo me maintenait la tête et je ne pus opposer aucune résistance. Mes cris de douleurs étaient étouffés par le membre qui allait et venait au fond de ma gorge.
La douleur se mélangea au plaisir et maintenant je remuais mes fesses en cadence avec les coups de boutoir dans mon cul.
- Je te l’avais dit Paulo, elle adore ça qu’on la maltraite cette pute.
Paulo ne répondit pas étant trop occupé à jouir dans ma bouche en hurlant comme un porc.
Je n’avais jamais vu une éjaculation aussi abondante mais je m’appliquai à tout avaler, espérant que mon maitre serait satisfait de mon zèle.
- Bien salope maintenant lèche bien sa queue et nettoies.
Mon voisin accéléra le rythme et lui aussi joui dans mon cul en laissant échapper un cri.
Je les entendis se rassoir sur le canapé et je restais là étendue sur la table ,épuisée mais comblée.
- Tu es vraiment une souillon, regarde l’état de ta table et de la moquette, en plus tu es sale avec cette bave et ce jus qui coule de tes trous.
Les insultes ne me faisaient plus rien, j’étais devenue leur chose prête à tout pour les satisfaire. Aussi je n’opposai aucune résistance lorsqu’ils m’entrainèrent en me tirant par les cheveux dans la salle de bain.
- Mets-toi à genoux dans la douche et ouvre bien grand ta gueule en tirant ta langue, on va te nettoyer comme tu le mérites.
Je pressentais ce qui allait se passer mais j’avais perdu tout dignité et m’efforçai d’ouvrir la bouche et de sortir ma langue au maximum.
Le premier jet d’urine me frappa en plein visage et je me rapprochais pour ne pas en perdre une goutte, j’avais la queue de Paulo contre mes lèvres et je commençais à l’introduire dans ma bouche.
- Elle en veut encore, je n’ai jamais vu une pute comme ça. Mais ça suffit pour aujourd’huiMon maitre lui commença à me pisser dessus en visant non seulement mon visage mais aussi mes seins et le reste de mon corps.
- Bien salope, tu as été une bonne soumise, nous on se casse, je veux que quand je vais revenir tout soit nickel dans la maison toi y compris et bien sûr tu restes à poil.
- Merci Maitre.
Cela m’avait échappé mais je n’étais plus rien que sa salope et j’embrassais sa main qu’il me tendit avant de s’en aller avec son ami SDF. Je restai un moment dans un état proche de la sidération à genoux dans la douche sentant la pisse couler sur mon corps, je ne savais pas si j’avais envie de pleurer d’avoir été ainsi rabaissée mais je savais que lorsqu’il reviendrait j’obéirai à toute ses demandes.
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