Une erreur qui coute cher
Récit érotique écrit par Lipa94 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une erreur qui coute cher
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
L’histoire débute par une nuit d’été étouffante, je suis seule chez moi, mon mari est en déplacement pour la semaine et les enfants sont en vacances chez leurs grands parents.
Impossible de dormir avec cette chaleur, je tourne en rond dans l’appartement, l’humidité laisse des perles de sueur sur ma peau, je suis pratiquement nue juste une culotte blanche.
Je suis vautrée dans mon canapé, une bouteille de vin blanc sur la table basse et je surfe au hasard sur ma tablette.
Rien de bien passionnant, je lis mes mails et comme souvent dans les spams je trouve des annonces pour des choses dont je n’ai pas besoin, des offres pour des prêts, etc.…Il y a même des publicités pour des sites de rencontres plus ou moins pornos.
Je me resserre un verre de vin et clique au hasard.
Je tombe sur un de ses sites, par curiosité je décide de voir ce qu’ils proposent.
Je n’ai connu qu’un seul homme, mon mari et je ne l’ai jamais trompé, notre vie s’est peu à peu transformée en routine mais cela me convient n’ayant jamais été attirée par les choses du sexe.
Je ne sais trop pourquoi je me lance sur ce site mais bon cela peut être amusant et puis je veux voir si à 45 ans je peux encore plaire.
Commençons par remplir un profil : Brune cheveux mi longs, 1m66, 53 Kg, ….
Dès que ma fiche est validée je suis submergée de messages, visiblement il n’y a pas que moi qui ait du mal à trouver le sommeil.
Je me resserre un x ème verre et m’amuse à répondre, les messages deviennent vite plus que suggestifs, mais cela m’amuse et je joue le jeu de mes admirateurs du soir.
Un rayon de soleil me réveille, j’ai un peu mal à la tête et en voyant la bouteille de vin blanc vide je comprend pourquoi.
J’ai dû m’endormir sur ce canapé et je n’ai aucun souvenir de ce qui s’est passé, j’ai vraiment dû avoir trop chaud car ma culotte est sur le sol.
Ma tablette est encore allumée et je me rends compte que la webcam est branchée et que j’offre une vue intégrale de mon appartement.
Je coupe tout ça et décide d’aller prendre une douche pour me remettre les idées en place.
Je suis à peine sous l’eau que l’on sonne à la porte, je maudis l’importun mais j’enfile un peignoir et encore mouillée je vais ouvrir.
C’est mon voisin du dessous, un bellâtre quinqua parfois croisé dans l’ascenseur, tout à fait le genre d’homme que je n’aime pas, mais bon je suis polie et bien élevée.
- Bonjour chère voisine, je ne vous dérange pas au moins ?
- Non je sortais juste de ma douche, en quoi puis je vous aider ?
- C’est un peu délicat à expliquer, puis je entrer ?
- Je vous en prie asseyez vous vous voulez un café ?
- Avec Plaisir.
Je reviens avec deux tasses, un café va me faire du bien à moi aussi.
Il est assis sur le canapé et a un sourire narquois que je n’aime pas du tout.
- La nuit a été difficile, dit-il en regardant la bouteille vide.
- Oui avec cette chaleur impossible de fermer l’œil, mais je ne sais toujours pas ce que vous désirez.
- Moi aussi j’ai veillé tard et je dois dire que je ne l’ai pas regretté.
- Ah bon mais excusez moi si je suis un peu brusque j’ai mille choses à faire si vous en veniez au but de votre visite.
- Disons que j’ai beaucoup apprécié un spectacle que vous avez donné cette nuit.
- Pardon, je ne vois pas de quoi vous voulez parler.
- Je suis sûr que vous allez comprendre, J’étais moi aussi sur le site et je dois dire que j’ai été surpris de voir ma voisine si sage et réservée se lâcher devant des inconnus.
Je rougis malgré moi.
- Vous devez faire erreur, si c’est pour me tenir ce genre de propos je vous demanderai de bien vouloir me laisser.
- Je me doutais bien que vous auriez ce genre de réaction, aussi j’ai apporté quelques clichés qui devrait vous rafraichir la mémoire.
Et il me tend une série de photos où l’on me voit nue dans des poses provocantes.
- La mémoire vous revient ? J’ai même imprimé les dialogues et de tels mots dans une aussi belle bouche sont plus qu’excitant.
- Ravie que cela vous ait plus mais maintenant il faut me laisser, sortez.
- Tout doux ma belle, tu te doutes bien que si je suis venu te voir ce n’est pas uniquement pour faire la causette.
- Moi je n’ai pas envie de discuter avec vous, sortez je vous en prie.
- Avant tu vas m’écouter, je suis certain que dans l’immeuble ils seraient choqués de savoir que la si sage voisine du 5 eme est en vérité une petite trainée qui s‘exhibe sur internet et qui se branle avec une bouteille devant des inconnus.
Là je dois dire que j’ai du mal à encaisser, je me tasse dans le canapé, le tutoiement et le ton qu’il emploi m’ont surprise mais je n’ai plus trop la force de réagir.
- Voilà tu vas comprendre, Si mes informations sont exactes tu es seule cette semaine, donc cela offre des perspectives intéressantes.
Je suis de plus en plus décontenancée et tout à coup je commence à craindre le pire.
- J’ai une proposition à te faire, tu es libre de refuser mais si c’est le cas ces jolies clichés seront affichés dans l’entrée de l’immeuble et au delà des voisins j’ai bien peur que ta petite famille modèle n’apprécie pas.
- Je vous écoute mais sachez que je n’ai pas d’argent à vous donner.
- Qui parle d’argent, j’ai envie de bien mieux que ça. Tu vas vite comprendre, Donc tu es seule cette semaine et je te propose d’être à moi pendant tout ce temps.
- Comment ça à vous, vous êtes fou !!!
- Je vois que tu saisis ce que je veux dire, tu seras à ma disposition cette semaine, tu devras obéir à toutes les demandes.
- N’importe quoi, vous êtes un gros malade.
- Il va falloir changer de ton ma petite dame parce que tu n’as pas vraiment le choix, mais comme je suis bon prince je vais te laisser une heure pour réfléchir, je vais partir mais je reviendrai, si tu ouvres c’est que tu acceptes sinon les photos seront affichées, une derniere chose si tu acceptes mon offre tu devras ouvrir en étant complètement nue.
Sur ce il se lève sans un regard et quitte mon appartement en claquant la porte.
Je reste prostrée me demandant comment me sortir de cette situation. Comment ai-je pu être aussi stupide, il m’a à sa merci et il le sait.
Je tourne toutes les possibilités dans ma tête mais je reviens toujours aux photos et à ma réputation, je risque de tout perdre….
L’heure passa rapidement, j’étais sous le choc.
Lorsque la sonnerie de la porte d’entrée retentie, je me levais sans réfléchir, laissais tomber mon peignoir et allais ouvrir.
Le regard de l’homme devant ma nudité me gêna mais il était trop tard pour reculer.
- Je vois que tu as pris ta décision, je sens que nous allons bien nous amuser.
Il entra sans me toucher et s’installa dans un fauteuil.
- Viens devant moi, écartes les jambes et mets tes mains dans le dos, baisses la tête.
Le ton était sans appel et je me surpris à obéir.
- Bien, Ecoutes moi attentivement. A partir de maintenant tu m’appartiens pour la semaine, tu devras rester nue chez toi à m’attendre, interdiction de sortir, je t’apporterai de quoi manger, je pourrais venir quand bon me semblera.
Je l’écoutais avec effroi, mais à quoi bon protester il me tenait.
- Tu dois m’appeler Monsieur, bien sur, tu peux arrêter quand tu veux mais tu connais les conséquences. Tu as compris ?
- Oui.
- Tu commences mal je t’ai dit de m’appeler Monsieur.
- Oui Monsieur.
- Voilà qui est mieux, maintenant on va voir si tu es vraiment la petite salope que je crois. Tourne-toi et penches toi en avant.
Je ne pouvais plus refuser et puis la boule au ventre que je ressentais se transformait peu à peu en excitation.
- Joli petit cul, penches toi plus et écartes tes fesses avec tes mains.
Cette position dégradante faisait de moi un jouet sans volonté, je ne contrôlais plus rien, j’étais la chose qui obéissait sans autre désir que d’obéir.
- Décidemment tu me plais beaucoup, je vois un gros potentiel en toi.
Je ne sais trop pourquoi mais je laissais échapper un merci Monsieur d’une toute petite voix, cette fois j’abandonnais toute pudeur.
- Bien salope, mets-toi à quatre pattes fais le tour du salon et viens te positionner devant moi et vite.
Sans hésiter, je me mis dans cette position, je commençais à mouiller, le fait de m’exhiber comme une chienne et de ramper à ses pieds me mettait dans un drôle d’état.
- Maintenant tu vas embrasser mes chaussures.
- Oui Monsieur.
Retire mes pompes et mes chaussettes sale chienne tu vas lécher mes pieds.,Je m’exécutais, Ses pieds n’étaient pas très soignés mais je léchais avec application.
- Prends les dans ta bouche, suces les comme si tu suçais une bite, je suis sûr que ça t’excite grosse pute.
Je n’étais plus rien, j’enfonçais les pieds de mon bourreau le plus profondément possible, j’étouffais et bavais mais mon seul but maintenant était de lui faire plaisir.
- Vraiment un fort potentiel, ma voisine si distante et froide en train de me bouffer les panards, je ne pouvais rêver mieux. Maintenant arrête je vois bien que ça te plait je n’ai pas envie que tu prennes plus de plaisir que moi. On va passer aux choses sérieuses.
J’abandonnais les pieds de mon voisin et instinctivement je restais à genoux mains dans le dos.
- Tu es née pour être soumise, Dégrafes mon pantalon et retires le.
- Oui Monsieur je suis votre soumise.
Voilà que maintenant je devançais ses demandes, je ne me reconnaissais plus.
- Je ne te t’ai pas autorisé à parler connasse. Lèches mon zob au travers du slip, voyons si tu es capable de me faire bander.
Je passais ma langue tout le long de son sexe, malgré le tissu je sentais son sexe grossir sous mes caresses.
- Baisses mon slip avec ta bouche et lèches ma bite comme une petite chienne.
Je du m’y reprendre à plusieurs fois mais lorsque qu’enfin je libérais son engin je ne pus m’empêcher de le prendre en bouche.
- Je ne t’ai pas dit de sucer sale pute je t’ai dit de lécher.
- Pardonnez moi Monsieur. Et je commence à lécher ce sexe sur la longueur en m’appliquant- Tu es vraiment bonne, passe ta langue partout et n’oublies pas mes couilles.
Je gobais en salivant, j’étais de plus en plus excitée, j’avais envie qu’il me prenne mais visiblement il avait d’autres plans.
- Maintenant tu va me demander l’autorisation de me sucer.
- Puis je vous sucer Monsieur.
- Vas y salope et ne me déçois pas.
D’habitude je n’aime pas trop ça, mais là je voulais lui montrer que la petite bourgeoise pouvait le faire monter au ciel.
- Attarde-toi sur le gland, passes ta langue et surtout gardes tes mains dans le dos je ne veux que ta bouche.
Il commençait à perdre le contrôle et j’étais fière de sentir monter le désir en lui.
Il m’attrapa les cheveux et me força à engouffrer son sexe au fond de ma gorge, je ne pus contenir un haut le cœur mais je continuais à monter et descendre le long de ce sexe.
- Je veux que tu étouffes, tu baves comme une grosse chienne.
Des filets de salive coulaient sur mes lèvres, sur mon menton et sur mes seins mais je ne lâchais rien et sa main sur ma tête me faisait accélérer le mouvement. Lorsqu’il jouit contrairement à d’habitude je le gardais entre mes lèvres. Il me repoussa violemment et pris ma tête entre ses mains.
- Ouvre ta gueule petasse je veux voir mon jus. Maintenant tu vas avaler.
J’ouvris grande ma bouche lui montrant le liquide blanc qui était la preuve que j’avais été à la hauteur. Même si je ne pus retenir une grimace de dégout j’avalais semence.
- Tu en as fais tomber sur le sol, t’es vraiment dégueulasse, nettoies avec ta langue.
Je me baissais et commençais à laper le sperme sur le parquet. J’avais de plus en plus envie qu’il me baise mais il me repoussa avec ses pieds me faisant tomber nue sur le parquet.
- Tu as réussi ton examen de passage, c’est tout pour aujourd’hui la prochaine fois je m’occuperai de tes autres trous.
Il se rhabilla et sans un regard et quitta mon appartement, me laissant là étendue sur le sol avec mon désir.
L’histoire débute par une nuit d’été étouffante, je suis seule chez moi, mon mari est en déplacement pour la semaine et les enfants sont en vacances chez leurs grands parents.
Impossible de dormir avec cette chaleur, je tourne en rond dans l’appartement, l’humidité laisse des perles de sueur sur ma peau, je suis pratiquement nue juste une culotte blanche.
Je suis vautrée dans mon canapé, une bouteille de vin blanc sur la table basse et je surfe au hasard sur ma tablette.
Rien de bien passionnant, je lis mes mails et comme souvent dans les spams je trouve des annonces pour des choses dont je n’ai pas besoin, des offres pour des prêts, etc.…Il y a même des publicités pour des sites de rencontres plus ou moins pornos.
Je me resserre un verre de vin et clique au hasard.
Je tombe sur un de ses sites, par curiosité je décide de voir ce qu’ils proposent.
Je n’ai connu qu’un seul homme, mon mari et je ne l’ai jamais trompé, notre vie s’est peu à peu transformée en routine mais cela me convient n’ayant jamais été attirée par les choses du sexe.
Je ne sais trop pourquoi je me lance sur ce site mais bon cela peut être amusant et puis je veux voir si à 45 ans je peux encore plaire.
Commençons par remplir un profil : Brune cheveux mi longs, 1m66, 53 Kg, ….
Dès que ma fiche est validée je suis submergée de messages, visiblement il n’y a pas que moi qui ait du mal à trouver le sommeil.
Je me resserre un x ème verre et m’amuse à répondre, les messages deviennent vite plus que suggestifs, mais cela m’amuse et je joue le jeu de mes admirateurs du soir.
Un rayon de soleil me réveille, j’ai un peu mal à la tête et en voyant la bouteille de vin blanc vide je comprend pourquoi.
J’ai dû m’endormir sur ce canapé et je n’ai aucun souvenir de ce qui s’est passé, j’ai vraiment dû avoir trop chaud car ma culotte est sur le sol.
Ma tablette est encore allumée et je me rends compte que la webcam est branchée et que j’offre une vue intégrale de mon appartement.
Je coupe tout ça et décide d’aller prendre une douche pour me remettre les idées en place.
Je suis à peine sous l’eau que l’on sonne à la porte, je maudis l’importun mais j’enfile un peignoir et encore mouillée je vais ouvrir.
C’est mon voisin du dessous, un bellâtre quinqua parfois croisé dans l’ascenseur, tout à fait le genre d’homme que je n’aime pas, mais bon je suis polie et bien élevée.
- Bonjour chère voisine, je ne vous dérange pas au moins ?
- Non je sortais juste de ma douche, en quoi puis je vous aider ?
- C’est un peu délicat à expliquer, puis je entrer ?
- Je vous en prie asseyez vous vous voulez un café ?
- Avec Plaisir.
Je reviens avec deux tasses, un café va me faire du bien à moi aussi.
Il est assis sur le canapé et a un sourire narquois que je n’aime pas du tout.
- La nuit a été difficile, dit-il en regardant la bouteille vide.
- Oui avec cette chaleur impossible de fermer l’œil, mais je ne sais toujours pas ce que vous désirez.
- Moi aussi j’ai veillé tard et je dois dire que je ne l’ai pas regretté.
- Ah bon mais excusez moi si je suis un peu brusque j’ai mille choses à faire si vous en veniez au but de votre visite.
- Disons que j’ai beaucoup apprécié un spectacle que vous avez donné cette nuit.
- Pardon, je ne vois pas de quoi vous voulez parler.
- Je suis sûr que vous allez comprendre, J’étais moi aussi sur le site et je dois dire que j’ai été surpris de voir ma voisine si sage et réservée se lâcher devant des inconnus.
Je rougis malgré moi.
- Vous devez faire erreur, si c’est pour me tenir ce genre de propos je vous demanderai de bien vouloir me laisser.
- Je me doutais bien que vous auriez ce genre de réaction, aussi j’ai apporté quelques clichés qui devrait vous rafraichir la mémoire.
Et il me tend une série de photos où l’on me voit nue dans des poses provocantes.
- La mémoire vous revient ? J’ai même imprimé les dialogues et de tels mots dans une aussi belle bouche sont plus qu’excitant.
- Ravie que cela vous ait plus mais maintenant il faut me laisser, sortez.
- Tout doux ma belle, tu te doutes bien que si je suis venu te voir ce n’est pas uniquement pour faire la causette.
- Moi je n’ai pas envie de discuter avec vous, sortez je vous en prie.
- Avant tu vas m’écouter, je suis certain que dans l’immeuble ils seraient choqués de savoir que la si sage voisine du 5 eme est en vérité une petite trainée qui s‘exhibe sur internet et qui se branle avec une bouteille devant des inconnus.
Là je dois dire que j’ai du mal à encaisser, je me tasse dans le canapé, le tutoiement et le ton qu’il emploi m’ont surprise mais je n’ai plus trop la force de réagir.
- Voilà tu vas comprendre, Si mes informations sont exactes tu es seule cette semaine, donc cela offre des perspectives intéressantes.
Je suis de plus en plus décontenancée et tout à coup je commence à craindre le pire.
- J’ai une proposition à te faire, tu es libre de refuser mais si c’est le cas ces jolies clichés seront affichés dans l’entrée de l’immeuble et au delà des voisins j’ai bien peur que ta petite famille modèle n’apprécie pas.
- Je vous écoute mais sachez que je n’ai pas d’argent à vous donner.
- Qui parle d’argent, j’ai envie de bien mieux que ça. Tu vas vite comprendre, Donc tu es seule cette semaine et je te propose d’être à moi pendant tout ce temps.
- Comment ça à vous, vous êtes fou !!!
- Je vois que tu saisis ce que je veux dire, tu seras à ma disposition cette semaine, tu devras obéir à toutes les demandes.
- N’importe quoi, vous êtes un gros malade.
- Il va falloir changer de ton ma petite dame parce que tu n’as pas vraiment le choix, mais comme je suis bon prince je vais te laisser une heure pour réfléchir, je vais partir mais je reviendrai, si tu ouvres c’est que tu acceptes sinon les photos seront affichées, une derniere chose si tu acceptes mon offre tu devras ouvrir en étant complètement nue.
Sur ce il se lève sans un regard et quitte mon appartement en claquant la porte.
Je reste prostrée me demandant comment me sortir de cette situation. Comment ai-je pu être aussi stupide, il m’a à sa merci et il le sait.
Je tourne toutes les possibilités dans ma tête mais je reviens toujours aux photos et à ma réputation, je risque de tout perdre….
L’heure passa rapidement, j’étais sous le choc.
Lorsque la sonnerie de la porte d’entrée retentie, je me levais sans réfléchir, laissais tomber mon peignoir et allais ouvrir.
Le regard de l’homme devant ma nudité me gêna mais il était trop tard pour reculer.
- Je vois que tu as pris ta décision, je sens que nous allons bien nous amuser.
Il entra sans me toucher et s’installa dans un fauteuil.
- Viens devant moi, écartes les jambes et mets tes mains dans le dos, baisses la tête.
Le ton était sans appel et je me surpris à obéir.
- Bien, Ecoutes moi attentivement. A partir de maintenant tu m’appartiens pour la semaine, tu devras rester nue chez toi à m’attendre, interdiction de sortir, je t’apporterai de quoi manger, je pourrais venir quand bon me semblera.
Je l’écoutais avec effroi, mais à quoi bon protester il me tenait.
- Tu dois m’appeler Monsieur, bien sur, tu peux arrêter quand tu veux mais tu connais les conséquences. Tu as compris ?
- Oui.
- Tu commences mal je t’ai dit de m’appeler Monsieur.
- Oui Monsieur.
- Voilà qui est mieux, maintenant on va voir si tu es vraiment la petite salope que je crois. Tourne-toi et penches toi en avant.
Je ne pouvais plus refuser et puis la boule au ventre que je ressentais se transformait peu à peu en excitation.
- Joli petit cul, penches toi plus et écartes tes fesses avec tes mains.
Cette position dégradante faisait de moi un jouet sans volonté, je ne contrôlais plus rien, j’étais la chose qui obéissait sans autre désir que d’obéir.
- Décidemment tu me plais beaucoup, je vois un gros potentiel en toi.
Je ne sais trop pourquoi mais je laissais échapper un merci Monsieur d’une toute petite voix, cette fois j’abandonnais toute pudeur.
- Bien salope, mets-toi à quatre pattes fais le tour du salon et viens te positionner devant moi et vite.
Sans hésiter, je me mis dans cette position, je commençais à mouiller, le fait de m’exhiber comme une chienne et de ramper à ses pieds me mettait dans un drôle d’état.
- Maintenant tu vas embrasser mes chaussures.
- Oui Monsieur.
Retire mes pompes et mes chaussettes sale chienne tu vas lécher mes pieds.,Je m’exécutais, Ses pieds n’étaient pas très soignés mais je léchais avec application.
- Prends les dans ta bouche, suces les comme si tu suçais une bite, je suis sûr que ça t’excite grosse pute.
Je n’étais plus rien, j’enfonçais les pieds de mon bourreau le plus profondément possible, j’étouffais et bavais mais mon seul but maintenant était de lui faire plaisir.
- Vraiment un fort potentiel, ma voisine si distante et froide en train de me bouffer les panards, je ne pouvais rêver mieux. Maintenant arrête je vois bien que ça te plait je n’ai pas envie que tu prennes plus de plaisir que moi. On va passer aux choses sérieuses.
J’abandonnais les pieds de mon voisin et instinctivement je restais à genoux mains dans le dos.
- Tu es née pour être soumise, Dégrafes mon pantalon et retires le.
- Oui Monsieur je suis votre soumise.
Voilà que maintenant je devançais ses demandes, je ne me reconnaissais plus.
- Je ne te t’ai pas autorisé à parler connasse. Lèches mon zob au travers du slip, voyons si tu es capable de me faire bander.
Je passais ma langue tout le long de son sexe, malgré le tissu je sentais son sexe grossir sous mes caresses.
- Baisses mon slip avec ta bouche et lèches ma bite comme une petite chienne.
Je du m’y reprendre à plusieurs fois mais lorsque qu’enfin je libérais son engin je ne pus m’empêcher de le prendre en bouche.
- Je ne t’ai pas dit de sucer sale pute je t’ai dit de lécher.
- Pardonnez moi Monsieur. Et je commence à lécher ce sexe sur la longueur en m’appliquant- Tu es vraiment bonne, passe ta langue partout et n’oublies pas mes couilles.
Je gobais en salivant, j’étais de plus en plus excitée, j’avais envie qu’il me prenne mais visiblement il avait d’autres plans.
- Maintenant tu va me demander l’autorisation de me sucer.
- Puis je vous sucer Monsieur.
- Vas y salope et ne me déçois pas.
D’habitude je n’aime pas trop ça, mais là je voulais lui montrer que la petite bourgeoise pouvait le faire monter au ciel.
- Attarde-toi sur le gland, passes ta langue et surtout gardes tes mains dans le dos je ne veux que ta bouche.
Il commençait à perdre le contrôle et j’étais fière de sentir monter le désir en lui.
Il m’attrapa les cheveux et me força à engouffrer son sexe au fond de ma gorge, je ne pus contenir un haut le cœur mais je continuais à monter et descendre le long de ce sexe.
- Je veux que tu étouffes, tu baves comme une grosse chienne.
Des filets de salive coulaient sur mes lèvres, sur mon menton et sur mes seins mais je ne lâchais rien et sa main sur ma tête me faisait accélérer le mouvement. Lorsqu’il jouit contrairement à d’habitude je le gardais entre mes lèvres. Il me repoussa violemment et pris ma tête entre ses mains.
- Ouvre ta gueule petasse je veux voir mon jus. Maintenant tu vas avaler.
J’ouvris grande ma bouche lui montrant le liquide blanc qui était la preuve que j’avais été à la hauteur. Même si je ne pus retenir une grimace de dégout j’avalais semence.
- Tu en as fais tomber sur le sol, t’es vraiment dégueulasse, nettoies avec ta langue.
Je me baissais et commençais à laper le sperme sur le parquet. J’avais de plus en plus envie qu’il me baise mais il me repoussa avec ses pieds me faisant tomber nue sur le parquet.
- Tu as réussi ton examen de passage, c’est tout pour aujourd’hui la prochaine fois je m’occuperai de tes autres trous.
Il se rhabilla et sans un regard et quitta mon appartement, me laissant là étendue sur le sol avec mon désir.
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