Une gentille infirmière
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une gentille infirmière
Je vais vous raconter une aventure que j’ai vécue il y a quelques années, j’avais 19 ans.
Je m’appelle Patrick et à cette époque mon grand-père, la personne qui comptait le plus pour moi dans ma famille, était malade, il avait le cancer des poumons et était en phase terminale. Il est donc dans l’aile des soins palliatif de l’hôpital de Waremme. C’est un service où les patients sont particulièrement dorlotés et le temps de visite est adapté pour leur permettre d’avoir le plus de soutiens possible de leur famille.
Je décide un soir que le lendemain j’irai lui rendre visite. Il faut savoir que je n’avais pas de véhicule et que je devrai prendre le train pour y aller. J’organise donc ma journée en conséquence et je dois prendre le train à 8h00 pour arriver vers 10h30.
Le jeudi matin je monte donc dans le train et mon voyage se déroule sans souci, même pas de retard. A 10h30 je suis devant sa chambre, j’entre et je le vois avec un grand sourire, il est heureux de ma que je sois là. Je m’installe à côté de lui et on commencent à discuter de choses et d’autres. Il m’a l’air en peine forme compte tenu de sa maladie, ce qui me permet de demander pour rester la journée à ses côtés. J’obtiens l’accord de l’infirmière en chef et elle me présente l’infirmière qui s’occupe de mon grand-père au cas où je devrai avoir besoin d’aide pour quelque raison que ce soit. Elle s’appelle Brigitte, elle est très jolie, environ 1,70m, les cheveux châtain mi-long. L’image même de l’infirmière.
La journée se passe bien, Brigitte vient même demander si nous voulons aller un peu au salon de lecture. Mon grand-père se sentant assez bien, accepte et nous voilà parti. Elle nous accompagne car elle doit sur place lui brancher quelques appareils de surveillance. Dans la discussion que nous avons, mon grand-père lui parle de moi, qu’il est heureux de me voir car j’habite assez loin et que j’ai du prendre le train pour venir.
Mais voilà, il est maintenant 17h00 et j’appelle Brigitte pour nous reconduire à sa chambre puisque je dois bientôt partir.
Pendant qu’elle installe confortablement mon grand-père, elle me fait me fait remarquer que les visites se terminent à 19h00 et que je peux encore rester. Je lui explique que se serrai avec plaisir mais que je dois partir au plus tard à 17h45 si je ne veux pas rater ma dernière correspondance.
« On peux toujours trouver une solution si vous voulez ? ». Me dit-elle !
« Ce serai vraiment avec plaisir, mais je dépend de l’horaire des trains »
A quoi elle me répond :
« Je peux vous faire une proposition ? Je termine mon service à 18h00, le temps de me changer et je viens vous chercher vers 18h30. J’habite pas loin de chez vous, je vous raccompagne avec ma voiture. ».
« C’est bien gentil, mais ça vous fait un détour ! »
« Ce n’est pas pour 10min, alors qu’en dites vous ? ».
« Et bien d’accord, je vous remercie ! »
Je profite bien de cette petite heure qui m’est offerte, mais je fais attention d’être prêt pour quand elle arrive me chercher . Quand elle entre, c’est une toute autre femme. Elle est maintenant vêtue d’une jupe qui lui arrive 10 cm au dessus des genoux, d’un chemisier blanc semi transparent et d’un petit blazer qui cache se seins.J’avoue que je la trouve très sexy.
Après avoir dis au revoir à mon grand-père, nous quittons l’hôpital et tout en prenant la direction du parking, Brigitte propose de mieux se présenter vu que l’on a un bonne heure de route à faire ensemble. J’apprends qu’elle a 25 ans et qu’en fait elle habite seule un petit village pas loin de chez moi prêt de Namur. Elle aime bien mon grand-père car malgré sa maladie il ne baisse jamais les bras, et cela facilite grandement son travail qui est souvent émotionnellement difficile. Je me présente de la même façon, j’ai 19 ans et j’habite seul dans un appartement. Je n’ai pas mon permis ni de véhicule. Je viens de terminer mes étude et je suis à la recherche d’un emploi.
On arrive devant sa voiture, un jolie petite, très petite Mini Cooper 1986, Brigitte retire son blazer pour le plier et le poser sur la banquette arrière. Tous les deux penché pour nous installer, je remarque aisément qu’elle ne porte pas de soutien car se seins son maintenant visible par transparence. Je peux même distinguer ses tétons, ils sont dressés et doivent être durs. Non seulement, elle est jolie, sexy et maintenant je peux ajouter excitante. Mais je ne suis pas là pour ça, elle me reconduit chez moi, je doit me tenir. Lorsqu’elle s’est assise au volant, je remarque tout de suite que sa jupe lui est remontée très haut sur les cuisses. Je m’efforce de penser à d’autres choses sinon je sens que je vais me faire remarquer car une érection naissante se profile sous mon pantalon. Mais tout ce passe bien pendant le trajet, si ce n’est que nos mains s’effleurent quelques fois, lorsqu’elle doit prendre le levier de vitesses. Il faut avouer que cette voiture ne nous laisse pas beaucoup de liberté de mouvement. Mais à chaque fois nous nous excusons, même si pour ma part je trouve cela agréablement excitant. Presque arrivé, elle me demande si ça me dérange que l’on passe d’abord chez elle récupérer quelques affaires qu’elle aimerai porter à sa sœur après m’avoir déposer. Je n’y vois aucun problème si ce n’est que je vais bientôt devoir quitter cette beauté.
Après avoir garé la voiture dans le parking de l’immeuble, elle m’invite à venir avec elle. Elle doit réunir les affaires et elle en à pour un petit quart d’heure. Elle me propose de boire un café en l’attendant, je m’installe dans le canapé et elle disparaît dans sa chambre. Tout à coup, elle appelle à l’aide, je vais vite voir ce qui ce passe et je la trouve en équilibre, debout sur une chaise avec une énorme valise qu’elle veux descendre du dessus de sa garde robe. Je vais vers elle, je la saisi par les cuisses pour la stabiliser. C’est vrai que j’aurai pu la retenir par la taille, mais maintenant, j’ai mes mains sur sa peau et j’en profite. Mais peut-être surprise par ma façon de faire, elle glisse de la chaise et la retenant, ce son mes mains qui glissent le long de son corps remontant sa jupe jusque sous sa poitrine. Par chance la valise est restée sur le dessus de l’armoire. Nous sommes maintenant face à face , mes mains retenant ses seins par dessous sa jupe. De mon côté, je ne sais pas bouger, je suis comme ligoté à sa poitrine par l’élastique de sa jupe. De son côté, la surprise passée, elle me fixe dans les yeux et me dit d’un ton sérieux :
« Tu as bien calculé ton coup petit profiteur ! »
« Heu non, je suis désolé »
Je ressemble à un vrai asticot tellement je suis confus et je tortille mes bras dans tous les sens pour essayer de les dégager. Ce qui en fait, a pour effet que je lui malaxe les seins.
« Tu vois, tu en profite encore ! »
A quoi je bredouille :
« Oh pardon, je ne sais pas comment me dégager »
Lisant sûrement de la panique dans mes yeux, elle met ses mains sur mon visage et le tire vers elle pour poser ses lèvres sur les miennes en un long baiser. Ça a pour effet de me calmer instantanément, j’arrête de gigoter, de malaxer ses seins, je profite juste de ce langoureux baiser.
« J’ai remarqué que je ne te laissais pas indifférent et j’avoue que j’en ai joué. Il est donc normal que tu en profites un peu. »
Sur ces mots, elle pose ses mains sur les miennes pour les faire glisser le vers les bas et redescendre ainsi sa jupe. Arrivé au niveau de ces hanches, elle continue de presser mes mains contre elle et vers le bas, si bien que je ne sais faire autrement que de me mettre à genoux tout en emmenant sa culotte en dentelles jusqu’à ses chevilles. Pour finir, je me retrouve le visage face à sa chatte. Elle me saisi la tête et doucement me la presse contre son sexe épilé et humide. J’en profite pour sortir ma langue et commencer à lui lécher la vulve à la recherche de son clito.
« Je vois que tu sais quoi faire, je ne suis pas le première je suppose » me dit-elle !
Je ne peux pas lui répondre, je trop occupé, je cherche et trouve son bouton d’amour pour le saisir entre mes lèvres et jouer avec lui. Je sens qu’elle est excitée à la pression qu’elle exerce sur ma tête et au liquide qui s’écoule de sa chatte.
Elle m’interrompt pour ôter son chemisier et s’asseoir sur le lit. Elle pose les pieds sur le bord et écarte les jambes. J’ai une vue et un passage direct sur son sexe ouvert et ruisselant de son jus. Je m’avance pour me remettre à l’ouvrage quand elle dit :
« Attends !!! J’aimerai que tu te déshabille aussi, je veux voir si je te fais de l’effet ! »
« Pour cela il n’y a aucun doute »
J’enlève mes vêtements et par la même, je libère mon sexe de sa prison de tissu. Il bondit hors de mon slip comme un ressort. Il est en pleine érection et se dresse maintenant droit comme un I. A cette vue, elle échange nos positions pour se retrouver à genoux, entre mes jambes, avec mon sexe qui lui tapote les lèvres comme pour demander la permission d’entrer. Elle me fixe du regard et tous en ouvrant la bouche, glisse entièrement ma bite jusqu’au fond de sa gorge. Je ressens une excitation de plus en plus forte, je sens sa langue jouer avec mon gland. Elle imprime un vas-et-viens de plus en plus rapide. Je n’en peu plus, je la saisi par les cheveux et lui baise littéralement la bouche. Je l’entends râler, et je la vois baver tellement j’enfonce profond dans sa gorge mon sexe en pleine turgescence. Me sentant sur le point de lui éjaculer dans la bouche, elle m’attrape les couilles et les presse assez pour stopper mon excitation.
J’en suis tellement surpris que je lui demande pourquoi ?
«Tu va me remplir de ton sperme, mais pas tout de suite, je vais te faire monter et descendre en excitation tant de fois que quand tu jouiras, tu me fera décoller par la violence de ton éjaculation ! »
Entre temps Brigitte s’était retournée pour me présenter ses fesses, elle les écarte pour m’inviter à venir en elle. Je prends ma bite en main et la pose sur sa raie pour la faire doucement glisser jusqu’à sa chatte et là je commence doucement à l’enfoncer. Mais sans rien dire, elle me saisi le sexe pour se le coller sur la rosette et me faire comprendre que j’allai me tromper de trou. Je m’exécute donc et lui pénètre le cul doucement, car il est étroit et ma queue se courbe avant que ses défenses ne cèdent et la laisse entrer. Elle a tellement mouillé que son cul est lubrifier et j’y glisse maintenant avec facilité. Je la sens se raidir et se cambrer sous mes assauts. Je sens aussi une main attraper mes couilles pour les malaxer. Je ne sais pas si c’est la peur d’une pression subite, mais je parvient à maîtriser mon excitation. Après s’être fait défoncer le cul et en avoir jouis plusieurs fois, elle m’ouvre la voie à sa chatte. Et c’est là je lui enfonce d’une coup ma queue jusqu’au fond du vagin, je la saisi par les cheveux et je la baise si violemment que s’en est presque un viol. Mais elle jouis encore plusieurs fois sous mes coups de buttoir avant que je je ne me vide les couilles en elle. Les jets sont si violents que je la sent sursauter à chaque fois que l’un d’eux percute son intimité.
Je me retire et elle se retourne pour me nettoyer et me vider la bite du sperme qui y reste. Elle me propose d’aller prendre une douche, j’accepte mais à condition qu’elle vienne avec moi. Il est déjà tard quand nous sortons de la salle de bain et elle me propose de dormir chez elle. Elle me déposera demain quand elle ira chez sa sœur. Nous allons commencer une nuit remplie de tendresse et puis je la baisserai encore avant que nous nous endormions.
Nous sommes devenu bons amis, elle me donnais souvent des nouvelles de mon grand-père et ce jusqu’à sa mort. Mais même après, nous avons continué à nous voir et quand l’un d’entre nous est en manque de sexe on lui vient en aide.
Je m’appelle Patrick et à cette époque mon grand-père, la personne qui comptait le plus pour moi dans ma famille, était malade, il avait le cancer des poumons et était en phase terminale. Il est donc dans l’aile des soins palliatif de l’hôpital de Waremme. C’est un service où les patients sont particulièrement dorlotés et le temps de visite est adapté pour leur permettre d’avoir le plus de soutiens possible de leur famille.
Je décide un soir que le lendemain j’irai lui rendre visite. Il faut savoir que je n’avais pas de véhicule et que je devrai prendre le train pour y aller. J’organise donc ma journée en conséquence et je dois prendre le train à 8h00 pour arriver vers 10h30.
Le jeudi matin je monte donc dans le train et mon voyage se déroule sans souci, même pas de retard. A 10h30 je suis devant sa chambre, j’entre et je le vois avec un grand sourire, il est heureux de ma que je sois là. Je m’installe à côté de lui et on commencent à discuter de choses et d’autres. Il m’a l’air en peine forme compte tenu de sa maladie, ce qui me permet de demander pour rester la journée à ses côtés. J’obtiens l’accord de l’infirmière en chef et elle me présente l’infirmière qui s’occupe de mon grand-père au cas où je devrai avoir besoin d’aide pour quelque raison que ce soit. Elle s’appelle Brigitte, elle est très jolie, environ 1,70m, les cheveux châtain mi-long. L’image même de l’infirmière.
La journée se passe bien, Brigitte vient même demander si nous voulons aller un peu au salon de lecture. Mon grand-père se sentant assez bien, accepte et nous voilà parti. Elle nous accompagne car elle doit sur place lui brancher quelques appareils de surveillance. Dans la discussion que nous avons, mon grand-père lui parle de moi, qu’il est heureux de me voir car j’habite assez loin et que j’ai du prendre le train pour venir.
Mais voilà, il est maintenant 17h00 et j’appelle Brigitte pour nous reconduire à sa chambre puisque je dois bientôt partir.
Pendant qu’elle installe confortablement mon grand-père, elle me fait me fait remarquer que les visites se terminent à 19h00 et que je peux encore rester. Je lui explique que se serrai avec plaisir mais que je dois partir au plus tard à 17h45 si je ne veux pas rater ma dernière correspondance.
« On peux toujours trouver une solution si vous voulez ? ». Me dit-elle !
« Ce serai vraiment avec plaisir, mais je dépend de l’horaire des trains »
A quoi elle me répond :
« Je peux vous faire une proposition ? Je termine mon service à 18h00, le temps de me changer et je viens vous chercher vers 18h30. J’habite pas loin de chez vous, je vous raccompagne avec ma voiture. ».
« C’est bien gentil, mais ça vous fait un détour ! »
« Ce n’est pas pour 10min, alors qu’en dites vous ? ».
« Et bien d’accord, je vous remercie ! »
Je profite bien de cette petite heure qui m’est offerte, mais je fais attention d’être prêt pour quand elle arrive me chercher . Quand elle entre, c’est une toute autre femme. Elle est maintenant vêtue d’une jupe qui lui arrive 10 cm au dessus des genoux, d’un chemisier blanc semi transparent et d’un petit blazer qui cache se seins.J’avoue que je la trouve très sexy.
Après avoir dis au revoir à mon grand-père, nous quittons l’hôpital et tout en prenant la direction du parking, Brigitte propose de mieux se présenter vu que l’on a un bonne heure de route à faire ensemble. J’apprends qu’elle a 25 ans et qu’en fait elle habite seule un petit village pas loin de chez moi prêt de Namur. Elle aime bien mon grand-père car malgré sa maladie il ne baisse jamais les bras, et cela facilite grandement son travail qui est souvent émotionnellement difficile. Je me présente de la même façon, j’ai 19 ans et j’habite seul dans un appartement. Je n’ai pas mon permis ni de véhicule. Je viens de terminer mes étude et je suis à la recherche d’un emploi.
On arrive devant sa voiture, un jolie petite, très petite Mini Cooper 1986, Brigitte retire son blazer pour le plier et le poser sur la banquette arrière. Tous les deux penché pour nous installer, je remarque aisément qu’elle ne porte pas de soutien car se seins son maintenant visible par transparence. Je peux même distinguer ses tétons, ils sont dressés et doivent être durs. Non seulement, elle est jolie, sexy et maintenant je peux ajouter excitante. Mais je ne suis pas là pour ça, elle me reconduit chez moi, je doit me tenir. Lorsqu’elle s’est assise au volant, je remarque tout de suite que sa jupe lui est remontée très haut sur les cuisses. Je m’efforce de penser à d’autres choses sinon je sens que je vais me faire remarquer car une érection naissante se profile sous mon pantalon. Mais tout ce passe bien pendant le trajet, si ce n’est que nos mains s’effleurent quelques fois, lorsqu’elle doit prendre le levier de vitesses. Il faut avouer que cette voiture ne nous laisse pas beaucoup de liberté de mouvement. Mais à chaque fois nous nous excusons, même si pour ma part je trouve cela agréablement excitant. Presque arrivé, elle me demande si ça me dérange que l’on passe d’abord chez elle récupérer quelques affaires qu’elle aimerai porter à sa sœur après m’avoir déposer. Je n’y vois aucun problème si ce n’est que je vais bientôt devoir quitter cette beauté.
Après avoir garé la voiture dans le parking de l’immeuble, elle m’invite à venir avec elle. Elle doit réunir les affaires et elle en à pour un petit quart d’heure. Elle me propose de boire un café en l’attendant, je m’installe dans le canapé et elle disparaît dans sa chambre. Tout à coup, elle appelle à l’aide, je vais vite voir ce qui ce passe et je la trouve en équilibre, debout sur une chaise avec une énorme valise qu’elle veux descendre du dessus de sa garde robe. Je vais vers elle, je la saisi par les cuisses pour la stabiliser. C’est vrai que j’aurai pu la retenir par la taille, mais maintenant, j’ai mes mains sur sa peau et j’en profite. Mais peut-être surprise par ma façon de faire, elle glisse de la chaise et la retenant, ce son mes mains qui glissent le long de son corps remontant sa jupe jusque sous sa poitrine. Par chance la valise est restée sur le dessus de l’armoire. Nous sommes maintenant face à face , mes mains retenant ses seins par dessous sa jupe. De mon côté, je ne sais pas bouger, je suis comme ligoté à sa poitrine par l’élastique de sa jupe. De son côté, la surprise passée, elle me fixe dans les yeux et me dit d’un ton sérieux :
« Tu as bien calculé ton coup petit profiteur ! »
« Heu non, je suis désolé »
Je ressemble à un vrai asticot tellement je suis confus et je tortille mes bras dans tous les sens pour essayer de les dégager. Ce qui en fait, a pour effet que je lui malaxe les seins.
« Tu vois, tu en profite encore ! »
A quoi je bredouille :
« Oh pardon, je ne sais pas comment me dégager »
Lisant sûrement de la panique dans mes yeux, elle met ses mains sur mon visage et le tire vers elle pour poser ses lèvres sur les miennes en un long baiser. Ça a pour effet de me calmer instantanément, j’arrête de gigoter, de malaxer ses seins, je profite juste de ce langoureux baiser.
« J’ai remarqué que je ne te laissais pas indifférent et j’avoue que j’en ai joué. Il est donc normal que tu en profites un peu. »
Sur ces mots, elle pose ses mains sur les miennes pour les faire glisser le vers les bas et redescendre ainsi sa jupe. Arrivé au niveau de ces hanches, elle continue de presser mes mains contre elle et vers le bas, si bien que je ne sais faire autrement que de me mettre à genoux tout en emmenant sa culotte en dentelles jusqu’à ses chevilles. Pour finir, je me retrouve le visage face à sa chatte. Elle me saisi la tête et doucement me la presse contre son sexe épilé et humide. J’en profite pour sortir ma langue et commencer à lui lécher la vulve à la recherche de son clito.
« Je vois que tu sais quoi faire, je ne suis pas le première je suppose » me dit-elle !
Je ne peux pas lui répondre, je trop occupé, je cherche et trouve son bouton d’amour pour le saisir entre mes lèvres et jouer avec lui. Je sens qu’elle est excitée à la pression qu’elle exerce sur ma tête et au liquide qui s’écoule de sa chatte.
Elle m’interrompt pour ôter son chemisier et s’asseoir sur le lit. Elle pose les pieds sur le bord et écarte les jambes. J’ai une vue et un passage direct sur son sexe ouvert et ruisselant de son jus. Je m’avance pour me remettre à l’ouvrage quand elle dit :
« Attends !!! J’aimerai que tu te déshabille aussi, je veux voir si je te fais de l’effet ! »
« Pour cela il n’y a aucun doute »
J’enlève mes vêtements et par la même, je libère mon sexe de sa prison de tissu. Il bondit hors de mon slip comme un ressort. Il est en pleine érection et se dresse maintenant droit comme un I. A cette vue, elle échange nos positions pour se retrouver à genoux, entre mes jambes, avec mon sexe qui lui tapote les lèvres comme pour demander la permission d’entrer. Elle me fixe du regard et tous en ouvrant la bouche, glisse entièrement ma bite jusqu’au fond de sa gorge. Je ressens une excitation de plus en plus forte, je sens sa langue jouer avec mon gland. Elle imprime un vas-et-viens de plus en plus rapide. Je n’en peu plus, je la saisi par les cheveux et lui baise littéralement la bouche. Je l’entends râler, et je la vois baver tellement j’enfonce profond dans sa gorge mon sexe en pleine turgescence. Me sentant sur le point de lui éjaculer dans la bouche, elle m’attrape les couilles et les presse assez pour stopper mon excitation.
J’en suis tellement surpris que je lui demande pourquoi ?
«Tu va me remplir de ton sperme, mais pas tout de suite, je vais te faire monter et descendre en excitation tant de fois que quand tu jouiras, tu me fera décoller par la violence de ton éjaculation ! »
Entre temps Brigitte s’était retournée pour me présenter ses fesses, elle les écarte pour m’inviter à venir en elle. Je prends ma bite en main et la pose sur sa raie pour la faire doucement glisser jusqu’à sa chatte et là je commence doucement à l’enfoncer. Mais sans rien dire, elle me saisi le sexe pour se le coller sur la rosette et me faire comprendre que j’allai me tromper de trou. Je m’exécute donc et lui pénètre le cul doucement, car il est étroit et ma queue se courbe avant que ses défenses ne cèdent et la laisse entrer. Elle a tellement mouillé que son cul est lubrifier et j’y glisse maintenant avec facilité. Je la sens se raidir et se cambrer sous mes assauts. Je sens aussi une main attraper mes couilles pour les malaxer. Je ne sais pas si c’est la peur d’une pression subite, mais je parvient à maîtriser mon excitation. Après s’être fait défoncer le cul et en avoir jouis plusieurs fois, elle m’ouvre la voie à sa chatte. Et c’est là je lui enfonce d’une coup ma queue jusqu’au fond du vagin, je la saisi par les cheveux et je la baise si violemment que s’en est presque un viol. Mais elle jouis encore plusieurs fois sous mes coups de buttoir avant que je je ne me vide les couilles en elle. Les jets sont si violents que je la sent sursauter à chaque fois que l’un d’eux percute son intimité.
Je me retire et elle se retourne pour me nettoyer et me vider la bite du sperme qui y reste. Elle me propose d’aller prendre une douche, j’accepte mais à condition qu’elle vienne avec moi. Il est déjà tard quand nous sortons de la salle de bain et elle me propose de dormir chez elle. Elle me déposera demain quand elle ira chez sa sœur. Nous allons commencer une nuit remplie de tendresse et puis je la baisserai encore avant que nous nous endormions.
Nous sommes devenu bons amis, elle me donnais souvent des nouvelles de mon grand-père et ce jusqu’à sa mort. Mais même après, nous avons continué à nous voir et quand l’un d’entre nous est en manque de sexe on lui vient en aide.
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