Une histoire de fille qui s'lit à 200km/h (partie 2)
Récit érotique écrit par Phalien Satiab [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une histoire de fille qui s'lit à 200km/h (partie 2)
Note aux lecteurs(trices, taires): [i]Le texte entre ces crochets est en italique.[/i]
Au p’tit matin, j’me réveille reposée et sexuellement rassasiée. De toute évidence ça aurait été plus stimulant avec lui mais p’t-être pas nécessairement meilleur; après tout y aurait p’t-être pas su comment m’toucher pour m’faire jouir autant d’fois.
J’m’habille tout en espérant secrèt’ment de l’revoir avant d’reprendre la route. J’me maquille sommairement au cas où puis, j’descends prendre mon p’tit déjeuner continental fourni par le motel. En entrant dans la salle à manger, j’suis à nouveau submergée d’une intense chaleur car mes yeux s’rivent sur lui, comme si j’avais su à l’avance où il allait être assis. J’me prends à manger et à boire avant d’aller m’asseoir à la table juste en face de la sienne. Je l’regarde, y m’regarde aussi. C’est comme si j’ressens son désir à travers ses yeux.
Que’que chose attire son attention à l’extérieur. J'regarde et vois l’auto-patrouille blanche aux bandes kaki et jaune de la SQ. Je pose les yeux à nouveau sur lui et, même si j’sais pas lire sur les lèvres, j’en déduis qu’il vient de marmonner tabarnak. J’regarde indiscrètement à nouveau par la fenêtre et j’vois les policiers en uniforme kaki qui tournent, comme des vautours, en inspectant la japonaise dans laquelle il est arrivé.
Mon cœur se met à battre la chamade; y est vraiment impliqué dans d’quoi d’louche. Je l’regardre mais cette fois, il évite mes yeux, avale son repas à la va-vite et quitte la salle à manger pour je n’sais où. C’est plus fort que moi, j’ressens l’besoin et l’envie de l’prendre au passage et de l’aider à se sauver des bœufs. Aussi vite que j’le peux, j’avale mon repas, monte à ma chambre en vitesse pour ramasser mon sac et j’descends tout aussi vite en laissant la clé au réceptionniste ébahi. Au pas de course, j’monte à bord de mon américaine bleue et, sans malheureusement faire vrombir le moteur ni partir sur les chapeaux de roue, j’quitte le motel sans trop savoir dans quelle direction y s’en est allé.
Comme j’embarque sur la route, je vois, dans mon rétroviseur, les policiers qui sortent du motel et qui se ruent vers leur voiture; je crois que ma sortie expéditive à p’t-être éveiller certains soupçons de la part du réceptionniste reluqueur. Tout en roulant direction sud, j’le vois qui marche sur le bord du boulevard, sac à dos à l’épaule, et qui tente en vain de trouver un bon samaritain qui daignera l’embarquer. [i]C’est beaucoup plus facile pour une fille de s’faire prendre en autostop, dans tous les sens du terme.[/i]
J’ralentis à sa hauteur, sans arrêter. Il se penche tout en marchant et voit que j’lui fais signe de monter. Y jette un regard derrière et remarque assurément l’auto-patrouille qui s’en vient dans notre direction. Y s’empresse de monter et cette fois, j’fais crisser les pneus d’mon américaine.
L’moteur vrombit à chaque changement de vitesse. J’roule au-dessus de la limite réglementaire afin de mettre une bonne distance entre nous et les bœufs. J’entends une myriade de klaxons, de crissements de pneus et d’impacts comme j’fais glisser mon américaine direction est sur un autre boulevard tout juste avant de bifurquer dangereusement direction nord pour emprunter le pont autoroutier et atteindre finalement l’autoroute direction nord. [i]Malheureusement, l'intersection des deux boulevards s’trouvent derrière alors j’peux pas voir si l’auto-patrouille a réussi à éviter l’possible carambolage.[/i]
Tout au long du trajet urbain, y s’tient après la [i]barre de panique[/i] en m’lançant que’ques regards de temps en temps, mais j’suis tellement concentrée sur ma conduite que j’m’en occupe pas tant. Pour faire sûr qu’j’suis assez loin, j’fais rugir le moteur en rétrogradant de vitesse alors que j’appuie sur l’accélérateur. [i]Hé oui! S’en est une à transmission manuelle. Un vrai bonheur.[/i]
J’roule au-dessus de la vitesse d’autoroute permise, et dépasse que’ques chauffeurs du dimanche au passage. Puis, une fois que j’sors de la grande courbe direction ouest, je relâche l’accélérateur afin de rev’nir à une vitesse de croisière; faut pas qu’j’alerte d’autres bœufs quand même.
Suite à cette course-poursuite effrénée, j’dis rien et j’fais juste l’regarder. Y est beau, y sent bon, j’suis toute émoustillée. Lui, y regarde dehors, songeur. J’regarde sa main et j’aimerais donc ça qu’y m’touche. J’roule un moment avant d’allumer la radio. Y m’regarde, me sourit, j’fonds.
J’finis par me présenter, y l’fait aussi. on se serre la main. Je sens la rugueuse douceur de sa paume; c’est évident que c’est un gars manuel, j’suis allumée. J’mordille ma lèvre inférieure. J’ressens la même sensation, la même pression, qu’au motel; mon clito doit s’dégorger. Plus mes pneus fondent sur les kilomètres, plus l’envie qu’y m’touche est difficile à contrôler. [i]J’avoue qu’c’est excitant tout ça. J’carbure.[/i]
Heureusement, toujours dans l’espoir d’attirer son attention, j’porte une jupe et un haut moulant mais, malheureusement, j’avais pas prévu qu’y s’retrouve assis sur mon siège passager et j’suis prise avec ma p’tite culotte; avoir su j’aurais laissé ma chatte respirer l’air frais.
Avant d’agir, j’prends une bonne respiration; au pire y m’dit non et ça va créer un malaise pour le reste du trajet. J’lance un regard à sa main qui repose sur sa cuisse. D’un geste vif et surtout sans avertir, j’la prends et la mets sur ma cuisse nue. Mon cœur bat la chamade comme j'agrippe à nouveau le volant à deux mains. J’sais qu’y me regarde et qu’un tas de pensées doivent s’bousculer dans sa tête, mais j’reste concentrée sur la route.
Mon corps s'horripile à la seconde où il glisse sa main sur la peau lisse de ma cuisse. Juste ça, ça m’fait frémir. J’expire de soulagement et j’y lance un regard coquin du coin d’l'oeil; mon coeur s’arrête pas de battre, tantôt à cause de la nervosité, maintenant de l’excitation.
Du r’bord de ma jupe à mon genou, y m’caresse respectueusement. Ça fait du bien, des pensées lascives m’viennent à l’esprit, mais c’est pas assez. Pour qu’y comprenne le message, j’pose mon pied gauche sur le repose-pied sous la pédale de frein à main, faisant remonter ma jupe et y donnant accès à mon entre-jambes chaud. Fixant toujours la route, j’attends qu’y s’déniaise un peu. Je l’sais qu’je l’allume et c’est ça que j’veux.
Sa main glisse sous ma jupe. J’brûle de désir. J’veux qu’y m’touche; allez touche moi! Du bout des doigts, y effleure enfin mon bas-ventre; y a pas d’mot pour décrire combien j’suis excitée. J’ruisselle; c’est sûr que ma p’tite culotte est détrempée. Ma p’tite culotte! J’dois absolument l’enlever! Pas l’choix. J’réfléchis à toute à l’allure pour trouver une façon de l’enlever sans briser le moment mais, à part la déchirer, j’en vois pas. Soudain, une idée me traverse l’esprit.
J’regarde dans mon rétroviseur et j’vois qu’y a d’autres véhicules mais y sont encore loin. J’relâche l’accélérateur et, le plus habilement possible, j’lève mon bassin et r’tire ma jambe droite de ma p’tit culotte que j’laisse doucement glisser le long d’mon autre jambe et qui s’arrête à ma cheville. Y a enlevé sa main pour me laisser faire et j’ai pas besoin d'insister pour qu'y a repose sur ma cuisse. Maintenant la chatte à l’air, y a tout le loisir d’me stimuler à sa guise, et à la mienne.
L’agréable pression d’mon clito est encore plus forte. Ses doigts descendent le long d’mon aine. J’ai envie d’m’écarter les jambes complètement mais j’peux pas; j’dois garder l’pied sur l’accélérateur. Y s’tourne pour me faire face et d’son autre main, y ouvre mes lèvres du bout d’ses doigts et y farfouille à la recherche de que’que chose de bien précis. Y trouve assez rapidement s’qu’y cherche et j’tressaille.
Plus y m'touche, plus j’m’approche de l’apogée de mon excitation, mais c’est quand y descend pour cueillir d’la cyprine pour abreuver mon clito qu’j’avance mon bassin; le but étant qu’y finisse par arrêter d’me faire languir et qu’y m’doigte pour de vrai. J’halète, gémis et soupire. De temps en temps, les p’tites apogées m’font fermer les yeux. J’me laisse glisser vers l’avant, y donnant l’opportunité d’explorer ma chatte chaude et dégoulinante; y a saisit sans hésiter. Doigts en moi et pouce sur mon clito bombé, j’suis en extase.
J’effectue un changement de voie pour dépasser un semi-remorque. L’son grave de sa flûte attire notre attention; de toute évidence l’chauffeur est témoin de notre indécence mais ça m’dérange pas le moins du monde. J’passe devant lui et j’continue ma route jusqu’à ce qu’un courant électrique parte de mon entre-jambes et se disperse dans tout mon corps. À c’moment là, j’dévie un peu d’la voie en direction du talus. J’sens ses doigts qui s’extirpent de moi.
“Arrête pas, s’te plaît”, j’le supplie en agrippant son poignet pour pas qu’y s’retire encore plus.
“À fond, mon Léon”, y m’demande.
“Envoye, pèse su’l’champignon”, j’y réponds en l’regardant dans les yeux.
Ça dure juste que’ques secondes mais ça m’semble interminable. Y renfonce finalement ses doigts dans ma chatte et recommence à me doigter. J’pince mes lèvres entre mes dents pour ret’nir un gémissement mais j’pense qu’y aimerait mieux que j’me laisse aller. J’suis comme une bonbonne de nitro qu’y est en surpression; j’suis prête à exploser.
J’suis plus capable d’me cont’nir. J’ai envie de jouir et j’en ai d’besoin maintenant. J’sais que j’dois m’tasser sur l’accotement sinon j’risque de faire une mauvaise manœuvre; ça promet d’être intense et j’veux pas faire un accident. J’sens qu’j’suis en train de partir comme si j’vais perdre conscience l’espace d’un instant; ça m’arrive parfois quand l’orgasme est trop fort.
J’mets mon clignotant et j’me range sur l’accotement. J’jute sans bon sens; même avec la musique j’entends les clapotis du doigtage. J’ferme les yeux et y s’en donne à cœur joie pour mon plus grand plaisir. J’gémis et soupire sans me ret’nir. J’enroule mes doigts autour de son poignet et j’serre le volant avec mon autre main. J’sens qu’la fin est proche, j’frissonne, j’en tremble. J’essaie d’onduler au même rythme qu’y m’doigte pour que j’puisse sentir ses doigts m’pénétrer l’plus loin possible. Les muscles de mon corps se tendent, j’arrête de respirer pendant que’ques secondes. J’vis à fond la décharge de l’énergie sexuelle; j’m’en plains sans gêne même.
“Haaan! Hmmm. Gna. Hmmm. Hahhh.”
Haletante, rayonnante et tremblante, j’reviens à moi. Je l’regarde et j’y sourit. Y m’sourit et j’fonds. J’reprends la route. J’me sens toute chaude mais ça s’dissipe graduellement. Y m’demande rien en retour comme c’est un paiement consenti pour l’aide que j’y apporte. Moi j’aimerais bien sentir sa queue lancinante dans ma main mais y m’donne aucun signe comme quoi j’peux l’toucher.
L’restant du trajet on est silencieux. J’aimerais ça en savoir plus mais en même temps je l’sais que j’devrais pas et j’pense pas qu’y a l’goût qu’j’y parle de s’qui vient d’se passer; de toute façon, l’faire ça gâcherait toute. J’finis par arrivée dans la 6. Je l’dépose à un vieux garage miteux. Avant d’fermer la portière, y m’remercie. Je l’regarde s’en aller comme si j’allais jamais l’revoir et j’lui r’luque le cul.
“Christ qu’y a un beau cul.”
J’fais vrombir mon moteur, crisser mes pneus et j’pars sur les chapeaux d’roues. Dans mon rétroviseur, j’vois qu’y s’est arrêté pour me r’garder partir.
Au p’tit matin, j’me réveille reposée et sexuellement rassasiée. De toute évidence ça aurait été plus stimulant avec lui mais p’t-être pas nécessairement meilleur; après tout y aurait p’t-être pas su comment m’toucher pour m’faire jouir autant d’fois.
J’m’habille tout en espérant secrèt’ment de l’revoir avant d’reprendre la route. J’me maquille sommairement au cas où puis, j’descends prendre mon p’tit déjeuner continental fourni par le motel. En entrant dans la salle à manger, j’suis à nouveau submergée d’une intense chaleur car mes yeux s’rivent sur lui, comme si j’avais su à l’avance où il allait être assis. J’me prends à manger et à boire avant d’aller m’asseoir à la table juste en face de la sienne. Je l’regarde, y m’regarde aussi. C’est comme si j’ressens son désir à travers ses yeux.
Que’que chose attire son attention à l’extérieur. J'regarde et vois l’auto-patrouille blanche aux bandes kaki et jaune de la SQ. Je pose les yeux à nouveau sur lui et, même si j’sais pas lire sur les lèvres, j’en déduis qu’il vient de marmonner tabarnak. J’regarde indiscrètement à nouveau par la fenêtre et j’vois les policiers en uniforme kaki qui tournent, comme des vautours, en inspectant la japonaise dans laquelle il est arrivé.
Mon cœur se met à battre la chamade; y est vraiment impliqué dans d’quoi d’louche. Je l’regardre mais cette fois, il évite mes yeux, avale son repas à la va-vite et quitte la salle à manger pour je n’sais où. C’est plus fort que moi, j’ressens l’besoin et l’envie de l’prendre au passage et de l’aider à se sauver des bœufs. Aussi vite que j’le peux, j’avale mon repas, monte à ma chambre en vitesse pour ramasser mon sac et j’descends tout aussi vite en laissant la clé au réceptionniste ébahi. Au pas de course, j’monte à bord de mon américaine bleue et, sans malheureusement faire vrombir le moteur ni partir sur les chapeaux de roue, j’quitte le motel sans trop savoir dans quelle direction y s’en est allé.
Comme j’embarque sur la route, je vois, dans mon rétroviseur, les policiers qui sortent du motel et qui se ruent vers leur voiture; je crois que ma sortie expéditive à p’t-être éveiller certains soupçons de la part du réceptionniste reluqueur. Tout en roulant direction sud, j’le vois qui marche sur le bord du boulevard, sac à dos à l’épaule, et qui tente en vain de trouver un bon samaritain qui daignera l’embarquer. [i]C’est beaucoup plus facile pour une fille de s’faire prendre en autostop, dans tous les sens du terme.[/i]
J’ralentis à sa hauteur, sans arrêter. Il se penche tout en marchant et voit que j’lui fais signe de monter. Y jette un regard derrière et remarque assurément l’auto-patrouille qui s’en vient dans notre direction. Y s’empresse de monter et cette fois, j’fais crisser les pneus d’mon américaine.
L’moteur vrombit à chaque changement de vitesse. J’roule au-dessus de la limite réglementaire afin de mettre une bonne distance entre nous et les bœufs. J’entends une myriade de klaxons, de crissements de pneus et d’impacts comme j’fais glisser mon américaine direction est sur un autre boulevard tout juste avant de bifurquer dangereusement direction nord pour emprunter le pont autoroutier et atteindre finalement l’autoroute direction nord. [i]Malheureusement, l'intersection des deux boulevards s’trouvent derrière alors j’peux pas voir si l’auto-patrouille a réussi à éviter l’possible carambolage.[/i]
Tout au long du trajet urbain, y s’tient après la [i]barre de panique[/i] en m’lançant que’ques regards de temps en temps, mais j’suis tellement concentrée sur ma conduite que j’m’en occupe pas tant. Pour faire sûr qu’j’suis assez loin, j’fais rugir le moteur en rétrogradant de vitesse alors que j’appuie sur l’accélérateur. [i]Hé oui! S’en est une à transmission manuelle. Un vrai bonheur.[/i]
J’roule au-dessus de la vitesse d’autoroute permise, et dépasse que’ques chauffeurs du dimanche au passage. Puis, une fois que j’sors de la grande courbe direction ouest, je relâche l’accélérateur afin de rev’nir à une vitesse de croisière; faut pas qu’j’alerte d’autres bœufs quand même.
Suite à cette course-poursuite effrénée, j’dis rien et j’fais juste l’regarder. Y est beau, y sent bon, j’suis toute émoustillée. Lui, y regarde dehors, songeur. J’regarde sa main et j’aimerais donc ça qu’y m’touche. J’roule un moment avant d’allumer la radio. Y m’regarde, me sourit, j’fonds.
J’finis par me présenter, y l’fait aussi. on se serre la main. Je sens la rugueuse douceur de sa paume; c’est évident que c’est un gars manuel, j’suis allumée. J’mordille ma lèvre inférieure. J’ressens la même sensation, la même pression, qu’au motel; mon clito doit s’dégorger. Plus mes pneus fondent sur les kilomètres, plus l’envie qu’y m’touche est difficile à contrôler. [i]J’avoue qu’c’est excitant tout ça. J’carbure.[/i]
Heureusement, toujours dans l’espoir d’attirer son attention, j’porte une jupe et un haut moulant mais, malheureusement, j’avais pas prévu qu’y s’retrouve assis sur mon siège passager et j’suis prise avec ma p’tite culotte; avoir su j’aurais laissé ma chatte respirer l’air frais.
Avant d’agir, j’prends une bonne respiration; au pire y m’dit non et ça va créer un malaise pour le reste du trajet. J’lance un regard à sa main qui repose sur sa cuisse. D’un geste vif et surtout sans avertir, j’la prends et la mets sur ma cuisse nue. Mon cœur bat la chamade comme j'agrippe à nouveau le volant à deux mains. J’sais qu’y me regarde et qu’un tas de pensées doivent s’bousculer dans sa tête, mais j’reste concentrée sur la route.
Mon corps s'horripile à la seconde où il glisse sa main sur la peau lisse de ma cuisse. Juste ça, ça m’fait frémir. J’expire de soulagement et j’y lance un regard coquin du coin d’l'oeil; mon coeur s’arrête pas de battre, tantôt à cause de la nervosité, maintenant de l’excitation.
Du r’bord de ma jupe à mon genou, y m’caresse respectueusement. Ça fait du bien, des pensées lascives m’viennent à l’esprit, mais c’est pas assez. Pour qu’y comprenne le message, j’pose mon pied gauche sur le repose-pied sous la pédale de frein à main, faisant remonter ma jupe et y donnant accès à mon entre-jambes chaud. Fixant toujours la route, j’attends qu’y s’déniaise un peu. Je l’sais qu’je l’allume et c’est ça que j’veux.
Sa main glisse sous ma jupe. J’brûle de désir. J’veux qu’y m’touche; allez touche moi! Du bout des doigts, y effleure enfin mon bas-ventre; y a pas d’mot pour décrire combien j’suis excitée. J’ruisselle; c’est sûr que ma p’tite culotte est détrempée. Ma p’tite culotte! J’dois absolument l’enlever! Pas l’choix. J’réfléchis à toute à l’allure pour trouver une façon de l’enlever sans briser le moment mais, à part la déchirer, j’en vois pas. Soudain, une idée me traverse l’esprit.
J’regarde dans mon rétroviseur et j’vois qu’y a d’autres véhicules mais y sont encore loin. J’relâche l’accélérateur et, le plus habilement possible, j’lève mon bassin et r’tire ma jambe droite de ma p’tit culotte que j’laisse doucement glisser le long d’mon autre jambe et qui s’arrête à ma cheville. Y a enlevé sa main pour me laisser faire et j’ai pas besoin d'insister pour qu'y a repose sur ma cuisse. Maintenant la chatte à l’air, y a tout le loisir d’me stimuler à sa guise, et à la mienne.
L’agréable pression d’mon clito est encore plus forte. Ses doigts descendent le long d’mon aine. J’ai envie d’m’écarter les jambes complètement mais j’peux pas; j’dois garder l’pied sur l’accélérateur. Y s’tourne pour me faire face et d’son autre main, y ouvre mes lèvres du bout d’ses doigts et y farfouille à la recherche de que’que chose de bien précis. Y trouve assez rapidement s’qu’y cherche et j’tressaille.
Plus y m'touche, plus j’m’approche de l’apogée de mon excitation, mais c’est quand y descend pour cueillir d’la cyprine pour abreuver mon clito qu’j’avance mon bassin; le but étant qu’y finisse par arrêter d’me faire languir et qu’y m’doigte pour de vrai. J’halète, gémis et soupire. De temps en temps, les p’tites apogées m’font fermer les yeux. J’me laisse glisser vers l’avant, y donnant l’opportunité d’explorer ma chatte chaude et dégoulinante; y a saisit sans hésiter. Doigts en moi et pouce sur mon clito bombé, j’suis en extase.
J’effectue un changement de voie pour dépasser un semi-remorque. L’son grave de sa flûte attire notre attention; de toute évidence l’chauffeur est témoin de notre indécence mais ça m’dérange pas le moins du monde. J’passe devant lui et j’continue ma route jusqu’à ce qu’un courant électrique parte de mon entre-jambes et se disperse dans tout mon corps. À c’moment là, j’dévie un peu d’la voie en direction du talus. J’sens ses doigts qui s’extirpent de moi.
“Arrête pas, s’te plaît”, j’le supplie en agrippant son poignet pour pas qu’y s’retire encore plus.
“À fond, mon Léon”, y m’demande.
“Envoye, pèse su’l’champignon”, j’y réponds en l’regardant dans les yeux.
Ça dure juste que’ques secondes mais ça m’semble interminable. Y renfonce finalement ses doigts dans ma chatte et recommence à me doigter. J’pince mes lèvres entre mes dents pour ret’nir un gémissement mais j’pense qu’y aimerait mieux que j’me laisse aller. J’suis comme une bonbonne de nitro qu’y est en surpression; j’suis prête à exploser.
J’suis plus capable d’me cont’nir. J’ai envie de jouir et j’en ai d’besoin maintenant. J’sais que j’dois m’tasser sur l’accotement sinon j’risque de faire une mauvaise manœuvre; ça promet d’être intense et j’veux pas faire un accident. J’sens qu’j’suis en train de partir comme si j’vais perdre conscience l’espace d’un instant; ça m’arrive parfois quand l’orgasme est trop fort.
J’mets mon clignotant et j’me range sur l’accotement. J’jute sans bon sens; même avec la musique j’entends les clapotis du doigtage. J’ferme les yeux et y s’en donne à cœur joie pour mon plus grand plaisir. J’gémis et soupire sans me ret’nir. J’enroule mes doigts autour de son poignet et j’serre le volant avec mon autre main. J’sens qu’la fin est proche, j’frissonne, j’en tremble. J’essaie d’onduler au même rythme qu’y m’doigte pour que j’puisse sentir ses doigts m’pénétrer l’plus loin possible. Les muscles de mon corps se tendent, j’arrête de respirer pendant que’ques secondes. J’vis à fond la décharge de l’énergie sexuelle; j’m’en plains sans gêne même.
“Haaan! Hmmm. Gna. Hmmm. Hahhh.”
Haletante, rayonnante et tremblante, j’reviens à moi. Je l’regarde et j’y sourit. Y m’sourit et j’fonds. J’reprends la route. J’me sens toute chaude mais ça s’dissipe graduellement. Y m’demande rien en retour comme c’est un paiement consenti pour l’aide que j’y apporte. Moi j’aimerais bien sentir sa queue lancinante dans ma main mais y m’donne aucun signe comme quoi j’peux l’toucher.
L’restant du trajet on est silencieux. J’aimerais ça en savoir plus mais en même temps je l’sais que j’devrais pas et j’pense pas qu’y a l’goût qu’j’y parle de s’qui vient d’se passer; de toute façon, l’faire ça gâcherait toute. J’finis par arrivée dans la 6. Je l’dépose à un vieux garage miteux. Avant d’fermer la portière, y m’remercie. Je l’regarde s’en aller comme si j’allais jamais l’revoir et j’lui r’luque le cul.
“Christ qu’y a un beau cul.”
J’fais vrombir mon moteur, crisser mes pneus et j’pars sur les chapeaux d’roues. Dans mon rétroviseur, j’vois qu’y s’est arrêté pour me r’garder partir.
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