Une location particulière 1/3

- Par l'auteur HDS lludriga -
Récit érotique écrit par lludriga [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Une location particulière 1/3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2025 dans la catégorie Plus on est
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Une location particulière 1/3
Je m’appelle Patrick, j’ai 33 ans je fais 1,72 m pour 70 kilos, ni malingre ni costaud, cheveux châtains, yeux verts, plutôt agréable à regarder, du moins c’est qu’on me dit. Depuis 3 ans, je suis en couple avec Manon, une petite brunette de 30 ans, aux yeux pétillants et aux cheveux mi-longs. Dès qu’il fait beau, elle aime porter des robes légères en coton qui descendent à mi-cuisses, découvrent ses épaules et soulignent à contre-jour sa silhouette, ce qui lui donne un petit air sexy. L’été dernier, nous avons pris une location dans le sud de la France. Nous logions dans l’aile d’une grande maison, dont le corps principal était occupé par les propriétaires: Paul et Anna, tous deux dans la cinquantaine.

La piscine et le fait que la villa soit totalement isolée au milieu de la garrigue nous avait séduit. Cette piscine, nous devions cependant la partager, ce qui en soi ne posait pas de problème, sauf que… nos logeurs avaient pris l’habitude de se baigner et de bronzer entièrement nus. Les premiers jours, la situation avait tendance à nous mettre un peu mal à l’aise, puis nous avions fini par ne plus y faire attention. Tout du moins en apparence. Car je dois bien reconnaître que plus d’une fois allongé dans mon transat, masqué par mes lunettes de soleil, je risquais de temps à autre un regard vers ces deux corps à la peau brunie par une exposition prolongée.

Paul, arborait une morphologie de sportif. Il prenait un malin plaisir après le bain, à s’allonger sur une chaise longue les jambes écartées, afin de mettre en valeur un sexe surmontant une belle paire de couilles, le tout émergeant d’un pubis abondant et noir de jais. Quant à Anna, ses cheveux châtains descendaient en cascade sur ses épaules et sur une paire de seins biens ronds et fermes, auréolés de deux pointes brunes. Entièrement épilée, elle affectionnait plutôt de se coucher sur le ventre sur une serviette, de manière à mettre en valeur des fesses galbées et lisses. Comme je l’ai indiqué, si l’exhibition de cette intimité était de nature les premiers temps à nous troubler, nous avions fini par nous en accommoder, voire nous en amuser.

En fin de la première semaine de vacances, Paul et Anna nous invitent à prendre l’apéritif. A l’heure convenue, nous-nous retrouvons tous les quatre autour d’une bouteille de vin blanc. La conversation, tourne dans un premier temps autour des attraits touristiques de la région, avant de dévier sur un mode plus intime, tant et si bien que nous arrivons à bout de la deuxième bouteille. « Nous avons pris l’habitude de vivre à poil en été depuis une trentaine d’année, explique Anna. C’est d’ailleurs dans un camp naturiste que nous-nous sommes rencontrés.
- Et puis rien de mieux pour entretenir la libido dans un couple » ajoute Paul sur un ton égrillard, en lançant un regard en coin en direction de Manon.

La chaleur de la fin de journée, le soleil de l’après-midi, les effets de l’alcool aidant, j’ai de plus en plus l’impression d’être dans un univers cotonneux. Je ferme les yeux un instant, quand je les ouvre, Anna est assise sur le canapé collée à Manon, le bras autour de ses épaules. Elle se parlent à voie basse comme le feraient deux vieilles copines, éclatent de rire de temps à autre tout en se regardant les yeux dans les yeux. Puis du bout des doigts, Anna écarte les bretelles de la robe de Manon, avant de la faire glisser doucement. Surprise mais nullement mal à l’aise, ma compagne tente maladroitement, avec un petit rire cristallin, de masquer sa poitrine de ses mains, en vain.

Pointent alors deux petits seins blancs en forme de poire, qui tranchent avec le hâle de son cou et de son visage. Anna promène ses doigts de la pointe d’un sein jusqu’à sa naissance, avant de descendre dans une caresse le long du ventre bronzé de Manon. « Et bien ma belle, ils sont mignons tes petits seins, dommage qu’ils soient tout blanc. C’est pareil pour les fesses ? » Manon, sans doute enhardie par le vin acquiesce dans un sourire mutin. Entre temps, Paul a pris place dans le canapé. Sa main remonte lentement le long de l’une des cuisses de Manon, jusqu’à relever sa robe découvrant une petite culotte de coton qu’il effleure avant de la prendre à pleine main. Sous cette caresse, Manon, les yeux mi-clos bascule la tête en arrière et entrouvre les cuisses dans un soupir. « Finalement, elle est pas si prude que ça. Elle cache bien son jeu la petite salope !» lance Anna.

Scotché dans mon fauteuil, je ne perds par une miette de la vision qui s’offre à moi. J’ai du mal à y croire. Ma copine, la poitrine découverte, les cuisses écartées est en train de se faire peloter par un couple de 20 ans au moins de plus qu’elle. Mieux que ça, elle a l’air d’y prendre du plaisir, elle halète sous les caresses, d’autant qu’Anna entreprend de lui mordiller les pointes des seins. Le spectacle est loin de me déplaire, si j’en crois la trique que je commence à avoir. Puis Paul se lève sans un mot, et monte l’escalier situé au fond du salon. Anna poursuit seule ses caresses. Ses mains s’aventurent à son tour sur le triangle de coton qui masque encore l’intimité de Manon, tandis que les deux bouches se rejoignent pour un long baiser. La scène dure un moment, avant qu’Anna la prenne par la main pour l’entraîner vers l’escalier. En se levant, ma chérie laisse définitivement glisser sa robe sur les chevilles.

Au bout d’un moment, qui me semble être une éternité, Anna est de retour. Elle a retiré son tee-shirt, sa mini-jupe et son soutien-gorge, pour ne conserver que son string. Elle avance d’une démarche souple, ses seins ronds et fermes se balancent au rythme de ses pas. Une fois devant moi, elle m’invite à me relever et me déshabille, jusqu’à faire glisser mon slip, laissant jaillir mon sexe tel un diable sortant de sa boite. Anna le regarde dans un sourire, le soupèse, le décalotte et s’attarde sur mes couilles durcies. Bon dieu qu’est ce qui nous arrive ! Je laisse échapper un petit grognement. Me prenant d’une main ferme, elle m’entraîne vers l’escalier où je la suis, les yeux rivés sur son cul rond et bronzé.

A l’étage, nous entrons dans une pièce dont les volets ont été tirés. Quand mes yeux commencent à s’habituer à l’obscurité, je parviens à distinguer Manon. Elle est à genoux, sa culotte posée sur une chaise. Sa bouche effectue de longs allers-retours le long du chibre de Paul, debout devant elle entièrement nu. De temps à autre, il laisse échapper un râle de plaisir, tout en lui tenant la tête à deux main. « T’as vu comme elle s’applique ta petite femme. Dès le premier jour j’ai su rien qu’en la voyant qu’il fallait pas lui en compter, me chuchote Anna tout en ôtant son string. A toi maintenant de faire voir ce que tu sais faire ! »

Elle s’allonge sur un lit, me prend la tête à deux mains pour la plaquer contre sa chatte épilée. Je lèche lentement ses lèvres, de la pointe de ma langue, avant de m’insinuer de plus en plus profondément, tandis que mes deux mains remontent jusqu’à emprisonner ses seins, pour finalement titiller ses pointes, qui durcissent instantanément au contact de mes doigts. S’en est trop pour Anna qui laisse échapper un, puis plusieurs gémissements, de plus en plus forts, d’autant qu’en plus de ma langue, deux doigts de ma main gauche s’activent maintenant de plus en plus vite dans sa fente béante et trempée.

Dans le même temps, j’entends un halètement que je reconnais pour être la voix de Manon. Elle est allongée sur le dos. Les fesses de Paul vont et viennent entre ses cuisses. A chacun de ses coups de rein, elle ne peut retenir un gémissement qui se transforme bientôt en un véritable hurlement. Les mains crispées sur le montant du lit, elle se tord dans tous les sens, les yeux exorbités, dans un regard suppliant vers celui qui, la possède maintenant de son dard.

L’image du corps plutôt fin de ma chérie, emprisonnée sous la masse musculeuse de Paul me fait bander comme un âne. D’un coup de rein, je pénètre Anna… Je m’active en elle, de plus en plus vite… au point d’être rapidement trempé de ma transpiration, de la sienne et de la mouille de sa chatte. Je cherche sa bouche… plonge ma langue. Je relève la tête pour reprendre mon souffle. Ses seins se balancent au rythme des va-et-vient de mon bassin. Je les agrippe à pleine main… je reprend le rythme !

Ca chauffe dans mon bas ventre… je suis à deux doigts d’exploser. Je me redresse, saisis Anna par les cuisses et la fait basculer en arrière pour la pénétrer le plus profondément possible. Maintenant, je la besogne à grands coups. Je suis littéralement en train de lui défoncer la chatte, de la clouer sur place en poussant des halètements rauques, qui se mêlent aux siens. Lorsque j’explose en elle, Anna ne peut contenir plusieurs tremblements du bassin. Elle enserre ses jambes autour de mes fesses et m’attire contre elle. Nos lèvres se rejoignent… ma langue s’enroule autour de la sienne… salive, sperme, sueur, nous ne formons plus qu’un… enlacés ! Je me laisse enfin couler sur le dos, la bouche béante à la recherche d’air… les bras en croix, de longues minutes.

Je reprends enfin mes esprits. Anna, les cheveux complètement défaits, couverte de sueur, le sexe luisant me fixe tout en reprenant sa respiration. A ma gauche, Manon est allongée sur le côté. Son corps bronzé laisse ressortir trois triangles clairs, matérialisant l’emplacement de son soutien-gorge et de sa culotte de bain. Collé derrière elle, Paul l’avant bras sur sa hanche, promène négligemment le bout de ses doigt depuis son bas ventre jusqu’à sa, toison. Elle aussi me regarde d’un sourire, qui me laisse comprendre qu’elle n’a rien raté du spectacle.

Les avis des lecteurs

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superbe

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Nickel

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C'est un très bon premier récit, très bien écrit. bravo!



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