Une location particulière 2/3
Récit érotique écrit par lludriga [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Une location particulière 2/3
Il nous faut un long moment pour reprendre nos esprits. Le jour commence à décliner au travers des volets et la pénombre se fait de plus en plus épaisse. Au point que Paul se lève pour activer l’interrupteur. La lumière qui inonde soudainement la pièce nous fait cligner des yeux et rappeler que nous sommes Anna, Paul Manon et moi même à poil et vautrés sur deux lits qui se font face. Anna s’absente un moment, puis revient avec une bouteille de champagne et quatre flutes. « On l’a bien mérité vous ne croyez pas ! » Après avoir trinqué, nous buvons en silence tout en nous dévisageant mutuellement. Mes yeux s’attardent sur le corps d’Anna, intégralement bronzé. Ses fesses galbées, ses seins ronds et fermes lui confèrent une allure et une souplesse ensorcelante. Les cuisses écartées, elle laisse entrevoir sa chatte épilée, aux lèvres délicatement ourlées. Bien vite elle remarque mon manège « Ben dis-donc, tu vas finir par t’user les yeux. Je vais faire une jalouse! » Ajoute-t’elle en lançant à Manon un regard de défi.
Piquée au vif, Manon se lève alors, traverse la pièce et vient se blottir contre moi. J’aime sa peau contre la mienne, les pointes de ses mamelons contre ma poitrine, sa toison qui vient chatouiller mon bas ventre, son odeur, les courbes de son corps. Elle me fixe dans les yeux. Mes mains descendent le long de son dos, pour se poser sur ses fesses. Elle le sait, j’adore son petit cul tout rond et tout blanc. Brusquement, elle me tourne le dos et se frotte contre mon sexe, qui commence lentement à reprendre de la vigueur. Une de mes mains vient se poser contre son sein, tandis que l’autre glisse lentement vers son petit triangle, que je caresse doucement jusqu’à lui arracher un halètement. Pas de doute, elle a remisé toutes ses inhibitions, au point que nous sommes en pleine lumière, en train de nous chauffer mutuellement, devant une femme et un homme, qui semblent prendre du plaisir à regarder la spectacle qui s’offre à eux.
Sans un mot, Manon se met à quatre pattes devant moi. C’est le moment que choisit Anna pour s’approcher, un flacon de gel à la main. « Dis donc c’est qu’elle en redemande, une vraie petite chienne ma parole ! » Ce disant, elle se saisit de mon sexe à deux doigts et le branle doucement. « Puisqu’elle a l’air d’aimer ça, tu vas la prendre par la porte de derrière » Surprise, Manon esquisse un petit recul et tourne la tête vers nous. Déconcerté, je me tourne moi-même vers Anna. Lentement, celle-ci s’enduit deux doigts de gel, masse délicatement le contour de la rosace de Manon, avant de les enfoncer doucement, puis d’imprimer un aller-retour. Manon laisse échapper un cri, comme un petit animal pris au piège. Les mouvements d’Anna durent un moment. En plus des allers-retours, elle fait maintenant tourner ses doigts dans le cul de Manon, tout en lui assénant de l’autre main deux claques retentissantes sur les fesses.
Puis, Anna me fixe, se saisit de mon chibre désormais dressé. « Alors tu choisis quoi, son petit abricot, ou son cul ! » Ce disant, elle fait glisser mon sexe le long de la raie des fesses de Manon, du haut en bas, puis de sa fente… jusqu’à le pointer sur son oeillet bien serré, après l’avoir enduit de gel. « Maintenant. Baise-la comme la chienne qu’elle est ! » Cambrée devant moi, Manon m’offre son cul. Ses fesses forment deux globes légèrement rougis par les claques. J’empoigne fermement ses hanches avant de la pénétrer. Mon gland force d’abord sa rondelle, lui arrachant un cri étouffé par l’oreiller, qui se transforme en une longue plainte, au fur et à mesure de ma progression. Je commence à onduler lentement du bassin. Au rythme des allers-retours de ma verge, Manon se détend et commence à bouger les fesses d’avant en arrière, au point d’absorber mon braquemart en entier. Ses cris, se changent en halètements de plaisir… Son cul est étroit, brulant. Mes mouvements se font de plus en plus amples, au point de devenir de véritables coups de boutoir, ponctués d’un halètement sonore.
Puis elle se met à plat ventre. Je viens m’allonger sur elle et la pénètre d’un coup de rein. Je remue de plus en plus vite. Sous les mouvements répétés de ma verge, je sens son oeillet se détendre progressivement. Il est maintenant béant, trempé comme le serait une chatte. Je m’enfonce au plus profond. Mon bassin vient claquer contre ses fesses, prises de tremblements à chaque assaut. Du plus profond de la gorge de Manon sort un râle, modulé en fonction de mes assauts. Je la possède ! Elle est à moi ! Je peux la faire crier, hurler, gémir rien qu’en utilisant mon braquemart. Soudainement, je sens une sensation de plaisir énorme qui part de mes couilles, mon bas ventre puis remonte dans ma verge. Encore deux ou trois coup de bassin et j’inonde le cul de Manon de ma semence dans un râle de plaisir. Je me laisse tomber sur le côté. Manon se retourne vers moi, me saisi le cou et m’embrasse à pleine bouche. Nous restons un moment soudés l’un à l’autre. Elle est brûlante. Je sens ses mamelons darder sur ma poitrine. J’effleure son dos du bout des doigts provocant un tremblement. Quand nous-nous séparons enfin, elle se retourne, me laissant entrevoir son oeillet palpitant, d’où s’échappe un filet de sperme qui coule le long de sa cuisse.
Tout à nos ébats, nous avons oublié Paul et Anna. Ils sont derrière nous. Paul est allongé sur le dos. Anna à cheval, s’est littéralement empalée sur sa verge. Paul la besogne sans un mot, ses mains agrippées sur les deux lobes des fesses d’Anna. Elle se mord les lèvres, mais laisse quand même échapper de temps à autre un gémissement. Ses seins ronds et fermes sursautent au rythme des assauts de Paul, qui intensifie ses va-et-vient.
Le visage déformé par le plaisir, Anna roule des yeux. Dans une plainte lancinante, elle rebondit littéralement sur le dard de Paul, tandis qu’elle caresse son abricot trempé, du bout des doigts. Bientôt c’est tout son corps qui est pris de spasmes au moindre des mouvements de Paul, dont la queue lui défonce l’anus. Elle pousse désormais un gémissement continu, alors que Paul redouble d’efforts avant d’exploser en longues giclées de sperme. Comme tétanisée par cette décharge, Anna marque un temps d’arrêt, foudroyée, avant de se laisser tomber en arrière et de rouler sur le côté.
Paul la saisit par les cheveux pour la diriger vers son sexe, encore congestionné. Tel un serpent, la langue d’Anna s’enroule autour du chibre de Paul, luisant de sperme et de gel. La scène dure encore quelques minutes. Puis Anna happe goulument cette verge qui s’offre à elle et reprend de la vigueur. Elle entreprend de la sucer, de la pointe du gland, jusqu’aux couilles. Du bas ventre sombre et poilu de Paul, seule émerge bientôt a crinière châtain d’Anna. Cette fois Paul lui tient fermement la tête. Au début le corps d’Anna semble inerte, puis elle commence à se débattre et tente vainement de se dégager. Paul la maintient encore quelques secondes, avant de décharger sa semence dans un souffle qui se transforme en râle de plaisir. Anna finit par relever la tête en haletant, la bouche grande ouverte. Un filet de salive et de sperme coule de la commissure de ses lèvres sur son sein.
« Dis donc, me fait remarquer Manon suffisamment fort pour que tout le monde l’entende, comme chienne elle se pose bien là. Elle aussi. » Assise sur le matelas elle s’est adossée contre ma poitrine. Mon regard se dirige vers Paul d’un air de défi. Cette fois, ce sont mes mains qui courent sur la peau délicate de Manon, depuis la naissance de ses seins jusqu’à son pubis.
Piquée au vif, Manon se lève alors, traverse la pièce et vient se blottir contre moi. J’aime sa peau contre la mienne, les pointes de ses mamelons contre ma poitrine, sa toison qui vient chatouiller mon bas ventre, son odeur, les courbes de son corps. Elle me fixe dans les yeux. Mes mains descendent le long de son dos, pour se poser sur ses fesses. Elle le sait, j’adore son petit cul tout rond et tout blanc. Brusquement, elle me tourne le dos et se frotte contre mon sexe, qui commence lentement à reprendre de la vigueur. Une de mes mains vient se poser contre son sein, tandis que l’autre glisse lentement vers son petit triangle, que je caresse doucement jusqu’à lui arracher un halètement. Pas de doute, elle a remisé toutes ses inhibitions, au point que nous sommes en pleine lumière, en train de nous chauffer mutuellement, devant une femme et un homme, qui semblent prendre du plaisir à regarder la spectacle qui s’offre à eux.
Sans un mot, Manon se met à quatre pattes devant moi. C’est le moment que choisit Anna pour s’approcher, un flacon de gel à la main. « Dis donc c’est qu’elle en redemande, une vraie petite chienne ma parole ! » Ce disant, elle se saisit de mon sexe à deux doigts et le branle doucement. « Puisqu’elle a l’air d’aimer ça, tu vas la prendre par la porte de derrière » Surprise, Manon esquisse un petit recul et tourne la tête vers nous. Déconcerté, je me tourne moi-même vers Anna. Lentement, celle-ci s’enduit deux doigts de gel, masse délicatement le contour de la rosace de Manon, avant de les enfoncer doucement, puis d’imprimer un aller-retour. Manon laisse échapper un cri, comme un petit animal pris au piège. Les mouvements d’Anna durent un moment. En plus des allers-retours, elle fait maintenant tourner ses doigts dans le cul de Manon, tout en lui assénant de l’autre main deux claques retentissantes sur les fesses.
Puis, Anna me fixe, se saisit de mon chibre désormais dressé. « Alors tu choisis quoi, son petit abricot, ou son cul ! » Ce disant, elle fait glisser mon sexe le long de la raie des fesses de Manon, du haut en bas, puis de sa fente… jusqu’à le pointer sur son oeillet bien serré, après l’avoir enduit de gel. « Maintenant. Baise-la comme la chienne qu’elle est ! » Cambrée devant moi, Manon m’offre son cul. Ses fesses forment deux globes légèrement rougis par les claques. J’empoigne fermement ses hanches avant de la pénétrer. Mon gland force d’abord sa rondelle, lui arrachant un cri étouffé par l’oreiller, qui se transforme en une longue plainte, au fur et à mesure de ma progression. Je commence à onduler lentement du bassin. Au rythme des allers-retours de ma verge, Manon se détend et commence à bouger les fesses d’avant en arrière, au point d’absorber mon braquemart en entier. Ses cris, se changent en halètements de plaisir… Son cul est étroit, brulant. Mes mouvements se font de plus en plus amples, au point de devenir de véritables coups de boutoir, ponctués d’un halètement sonore.
Puis elle se met à plat ventre. Je viens m’allonger sur elle et la pénètre d’un coup de rein. Je remue de plus en plus vite. Sous les mouvements répétés de ma verge, je sens son oeillet se détendre progressivement. Il est maintenant béant, trempé comme le serait une chatte. Je m’enfonce au plus profond. Mon bassin vient claquer contre ses fesses, prises de tremblements à chaque assaut. Du plus profond de la gorge de Manon sort un râle, modulé en fonction de mes assauts. Je la possède ! Elle est à moi ! Je peux la faire crier, hurler, gémir rien qu’en utilisant mon braquemart. Soudainement, je sens une sensation de plaisir énorme qui part de mes couilles, mon bas ventre puis remonte dans ma verge. Encore deux ou trois coup de bassin et j’inonde le cul de Manon de ma semence dans un râle de plaisir. Je me laisse tomber sur le côté. Manon se retourne vers moi, me saisi le cou et m’embrasse à pleine bouche. Nous restons un moment soudés l’un à l’autre. Elle est brûlante. Je sens ses mamelons darder sur ma poitrine. J’effleure son dos du bout des doigts provocant un tremblement. Quand nous-nous séparons enfin, elle se retourne, me laissant entrevoir son oeillet palpitant, d’où s’échappe un filet de sperme qui coule le long de sa cuisse.
Tout à nos ébats, nous avons oublié Paul et Anna. Ils sont derrière nous. Paul est allongé sur le dos. Anna à cheval, s’est littéralement empalée sur sa verge. Paul la besogne sans un mot, ses mains agrippées sur les deux lobes des fesses d’Anna. Elle se mord les lèvres, mais laisse quand même échapper de temps à autre un gémissement. Ses seins ronds et fermes sursautent au rythme des assauts de Paul, qui intensifie ses va-et-vient.
Le visage déformé par le plaisir, Anna roule des yeux. Dans une plainte lancinante, elle rebondit littéralement sur le dard de Paul, tandis qu’elle caresse son abricot trempé, du bout des doigts. Bientôt c’est tout son corps qui est pris de spasmes au moindre des mouvements de Paul, dont la queue lui défonce l’anus. Elle pousse désormais un gémissement continu, alors que Paul redouble d’efforts avant d’exploser en longues giclées de sperme. Comme tétanisée par cette décharge, Anna marque un temps d’arrêt, foudroyée, avant de se laisser tomber en arrière et de rouler sur le côté.
Paul la saisit par les cheveux pour la diriger vers son sexe, encore congestionné. Tel un serpent, la langue d’Anna s’enroule autour du chibre de Paul, luisant de sperme et de gel. La scène dure encore quelques minutes. Puis Anna happe goulument cette verge qui s’offre à elle et reprend de la vigueur. Elle entreprend de la sucer, de la pointe du gland, jusqu’aux couilles. Du bas ventre sombre et poilu de Paul, seule émerge bientôt a crinière châtain d’Anna. Cette fois Paul lui tient fermement la tête. Au début le corps d’Anna semble inerte, puis elle commence à se débattre et tente vainement de se dégager. Paul la maintient encore quelques secondes, avant de décharger sa semence dans un souffle qui se transforme en râle de plaisir. Anna finit par relever la tête en haletant, la bouche grande ouverte. Un filet de salive et de sperme coule de la commissure de ses lèvres sur son sein.
« Dis donc, me fait remarquer Manon suffisamment fort pour que tout le monde l’entende, comme chienne elle se pose bien là. Elle aussi. » Assise sur le matelas elle s’est adossée contre ma poitrine. Mon regard se dirige vers Paul d’un air de défi. Cette fois, ce sont mes mains qui courent sur la peau délicate de Manon, depuis la naissance de ses seins jusqu’à son pubis.
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Passionnant, excitant 🔥🔥🔥
Cyrille
Cyrille
