Une nuit de baise ratée
Récit érotique écrit par Jolasuce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une nuit de baise ratée
C’était de nuit, j’errai à la recherche d’une queue, dans les lieux de drague habituelle de cette ville, cette fois-ci, c’était des toilettes sur une place, pissotières et cabine. J’ai remarqué un arabe qui tournait, je me suis mis dans la cabine la porte ouverte, un jeune est passé, visiblement passif, cela ne m’intéressait pas, étant moi-même passif, je n’avais pas envie de me faire sucer et de posséder ce bellâtre, je l’ai éconduit. L’arabe, passait et repassait, me regardant, il a sortie sa queue, imposante mais encore pendante. Il est finalement entré, m’a caressé et m’a dit qu’il avait faim et qu’il y avait un bar ouvert en face. Je suis donc allé lui chercher un sandwich et il m’a demandé de le ramener chez lui dans un foyer de travailleurs dans la banlieue, les transports en commun étant déjà clos. Je suis allé chercher ma voiture, quand je suis arrivé, il était toujours là a se promener autour de la place. Il est monté, et a sorti son engin pour que je l’évalue, tout en conduisant, j’avais une main sur le volant et une autre sur son levier de vitesse qui prenait forme. À un feu, il a voulu m’enlacer, mais connu dans le coin, même si c’était la nuit, je n’ai pas voulu que l’on me reconnaisse dans les bras d’un mec. Je l’ai repoussé, tremblant de désir, j’allais passer la nuit avec ce type qui se voulait entreprenant. Arrivé chez lui, je me suis mis nu tout de suite, mais là il m’est devenu indifférent et s’est mis à écluser des bières, il devait déjà avoir un tôt d’alcool passablement élevé. Il est allé dans son lavabo pisser, à l’époque je n’étais pas uro et cela m’a refroidi pour le sucer. Il s’est dévêtu et o surprise, il avait une jambe de bois, qu’il a dévissé et je l’ai rejoint. Nus, nous nous sommes enlacés comme deux amoureux, les caresses sur tout le corps pour faire monter le désir, il voulait que je le suce, mais le fait de l’avoir vu pisser m’a bloqué, et mon obsession ce soir c’était d’avoir une bite dans le cul. Mais voilà, sans doute l’effet de l’alcool, il bandait mou et avec un engin bien supérieur à la moyenne et malgré la lubrification maximum de mon trou et de sa tige, elle ne voulait pas entrer. Il m’a dit, tu verras demain, je l’aurais bien raide. Il m’a dit qu’il avait enculé un gars et qu’il avait terminé par lui pisser dedans sa queue étant restée raide. C’est cette nouvelle expérience que j’espérais. Mais finalement, j’ai abandonné et je l’ai laissé sur sa fin, j’ai repris ma voiture et suis rentré le cul serré et à sec.
Mes dragues nocturnes en ville m’ont conduit souvent vers les toilettes publics, entre autre celles de parc, à condition d’y aller soit tôt le matin, ou en soirée pour plus de discrétion et ne pas déranger les amateurs de nature. Même si moi aussi j’aime bien la nature, et surtout le sexe au naturel. Le scénario aux toilettes est toujours le même, tu t’y présentes comme quelqu’un qui a un besoin pressent à satisfaire, seulement, le jet final n’est pas toujours de l’urine c’est avant tout du sperme. Un jour, je m’introduis dans une des pissotières, lieu obligé avant d’aller se dissimuler dans une cabine de toilettes, cabine pour handicapé toujours bien appréciée pour sa dimension permettant des ébats dans un confort relatif souvent parfumé à la merde et à la pisse, mais bon ce n’est pas le nez ni la vue qui sont sollicités à ces moments-là mais bien plutôt la bouche, la queue et l’anus. Donc disais-je un dimanche matin, poussé par un besoin pressant, je me suis introduit dans une pissotière, déjà occupée par deux personnages qui semblait être unis par une bouche-à-queue. Le suceur s’est aussitôt relevé pour donner le change et prendre sa queue molle et la diriger vers l’urinoir. Comme je sortais moi aussi mon instrument sans qu’aucun liquide ne s’échappe mais qui se laissait volontiers caresser, les deux occupants on repris leur échange pino-buccal. J’ai montré un fort intérêt à cette activité en portant un regard avide et jaloux sur l’objet de plaisir prisonnier d’une bouche active, j’avais dévoilé les rondeurs de mon arrière train, ne laissant aucun doute à mes attentes. Le sucé, alors nous a proposé à tous les deux de nous rendre en toute discrétion vers les toilettes pour handicapé caché dans un bosquet à une centaine de mètres de là. Nous sommes sortis d’une manière toute naturelle chacun prenant un chemin différent qui pourtant conduisait au même lieu. Arrivé le premier, je me suis retiré derrière un buisson attendant que le sucé pénètre dans cette cabine, aussitôt entré, je l’ai rejoint et nous avons attendu le troisième larron qui traînait derrière. Celui-ci entré, notre fournisseur de queue à jouir, sans doute un coutumier des lieux, a pris un pull qu’il a utilisé pour occulter une ouverture, ne voulant pas offrir nos ébats à un voyeur quelconque ou plutôt à un gardien suspicieux susceptible de nous attirer des ennuis même si nous nous trouvions entre adultes consentants. La porte fermée, notre queuetard a sorti son engin pour l’offrir à deux bouches gourmandes. Mais au moment de se lancer dans l’action, le deuxième suceur a reçu un appel téléphonique et est sorti aussitôt de la cabine nous laissant seuls. Bon, je n’aurai pas à partager cette queue appétissante. Je me suis agenouillé devant l’objet de mon adoration et je l’ai honoré de ma bouche humide, chaude et gourmande. Je me suis délecté pendant de bonnes minutes mon vis-à-vis désireux de prolonger au maximum ces caresses buccales retenait son éjaculation. J’étais nu, j’avais comme à mon habitude ôté tous mes vêtements pour offrir mon corps aux caresses lascives de mon jouisseur.
Puis, il m’a demandé de me mettre à quatre pattes et m’a couvert de son corps avec sa tige en moi. Je me suis offert totalement à cette sodomie, o combien agréable, qui s’est terminée sur un jet d’artifice dans mes entrailles. J’étais aux anges d’avoir été ainsi honoré par cet actif.
Mes dragues nocturnes en ville m’ont conduit souvent vers les toilettes publics, entre autre celles de parc, à condition d’y aller soit tôt le matin, ou en soirée pour plus de discrétion et ne pas déranger les amateurs de nature. Même si moi aussi j’aime bien la nature, et surtout le sexe au naturel. Le scénario aux toilettes est toujours le même, tu t’y présentes comme quelqu’un qui a un besoin pressent à satisfaire, seulement, le jet final n’est pas toujours de l’urine c’est avant tout du sperme. Un jour, je m’introduis dans une des pissotières, lieu obligé avant d’aller se dissimuler dans une cabine de toilettes, cabine pour handicapé toujours bien appréciée pour sa dimension permettant des ébats dans un confort relatif souvent parfumé à la merde et à la pisse, mais bon ce n’est pas le nez ni la vue qui sont sollicités à ces moments-là mais bien plutôt la bouche, la queue et l’anus. Donc disais-je un dimanche matin, poussé par un besoin pressant, je me suis introduit dans une pissotière, déjà occupée par deux personnages qui semblait être unis par une bouche-à-queue. Le suceur s’est aussitôt relevé pour donner le change et prendre sa queue molle et la diriger vers l’urinoir. Comme je sortais moi aussi mon instrument sans qu’aucun liquide ne s’échappe mais qui se laissait volontiers caresser, les deux occupants on repris leur échange pino-buccal. J’ai montré un fort intérêt à cette activité en portant un regard avide et jaloux sur l’objet de plaisir prisonnier d’une bouche active, j’avais dévoilé les rondeurs de mon arrière train, ne laissant aucun doute à mes attentes. Le sucé, alors nous a proposé à tous les deux de nous rendre en toute discrétion vers les toilettes pour handicapé caché dans un bosquet à une centaine de mètres de là. Nous sommes sortis d’une manière toute naturelle chacun prenant un chemin différent qui pourtant conduisait au même lieu. Arrivé le premier, je me suis retiré derrière un buisson attendant que le sucé pénètre dans cette cabine, aussitôt entré, je l’ai rejoint et nous avons attendu le troisième larron qui traînait derrière. Celui-ci entré, notre fournisseur de queue à jouir, sans doute un coutumier des lieux, a pris un pull qu’il a utilisé pour occulter une ouverture, ne voulant pas offrir nos ébats à un voyeur quelconque ou plutôt à un gardien suspicieux susceptible de nous attirer des ennuis même si nous nous trouvions entre adultes consentants. La porte fermée, notre queuetard a sorti son engin pour l’offrir à deux bouches gourmandes. Mais au moment de se lancer dans l’action, le deuxième suceur a reçu un appel téléphonique et est sorti aussitôt de la cabine nous laissant seuls. Bon, je n’aurai pas à partager cette queue appétissante. Je me suis agenouillé devant l’objet de mon adoration et je l’ai honoré de ma bouche humide, chaude et gourmande. Je me suis délecté pendant de bonnes minutes mon vis-à-vis désireux de prolonger au maximum ces caresses buccales retenait son éjaculation. J’étais nu, j’avais comme à mon habitude ôté tous mes vêtements pour offrir mon corps aux caresses lascives de mon jouisseur.
Puis, il m’a demandé de me mettre à quatre pattes et m’a couvert de son corps avec sa tige en moi. Je me suis offert totalement à cette sodomie, o combien agréable, qui s’est terminée sur un jet d’artifice dans mes entrailles. J’étais aux anges d’avoir été ainsi honoré par cet actif.
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