Une opportunité 7
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une opportunité 7
Il faut croire que la journée d’hier a été éprouvante pour la candidate. Il y a eu Claude qui a su exploiter la crédulité de Patricia. Il lui a promis le paradis sur terre et Il lui en a fait goûter les délices. De la table au canapé il a remué les sensations les plus fortes. Ma femme a connu la gamme complète ou presque des plaisirs sexuels. A plusieurs reprises elle s'esr éclatée, elle a vécu plusieurs orgasmes avant de partir au travail. Je ne peux rien affirmer à propos du temps passé dans la voiture à la sortie de la grande surface où elle est caissière. Prend-on innocemment du retard sur le bus quand on se déplace en voiture ? Pour moi c'est parce qu'on fait autre chose.
Que peuvent faire dans une voiture ou à proximité un homme et une femme au sang chaud lors de retrouvailles ? Résultat, la somme d'efforts réciproques de ces nouveaux amants a fatigué Patricia. Contrairement à l’habitude, mon lever n’a pas provoqué le réveil de la dormeuse. Elle dort à poings fermés. Exceptionnellement je prends seul mon petit déjeuner. C’est le premier effet du passage de Claude, j'expérimente la solitude du cocu. Je prévois d’autres conséquences. Qui vivra verra. Je suis fataliste. Pat a mis le pied sur une planche savonnée. A vingt cinq ans on est responsable.
Elle a constaté mon désaccord, ma contrariété. Je lui ai parlé du prix « monstrueux » à payer. Elle n’a pas ouvertement relevé le mot. Il est permis de supposer que certaines phrases bien senties l'ont tourmentée en début de nuit. Ce matin je fais un faux départ. J'éloigne ma voiture et regagne mon bureau sur la pointe des pieds. Je veux assister au rendez-vous pris hier.
8 heures 30. On sonne. Claude est ponctuel. La sonnerie tire ma femme de son sommeil:
- Oh! La, la. Un instant, j’arrive.
Pieds nus, Pat cours, ne ferme pas la porte du WC pour son pipi matinal, se précipite sur le bidet, revient à la porte de la salle de bain, crie :
- J’arrive, patientez.
Enfin, en hâte elle fait entrer le visiteur. Je reconnais sa voix
-Tu es encore en chemise de nuit à cette heure!
- Je ne travaille pas aujourd’hui. Serge ne m’a pas réveillée. C’est bizarre, chaque matin, je lui prépare son petit déjeuner. Il s’est couché pas content. D’abord il m’a soupçonnée de le tromper avec toi parce que tu m’as ramenée hier soir.
- Ha, ha, ha. Heureusement qu’il ne nous a pas vus hier sur le canapé. Il t’a fait une crise pour une broutille. Ha, l’idiot.
- Ensuite, il n’est pas content que je veuille m’occuper des personnes âgées. Il me voit déjà fatiguée, harassée, croulant sous la tâche. Je m’imposerais de trop lourds sacrifices pour l’achat de notre demeure, il préfère y renoncer plutôt que de me voir payer « ce prix monstrueux »
- Ah! Quel con. Le jour où il saura quel genre de ménage tu vas faire, ça sera drôle. Il te l’a interdit ?
- Non, mais ça lui déplaît tellement, qu’il a refusé de faire l’amour hier soir. Ca m’ennuie.
- Encore plus con! Ne t’inquiète pas, tu m’as mis en appétit, et je suis prêt à te prendre sur le champ pour compenser le manque que tu éprouves. Enlève-moi tout de suite cette chemise et je vais te donner ta ration vitale quotidienne de sperme.
- Non, ce matin tu viens pour la signature des contrats. Il a beau ronchonner, j’aime mon Serge. Je ne lui ferai pas de cornes. Ce que nous avons fait hier était professionnel, ce que je ferai dans les studios le sera également. Ca ne compte pas comme de coucher avec un amant, ce n’est pas tromper. Si une nuit, au studio tu viens jouer un rôle avec moi, ça entrera dans cette catégorie, ce sera devant des internautes, un spectacle payant pas une iaison amoureuse. Faire l’amour, ici, avec toi, serait une infidélité. Et il n’en est pas question.
Derrière ma porte entrouverte j’aurais de quoi me réjouir si j’étais capable de saisir les nuances, mais elles m’échappent, un coup de bite est un coup de bite, le plaisir « professionnel » est du plaisir comme le plaisir pris avec son conjoint.
- Très bien. Tu as réfléchi, tu as choisi quelle activité ?
-Je veux de l’argent, le plus d’argent possible, le plus vite possible, le plus proprement possible. Donc tu me fais tous les contrats et selon la demande je ferai le métier. C’est clair?
-On ne peut plus clair. Tu fais le bon choix. Des filles aussi décidées que toi peuvent se faire de trois à quatre mille par mois. Le jour où tu lui présenteras tes économies, ton jaloux te sautera au cou. J’ai préparé les formulaires. Tu les lis et tu les signes. Un exemplaire de chaque pour toi. Ne les laisse pas traîner si tu ne veux pas d’embrouilles avec ton cocu professionnel. Ca c’est la carte du studio, avec l’adresse du site internet. Ceci c’est ma carte personnelle: le jour où tu as des questions, ou le jour où tu as envie de faire l’amour avec quelqu’un qui t’aime et qui respecte ta liberté, appelle-moi.
- Et comment serai-je payée?
- Chaque jeudi je t’amènerai l’enveloppe du salaire gagné la semaine précédente. Cela te convient-il ? Tu remarques que pendant les trois mois à l’essai, chaque partie peut rompre le contrat unilatéralement à tout moment. Ensuite l’engagement est de six mois avec un préavis de trois mois. C’est pour assurer une certaine stabilité du personnel. En cas de rupture abusive prématurée, après les trois premiers mois, tu devras une indemnité égale à un mois de salaire moyen la première année et deux mois à partir de la deuxième année. Le licenciement pour manquement aux obligations définies dans chaque contrat ne donne lieu à aucune indemnité. Voilà, tu sais l’essentiel. Ah, tu peux commencer dès demain si tu le veux Tu as signé, il manque ma signature.
- Dépêche-toi de signer.
-Il est de tradition, dans la profession, de signer après avoir obtenu des candidats un cadeau en nature. Refuses-tu toujours de faire l’amour avec moi, ici, ce matin?
- Je n’ai rien lu de tel dans les contrats. C’est du chantage.
- Si tu ne veux pas tenir compte de nos usages, libre à toi. Rappelle-moi quand tu seras décidée.
J’entends le bruit des chaises.
- Tu sais, c’est purement professionnel. Réfléchis vite
- Vu sous cet angle, si c’est professionnel, je m’incline.
- Alors, allons dans ton lit. J’ai une petite heure à te consacrer sur mon temps de travail. Je vais te faire oublier le forfait de Serge, hier soir. dans la voiture l'amour a été trop expéditif
Me voilà fixé. Quelle soumission. Je n’en reviens pas. Il faut que je voie la différence entre un adultère ordinaire et un adultère professionnel. A pas de loup j’arrive à hauteur de la porte de ma chambre. Tournée vers le miroir de l’armoire, Patricia remet en place des mèches rebelles. Le zigoto finit d’enlever son slip, attrape sa quéquette, se masturbe pour lui donner consistance.
- Chérie, viens m’aider. A genoux, c’est l’heure de la pipe. Tu as deux mains, une bouche chaude, fais le nécessaire pour me rendre présentable.
Elle s’exécute sans mot dire. Elle doit être vexée de devoir plier. le mot "professionnel " est le"sésameouvre-toi" du recruteur. Il en use et en abuse avec succès :
- Dis: c’est professionnel. Tu as lu les contrats: tu dois donner entière satisfaction à la hiérarchie que je représente officiellement aujourd'hui.. Tu ne dois pas bouder. Tu dois t’appliquer. Les mains me branlent, les lèvres me sucent et la langue tournoie sur le sommet du gland. Tu as compris. Continue avec application. C’est mieux, mais, je le sais, « peut mieux faire. »... Voilà, tu fais des progrès, c'est réjouissant; il suffit de vouloir. Attention aux dents, ne mords pas. Si tu m’estropies je ne pourrai pas signer.
. Là-haut l’exercice prend de la voix. Les deux partenaires se sont mis au diapason, les gémissements répondent aux cris de ravissement. C’est purement professionnel. Qu’ils continuent. Les illusions s’envoleront d’elles-mêmes. Je n’ai pas à me montrer désagréable. J’ai un regret, jamais je ne pourrai suivre les exploits vrais ou simulés de Patricia sur mon moniteur, le soir quand elle fera du nettoyage sans avoir les cordonnées du site. Il faut que je me libère demain, pour la suivre à l’adresse du studio.
Me voici voyeur. Ils sont occupés en un 69 bruyant, agité. Elle dessus, me présente son plaisant arrière- train. Les globes savoureux des fesses tremblent, se contractent puis se détendent sous la pression de la langue fureteuse qui balaie la raie avant de retourner au bouton irrité. Les deux bras de Claude maintiennent ferme la masse charnue, elle sursaute en soufflant mais ne peut lui échapper. Du fouillis de chairs humides il réclame un arrêt. N’a-t-elle pas compris, elle s’acharne sur le braquemart, décidée à lui vider les couilles.
Alors il la rejette sur le dos, se retourne et s’allonge sur elle, étalon furieux, queue tendue, dure et endolorie. Elle se demande encore ce qui lui arrive, mais sent l’invasion pressée, insistante, brûlante. Ses lèvres gonflées de sang, ses lèvres sucées, mordues, égratignées, douloureuses n’opposent pas de résistance à la poussée violente du gland épais et durci. Il s’enfonce, pénètre, va au bout et entame l’éternel va et vient du mâle en rut dans la chaleur humide de sa femelle soumise et avide.
C’est un coït enragé, emporté à cent à l’heure. Et sous l’assaillant brutal, la cavale rue, enroule son dos, jette ses fesses soulevées vers le pieu qui veut la clouer au matelas. C’est une lutte terrible où l’on s’égosille. Je n’y vois rien de professionnel. La passion l’emporte sur la raison, seule compte l’action violente et libératrice. On ne sait plus, on ne raisonne plus, on obéit à l'instinct primaire. On pousse, on creuse, on veut se fondre à l‘autre, se perdre en lui. Ils se cherchent, se poussent pour mieux se trouver, l’une vers le haut, l’autre vers le bas. C’est le combat pour réaliser l’union, la fusion sans cesse désirée, impossible à rendre parfaite et sans fin. Au paroxysme de la tension, quand la femme est prise de tremblements irrépressibles et quand le sperme secoue la verge bandée pour aller féconder en jets puissants, c’est le moment d’un quasi évanouissement avant le retour à la réalité. Lui s’est vidé en grognant, elle remplie du liquide se soulage en borborygmes insensés. Les souffles sont courts
Patricia gît à côté du conquérant abattu. Je redescends. Ils ont épuisé leurs forces et leurs réserves pour aujourd’hui. Je le comprends en entendant Claude:
-Heureuse? Oui, c’était bon. Tu as un sacré tempérament. Pourquoi te priver d’un pareil plaisir? Il suffit de s’y mettre pour vivre ce bonheur chaque soir. Bien allons signer. On recommence quand tu veux, où tu veux, comme tu veux!
C’est fait. Il remercie pour l’accueil, pour le bon entraînement professionnel.
- Et si un jour tu quittes ton cocu, viens chez moi. Tu auras toujours une place spéciale dans mon cœur. Nos corps sont en harmonie. Nous connaîtrons des moments merveilleux aussi souvent que tu le souhaiteras.
- Grand merci pour ces contrats. Tu me rends un fier service. Je suis heureuse du coup de pouce que je vais donner à mon Serge. Je bous d’impatience, j’irai visiter le studio cet après midi. Et puis non, je fais un peu de toilette et j’y vais immédiatement. Mon petit Serge tu vas voir ce que tu vas voir. je t'aime trop pour négliger cette chance de t'épater.
- C'est une excellente motivation. Oui, mais sois discrète. S’il se doute de quelque chose, il va détruire tes plans. Je te félicite pour l’amour que tu lui témoignes, c‘est touchant ce dévouement. Je pars en vacances pour quelques jours, j’ai bien recruté dernièrement, mais c’est épuisant à force. Tu dois comprendre après m’avoir vu à l’œuvre, voué corps et âme à l'accomplissement du meilleur recrutement. Ne t’inquiète pas, nous sommes bien organisés.
Que peuvent faire dans une voiture ou à proximité un homme et une femme au sang chaud lors de retrouvailles ? Résultat, la somme d'efforts réciproques de ces nouveaux amants a fatigué Patricia. Contrairement à l’habitude, mon lever n’a pas provoqué le réveil de la dormeuse. Elle dort à poings fermés. Exceptionnellement je prends seul mon petit déjeuner. C’est le premier effet du passage de Claude, j'expérimente la solitude du cocu. Je prévois d’autres conséquences. Qui vivra verra. Je suis fataliste. Pat a mis le pied sur une planche savonnée. A vingt cinq ans on est responsable.
Elle a constaté mon désaccord, ma contrariété. Je lui ai parlé du prix « monstrueux » à payer. Elle n’a pas ouvertement relevé le mot. Il est permis de supposer que certaines phrases bien senties l'ont tourmentée en début de nuit. Ce matin je fais un faux départ. J'éloigne ma voiture et regagne mon bureau sur la pointe des pieds. Je veux assister au rendez-vous pris hier.
8 heures 30. On sonne. Claude est ponctuel. La sonnerie tire ma femme de son sommeil:
- Oh! La, la. Un instant, j’arrive.
Pieds nus, Pat cours, ne ferme pas la porte du WC pour son pipi matinal, se précipite sur le bidet, revient à la porte de la salle de bain, crie :
- J’arrive, patientez.
Enfin, en hâte elle fait entrer le visiteur. Je reconnais sa voix
-Tu es encore en chemise de nuit à cette heure!
- Je ne travaille pas aujourd’hui. Serge ne m’a pas réveillée. C’est bizarre, chaque matin, je lui prépare son petit déjeuner. Il s’est couché pas content. D’abord il m’a soupçonnée de le tromper avec toi parce que tu m’as ramenée hier soir.
- Ha, ha, ha. Heureusement qu’il ne nous a pas vus hier sur le canapé. Il t’a fait une crise pour une broutille. Ha, l’idiot.
- Ensuite, il n’est pas content que je veuille m’occuper des personnes âgées. Il me voit déjà fatiguée, harassée, croulant sous la tâche. Je m’imposerais de trop lourds sacrifices pour l’achat de notre demeure, il préfère y renoncer plutôt que de me voir payer « ce prix monstrueux »
- Ah! Quel con. Le jour où il saura quel genre de ménage tu vas faire, ça sera drôle. Il te l’a interdit ?
- Non, mais ça lui déplaît tellement, qu’il a refusé de faire l’amour hier soir. Ca m’ennuie.
- Encore plus con! Ne t’inquiète pas, tu m’as mis en appétit, et je suis prêt à te prendre sur le champ pour compenser le manque que tu éprouves. Enlève-moi tout de suite cette chemise et je vais te donner ta ration vitale quotidienne de sperme.
- Non, ce matin tu viens pour la signature des contrats. Il a beau ronchonner, j’aime mon Serge. Je ne lui ferai pas de cornes. Ce que nous avons fait hier était professionnel, ce que je ferai dans les studios le sera également. Ca ne compte pas comme de coucher avec un amant, ce n’est pas tromper. Si une nuit, au studio tu viens jouer un rôle avec moi, ça entrera dans cette catégorie, ce sera devant des internautes, un spectacle payant pas une iaison amoureuse. Faire l’amour, ici, avec toi, serait une infidélité. Et il n’en est pas question.
Derrière ma porte entrouverte j’aurais de quoi me réjouir si j’étais capable de saisir les nuances, mais elles m’échappent, un coup de bite est un coup de bite, le plaisir « professionnel » est du plaisir comme le plaisir pris avec son conjoint.
- Très bien. Tu as réfléchi, tu as choisi quelle activité ?
-Je veux de l’argent, le plus d’argent possible, le plus vite possible, le plus proprement possible. Donc tu me fais tous les contrats et selon la demande je ferai le métier. C’est clair?
-On ne peut plus clair. Tu fais le bon choix. Des filles aussi décidées que toi peuvent se faire de trois à quatre mille par mois. Le jour où tu lui présenteras tes économies, ton jaloux te sautera au cou. J’ai préparé les formulaires. Tu les lis et tu les signes. Un exemplaire de chaque pour toi. Ne les laisse pas traîner si tu ne veux pas d’embrouilles avec ton cocu professionnel. Ca c’est la carte du studio, avec l’adresse du site internet. Ceci c’est ma carte personnelle: le jour où tu as des questions, ou le jour où tu as envie de faire l’amour avec quelqu’un qui t’aime et qui respecte ta liberté, appelle-moi.
- Et comment serai-je payée?
- Chaque jeudi je t’amènerai l’enveloppe du salaire gagné la semaine précédente. Cela te convient-il ? Tu remarques que pendant les trois mois à l’essai, chaque partie peut rompre le contrat unilatéralement à tout moment. Ensuite l’engagement est de six mois avec un préavis de trois mois. C’est pour assurer une certaine stabilité du personnel. En cas de rupture abusive prématurée, après les trois premiers mois, tu devras une indemnité égale à un mois de salaire moyen la première année et deux mois à partir de la deuxième année. Le licenciement pour manquement aux obligations définies dans chaque contrat ne donne lieu à aucune indemnité. Voilà, tu sais l’essentiel. Ah, tu peux commencer dès demain si tu le veux Tu as signé, il manque ma signature.
- Dépêche-toi de signer.
-Il est de tradition, dans la profession, de signer après avoir obtenu des candidats un cadeau en nature. Refuses-tu toujours de faire l’amour avec moi, ici, ce matin?
- Je n’ai rien lu de tel dans les contrats. C’est du chantage.
- Si tu ne veux pas tenir compte de nos usages, libre à toi. Rappelle-moi quand tu seras décidée.
J’entends le bruit des chaises.
- Tu sais, c’est purement professionnel. Réfléchis vite
- Vu sous cet angle, si c’est professionnel, je m’incline.
- Alors, allons dans ton lit. J’ai une petite heure à te consacrer sur mon temps de travail. Je vais te faire oublier le forfait de Serge, hier soir. dans la voiture l'amour a été trop expéditif
Me voilà fixé. Quelle soumission. Je n’en reviens pas. Il faut que je voie la différence entre un adultère ordinaire et un adultère professionnel. A pas de loup j’arrive à hauteur de la porte de ma chambre. Tournée vers le miroir de l’armoire, Patricia remet en place des mèches rebelles. Le zigoto finit d’enlever son slip, attrape sa quéquette, se masturbe pour lui donner consistance.
- Chérie, viens m’aider. A genoux, c’est l’heure de la pipe. Tu as deux mains, une bouche chaude, fais le nécessaire pour me rendre présentable.
Elle s’exécute sans mot dire. Elle doit être vexée de devoir plier. le mot "professionnel " est le"sésameouvre-toi" du recruteur. Il en use et en abuse avec succès :
- Dis: c’est professionnel. Tu as lu les contrats: tu dois donner entière satisfaction à la hiérarchie que je représente officiellement aujourd'hui.. Tu ne dois pas bouder. Tu dois t’appliquer. Les mains me branlent, les lèvres me sucent et la langue tournoie sur le sommet du gland. Tu as compris. Continue avec application. C’est mieux, mais, je le sais, « peut mieux faire. »... Voilà, tu fais des progrès, c'est réjouissant; il suffit de vouloir. Attention aux dents, ne mords pas. Si tu m’estropies je ne pourrai pas signer.
. Là-haut l’exercice prend de la voix. Les deux partenaires se sont mis au diapason, les gémissements répondent aux cris de ravissement. C’est purement professionnel. Qu’ils continuent. Les illusions s’envoleront d’elles-mêmes. Je n’ai pas à me montrer désagréable. J’ai un regret, jamais je ne pourrai suivre les exploits vrais ou simulés de Patricia sur mon moniteur, le soir quand elle fera du nettoyage sans avoir les cordonnées du site. Il faut que je me libère demain, pour la suivre à l’adresse du studio.
Me voici voyeur. Ils sont occupés en un 69 bruyant, agité. Elle dessus, me présente son plaisant arrière- train. Les globes savoureux des fesses tremblent, se contractent puis se détendent sous la pression de la langue fureteuse qui balaie la raie avant de retourner au bouton irrité. Les deux bras de Claude maintiennent ferme la masse charnue, elle sursaute en soufflant mais ne peut lui échapper. Du fouillis de chairs humides il réclame un arrêt. N’a-t-elle pas compris, elle s’acharne sur le braquemart, décidée à lui vider les couilles.
Alors il la rejette sur le dos, se retourne et s’allonge sur elle, étalon furieux, queue tendue, dure et endolorie. Elle se demande encore ce qui lui arrive, mais sent l’invasion pressée, insistante, brûlante. Ses lèvres gonflées de sang, ses lèvres sucées, mordues, égratignées, douloureuses n’opposent pas de résistance à la poussée violente du gland épais et durci. Il s’enfonce, pénètre, va au bout et entame l’éternel va et vient du mâle en rut dans la chaleur humide de sa femelle soumise et avide.
C’est un coït enragé, emporté à cent à l’heure. Et sous l’assaillant brutal, la cavale rue, enroule son dos, jette ses fesses soulevées vers le pieu qui veut la clouer au matelas. C’est une lutte terrible où l’on s’égosille. Je n’y vois rien de professionnel. La passion l’emporte sur la raison, seule compte l’action violente et libératrice. On ne sait plus, on ne raisonne plus, on obéit à l'instinct primaire. On pousse, on creuse, on veut se fondre à l‘autre, se perdre en lui. Ils se cherchent, se poussent pour mieux se trouver, l’une vers le haut, l’autre vers le bas. C’est le combat pour réaliser l’union, la fusion sans cesse désirée, impossible à rendre parfaite et sans fin. Au paroxysme de la tension, quand la femme est prise de tremblements irrépressibles et quand le sperme secoue la verge bandée pour aller féconder en jets puissants, c’est le moment d’un quasi évanouissement avant le retour à la réalité. Lui s’est vidé en grognant, elle remplie du liquide se soulage en borborygmes insensés. Les souffles sont courts
Patricia gît à côté du conquérant abattu. Je redescends. Ils ont épuisé leurs forces et leurs réserves pour aujourd’hui. Je le comprends en entendant Claude:
-Heureuse? Oui, c’était bon. Tu as un sacré tempérament. Pourquoi te priver d’un pareil plaisir? Il suffit de s’y mettre pour vivre ce bonheur chaque soir. Bien allons signer. On recommence quand tu veux, où tu veux, comme tu veux!
C’est fait. Il remercie pour l’accueil, pour le bon entraînement professionnel.
- Et si un jour tu quittes ton cocu, viens chez moi. Tu auras toujours une place spéciale dans mon cœur. Nos corps sont en harmonie. Nous connaîtrons des moments merveilleux aussi souvent que tu le souhaiteras.
- Grand merci pour ces contrats. Tu me rends un fier service. Je suis heureuse du coup de pouce que je vais donner à mon Serge. Je bous d’impatience, j’irai visiter le studio cet après midi. Et puis non, je fais un peu de toilette et j’y vais immédiatement. Mon petit Serge tu vas voir ce que tu vas voir. je t'aime trop pour négliger cette chance de t'épater.
- C'est une excellente motivation. Oui, mais sois discrète. S’il se doute de quelque chose, il va détruire tes plans. Je te félicite pour l’amour que tu lui témoignes, c‘est touchant ce dévouement. Je pars en vacances pour quelques jours, j’ai bien recruté dernièrement, mais c’est épuisant à force. Tu dois comprendre après m’avoir vu à l’œuvre, voué corps et âme à l'accomplissement du meilleur recrutement. Ne t’inquiète pas, nous sommes bien organisés.
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