Une opportunité tentante 1
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une opportunité tentante 1
Hétéro
Cet après-midi je travaille sur mon ordinateur portable, dans mon bureau, à côté de la porte d’entrée. Quand j’ai quitté ma petite femme Patricia, elle était plongée dans son feuilleton « Les feux de l’amour ». On sonne. Elle grommelle mais descend l’escalier pour ouvrir au visiteur. Elle a oublié ma présence, sinon elle n’aurait pas bougé et m'aurait demandé de recevoir le visiteur.
Après les salutations, un homme se présente
- Claude Weber, recruteur pour internet
- Ha! Claude, tu ne me reconnais pas? Je suis Patricia
- Excuse-moi. En effet, toi ici! Si je m'attendais... quelle heureuse surprise et quel bonheur.
- Entre, montons, je regarde la fin du feuilleton et nous pourrons bavarder en buvant un café si tu en as le temps. Après des années... que deviens-tu ?
- Parfait, j’ai tout mon temps. Et pour toi j'en aurai toujours. C’est un si grand plaisir de te revoir. Quel heureux hasard.
J’entrouvre ma porte. Je trouve que cette connaissance de Patricia insiste beaucoup sur le hasard qui a guidé ses pas.L’indicatif annonce la fin du feuilleton télévisé.
- Bon, allons à la cuisine faire le café. Suis-moi
- Donc tu habites ici. Tu es mariée?
- Non je vis en concubinage avec Serge, depuis deux ans.
- Et qu’as-tu fait auparavant ? Il y a six ans, quand on se fréquentait tu étais ce qu’on peut appeler une rapide, tu n’avais pas froid aux yeux et, si tu me permets de le dire, plutôt chaud au cul. Tu en as rôti des balais dans ta jeunesse.
- Ce n'est pas à toi de t’en plaindre. Si je me souviens bien, tu étais puceau et j’ai dû te déniaiser. Ce fut une séance mémorable dans le petit bois. Bon voilà que tu réveille des souvenurs d'un autre temps. Si je me soubiens bien, tu étais peureux.Tu m'as donné du mal. Ta queue essayait de rentrer dans ton ventre, se faisait toute petite. Je ris encore de penser à l'interminabie masturbation sans résultat ou presque conclue par une fellation
- J’étais jeune, j’ai eu peur d’être mordu quand tu m’as pris en bouche. Et c’était si fort que je suis parti aussitôt.
- Et j’ai râlé parce que tu m’en as mis plein la blouse, hihihi! Mais ensuite je t’ai appris à te retenir. C’était le bon temps de l’insouciance, des plaisirs simples. Tu es devenu un bon baiseur. Je t’aurais gardé, mais, ingrat il a fallu que tu cherches d’autres trous à boucher. Tu avais une âme d'explorateur. Je t’ai regretté. Et puis l'eau a coulé sous les ponts
- Tu m'as regretté ? Tu en as eu d’autres, toi aussi. Quel succès tu avais. Certains se sont cassé la figure pour réussir à te trousser dans un recoin. On m’a raconté que pour aller plus vite, les soirs de concours, tu ne portais pas de culotte ; ça te permettait d’avoir le plus de coups en une soirée.
- Oh! Qui t’a dit ça? C'est de la calomnie. Tu croyais facilement les histoires inventées par les candidats refoulés. Non je n'étais pas la fille facile que tu me racontes.
- Et donc tu t’es rangée? Ton copain sait tout ce que tu as fait?
- Les faits d’avant notre rencontre ne l’intéressent pas. C’est mon passé. Il a le sien qui ne m'intéresse pas. L'essentiel est qu'il m'aime autant que je l'aime. Désormais j’ai changé, nous sommes bien ensemble, il est adorable avec moi. Je suis heureuse. Je ne cherche pas à fouiller son passé, il me fait confiance et je lui fais confiance. Nous regardons vers l'avenir à deux.
- Tu travailles?
- Par nécessité et parce que je ne veux pas dépendre de quelqu'un. Chacun doit participer à la vie en société. Je suis caissière. Je fais 27 heures par semaine, trois fois huit heures en deux temps et trois heures le samedi matin. Par exemple je vais travailler de 16 à 20heures 30 ce soir et j’ai déjà fait de 9h à 12h 30 ce matin
- Ça va, tu gagnes bien ta vie? Ce n'est pas trop pénible?
- Ça ne rapporte pas gros, mais avec le salaire de Serge on s’en sort. Il est comptable et gagne bien sa vie. Nous envisageons d’acheter une maison.
- Dis-toi que c’est le ciel qui m’envoie. Tout en gardant ton emploi, tu pourrais te faire grâce à mon offre de substantiels à côtés.
- C’est vrai ça ? Dis vite. C'est quoi ton offre ?
- Je suis recruteur pour une société qui travaille sur internet. Je crois que tu serais une excellente recrue. Tu es toujours très jolie et photogénique. Tu n'as pas changé d'apparence et compte tenu de ce que je sais de toi, tu as toutes les qualités requises pour l'emploi à temps partiel que je présente aux candidates. Je suis ta chance et tu seras la mienne.
- Que faut-il faire?
- Tu travailles devant une camera. Tu te montres, tu montre tes atouts, tes seins, tes jambes, tu te mets en petite tenue. Quand un internaute souhaite te parler ou t’écrire sur son clavier, il paie un abonnement pour entrer en contact dans un salon privé. Il engage des points à la minute. Plus longtemps il reste avec toi, plus nous gagnons, toi et moi
- Oui, mais tout le monde peut me voir ? Il faut s'exhiber, c'est ça ?
- Tu peux, si tu le souhaites porter un loup,cacher ton visage. Si personne ne te prend au salon privé, tu as un fixe de base, soit dix euros de l’heure. Tu aguiches, tu restes partiellement mais très légèrement vêtue: string et soutien-gorge et tu te contorsionnes devant la caméra pour que les amateurs te convoquent au salon.
- Je reste seule dans ce salon ? Avec un loup on ne me reconnaît pas. C'est pas la mer à boire. Il y a vraiment des types que ça intéresse ? 10 euros de l'heure, c'est environ le smic, pour montrer mon corps seulement. C'est moins fatigant qu'un boulot de caissière dans une grande surface. Tu m'intéresses. J'en parlerai à Serge.
- Est-ce bien nécessaire ? Il vaudrait mieux faire un essai, voir si ça te convient, si ça te plaît et si tu peux avoir l'ambition de faire mieux pour gagner plus. Oui, c'est possible et je sens que pour toi ce peut être un challenge formidable. Toutes les filles ne sont pas assez fortes pour ça. Toi tu feras le métier les doigts dans le nez et tu ramasseras gros avec ta ténacité et toutes tes qualités. Si je me souviens, tu es une femme "CANON"
- Le métier. Ca consiste en quoi le métier de femme canon?
- A la vue de ton corps si excitant un type va te demander plus. A ce moment tu l'emmènes en cabine pour un spectacle privé. Ceux qui ne paient pas ne verront pas ce que tu réalises en privé. Il faudra selon les souhais du payeur te dévêtir entièrement, montrer les parties de ton corps nu en détail. Tu dois l’exciter, le faire baver de désir à la vue de tes seins,ou de ton sexe plus ou moins ouvert. D'autres voudront voir tes fesses, ton cul.
- Ah ! Quand même ? Et quoi encore ?
- N'oublie pas que le client te vois sur un écran d'ordinateur. Il te voit, il ne peut pas te toucher.
- C'est vrai. Ca dure longtemps ?
- Plus tu le gardes devant son écran, plus il verse les jetons qu'il a achetés et donc plus tu gagnes en plus des dix euros de base. Enfin les nanas les moins bégueules usent de tous leurs moyens pour que le client oublie la durée du spectacle. Certaines se masturbent, s'enfoncent un jouet dans la fente, l'agitent. En ce moment la mode est à une représentation de spermatozoïde rose, de grande taille. La tête arrondie part en vagin à la recherche du point G, la queue reste dehors, tu peux la prendre en main la secouer ou la faire aller et venir, en user pour exciter le spectateur Avec de l'imagination tu crées l'illusion . Il en existe même des modèles avec pile.. Restent tes doigts, et tout ce qui se touche, caresse ou pénètre.
- Et tout ça c'est un métier ?
- Ne ris pas. Tu peux vouloir encore plus haut, mieux rémunéré. Au lieu d'être seule en scène tu composes avec un ou une partenaire des scènes qui imitent les rapports sexuels. On te regarde forniquer.
- Pour de bon ?
- Ca dépend des éxécutants. On peut simuler des pénétration. C'est cependant plus difficile à réaliser que d'y aller franchement. Pourquoi se compliquer la vie quand il suffit de suivre son instinct et de se prêter au jeu sans subterfuge devant une caméra. Le jour où cela te tentera, je te montrerai des barèmes. Peu de femmes y résistent. D'autant que plusieurs voyeurs peuvent, après versement des jetons, suivre simultanément la même relation charnelle. Le premier, acteur principal commande ce qu'il veut voir et paie plus cher que ceux qui voient sans donner d'ordres et ne sont que spectateurs.C'est filmé et chaque nouvelle projection ramène des royalties. Tu deviens la poule aux oeufs d'or.
- Très bien. Ca ne me dit pas combien je peux me faire et en combien d'heures. Ce sont des éléments indispensables pour prendre une décision. Je ne sais pas si mon Serge apprécierait. Donc combien pourrais-je toucher ?
- Voilà : tu tiendras ta langue, tu viendras, tu essaieras les différentes formules sous la direction des techniciens, éventuellement avec des partenaires, hommes ou femmes. Essayer n'est pas prendre un engagement, ne coûte qu'un peu de temps, en principe en soirée.Il est difficile de chiffrer tant il y a de possibilités. Le principe de base est de savoir accrocher le voyeur. Pour rappel il ne te touche qu'avec les yeux - Je parlais d'argent.
- Si tu es seule et si tu sais y faire, tu peux te faire facilement cinquante euros de l’heure. Enfin si tu donnes un spectacle avec une femme ou avec un homme, visible simultanément par plusieurs internautes payant, en fonction du nombre de spectateurs sur internet, tu peux gagner beaucoup d’argent. Ca te tenterait? A raison de quelques heures par semaine, tu te ferais un joli supplément
-Oui, mais je ne sais toujours pas si Serge sera d’accord.
- Bien. Comme déjà conseillé tu pourrais essayer, venir regarder comment travaillent nos filles. Certaines ont cessé de travailler ailleurs et gagnent bien leur vie en moins de temps. Tu es libre certains jours et le samedi après-midi ? Tu pourrais assurer trois ou quatre heures de présence, répondre gentiment aux internautes, en petite tenue, apprendre le boulot avec des anciennes.
- Que va dire Serge quand il me verra sortir?
- Tu lui dis que tu vas faire des ménages. Tu lui montres les 30 ou 40€ de ton samedi. Tu peux prolonger en soirée, aux heures de forte affluence et augmenter tes revenus. Tu t’ouvres un compte en banque et tu y déposes les sommes plus importantes et tu te constitues un pécule. Et quand vous achèterez un terrain pour construire ou un appartement, ton copain sera heureux de voir arriver le pactole.
- J'aimerais tant contribuer à ces achats.Il faudra que je lui avoue mes activités?
- Oui, mais comme tu gagnes de l’argent sans faire le mal, juste en dévoilant ton corps, et si tu gagnes gros, il te félicitera. Par expérience, à ma connaissance aucun couple n’a divorcé à cause de cette activité.
- C’est vrai ? Tu me rassures. J’aimerais bien essayer, au moins à 10€ de l’heure pour débuter.
- Très bien. J’ai là un modèle de contrat avec les tarifs. Je te prendrais à l’essai pendant trois mois, le jour où tu ne travailles pas et le samedi, disons dix heures par semaine, en prestation simple. Tu as un deuxième jour de liberté: tu pourras faire des heures supplémentaires Si ça te convient on reverra le contrat. Si tu veux évoluer, on pourra, en cours de route ajouter par exemple un avenant pour salon privé ou pour salon avec un ou une partenaire ou encore plusieurs partenaires. Mais ne précipitons rien.
- Donc, si le cœur m’en dit, je pourrai changer de catégorie et de salaire?
Cet après-midi je travaille sur mon ordinateur portable, dans mon bureau, à côté de la porte d’entrée. Quand j’ai quitté ma petite femme Patricia, elle était plongée dans son feuilleton « Les feux de l’amour ». On sonne. Elle grommelle mais descend l’escalier pour ouvrir au visiteur. Elle a oublié ma présence, sinon elle n’aurait pas bougé et m'aurait demandé de recevoir le visiteur.
Après les salutations, un homme se présente
- Claude Weber, recruteur pour internet
- Ha! Claude, tu ne me reconnais pas? Je suis Patricia
- Excuse-moi. En effet, toi ici! Si je m'attendais... quelle heureuse surprise et quel bonheur.
- Entre, montons, je regarde la fin du feuilleton et nous pourrons bavarder en buvant un café si tu en as le temps. Après des années... que deviens-tu ?
- Parfait, j’ai tout mon temps. Et pour toi j'en aurai toujours. C’est un si grand plaisir de te revoir. Quel heureux hasard.
J’entrouvre ma porte. Je trouve que cette connaissance de Patricia insiste beaucoup sur le hasard qui a guidé ses pas.L’indicatif annonce la fin du feuilleton télévisé.
- Bon, allons à la cuisine faire le café. Suis-moi
- Donc tu habites ici. Tu es mariée?
- Non je vis en concubinage avec Serge, depuis deux ans.
- Et qu’as-tu fait auparavant ? Il y a six ans, quand on se fréquentait tu étais ce qu’on peut appeler une rapide, tu n’avais pas froid aux yeux et, si tu me permets de le dire, plutôt chaud au cul. Tu en as rôti des balais dans ta jeunesse.
- Ce n'est pas à toi de t’en plaindre. Si je me souviens bien, tu étais puceau et j’ai dû te déniaiser. Ce fut une séance mémorable dans le petit bois. Bon voilà que tu réveille des souvenurs d'un autre temps. Si je me soubiens bien, tu étais peureux.Tu m'as donné du mal. Ta queue essayait de rentrer dans ton ventre, se faisait toute petite. Je ris encore de penser à l'interminabie masturbation sans résultat ou presque conclue par une fellation
- J’étais jeune, j’ai eu peur d’être mordu quand tu m’as pris en bouche. Et c’était si fort que je suis parti aussitôt.
- Et j’ai râlé parce que tu m’en as mis plein la blouse, hihihi! Mais ensuite je t’ai appris à te retenir. C’était le bon temps de l’insouciance, des plaisirs simples. Tu es devenu un bon baiseur. Je t’aurais gardé, mais, ingrat il a fallu que tu cherches d’autres trous à boucher. Tu avais une âme d'explorateur. Je t’ai regretté. Et puis l'eau a coulé sous les ponts
- Tu m'as regretté ? Tu en as eu d’autres, toi aussi. Quel succès tu avais. Certains se sont cassé la figure pour réussir à te trousser dans un recoin. On m’a raconté que pour aller plus vite, les soirs de concours, tu ne portais pas de culotte ; ça te permettait d’avoir le plus de coups en une soirée.
- Oh! Qui t’a dit ça? C'est de la calomnie. Tu croyais facilement les histoires inventées par les candidats refoulés. Non je n'étais pas la fille facile que tu me racontes.
- Et donc tu t’es rangée? Ton copain sait tout ce que tu as fait?
- Les faits d’avant notre rencontre ne l’intéressent pas. C’est mon passé. Il a le sien qui ne m'intéresse pas. L'essentiel est qu'il m'aime autant que je l'aime. Désormais j’ai changé, nous sommes bien ensemble, il est adorable avec moi. Je suis heureuse. Je ne cherche pas à fouiller son passé, il me fait confiance et je lui fais confiance. Nous regardons vers l'avenir à deux.
- Tu travailles?
- Par nécessité et parce que je ne veux pas dépendre de quelqu'un. Chacun doit participer à la vie en société. Je suis caissière. Je fais 27 heures par semaine, trois fois huit heures en deux temps et trois heures le samedi matin. Par exemple je vais travailler de 16 à 20heures 30 ce soir et j’ai déjà fait de 9h à 12h 30 ce matin
- Ça va, tu gagnes bien ta vie? Ce n'est pas trop pénible?
- Ça ne rapporte pas gros, mais avec le salaire de Serge on s’en sort. Il est comptable et gagne bien sa vie. Nous envisageons d’acheter une maison.
- Dis-toi que c’est le ciel qui m’envoie. Tout en gardant ton emploi, tu pourrais te faire grâce à mon offre de substantiels à côtés.
- C’est vrai ça ? Dis vite. C'est quoi ton offre ?
- Je suis recruteur pour une société qui travaille sur internet. Je crois que tu serais une excellente recrue. Tu es toujours très jolie et photogénique. Tu n'as pas changé d'apparence et compte tenu de ce que je sais de toi, tu as toutes les qualités requises pour l'emploi à temps partiel que je présente aux candidates. Je suis ta chance et tu seras la mienne.
- Que faut-il faire?
- Tu travailles devant une camera. Tu te montres, tu montre tes atouts, tes seins, tes jambes, tu te mets en petite tenue. Quand un internaute souhaite te parler ou t’écrire sur son clavier, il paie un abonnement pour entrer en contact dans un salon privé. Il engage des points à la minute. Plus longtemps il reste avec toi, plus nous gagnons, toi et moi
- Oui, mais tout le monde peut me voir ? Il faut s'exhiber, c'est ça ?
- Tu peux, si tu le souhaites porter un loup,cacher ton visage. Si personne ne te prend au salon privé, tu as un fixe de base, soit dix euros de l’heure. Tu aguiches, tu restes partiellement mais très légèrement vêtue: string et soutien-gorge et tu te contorsionnes devant la caméra pour que les amateurs te convoquent au salon.
- Je reste seule dans ce salon ? Avec un loup on ne me reconnaît pas. C'est pas la mer à boire. Il y a vraiment des types que ça intéresse ? 10 euros de l'heure, c'est environ le smic, pour montrer mon corps seulement. C'est moins fatigant qu'un boulot de caissière dans une grande surface. Tu m'intéresses. J'en parlerai à Serge.
- Est-ce bien nécessaire ? Il vaudrait mieux faire un essai, voir si ça te convient, si ça te plaît et si tu peux avoir l'ambition de faire mieux pour gagner plus. Oui, c'est possible et je sens que pour toi ce peut être un challenge formidable. Toutes les filles ne sont pas assez fortes pour ça. Toi tu feras le métier les doigts dans le nez et tu ramasseras gros avec ta ténacité et toutes tes qualités. Si je me souviens, tu es une femme "CANON"
- Le métier. Ca consiste en quoi le métier de femme canon?
- A la vue de ton corps si excitant un type va te demander plus. A ce moment tu l'emmènes en cabine pour un spectacle privé. Ceux qui ne paient pas ne verront pas ce que tu réalises en privé. Il faudra selon les souhais du payeur te dévêtir entièrement, montrer les parties de ton corps nu en détail. Tu dois l’exciter, le faire baver de désir à la vue de tes seins,ou de ton sexe plus ou moins ouvert. D'autres voudront voir tes fesses, ton cul.
- Ah ! Quand même ? Et quoi encore ?
- N'oublie pas que le client te vois sur un écran d'ordinateur. Il te voit, il ne peut pas te toucher.
- C'est vrai. Ca dure longtemps ?
- Plus tu le gardes devant son écran, plus il verse les jetons qu'il a achetés et donc plus tu gagnes en plus des dix euros de base. Enfin les nanas les moins bégueules usent de tous leurs moyens pour que le client oublie la durée du spectacle. Certaines se masturbent, s'enfoncent un jouet dans la fente, l'agitent. En ce moment la mode est à une représentation de spermatozoïde rose, de grande taille. La tête arrondie part en vagin à la recherche du point G, la queue reste dehors, tu peux la prendre en main la secouer ou la faire aller et venir, en user pour exciter le spectateur Avec de l'imagination tu crées l'illusion . Il en existe même des modèles avec pile.. Restent tes doigts, et tout ce qui se touche, caresse ou pénètre.
- Et tout ça c'est un métier ?
- Ne ris pas. Tu peux vouloir encore plus haut, mieux rémunéré. Au lieu d'être seule en scène tu composes avec un ou une partenaire des scènes qui imitent les rapports sexuels. On te regarde forniquer.
- Pour de bon ?
- Ca dépend des éxécutants. On peut simuler des pénétration. C'est cependant plus difficile à réaliser que d'y aller franchement. Pourquoi se compliquer la vie quand il suffit de suivre son instinct et de se prêter au jeu sans subterfuge devant une caméra. Le jour où cela te tentera, je te montrerai des barèmes. Peu de femmes y résistent. D'autant que plusieurs voyeurs peuvent, après versement des jetons, suivre simultanément la même relation charnelle. Le premier, acteur principal commande ce qu'il veut voir et paie plus cher que ceux qui voient sans donner d'ordres et ne sont que spectateurs.C'est filmé et chaque nouvelle projection ramène des royalties. Tu deviens la poule aux oeufs d'or.
- Très bien. Ca ne me dit pas combien je peux me faire et en combien d'heures. Ce sont des éléments indispensables pour prendre une décision. Je ne sais pas si mon Serge apprécierait. Donc combien pourrais-je toucher ?
- Voilà : tu tiendras ta langue, tu viendras, tu essaieras les différentes formules sous la direction des techniciens, éventuellement avec des partenaires, hommes ou femmes. Essayer n'est pas prendre un engagement, ne coûte qu'un peu de temps, en principe en soirée.Il est difficile de chiffrer tant il y a de possibilités. Le principe de base est de savoir accrocher le voyeur. Pour rappel il ne te touche qu'avec les yeux - Je parlais d'argent.
- Si tu es seule et si tu sais y faire, tu peux te faire facilement cinquante euros de l’heure. Enfin si tu donnes un spectacle avec une femme ou avec un homme, visible simultanément par plusieurs internautes payant, en fonction du nombre de spectateurs sur internet, tu peux gagner beaucoup d’argent. Ca te tenterait? A raison de quelques heures par semaine, tu te ferais un joli supplément
-Oui, mais je ne sais toujours pas si Serge sera d’accord.
- Bien. Comme déjà conseillé tu pourrais essayer, venir regarder comment travaillent nos filles. Certaines ont cessé de travailler ailleurs et gagnent bien leur vie en moins de temps. Tu es libre certains jours et le samedi après-midi ? Tu pourrais assurer trois ou quatre heures de présence, répondre gentiment aux internautes, en petite tenue, apprendre le boulot avec des anciennes.
- Que va dire Serge quand il me verra sortir?
- Tu lui dis que tu vas faire des ménages. Tu lui montres les 30 ou 40€ de ton samedi. Tu peux prolonger en soirée, aux heures de forte affluence et augmenter tes revenus. Tu t’ouvres un compte en banque et tu y déposes les sommes plus importantes et tu te constitues un pécule. Et quand vous achèterez un terrain pour construire ou un appartement, ton copain sera heureux de voir arriver le pactole.
- J'aimerais tant contribuer à ces achats.Il faudra que je lui avoue mes activités?
- Oui, mais comme tu gagnes de l’argent sans faire le mal, juste en dévoilant ton corps, et si tu gagnes gros, il te félicitera. Par expérience, à ma connaissance aucun couple n’a divorcé à cause de cette activité.
- C’est vrai ? Tu me rassures. J’aimerais bien essayer, au moins à 10€ de l’heure pour débuter.
- Très bien. J’ai là un modèle de contrat avec les tarifs. Je te prendrais à l’essai pendant trois mois, le jour où tu ne travailles pas et le samedi, disons dix heures par semaine, en prestation simple. Tu as un deuxième jour de liberté: tu pourras faire des heures supplémentaires Si ça te convient on reverra le contrat. Si tu veux évoluer, on pourra, en cours de route ajouter par exemple un avenant pour salon privé ou pour salon avec un ou une partenaire ou encore plusieurs partenaires. Mais ne précipitons rien.
- Donc, si le cœur m’en dit, je pourrai changer de catégorie et de salaire?
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