Une opportunité tentante 2
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une opportunité tentante 2
- Tu m’as parfaitement compris, on peut améliorer le contrat à tout moment à condition d'accepter des clauses supplémentaires. Reste une formalité, pour toi ce sera facile, puisqu’on se connaît et que le résultat me paraît acquis. C’est une exigence de mon patron, je dois vérifier que les candidates sont "top niveau". Il suffit de te regarder pour en être persuadé. Accepterais-tu, malgré tout, de te montrer à moi en tenue légère?
- C’est-à dire?
- Tu vas te changer et tu reviens en string et soutien-gorge, une tenue plus affriolante, un truc à réveiller la libido des hommes Tu es certainement parfaite, mais je dois l’attester et je n’ai pas droit à l’erreur: ma place est en jeu.
- Si c’est nécessaire, pourquoi pas. Et quand nous étions jeunes, tu m’as bien connue sous toutes les coutures et sans coutures même ! Attends un instant. Je reviens.
Elle se retire puis revient. Du bas je suis ses déplacements entre salon, chambre et salon.
-Hello, Claude comme ça, qu’en dis-tu? Est-ce assez coquin ? Ca te plaît ?
- Formidable! Tu ne t’es pas conservée, tu as littéralement embelli. Approche : tout à fait ce que nous recherchons. Tourne. La taille bien marquée, des hanches épanouies, une cambrure superbe; les épaules féminines. Les jambes ! Ha, ces jambes, belles des pieds jusqu'en haut. Ouvre la bouche: dents régulières et bien entretenues
- Pour voir mes dents était-il indispensable de me déshabiller.
- Je regarde un tout tu sais. Laisser tous ces trésors enfouis, quel gaspillage Crois-moi tu es faite pour ce m'étier. Là, sur la fesse et les cuisses, il y a un peu de cellulite. Nous te paierons quelques soins, crèmes et massages et ça disparaîtra. Les jambes élancées. Rapproche tes pieds, oui, on voit bien les cinq jours, en haut des cuisses, j’y passe l’auriculaire, au-dessus des genoux, au-dessus du mollet, au-dessus et sous la cheville. Tes pieds sont mignons. Donc, la seule chose à corriger, c’est cette peau d’orange là et là, tu sens où je mets la main. Et encore le grain de peau est très doux au toucher.
Voilà, elle s'est innocemment dénudée en partie et l'ami Claude touche, palpe la bête comme un maquignon sur le foirail, il évalue la silhouette et caresse le grain de peau. Patricia alléchée par les gains promis ne se méfie pas. Elle est parfois trop naïve mais fait pourtant remarquer:
- Sur internet, le voyeur ne touche pas
- Non, mais il suffit d’un petit détail pour qu’il quitte le site et donc cesse de payer. Tous les détails comptent. Par exemple, tes sous-vêtements ne sont pas vraiment sexys. Nous pourrons t’en prêter des plus attirants, plus échancrés, plus révélateurs de ta beauté et ensuite, tu pourras t’en payer avec tes gains. Si, si: même ton copain appréciera un regain de coquetterie.
- Ce n’est pas un problème. Bon, je peux me rhabiller?
- Ben… si tu souhaites aller en salon privé un jour, tu devras montrer un peu plus que ce que je peux voir. Si je dégrafe ton soutien gorge, ça ne t’effraye pas ? Je peux t'examiner mieux?
- Va pour le soutien-gorge.
- Ahhh! Quelle merveille! Deux seins magnifiques, écartés juste ce qu’il faut, ni trop lourds ni trop petits: deux somptueuses poires. Et fermes au toucher. avec des tétins réactifs. Tu permets, il faut que je les embrasse.Ios sont admirables
- Doucement, tu m’excites. Claude, enfin, tu n'as pas payé.
- Tu as toujours le mot pour rire. L’autre nibard est jaloux, il mérite aussi un petit suçon. Les pointes réagissent aux lèvres. Ca se voit à l'écran, c'est important, primordial. La première grossit entre mes doigts. Ça réveille des souvenirs heureux. Oh! Pat, je garderais bien ça pour moi tout seul. Mais pense aux milliers d’admirateurs qui vont tirer plaisir de te voir. Imagine que tu es devant une caméra, dans le salon, l’internaute te demande maintenant d’enlever le bas. Tu me suis ?
- Oui, mais j’y serai obligé, vraiment?
- Absolument pas. Jamais forcée, jamais si tu ne veux pas. N’oublie pas le but de ton travail: maintenir le demandeur devant son écran le plus longtemps possible. Si tu refuses, il ira voir ailleurs, ce n'est dommageable que pour ton portefeuille.. Donc, avec l’art consommé d’une stripteaseuse tu vas agiter le bassin, faire trembler tes fesses... Dévoilée par le côté, par le dessus et finalement, en variant les poses tu apparaîtras nue, avec une main cachant ce qu’il veut voir. Il réclamera plus, oubliera le temps qui passe et épuisera sa réserve de jetons, devra en racheter. Il faudra bien que tu lui en montres pour son argent. Parce que si tu veux le voir revenir, tu dois doser le mystère avec un peu d’impudeur virtuelle.
- Est-ce que ces types reviennent souvent?
- Oui, les clients sont fidèles, ils s’attachent à une fille sympathique et qui flatte leurs désirs. Ces voyeurs, il faut le savoir sont des malades, il leur faut leur traitement. Ce traitement c’est toi, ils rêvent de toi, ils veulent te revoir, ils te possèdent sur la toile. C’est d’ailleurs pourquoi tu ne dois jamais communiquer ton adresse ou ton téléphone; ce serait dangereux avec certains. Et ils sont avertis par le site, ils ne doivent pas demander d’ éléments d’identification.
- Donc, il y a des mesures de protection. Eh! Bien je suis intéressée.
- J’aimerais faire une dernière vérification. C’est délicat à demander comme à accorder, je le sais, mais... Il faut que je te prévienne : Certaines candidates se déballonnent parfois à ce moment de l'examen de leur candidature. Tu feras comme tu voudras. Comme nous nous connaissons bien, ce sera peut-être plus facile pour toi.
- Je devine à ta gêne, je devrais enlever le bas ? C’est ça ? Bof, une femme est une femme. Nous sommes toutes fendues, où est le mal de dévoiler son sexe à un recruteur ? Voilà.
- Je n’osais presque pas le réclamer. Si tu veux, mais essaie d’imaginer que je suis la caméra, fais des manières pour me faire désirer découvrir la femme que j'admire. C’est ça le mot « le désir », il faut l’éveiller et l’entretenir. Allez, tournez… Oui, lentement, langoureusement, écarte la bande entre les cuisses, laisse apparaître une lèvre, tourne, joue avec ton string, baisse devant, sur les côtés. Un peu de touffe… c’est parfait. Tu as le sens de ce qu’il faut faire. Bouge. Tu es hyper douée. Le moment le plus sensuel c’est le décollement du tissu retenu par la fente, fais ça au ralenti, ton spectateur bave, est subjugué. Fais tourner le tissu et lance le.
Le flatteur aura bientôt gagné un string.
- C’est tout ? Tu es satisfait. Alors quand est-ce que je signe?
- Tu peux continuer si tu veux. Beaucoup demandent des poses érotiques, beaucoup encore veulent voir ton sexe en détail. Tu as un clavier. Tu demandes des précisions, ils répondent, le temps passe, l’argent rentre et personne ne t’a touché jusqu’à présent.
- Les pauvres diables, faut-il qu’ils soient malheureux.
- Comme tu dis, il y en a qui se ruinent. Ce n'est pas ton affaire. Dans le fond, c’est un beau métier: tu vends du rêve. Tu es socialement utile, tu remplis une fonction noble, tu soulages les petites misères des délaissés. Bon, assez bavardé, examinons. Na, cette broussaille sauvage ne plaît qu’au plus petit nombre, il faudra une taille plus esthétique de ta toison, comme une marque de fabrique. Certaines coiffeuses le font. Moi-même j’ai une expérience dans ce domaine. Si tu as une paire de ciseaux et un rasoir, de la mousse à raser de ton jules, je peux donner un peu d’allure tout de suite à ton barbuet diriger le regard du voyeur vers l’essentiel.
- Tu es fou, Tu veux tailler dans mes poils ? Que va dire Serge, ce soir ?
- Quand il reviendra, tu lui annonceras que tu lui as préparé une surprise, sans autre précision. Il va réfléchir, regarder partout, t’interroger et quand il verra ta haie bien taillée, il sera tout heureux d’avoir trouvé et il sera content de ne plus risquer de se blesser dans ces grands poils fous à l’entrée du paradis. Car, vous baisez encore?
- Hé, tu deviens trop curieux. Je veux! Tu es sûr qu'il sera content ?
- Ça réussit toujours, crois en mon expérience, trois ans de métier, toutes sortes de filles, jamais de problème : plutôt des maris heureux et un retour de sexualité bénéfique pour des couples un peu désabusés par l’installation progressive de la routine. Ca redonne un coup de fouet au désir, le désir c’est le moteur des couples qui durent.
- Dans ce cas, j’ai encore une heure devant moi. Tu peux jouer au tailleur de barbichette, j’y pensais mais je n’osais pas. Serge m’en a parlé vaguement une fois. Je t’amène le nécessaire. Ne me blesse pas.
- Sois sans inquiétude, j’ai une longue habitude. Tu serais mieux couchée sur le dos au bord de la table. Là aussi, c’est une scène à jouer devant la camera. Tes jambes pendent dans le vide et pour me donner accès à la touffe, tu écartes bien les cuisses. Le type devant son écran voit la masse de poils frisés, les ciseaux et le peigne lui laissent espérer une vue dégagée, il envoie des messages pour t’encourager. On peut même envoyer le tableau pour les amateurs de salon payant collectif.
- Ça rapporte plus?
- Bien sûr. C’est tout bénéfice. Tu as une idée de la forme de la taille ? On peut dessiner un cœur, c’est très commun, laisser une barre verticale ou dessiner une flèche coquine.
- Une flèche de circulation: ça me plait. "Hé, monsieur, l'entrée est ici !"
- Avec la repousse elle se transformera éventuellement en cœur. Écarte un peu plus, il faut que je regarde de près, je ne dois pas entailler les lèvres. Tu sais, il y a des filles dont les petites lèvres pendent entre les grandes. C’est moche et les mecs abandonnent généralement au premier regard. Toi tu es parfaite, tes grandes lèvres jointes ne laissent rien passer. Elles tracent une ligne rose à peine perceptible à l’œil. Il faut les prendre en main afin de ne pas avoir d’accident. Et pour apercevoir le tacernacle, l faut tirer sur les côtés, comme ça.
- Oh!, ça me rend toute chose. Tu joues ou tu travailles?
- Les deux mon capitaine. J’évalue leur fermeté. Forcément je les touche et naturellement il se produit un afflux de sang. Maintenant je trace le fléchage, je dégrossis aux ciseaux, ne fais pas de bond, laisse-toi faire, détends-toi. Cool ! Pense à tous tes admirateurs potentiels. L’un d’eux s’est empoigné le manche et le secoue. La mousse, je l’étale. Attention c’est le passage le plus délicat, le rasoir ne doit pas déraper.
- Eh! Tu tires la peau, tu me chatouilles je sens que tu me fais mouiller.
- Sois professionnelle, c’est nécessaire, il faut y passer malgré les sensations agréables ou désagréables. Mais ce n’est pas désagréable, dis ?. Si? Tu m’étonnerais. Tu es très sensible, plus que les autres que j’ai rasées. Je vois, tu mouilles au premier contact. C’est ennuyeux, il va falloir que tu apprennes à maîtriser tes émotions et tes réactions. Si tu démarres trop vite, finie la séance, finies les rentrées d’argent. Parfait, les lèvres sont dégagées, cela te rajeunit. Les vieux vont te prendre pour une gamine. Le top du top, c’est le rasage intégral.
- Tu ne pouvais pas le dire au début. Allez, rase tout, si ce n’est pas beau, je laisserai repousser la barbe.
- Je taille au plus court, j’étale la mousse avec les doigts.
- Pas de mousse sur mon clitoris, y a pas de poils dessus. Oh...
- C'est juste mon index qui l'a frôlé, pardon.J’attrape le haut des lèvres, pour lisser la peau. S’il reste des plis, je vais te couper. Ton clitoris fait coucou. Qu’il est mignon, permets-moi de l’embrasser, c’est tellement émouvant.
- Tu n’es pas obligé de t’attarder, arrête Claude, tu n’es plus un gamin, noon, oh: non arrête. Je ne veux pas.
- C’est bien ce que je craignais, tu n’es pas vraiment mure pour ce travail. Trop sensible, trop d’inhibition. Pourtant, je t’ai bien dit qu’en phase trois, tu seras filmée avec des partenaires. Des professionnels certes, mais des hommes avec une bouche pour sucer, des mains pour ouvrir, pour écarter et exposer les chairs les plus intimes, un sexe à toucher, à caresser, à branler, à prendre en bouche ou à faire pénétrer dans le tien ou dans ton cul . Des fois, en trichant tu simuleras, d’autres fois il faudra faire l’amour avec ce professionnel.
- Je regrette, je manque d’habitude. Depuis que je suis avec Serge, plus personne ne m’a touchée comme tu viens de le faire. Je te promets de faire des efforts pour maîtriser mes réactions.
- C’est-à dire?
- Tu vas te changer et tu reviens en string et soutien-gorge, une tenue plus affriolante, un truc à réveiller la libido des hommes Tu es certainement parfaite, mais je dois l’attester et je n’ai pas droit à l’erreur: ma place est en jeu.
- Si c’est nécessaire, pourquoi pas. Et quand nous étions jeunes, tu m’as bien connue sous toutes les coutures et sans coutures même ! Attends un instant. Je reviens.
Elle se retire puis revient. Du bas je suis ses déplacements entre salon, chambre et salon.
-Hello, Claude comme ça, qu’en dis-tu? Est-ce assez coquin ? Ca te plaît ?
- Formidable! Tu ne t’es pas conservée, tu as littéralement embelli. Approche : tout à fait ce que nous recherchons. Tourne. La taille bien marquée, des hanches épanouies, une cambrure superbe; les épaules féminines. Les jambes ! Ha, ces jambes, belles des pieds jusqu'en haut. Ouvre la bouche: dents régulières et bien entretenues
- Pour voir mes dents était-il indispensable de me déshabiller.
- Je regarde un tout tu sais. Laisser tous ces trésors enfouis, quel gaspillage Crois-moi tu es faite pour ce m'étier. Là, sur la fesse et les cuisses, il y a un peu de cellulite. Nous te paierons quelques soins, crèmes et massages et ça disparaîtra. Les jambes élancées. Rapproche tes pieds, oui, on voit bien les cinq jours, en haut des cuisses, j’y passe l’auriculaire, au-dessus des genoux, au-dessus du mollet, au-dessus et sous la cheville. Tes pieds sont mignons. Donc, la seule chose à corriger, c’est cette peau d’orange là et là, tu sens où je mets la main. Et encore le grain de peau est très doux au toucher.
Voilà, elle s'est innocemment dénudée en partie et l'ami Claude touche, palpe la bête comme un maquignon sur le foirail, il évalue la silhouette et caresse le grain de peau. Patricia alléchée par les gains promis ne se méfie pas. Elle est parfois trop naïve mais fait pourtant remarquer:
- Sur internet, le voyeur ne touche pas
- Non, mais il suffit d’un petit détail pour qu’il quitte le site et donc cesse de payer. Tous les détails comptent. Par exemple, tes sous-vêtements ne sont pas vraiment sexys. Nous pourrons t’en prêter des plus attirants, plus échancrés, plus révélateurs de ta beauté et ensuite, tu pourras t’en payer avec tes gains. Si, si: même ton copain appréciera un regain de coquetterie.
- Ce n’est pas un problème. Bon, je peux me rhabiller?
- Ben… si tu souhaites aller en salon privé un jour, tu devras montrer un peu plus que ce que je peux voir. Si je dégrafe ton soutien gorge, ça ne t’effraye pas ? Je peux t'examiner mieux?
- Va pour le soutien-gorge.
- Ahhh! Quelle merveille! Deux seins magnifiques, écartés juste ce qu’il faut, ni trop lourds ni trop petits: deux somptueuses poires. Et fermes au toucher. avec des tétins réactifs. Tu permets, il faut que je les embrasse.Ios sont admirables
- Doucement, tu m’excites. Claude, enfin, tu n'as pas payé.
- Tu as toujours le mot pour rire. L’autre nibard est jaloux, il mérite aussi un petit suçon. Les pointes réagissent aux lèvres. Ca se voit à l'écran, c'est important, primordial. La première grossit entre mes doigts. Ça réveille des souvenirs heureux. Oh! Pat, je garderais bien ça pour moi tout seul. Mais pense aux milliers d’admirateurs qui vont tirer plaisir de te voir. Imagine que tu es devant une caméra, dans le salon, l’internaute te demande maintenant d’enlever le bas. Tu me suis ?
- Oui, mais j’y serai obligé, vraiment?
- Absolument pas. Jamais forcée, jamais si tu ne veux pas. N’oublie pas le but de ton travail: maintenir le demandeur devant son écran le plus longtemps possible. Si tu refuses, il ira voir ailleurs, ce n'est dommageable que pour ton portefeuille.. Donc, avec l’art consommé d’une stripteaseuse tu vas agiter le bassin, faire trembler tes fesses... Dévoilée par le côté, par le dessus et finalement, en variant les poses tu apparaîtras nue, avec une main cachant ce qu’il veut voir. Il réclamera plus, oubliera le temps qui passe et épuisera sa réserve de jetons, devra en racheter. Il faudra bien que tu lui en montres pour son argent. Parce que si tu veux le voir revenir, tu dois doser le mystère avec un peu d’impudeur virtuelle.
- Est-ce que ces types reviennent souvent?
- Oui, les clients sont fidèles, ils s’attachent à une fille sympathique et qui flatte leurs désirs. Ces voyeurs, il faut le savoir sont des malades, il leur faut leur traitement. Ce traitement c’est toi, ils rêvent de toi, ils veulent te revoir, ils te possèdent sur la toile. C’est d’ailleurs pourquoi tu ne dois jamais communiquer ton adresse ou ton téléphone; ce serait dangereux avec certains. Et ils sont avertis par le site, ils ne doivent pas demander d’ éléments d’identification.
- Donc, il y a des mesures de protection. Eh! Bien je suis intéressée.
- J’aimerais faire une dernière vérification. C’est délicat à demander comme à accorder, je le sais, mais... Il faut que je te prévienne : Certaines candidates se déballonnent parfois à ce moment de l'examen de leur candidature. Tu feras comme tu voudras. Comme nous nous connaissons bien, ce sera peut-être plus facile pour toi.
- Je devine à ta gêne, je devrais enlever le bas ? C’est ça ? Bof, une femme est une femme. Nous sommes toutes fendues, où est le mal de dévoiler son sexe à un recruteur ? Voilà.
- Je n’osais presque pas le réclamer. Si tu veux, mais essaie d’imaginer que je suis la caméra, fais des manières pour me faire désirer découvrir la femme que j'admire. C’est ça le mot « le désir », il faut l’éveiller et l’entretenir. Allez, tournez… Oui, lentement, langoureusement, écarte la bande entre les cuisses, laisse apparaître une lèvre, tourne, joue avec ton string, baisse devant, sur les côtés. Un peu de touffe… c’est parfait. Tu as le sens de ce qu’il faut faire. Bouge. Tu es hyper douée. Le moment le plus sensuel c’est le décollement du tissu retenu par la fente, fais ça au ralenti, ton spectateur bave, est subjugué. Fais tourner le tissu et lance le.
Le flatteur aura bientôt gagné un string.
- C’est tout ? Tu es satisfait. Alors quand est-ce que je signe?
- Tu peux continuer si tu veux. Beaucoup demandent des poses érotiques, beaucoup encore veulent voir ton sexe en détail. Tu as un clavier. Tu demandes des précisions, ils répondent, le temps passe, l’argent rentre et personne ne t’a touché jusqu’à présent.
- Les pauvres diables, faut-il qu’ils soient malheureux.
- Comme tu dis, il y en a qui se ruinent. Ce n'est pas ton affaire. Dans le fond, c’est un beau métier: tu vends du rêve. Tu es socialement utile, tu remplis une fonction noble, tu soulages les petites misères des délaissés. Bon, assez bavardé, examinons. Na, cette broussaille sauvage ne plaît qu’au plus petit nombre, il faudra une taille plus esthétique de ta toison, comme une marque de fabrique. Certaines coiffeuses le font. Moi-même j’ai une expérience dans ce domaine. Si tu as une paire de ciseaux et un rasoir, de la mousse à raser de ton jules, je peux donner un peu d’allure tout de suite à ton barbuet diriger le regard du voyeur vers l’essentiel.
- Tu es fou, Tu veux tailler dans mes poils ? Que va dire Serge, ce soir ?
- Quand il reviendra, tu lui annonceras que tu lui as préparé une surprise, sans autre précision. Il va réfléchir, regarder partout, t’interroger et quand il verra ta haie bien taillée, il sera tout heureux d’avoir trouvé et il sera content de ne plus risquer de se blesser dans ces grands poils fous à l’entrée du paradis. Car, vous baisez encore?
- Hé, tu deviens trop curieux. Je veux! Tu es sûr qu'il sera content ?
- Ça réussit toujours, crois en mon expérience, trois ans de métier, toutes sortes de filles, jamais de problème : plutôt des maris heureux et un retour de sexualité bénéfique pour des couples un peu désabusés par l’installation progressive de la routine. Ca redonne un coup de fouet au désir, le désir c’est le moteur des couples qui durent.
- Dans ce cas, j’ai encore une heure devant moi. Tu peux jouer au tailleur de barbichette, j’y pensais mais je n’osais pas. Serge m’en a parlé vaguement une fois. Je t’amène le nécessaire. Ne me blesse pas.
- Sois sans inquiétude, j’ai une longue habitude. Tu serais mieux couchée sur le dos au bord de la table. Là aussi, c’est une scène à jouer devant la camera. Tes jambes pendent dans le vide et pour me donner accès à la touffe, tu écartes bien les cuisses. Le type devant son écran voit la masse de poils frisés, les ciseaux et le peigne lui laissent espérer une vue dégagée, il envoie des messages pour t’encourager. On peut même envoyer le tableau pour les amateurs de salon payant collectif.
- Ça rapporte plus?
- Bien sûr. C’est tout bénéfice. Tu as une idée de la forme de la taille ? On peut dessiner un cœur, c’est très commun, laisser une barre verticale ou dessiner une flèche coquine.
- Une flèche de circulation: ça me plait. "Hé, monsieur, l'entrée est ici !"
- Avec la repousse elle se transformera éventuellement en cœur. Écarte un peu plus, il faut que je regarde de près, je ne dois pas entailler les lèvres. Tu sais, il y a des filles dont les petites lèvres pendent entre les grandes. C’est moche et les mecs abandonnent généralement au premier regard. Toi tu es parfaite, tes grandes lèvres jointes ne laissent rien passer. Elles tracent une ligne rose à peine perceptible à l’œil. Il faut les prendre en main afin de ne pas avoir d’accident. Et pour apercevoir le tacernacle, l faut tirer sur les côtés, comme ça.
- Oh!, ça me rend toute chose. Tu joues ou tu travailles?
- Les deux mon capitaine. J’évalue leur fermeté. Forcément je les touche et naturellement il se produit un afflux de sang. Maintenant je trace le fléchage, je dégrossis aux ciseaux, ne fais pas de bond, laisse-toi faire, détends-toi. Cool ! Pense à tous tes admirateurs potentiels. L’un d’eux s’est empoigné le manche et le secoue. La mousse, je l’étale. Attention c’est le passage le plus délicat, le rasoir ne doit pas déraper.
- Eh! Tu tires la peau, tu me chatouilles je sens que tu me fais mouiller.
- Sois professionnelle, c’est nécessaire, il faut y passer malgré les sensations agréables ou désagréables. Mais ce n’est pas désagréable, dis ?. Si? Tu m’étonnerais. Tu es très sensible, plus que les autres que j’ai rasées. Je vois, tu mouilles au premier contact. C’est ennuyeux, il va falloir que tu apprennes à maîtriser tes émotions et tes réactions. Si tu démarres trop vite, finie la séance, finies les rentrées d’argent. Parfait, les lèvres sont dégagées, cela te rajeunit. Les vieux vont te prendre pour une gamine. Le top du top, c’est le rasage intégral.
- Tu ne pouvais pas le dire au début. Allez, rase tout, si ce n’est pas beau, je laisserai repousser la barbe.
- Je taille au plus court, j’étale la mousse avec les doigts.
- Pas de mousse sur mon clitoris, y a pas de poils dessus. Oh...
- C'est juste mon index qui l'a frôlé, pardon.J’attrape le haut des lèvres, pour lisser la peau. S’il reste des plis, je vais te couper. Ton clitoris fait coucou. Qu’il est mignon, permets-moi de l’embrasser, c’est tellement émouvant.
- Tu n’es pas obligé de t’attarder, arrête Claude, tu n’es plus un gamin, noon, oh: non arrête. Je ne veux pas.
- C’est bien ce que je craignais, tu n’es pas vraiment mure pour ce travail. Trop sensible, trop d’inhibition. Pourtant, je t’ai bien dit qu’en phase trois, tu seras filmée avec des partenaires. Des professionnels certes, mais des hommes avec une bouche pour sucer, des mains pour ouvrir, pour écarter et exposer les chairs les plus intimes, un sexe à toucher, à caresser, à branler, à prendre en bouche ou à faire pénétrer dans le tien ou dans ton cul . Des fois, en trichant tu simuleras, d’autres fois il faudra faire l’amour avec ce professionnel.
- Je regrette, je manque d’habitude. Depuis que je suis avec Serge, plus personne ne m’a touchée comme tu viens de le faire. Je te promets de faire des efforts pour maîtriser mes réactions.
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