Une opportunité tentante 4
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une opportunité tentante 4
« Un, deux, trois »
-Aïe, ouïe, ho, hé, ff, ff
J'entends, je vois, je suis au supplice.
Claude s’est enfoncé du premier coup jusqu’à la garde dans une Patricia offerte, croupe à hauteur voulue. Pour le plaisir du recruteur il n'y a pas de demi mesure et il va à la manoeuvre avec fougue. Et moi, je ne suis pas intervenu. J’ai envisagé de le terrasser, de faire apparaître au grand jour l’arnaque, d’ouvrir les yeux de Patricia, pour la protéger de lui et d’elle-même. Je me suis ravisé. Si elle est prise sous le mâle, elle l’a bien voulu. Elle a ouvert elle même le pantalon et déballé le sexe qui la labourera. Par paliers, elle s’est laissé envoûter. L’habile gredin a su lui faire accepter de se prêter à tous ses jeux et maintenant, le prétendu professionnel s’est solidement fiché en elle, immobile au fond du vagin rendu humide par les préliminaires toujours professionnels.
Patricia a consenti à se masturber devant Claude jusqu’à l’orgasme, premier exploit. Elle a permis et courageusement supporté le contact des doigts et de la bouche sur son corps. L'examinateur a touché les cuisses pour indiquer les emplacements à masser afin d‘éliminer la cellulite, il a du doigt compté les jours entre les jambes, il a soupesé la poitrine, en a éprouvé la fermeté, évalué la réaction aux doigts, aux lèvres et à la succion. Il a vanté la finesse de la taille et flatté des mains le rebondi des hanches, il a pratiqué, après attouchement du sexe chahuté par ses doigts, le cunnilingus, "imitation studio" disait-il, qui a cabré Pat et a ému ses sens.
La pénétration complète a été savamment préparée. Le vagin inondé par l’accumulation des sensations s’est ouvert facilement pour accueillir l’envahisseur. Toujours planté à fond, il imprime à son bassin collé au fessier, une rotation lente et appuyée. Obéissante Patricia a poussé le cri inscrit au programme du parfait professionnel. Mais les couinements suivants sont spontanés et reflètent le plaisir sexuel tout simple, procuré par la présence et les poussées de cette verge au plus chaud de sa féminité. Du jeu ils ont glissé à une rude réalité sexuelle.
Le recruteur veut maintenir l’illusion d'une répétition décisive pour sa carrière
- Tourne la tête à gauche, regarde le vase sur l’étagère, c’est la caméra qui nous filme. Ton spectateur veut lire sur tes traits l’expression de ton plaisir. Sois naturelle.
Le plaisir embrume la vue de ma femme. Sinon elle pourrait m'apercevoir dans la fente entre porte et huisserie. Et c'est vrai, le spectateur, que je suis, voit sur son visage de femme possédée l'expression du plaisir que je croyais sottement être le seul capable de faire éclore.Je suis condamné désormais à voir et à entendre la suite. Claude ne m'épargne pas les détails de la possession :
- Là je me retire doucement et soudain, arrivé en bout de course, à l’instant précis où mon gland semble te quitter à regret, je replonge en toi : on doit le savoir à la seule lueur de ton regard ou à la plainte de ta gorge. Tu me comprends ? On recommence, vlan….je n’ai rien remarqué : sursaute, cambre-toi, gueule de douleur ou de joie, sois expressive. Allez, encore.
Cette fois, tout y est, le son, le regard, le mouvement de la croupe, la tête enfoncée avec les épaules dans l’accoudoir. C’est que le démonstrateur y va gaiement, en puissance, ne ménage pas son énergie. Il aurait bien tort de se priver et promet mieux encore
- C’est mieux, ma belle. On va enchaîner par une suite d’allers retours. Laisse-toi aller, comme si tu faisais vraiment l’amour.
Comment ? Que croit-elle faire sinon l'amour ? Heureusement, si elle se demande à quoi elle se livre actuellement, Claude lui rappelle qu’elle fait "semblant" de faire l’amour: c’est un entraînement professionnel, mais ça doit paraître réel. Et moi, dans l’embrasure de la porte je ne vois pas la différence. Je ne sens pas que Patricia simule. Toujours soucieux de se présenter à la caméra, le gaillard s’est couché sur le dos de ma femme, peau à peau, légèrement plus à droite et attrape le sein droit, s’accroche à la monture et continue son mouvement d’entrée choc et de retrait freiné. Il touille vaillamment, fourre, bourre, assaille. C’est un recruteur consciencieux. Il se donne à fond pour convaincre, et la réponse satisfaite de la candidate récompense ses efforts.
- J’entends que tu apprécies. C’est bien. Tu ne dois pas t’épuiser au premier assaut. Garde de l'énergie sous le pied pour une probable suite au cas où il reste des jetons au généreux payeur.Souviens-toi, il faut créer l’illusion mais il faut surtout garder le cochon payant devant son moniteur le plus longtemps possible. Il faut durer. D’accord ?
- C’est vrai. Mais Claude cet exercice me rappelle tellement de bons souvenirs d’autrefois. J’ai du mal à me retenir.
- Il va falloir t’y faire si tu veux l’emploi. Je vais accélérer le rythme de la relation, te bousculer plus fort : essaie de dominer tes réactions, grimace ouvertement, mais ce n’est pas déjà l’heure de t’envoyer en l’air. Parce que, parmi mes étalons j’en ai de bien montés, longs et de gros diamètre, si tu démarres au premier coup de manivelle tu ficheras la représentation en l’air. Tu me sens, oui, serre les dents, pense à autre chose. Imagine ton spectateur qui se masturbe devant son écran. Comment réagirais-tu si ton Serge arrivait, que lui dirais-tu? Cherche l’explication adéquate pour le rouler dans la farine. Ou pense aux marins bretons pris dans une tempête.
C’est original dans cette position. Il parle, mais il bouge, la cadence des coups a augmenté, il glisse sa main droite sous le ventre de Pat et l’agite sur le clitoris comme un joueur de mandoline gratte ses cordes. Il transpire, se contracte et finit en s’extirpant vivement de l’antre en feu.
-Excuse-moi. A mon tour j’ai eu l’impression de revivre une scène du passé et j’ai failli te remplir de sperme. Or nous ne sommes pas là pour ça. Prenons quelques minutes de repos pour calmer l’excitation.
- On pourrait peut-être se contenter de cet exercice aujourd’hui.
- C’est comme tu veux. Cependant on pourrait étudier l’une ou l’autre pose plus réclamée. Par exemple celle-ci. Je m’assieds, jambes rapprochées, tu te penches sur moi, tu me prends en main, tu remplis ta paume de mes bourses, tu les embrasses, tu remontes le long de mon pénis, tu lèches, oui, comme ça, mais pas trop fort, il faut durer. Tu me tailles une pipe. Le gland en premier puis tu m’embouches de plus en plus et si tu y parviens tu viens coller tes lèvres à mon pubis et … Bon arrête, tu m’excites trop. Restons professionnel.
Tourne-toi vers la caméra, recule, jambes écartées, place-toi au-dessus de mon pieu. Tu te penches en avant.
Patricia est une apprentie attentive et appliquée. Elle saisit le membre avant d’en recevoir l’ordre et le présente à sa fente. De sa main libre, elle ouvre la vulve gourmande et descend prudemment au contact. Claude se soulève comme un ressort comprimé et se projette dans le canal. Il n’a pas besoin de commander le son, ma femme ne simule pas, frappée en plein cœur. Elle pousse des gémissements rauques annonciateurs d’un orgasme prochain. A ce train là, ça ne va pas tarder. Son visage congestionné est couvert de sueur.
- Mets tes mains sur ton sexe, écarte au maximum, tire sur les babines, que les spectateurs se rincent l’œil; ils doivent voir tes chairs roses et mon pilon qui te défonce. Stop, lève-toi, tourne-toi et empale-toi, dos tourné à la caméra. Creuse les reins, ils doivent découvrir la rondelle de ton trou du cul et, en-dessous l’arrière rose et trempé de ta fente eenvahie par mon machin coulissant. Pense à bien t’exposer, jambes au large, fesses décrivant d’amples montées. Tu as la pose, mouvement, c’est toi qui mènes le bal, fonce, ne te retiens plus, c’est le final. Allez, au galop. Souffle, sue, rougis, rue, force, vas-y. oh! Ce n’est pas vrai! Je viens, excuse-moi .
- Mais que fais-tu ? Tu m’as envoyé la purée. Ah! Non. Là tu exagères. Ce n’est pas professionnel ça. Cochon, tu m’as remplie de foutre sans prévenir. C’est toujours comme ça ? Tu es resté éjaculateur précoce ?
- Tu appelles ça éjaculateur précoce ? Eh bien, il t'en faut des coups de bite. Depuis que je rame, tu me trouves trop rapide ?. Non, j'éjacule rarement au contraire. Excuse-moi, cela a été plus fort que moi. Jusqu’alors, jamais je n’ai envoyé mon sperme dans une candidate. Toi, je n’ai jamais pu t’oublier. C’est une erreur de recruter des personnes dont on est amoureux.
Tiens, il est amoureux, il le proclame, elle n’aurait pas entendu ? Elle pense à autre chose, ne relève pas l'aveu. Sa préoccupation est autre :
- Eh! Ne me dis pas que j’ai raté mon examen. Si tu ne sors pas tes contrats immédiatement je te tue. Installe-toi à la table, pendant que je vais faire un brin de toilette. Regarde, berk, ça dégouline à terre, le long de mes cuisses. Ma foufoune bave encore. Tu demandes de faire durer et tu exploses sans prévenir . Mais regarde-toi, tu es tout barbouillé de ta sauce de couilles. Viens avec moi sous la douche.
J’ai eu le temps de fuir au fond du couloir, dans la chambre de notre futur bébé. A cette allure, ce ne sera pas mon bébé mais celui de Claude. Ils se dépêchent dans la salle de bain mais trouvent encore le temps de se chatouiller et de se livrer à des attouchements qui font hurler Patricia. Enfin ils vont se vêtir au salon. C'est fini pour aujourd'hui. Patricia en veut pour sa dépense physique, montre combien elle tient à obtenir le poste de modèle sur le web :
- Claude, pour les contrats, peux-tu passer demain matin vers 8h 30 ? Ce n'est pas possible maintenant, les épreuves de sélection ont été trop longues.
- Tu n'es pas contente d'être admise ? D’accord, c'était long, mais c'était si bon et je te réserve une bonne surprise. Je t’embrasse, à demain. Veux-tu que je te dépose, ça ira plus vite et j’aurai plaisir à t’attendre ce soir à la sortie pour te ramener chez toi.
-Aïe, ouïe, ho, hé, ff, ff
J'entends, je vois, je suis au supplice.
Claude s’est enfoncé du premier coup jusqu’à la garde dans une Patricia offerte, croupe à hauteur voulue. Pour le plaisir du recruteur il n'y a pas de demi mesure et il va à la manoeuvre avec fougue. Et moi, je ne suis pas intervenu. J’ai envisagé de le terrasser, de faire apparaître au grand jour l’arnaque, d’ouvrir les yeux de Patricia, pour la protéger de lui et d’elle-même. Je me suis ravisé. Si elle est prise sous le mâle, elle l’a bien voulu. Elle a ouvert elle même le pantalon et déballé le sexe qui la labourera. Par paliers, elle s’est laissé envoûter. L’habile gredin a su lui faire accepter de se prêter à tous ses jeux et maintenant, le prétendu professionnel s’est solidement fiché en elle, immobile au fond du vagin rendu humide par les préliminaires toujours professionnels.
Patricia a consenti à se masturber devant Claude jusqu’à l’orgasme, premier exploit. Elle a permis et courageusement supporté le contact des doigts et de la bouche sur son corps. L'examinateur a touché les cuisses pour indiquer les emplacements à masser afin d‘éliminer la cellulite, il a du doigt compté les jours entre les jambes, il a soupesé la poitrine, en a éprouvé la fermeté, évalué la réaction aux doigts, aux lèvres et à la succion. Il a vanté la finesse de la taille et flatté des mains le rebondi des hanches, il a pratiqué, après attouchement du sexe chahuté par ses doigts, le cunnilingus, "imitation studio" disait-il, qui a cabré Pat et a ému ses sens.
La pénétration complète a été savamment préparée. Le vagin inondé par l’accumulation des sensations s’est ouvert facilement pour accueillir l’envahisseur. Toujours planté à fond, il imprime à son bassin collé au fessier, une rotation lente et appuyée. Obéissante Patricia a poussé le cri inscrit au programme du parfait professionnel. Mais les couinements suivants sont spontanés et reflètent le plaisir sexuel tout simple, procuré par la présence et les poussées de cette verge au plus chaud de sa féminité. Du jeu ils ont glissé à une rude réalité sexuelle.
Le recruteur veut maintenir l’illusion d'une répétition décisive pour sa carrière
- Tourne la tête à gauche, regarde le vase sur l’étagère, c’est la caméra qui nous filme. Ton spectateur veut lire sur tes traits l’expression de ton plaisir. Sois naturelle.
Le plaisir embrume la vue de ma femme. Sinon elle pourrait m'apercevoir dans la fente entre porte et huisserie. Et c'est vrai, le spectateur, que je suis, voit sur son visage de femme possédée l'expression du plaisir que je croyais sottement être le seul capable de faire éclore.Je suis condamné désormais à voir et à entendre la suite. Claude ne m'épargne pas les détails de la possession :
- Là je me retire doucement et soudain, arrivé en bout de course, à l’instant précis où mon gland semble te quitter à regret, je replonge en toi : on doit le savoir à la seule lueur de ton regard ou à la plainte de ta gorge. Tu me comprends ? On recommence, vlan….je n’ai rien remarqué : sursaute, cambre-toi, gueule de douleur ou de joie, sois expressive. Allez, encore.
Cette fois, tout y est, le son, le regard, le mouvement de la croupe, la tête enfoncée avec les épaules dans l’accoudoir. C’est que le démonstrateur y va gaiement, en puissance, ne ménage pas son énergie. Il aurait bien tort de se priver et promet mieux encore
- C’est mieux, ma belle. On va enchaîner par une suite d’allers retours. Laisse-toi aller, comme si tu faisais vraiment l’amour.
Comment ? Que croit-elle faire sinon l'amour ? Heureusement, si elle se demande à quoi elle se livre actuellement, Claude lui rappelle qu’elle fait "semblant" de faire l’amour: c’est un entraînement professionnel, mais ça doit paraître réel. Et moi, dans l’embrasure de la porte je ne vois pas la différence. Je ne sens pas que Patricia simule. Toujours soucieux de se présenter à la caméra, le gaillard s’est couché sur le dos de ma femme, peau à peau, légèrement plus à droite et attrape le sein droit, s’accroche à la monture et continue son mouvement d’entrée choc et de retrait freiné. Il touille vaillamment, fourre, bourre, assaille. C’est un recruteur consciencieux. Il se donne à fond pour convaincre, et la réponse satisfaite de la candidate récompense ses efforts.
- J’entends que tu apprécies. C’est bien. Tu ne dois pas t’épuiser au premier assaut. Garde de l'énergie sous le pied pour une probable suite au cas où il reste des jetons au généreux payeur.Souviens-toi, il faut créer l’illusion mais il faut surtout garder le cochon payant devant son moniteur le plus longtemps possible. Il faut durer. D’accord ?
- C’est vrai. Mais Claude cet exercice me rappelle tellement de bons souvenirs d’autrefois. J’ai du mal à me retenir.
- Il va falloir t’y faire si tu veux l’emploi. Je vais accélérer le rythme de la relation, te bousculer plus fort : essaie de dominer tes réactions, grimace ouvertement, mais ce n’est pas déjà l’heure de t’envoyer en l’air. Parce que, parmi mes étalons j’en ai de bien montés, longs et de gros diamètre, si tu démarres au premier coup de manivelle tu ficheras la représentation en l’air. Tu me sens, oui, serre les dents, pense à autre chose. Imagine ton spectateur qui se masturbe devant son écran. Comment réagirais-tu si ton Serge arrivait, que lui dirais-tu? Cherche l’explication adéquate pour le rouler dans la farine. Ou pense aux marins bretons pris dans une tempête.
C’est original dans cette position. Il parle, mais il bouge, la cadence des coups a augmenté, il glisse sa main droite sous le ventre de Pat et l’agite sur le clitoris comme un joueur de mandoline gratte ses cordes. Il transpire, se contracte et finit en s’extirpant vivement de l’antre en feu.
-Excuse-moi. A mon tour j’ai eu l’impression de revivre une scène du passé et j’ai failli te remplir de sperme. Or nous ne sommes pas là pour ça. Prenons quelques minutes de repos pour calmer l’excitation.
- On pourrait peut-être se contenter de cet exercice aujourd’hui.
- C’est comme tu veux. Cependant on pourrait étudier l’une ou l’autre pose plus réclamée. Par exemple celle-ci. Je m’assieds, jambes rapprochées, tu te penches sur moi, tu me prends en main, tu remplis ta paume de mes bourses, tu les embrasses, tu remontes le long de mon pénis, tu lèches, oui, comme ça, mais pas trop fort, il faut durer. Tu me tailles une pipe. Le gland en premier puis tu m’embouches de plus en plus et si tu y parviens tu viens coller tes lèvres à mon pubis et … Bon arrête, tu m’excites trop. Restons professionnel.
Tourne-toi vers la caméra, recule, jambes écartées, place-toi au-dessus de mon pieu. Tu te penches en avant.
Patricia est une apprentie attentive et appliquée. Elle saisit le membre avant d’en recevoir l’ordre et le présente à sa fente. De sa main libre, elle ouvre la vulve gourmande et descend prudemment au contact. Claude se soulève comme un ressort comprimé et se projette dans le canal. Il n’a pas besoin de commander le son, ma femme ne simule pas, frappée en plein cœur. Elle pousse des gémissements rauques annonciateurs d’un orgasme prochain. A ce train là, ça ne va pas tarder. Son visage congestionné est couvert de sueur.
- Mets tes mains sur ton sexe, écarte au maximum, tire sur les babines, que les spectateurs se rincent l’œil; ils doivent voir tes chairs roses et mon pilon qui te défonce. Stop, lève-toi, tourne-toi et empale-toi, dos tourné à la caméra. Creuse les reins, ils doivent découvrir la rondelle de ton trou du cul et, en-dessous l’arrière rose et trempé de ta fente eenvahie par mon machin coulissant. Pense à bien t’exposer, jambes au large, fesses décrivant d’amples montées. Tu as la pose, mouvement, c’est toi qui mènes le bal, fonce, ne te retiens plus, c’est le final. Allez, au galop. Souffle, sue, rougis, rue, force, vas-y. oh! Ce n’est pas vrai! Je viens, excuse-moi .
- Mais que fais-tu ? Tu m’as envoyé la purée. Ah! Non. Là tu exagères. Ce n’est pas professionnel ça. Cochon, tu m’as remplie de foutre sans prévenir. C’est toujours comme ça ? Tu es resté éjaculateur précoce ?
- Tu appelles ça éjaculateur précoce ? Eh bien, il t'en faut des coups de bite. Depuis que je rame, tu me trouves trop rapide ?. Non, j'éjacule rarement au contraire. Excuse-moi, cela a été plus fort que moi. Jusqu’alors, jamais je n’ai envoyé mon sperme dans une candidate. Toi, je n’ai jamais pu t’oublier. C’est une erreur de recruter des personnes dont on est amoureux.
Tiens, il est amoureux, il le proclame, elle n’aurait pas entendu ? Elle pense à autre chose, ne relève pas l'aveu. Sa préoccupation est autre :
- Eh! Ne me dis pas que j’ai raté mon examen. Si tu ne sors pas tes contrats immédiatement je te tue. Installe-toi à la table, pendant que je vais faire un brin de toilette. Regarde, berk, ça dégouline à terre, le long de mes cuisses. Ma foufoune bave encore. Tu demandes de faire durer et tu exploses sans prévenir . Mais regarde-toi, tu es tout barbouillé de ta sauce de couilles. Viens avec moi sous la douche.
J’ai eu le temps de fuir au fond du couloir, dans la chambre de notre futur bébé. A cette allure, ce ne sera pas mon bébé mais celui de Claude. Ils se dépêchent dans la salle de bain mais trouvent encore le temps de se chatouiller et de se livrer à des attouchements qui font hurler Patricia. Enfin ils vont se vêtir au salon. C'est fini pour aujourd'hui. Patricia en veut pour sa dépense physique, montre combien elle tient à obtenir le poste de modèle sur le web :
- Claude, pour les contrats, peux-tu passer demain matin vers 8h 30 ? Ce n'est pas possible maintenant, les épreuves de sélection ont été trop longues.
- Tu n'es pas contente d'être admise ? D’accord, c'était long, mais c'était si bon et je te réserve une bonne surprise. Je t’embrasse, à demain. Veux-tu que je te dépose, ça ira plus vite et j’aurai plaisir à t’attendre ce soir à la sortie pour te ramener chez toi.
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