Une rencontre cinématographique
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une rencontre cinématographique
J'adore les caresses, surtout sur mon cul. Une grosse main rugueuse qui souligne le galbe de mes fesses, ça me transporte jusqu'au septième ciel. Bien sûr, je me laisse sodomiser. Ce n'est pas que j'en sois friand, mes les caresses et les travaux d'approche de mes suborneurs sont vraiment de petits cadeaux, pour ceux qui osent s'aventurer dans mes sous-vêtements.
La grosse main calleuse frôle les rondeurs de mon cul dans le noir. Immédiatement, ma pine se durcit. Je suis en apnée. Le souffle court, je tend mes fesses à la main exploratrice.
Je connais son mode opératoire par coeur. Et pourtant, à chaque fois, c'est le même émoi. La main se pose sur ma braguette, et cherche le moyen de l'ouvrir, fermeture éclair ou boutons ? L'habitant(e) des lieux est déjà raide et dur(e), signe du consentement de son propriétaire à l'intrusion de la main. Les doigts effleurent la bite, arrachant à ce dernier un soupir de désir. Les voilà dans le slip. Ils s'enroulent autour du sexe tendu, et le pressent pour tester l'adhésion du sujet à l'agression latente. Quand elle est rassurée sur l'effet de son action, la main ouvre le pantalon et le fait glisser le long des jambes du destinataire de la caresse. Dans la pénombre de la salle de cinéma, la blancheur de sa peau attire les regards. La main, aidée de sa consoeur, agrippe le sous-vêtement sur les hanches de son occupant et le descend jusque sur ses chaussures. Les fesses, aussi blanches que les jambes, voire plus, montrent un cul rond et bien galbé, qui donne envie de le caresser et même de le mordre. Finalement, les mains tournent les hanches de l'homme à moitié nu, découvrant le sexe dressé et tendu.
Une bouche s'approche du gland violacé. Les lèvres s'entrouvrent, et une langue pointue vient lécher la petite fente d'où sortira le jus tant apprécié. Le gros sexe trésaille au contact de la langue. Les lèvres s'écartent un peu plus, et se referment sur le bonbon de chair. La salive lubrifie le sceptre du quidam et il glisse au fond de la bouche. Les lèvres montent et descendent le long du gros manche, provocant un nouveau soupir d'aise. Maintenant, elles s'écrasent sur les poils du pubis où trône l'objet du désir. Celui-ci est tendu, prêt à exploser. Il est au fond de la gorge de l'auteur anonyme du forfait. Celui-ci accélère le mouvement et, conséquence de cette action, son membre se déverse dans la bouche qui le retenait entre ses dents.
Le propriétaire de la bouche, saisit à nouveau les hanches et leur fait faire un nouveau demi-tour. Il saisit les mains de l'homme à demi-nu et les posent sur le dossier du fauteuil de cinéma, juste devant lui. Son bras s'enroule autour de sa taille, pour le faire se pencher en avant. Un doigt s'insinue dans la raie, tendue vers arrière, et s'introduit dans le petit trou qui ferme l'entrée du cul. Enduit de salive, le doigt commence à lubrifier l'entrée du temple du plaisir. Quand le passage est fait. Le membre du suceur se glisse entre les globes des fesses. Le gland se pose sur le petit trou. Le bras, toujours autour de la taille de l'homme à demi-nu, le suceur donne un coup de reins, et son membre s'introduit dans le cul. Il entre et ressort en cadence, et de plus en plus vite. Jusqu'à ce qu'une nouvelle fois, il déverse son jus au fond des entrailles de l'homme à demi-nu.
L'enculeur se retire, se rhabille et s'en va, laissant l'homme à demi-nu, se rhabiller et partir à son tour. Comblé ? Je ne sais pas. Par les caresses, oui, par la sodomie, pas sûr.
La grosse main calleuse frôle les rondeurs de mon cul dans le noir. Immédiatement, ma pine se durcit. Je suis en apnée. Le souffle court, je tend mes fesses à la main exploratrice.
Je connais son mode opératoire par coeur. Et pourtant, à chaque fois, c'est le même émoi. La main se pose sur ma braguette, et cherche le moyen de l'ouvrir, fermeture éclair ou boutons ? L'habitant(e) des lieux est déjà raide et dur(e), signe du consentement de son propriétaire à l'intrusion de la main. Les doigts effleurent la bite, arrachant à ce dernier un soupir de désir. Les voilà dans le slip. Ils s'enroulent autour du sexe tendu, et le pressent pour tester l'adhésion du sujet à l'agression latente. Quand elle est rassurée sur l'effet de son action, la main ouvre le pantalon et le fait glisser le long des jambes du destinataire de la caresse. Dans la pénombre de la salle de cinéma, la blancheur de sa peau attire les regards. La main, aidée de sa consoeur, agrippe le sous-vêtement sur les hanches de son occupant et le descend jusque sur ses chaussures. Les fesses, aussi blanches que les jambes, voire plus, montrent un cul rond et bien galbé, qui donne envie de le caresser et même de le mordre. Finalement, les mains tournent les hanches de l'homme à moitié nu, découvrant le sexe dressé et tendu.
Une bouche s'approche du gland violacé. Les lèvres s'entrouvrent, et une langue pointue vient lécher la petite fente d'où sortira le jus tant apprécié. Le gros sexe trésaille au contact de la langue. Les lèvres s'écartent un peu plus, et se referment sur le bonbon de chair. La salive lubrifie le sceptre du quidam et il glisse au fond de la bouche. Les lèvres montent et descendent le long du gros manche, provocant un nouveau soupir d'aise. Maintenant, elles s'écrasent sur les poils du pubis où trône l'objet du désir. Celui-ci est tendu, prêt à exploser. Il est au fond de la gorge de l'auteur anonyme du forfait. Celui-ci accélère le mouvement et, conséquence de cette action, son membre se déverse dans la bouche qui le retenait entre ses dents.
Le propriétaire de la bouche, saisit à nouveau les hanches et leur fait faire un nouveau demi-tour. Il saisit les mains de l'homme à demi-nu et les posent sur le dossier du fauteuil de cinéma, juste devant lui. Son bras s'enroule autour de sa taille, pour le faire se pencher en avant. Un doigt s'insinue dans la raie, tendue vers arrière, et s'introduit dans le petit trou qui ferme l'entrée du cul. Enduit de salive, le doigt commence à lubrifier l'entrée du temple du plaisir. Quand le passage est fait. Le membre du suceur se glisse entre les globes des fesses. Le gland se pose sur le petit trou. Le bras, toujours autour de la taille de l'homme à demi-nu, le suceur donne un coup de reins, et son membre s'introduit dans le cul. Il entre et ressort en cadence, et de plus en plus vite. Jusqu'à ce qu'une nouvelle fois, il déverse son jus au fond des entrailles de l'homme à demi-nu.
L'enculeur se retire, se rhabille et s'en va, laissant l'homme à demi-nu, se rhabiller et partir à son tour. Comblé ? Je ne sais pas. Par les caresses, oui, par la sodomie, pas sûr.
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