Une semaine de chien Partie 1/7
Récit érotique écrit par Isno [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une semaine de chien Partie 1/7
Une semaine de chien
D'où provenait ce fantasme ? Depuis combien de temps était-il ancré en moi, insidieux, tentateur ? Ma jeune expérience m'avait déjà permis de connaître bon nombre de partenaires, hommes et femmes et mes goûts étaient déjà bien définis. J'étais bi, et soumis avec les hommes. Rien n'égalait à mes yeux le plaisir d'offrir une fellation à son maître, agenouillé devant lui, les fesses rougies par les fessées répétées. Mon anus n'était lui aussi déjà plus aussi innocent que l'on pouvait le croire, mon corps svelte et clair, presque efféminé pour certains avait déjà subit les assauts de bon nombres d’hommes à la virilité marquée. Je masquait derrière mes lunettes des yeux débordants de désirs, toujours à l’affût d'une entrejambe sur laquelle fantasmer.
Je ne savais pas ce qui m'avait fait sauter le pas ce soir, l'horloge affichait déjà 23 heures passées et mes doigts venaient de terminer de rédiger l'annonce qui allait me conduire à une magnifique expérience.
"Jeune soumis de 20 ans recherche un maître pour le traiter comme un chien pendant une semaine. Laisse, gamelle et accessoires à fournir."
C'est pourtant totalement ignorant le succès de ces quelques mots que j'allais me lover sous mes draps blancs.
Mon réveil se fit avec difficultés, et c'est après de longues minutes à bataille contre moi même que je m'extirpai de la douche chaleur du tissu. J'allumai mon ordinateur d'un geste machinal et me rendis sur ma boite mail. C'est avec stupeur que je découvrit une vingtaine de mails répondant à mon annonce de la veille. Je les parcouru, à moitié effaré de mon succès avant de tomber sur une texte qui me fit frissonner. Un homme d'une trentaine d'années me proposait de passer la semaine chez lui, il avait joint des photos plus qu'explicites de son corps musclé, complètement rasé ainsi que de son équipement. Une grande cage pouvant abriter sans difficultés une gros chien et dans laquelle se trouvaient deux gamelles trônait au centre d'une petite pièce. A ses côtés étaient éparpillés une laisse, des menottes, une collier en cuir ainsi qu'un déguisement comprenant au minimum des oreilles, un plug surmontée d'une longue queue de chien et une panoplie de jouets.
A la vue de ces images, je m'imaginais sans peines tout le plaisir qui m'attendait, ma réponse fut brève mais me permit d'obtenir le rendez-vous tant convoité. Une seule consigne m'avait été donnée, je devait obéir aux ordres immédiatement et cela, quels qu'ils soient au risque de voir ma semaine de luxure s'achever brutalement. En un mot, j'appartenait corps et âme à mon maître pour une durée de sept jours.
Je me rendis dans ma nouvelle demeure le lendemain en début de soirée, ma première journée allait être courte mais je bouillait d'excitation. La porte s'ouvrit sur un homme vêtu d'un t-shirt noir moulant donc le col en V laissait apercevoir une jolie musculation. Son jean également assez près du corps m'offrirait bientôt une vue bien plus agréable . Mon maître me dévisagea, je sentis son regard caresser mon corps de bas en haut et le rouge me monta légèrement aux joues.
"Déshabille-toi, ordonna t'il soudain."
Je le fixais, incrédule alors qu'il ne semblait pas vouloir me laisser pénétrer dans la maison. Je compris brusquement et mon regard se dirigea dans la rue, des passants se pressaient au loin, il leur était certes impossible de voir mon visage à cette distance mais la vue d'une personne se dénudant ne leur échapperait aucunement. Me voyant hésiter, l'homme eu un air déçu et commença à fermer la porte. Mon sang ne fit qu'un tour et je soulevait mon t-shirt, l'arrachant presque en l'enlevant. La porte se rouvrit entièrement et le morceau de tissu termina dans les mains de mon nouveau propriétaire. J'ouvris fébrilement mon jean, mes doigts tremblaient alors que les boutons cédaient uns à uns. Je le descendit au bas de mes jambes, ôtant par la m^me occasion mes chaussettes. Je restais quelques secondes en caleçon au beau milieu de la rue, des milliers de regards semblaient être fixés sur moi, provenant de toutes parts. Avec une sentiment de honte et d'excitation, je me saisis de ma dernière protection et le fis glisser, lentement, très lentement, prenant plaisir à sentir le vent frais agresser les parties les plus intimes de mon anatomie. Mes jambes cédèrent tout à coup, je me retrouvai à genoux, puis à quatre pattes, le trottoir me faisait mal mais la douleur n'était rien comparé au bonheur d'être complètement soumis à mon maître.
Ce dernier me fit finalement signe de rentrer et je m’exécutais et adoptant une démarche chaloupée, mes hanches se trémoussant au rythme de mes pas, mon dos cambré mettant en valeur mes fesses rebondies. Ses yeux et ses doigts me caressèrent dans les moindre recoins, appréciant ma peau dénuée de poils. Comme pour valider mon apparence, il enserra un épais collier en cuir autour de mon cou, m'étranglant à moitié. Le contact rugueux du cuir contre ma peau me brûlait mais je n'avais jamais rien porté d'aussi agréable. Un petit serre tête représentant des oreilles cenines suivirent puisun gel froid recouvrit ma rondelle. Instinctivement, je relevais le postérieur et fut pénétré par un long et épais plug. La queue qui constituait la partie visible était lourde et faisait se mouvoir en moi le jouet à chacun de mes pas, rendant ainsi mes déplacements agréablement difficiles.
Un clic métallique retenti, une pression se fit sur le collier et mon maître tira sur la laisse pour me forcer à avancer. Je me délectais de ce nouvel environnement, intrigué par ce qui allait suivre, j’obéissais au doigt et à l’œil aux moindres à coups de la lanière de cuir. Je fus ainsi promené dans l'ensemble de la maison et je pouvais déjà m'imaginer servir me propriétaire de mille et unes façons.
Nous nous arrêtâmes finalement devant la cage en fer, un lourd cadenas était prêt à en bloquer l'entrée.
"Assis !"
Je me mis à genoux, regardant avec un désir incontrôlé le visage dur et autoritaire qui me surplombait.
"Donne la patte !"
Je déglutis et tendis lentement ma main droite, jamais je n'aurais pu imaginer qu'un geste aussi simple pouvait être porteur d'un aussi puissant attrait sexuel. Mon corps me hurlait son envie, la soumission me rendait dingue.
"Bon chien, maintenant rentre dans ta cage je viendrais te chercher demain, annonça t'il en m'enfermant à l'intérieur.
_ Wouf."
Le son était sortit tout seul, mon regard croisa celui de mon maître et gêné, humilié, je m'attendais à la pire des sanctions.
"Tu me plaît, à demain... chienne."
Je m'installais du mieux que je pus et ferma les yeux, je m'endormi ainsi, déguisé, équipé d'un jouet et soumis à un inconnu en attendant ma première journée en tant qu'animal de compagnie.
D'où provenait ce fantasme ? Depuis combien de temps était-il ancré en moi, insidieux, tentateur ? Ma jeune expérience m'avait déjà permis de connaître bon nombre de partenaires, hommes et femmes et mes goûts étaient déjà bien définis. J'étais bi, et soumis avec les hommes. Rien n'égalait à mes yeux le plaisir d'offrir une fellation à son maître, agenouillé devant lui, les fesses rougies par les fessées répétées. Mon anus n'était lui aussi déjà plus aussi innocent que l'on pouvait le croire, mon corps svelte et clair, presque efféminé pour certains avait déjà subit les assauts de bon nombres d’hommes à la virilité marquée. Je masquait derrière mes lunettes des yeux débordants de désirs, toujours à l’affût d'une entrejambe sur laquelle fantasmer.
Je ne savais pas ce qui m'avait fait sauter le pas ce soir, l'horloge affichait déjà 23 heures passées et mes doigts venaient de terminer de rédiger l'annonce qui allait me conduire à une magnifique expérience.
"Jeune soumis de 20 ans recherche un maître pour le traiter comme un chien pendant une semaine. Laisse, gamelle et accessoires à fournir."
C'est pourtant totalement ignorant le succès de ces quelques mots que j'allais me lover sous mes draps blancs.
Mon réveil se fit avec difficultés, et c'est après de longues minutes à bataille contre moi même que je m'extirpai de la douche chaleur du tissu. J'allumai mon ordinateur d'un geste machinal et me rendis sur ma boite mail. C'est avec stupeur que je découvrit une vingtaine de mails répondant à mon annonce de la veille. Je les parcouru, à moitié effaré de mon succès avant de tomber sur une texte qui me fit frissonner. Un homme d'une trentaine d'années me proposait de passer la semaine chez lui, il avait joint des photos plus qu'explicites de son corps musclé, complètement rasé ainsi que de son équipement. Une grande cage pouvant abriter sans difficultés une gros chien et dans laquelle se trouvaient deux gamelles trônait au centre d'une petite pièce. A ses côtés étaient éparpillés une laisse, des menottes, une collier en cuir ainsi qu'un déguisement comprenant au minimum des oreilles, un plug surmontée d'une longue queue de chien et une panoplie de jouets.
A la vue de ces images, je m'imaginais sans peines tout le plaisir qui m'attendait, ma réponse fut brève mais me permit d'obtenir le rendez-vous tant convoité. Une seule consigne m'avait été donnée, je devait obéir aux ordres immédiatement et cela, quels qu'ils soient au risque de voir ma semaine de luxure s'achever brutalement. En un mot, j'appartenait corps et âme à mon maître pour une durée de sept jours.
Je me rendis dans ma nouvelle demeure le lendemain en début de soirée, ma première journée allait être courte mais je bouillait d'excitation. La porte s'ouvrit sur un homme vêtu d'un t-shirt noir moulant donc le col en V laissait apercevoir une jolie musculation. Son jean également assez près du corps m'offrirait bientôt une vue bien plus agréable . Mon maître me dévisagea, je sentis son regard caresser mon corps de bas en haut et le rouge me monta légèrement aux joues.
"Déshabille-toi, ordonna t'il soudain."
Je le fixais, incrédule alors qu'il ne semblait pas vouloir me laisser pénétrer dans la maison. Je compris brusquement et mon regard se dirigea dans la rue, des passants se pressaient au loin, il leur était certes impossible de voir mon visage à cette distance mais la vue d'une personne se dénudant ne leur échapperait aucunement. Me voyant hésiter, l'homme eu un air déçu et commença à fermer la porte. Mon sang ne fit qu'un tour et je soulevait mon t-shirt, l'arrachant presque en l'enlevant. La porte se rouvrit entièrement et le morceau de tissu termina dans les mains de mon nouveau propriétaire. J'ouvris fébrilement mon jean, mes doigts tremblaient alors que les boutons cédaient uns à uns. Je le descendit au bas de mes jambes, ôtant par la m^me occasion mes chaussettes. Je restais quelques secondes en caleçon au beau milieu de la rue, des milliers de regards semblaient être fixés sur moi, provenant de toutes parts. Avec une sentiment de honte et d'excitation, je me saisis de ma dernière protection et le fis glisser, lentement, très lentement, prenant plaisir à sentir le vent frais agresser les parties les plus intimes de mon anatomie. Mes jambes cédèrent tout à coup, je me retrouvai à genoux, puis à quatre pattes, le trottoir me faisait mal mais la douleur n'était rien comparé au bonheur d'être complètement soumis à mon maître.
Ce dernier me fit finalement signe de rentrer et je m’exécutais et adoptant une démarche chaloupée, mes hanches se trémoussant au rythme de mes pas, mon dos cambré mettant en valeur mes fesses rebondies. Ses yeux et ses doigts me caressèrent dans les moindre recoins, appréciant ma peau dénuée de poils. Comme pour valider mon apparence, il enserra un épais collier en cuir autour de mon cou, m'étranglant à moitié. Le contact rugueux du cuir contre ma peau me brûlait mais je n'avais jamais rien porté d'aussi agréable. Un petit serre tête représentant des oreilles cenines suivirent puisun gel froid recouvrit ma rondelle. Instinctivement, je relevais le postérieur et fut pénétré par un long et épais plug. La queue qui constituait la partie visible était lourde et faisait se mouvoir en moi le jouet à chacun de mes pas, rendant ainsi mes déplacements agréablement difficiles.
Un clic métallique retenti, une pression se fit sur le collier et mon maître tira sur la laisse pour me forcer à avancer. Je me délectais de ce nouvel environnement, intrigué par ce qui allait suivre, j’obéissais au doigt et à l’œil aux moindres à coups de la lanière de cuir. Je fus ainsi promené dans l'ensemble de la maison et je pouvais déjà m'imaginer servir me propriétaire de mille et unes façons.
Nous nous arrêtâmes finalement devant la cage en fer, un lourd cadenas était prêt à en bloquer l'entrée.
"Assis !"
Je me mis à genoux, regardant avec un désir incontrôlé le visage dur et autoritaire qui me surplombait.
"Donne la patte !"
Je déglutis et tendis lentement ma main droite, jamais je n'aurais pu imaginer qu'un geste aussi simple pouvait être porteur d'un aussi puissant attrait sexuel. Mon corps me hurlait son envie, la soumission me rendait dingue.
"Bon chien, maintenant rentre dans ta cage je viendrais te chercher demain, annonça t'il en m'enfermant à l'intérieur.
_ Wouf."
Le son était sortit tout seul, mon regard croisa celui de mon maître et gêné, humilié, je m'attendais à la pire des sanctions.
"Tu me plaît, à demain... chienne."
Je m'installais du mieux que je pus et ferma les yeux, je m'endormi ainsi, déguisé, équipé d'un jouet et soumis à un inconnu en attendant ma première journée en tant qu'animal de compagnie.
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J’adore
J'adore ce début.
Très excitant, vite la suite :p
J'avais adorer ta première histoire ! Espérons que celle-ci soit encore mieux !
J'avais adorer ta première histoire ! Espérons que celle-ci soit encore mieux !
J'avais adorer ta première histoire ! Espérons que celle-ci soit encore mieux !
Début prometteur
peux-tu relire ton texte avant de le publier s'il te paît?
A peine ai-je fini ta première série, que je vois que tu en as commencé une nouvelle ! Génial !
Je ne suis pas spécialement amateur de pet-play, mais ton histoire commence très bien. La suite !
Je ne suis pas spécialement amateur de pet-play, mais ton histoire commence très bien. La suite !