Une vie de chien Partie I
Récit érotique écrit par Isno [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 7 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une vie de chien Partie I
La journée de cours avait été passablement épuisante, entre le contrôle de maths et les réprimandes du prof de physique, j’avais hâte de me reposer et c’est avec un soupir de soulagement que je me laissai tomber dans mon fauteuil. J’appuyai sur le bouton power de ma tour et fermai la porte de ma chambre à clef le temps que l’ordinateur démarre. Quelques clics plus tard, j’avais ouvert une vidéo, une jeune femme blonde, entièrement dévêtue aguichait un homme. Malgré la lassitude, le déhanché de l’actrice et son magnifique corps m'avait vite excité et j’avais déjà commencé à caresser mon sexe à travers mon pantalon. J’ouvris rapidement la fermeture éclair et le laissai jaillir hors de mon jean ! Je pris mon membre chaud et entrepris de me masturber... mais aujourd'hui quelque chose était différent, l'actrice suçait goulûment le sexe de son partenaire mais ce n'était pas l'homme que j’enviais derrière son écran mais bien la fille. Je me léchai les lèvres en me demandant ce que cela ferait de goûter à un sexe d'homme, d'être à genoux devant un pénis et l'enfoncer dans ma bouche pendant qu'on agripperait mes cheveux. Je glissai une main sous mon t-shirt, pinçai mes tétons et me caressai avec plus d’ardeur, je gémis et jouis en même temps que l’homme et du sperme chaud jaillit sur mon visage. Je restai quelques secondes sans bouger, l’esprit ailleurs, puis une voix familière me fit reprendre mes esprits.
_ A table ! criait ma mère depuis la cuisine.
Je me nettoyai rapidement avant de courir à la cuisine.
Une fois le repas englouti, j’allumai Skype pour discuter avec Clémence, ma meilleure amie. Je soupirai en voyant qu’elle n’était pas encore connectée et décidai de regarder un anime en l’attendant. Quelques épisodes plus tard, une notification de connexion me fit sursauter. Je me jetai sur le clavier pour entamer la discussion et quelques minutes plus tard, j’avais oublié ce qui venait de se passer.
La soirée passa rapidement entre jeux et rigolade sur Skype. Il était tard quand je décidai d’aller me coucher et c’est en m’allongeant dans mon lit que je commençai à me poser des questions.
_ Est-ce que je commence à aimer les hommes ? Pourquoi cette chose m’a excitée à ce point tout à l’heure… me demandai-je.
Il est vrai que j’aimais bien lire quelques mangas yaoi, un passe-temps que j’avais fini par apprécier à force des incessantes tentatives de ma meilleure amie. Mais j’avais toujours pensé détester les hommes réels, je ne les regardais jamais dans la rue, et avais même un mal fou à apprécier un film érotique si les hommes étaient trop présents. Les questions se bousculaient dans ma tête, je pensais en avoir fini depuis le temps avec ces interrogations. Mon attirance pour le yaoi m’avait déjà bien perturbée à l’époque, il était hors de question que cela recommence. Je chassai ces questions de mon esprit et essayai de m’endormir.
Le sommeil eu finalement raison de moi mais les rêves cette nuit-là, furent aussi agréables que perturbants…J’ouvris les yeux et regardai le plafond, les poutres en bois s’entrecroisaient au-dessus de moi et de la lumière filtrait par la fenêtre. Je ne portais qu’un jean ample et étais couché sur un lit miteux. Je me redressai lentement et inspectai la cabane du regard. Une table pleine de vaisselle sale trônait au centre de la pièce et seul un fauteuil complétait le décor. Un homme était confortablement assis, je ne pouvais pas voir son visage, caché dans l’ombre. Sans savoir pourquoi, je me levai, m’approchai de lui d’un pas assuré et déboutonnai mon pantalon que je laissai tomber à mes pieds. L’entrejambe de l’inconnu m’attirait irrésistiblement… je m’agenouillai devant lui et c’est à ce moment que je remarquai que l’homme était entièrement nu. Mon visage se rapprocha du sexe tendu et j’entrepris de l’inspecter avec ma langue. Je léchai goulûment la base du pénis, le membre tremblait sous mes coups de langue. J’arrivai au gland, chaud, luisant … je laissai couler un peu de salive dessus avant de le prendre dans ma bouche gourmande. Ma main prit son gros membre et se mit à le branler activement pendant qu’avec ma bouche, je suçais toute la surface du gland. Au bout de quelques minutes passées à pomper ce magnifique sexe, je sentis que l’inconnu m’agrippait les cheveux et m’empêchait de sortir le pénis de ma bouche. Au lieu de me débattre, j’enfonçai profondément cette grosse queue dans ma gorge et laissa l’homme se vider dans ma bouche. Comme animé de spasmes, il inonda par saccades ma langue et ma gorge, ma bouche était pleine de ce liquide blanchâtre et visqueux. Je relevai la tête, ouvris la bouche et laissai voir la quantité de sperme qu’elle contenait puis avalai lentement pour le savourer, je léchai le contour de mes lèvres pour ne pas en perdre une miette.
D’autres hommes approchaient, j’entendis murmurer : « Tu es notre chienne maintenant, tu nous appartiens ! »_ Oui je suis à vous maîtres ! gémis-je en ouvrant les yeux.
Je compris que cette superbe expérience avait seulement été rêvée. Mon corps nu se trémoussait sous les draps, mon bas ventre me brûlait d’une envie irrésistible.
_ Une chienne… une chienne… murmurais-je la langue pendante…
Le sommeil me rattrapa mais je ne fis plus aucun rêve cette nuit-là.
_ A table ! criait ma mère depuis la cuisine.
Je me nettoyai rapidement avant de courir à la cuisine.
Une fois le repas englouti, j’allumai Skype pour discuter avec Clémence, ma meilleure amie. Je soupirai en voyant qu’elle n’était pas encore connectée et décidai de regarder un anime en l’attendant. Quelques épisodes plus tard, une notification de connexion me fit sursauter. Je me jetai sur le clavier pour entamer la discussion et quelques minutes plus tard, j’avais oublié ce qui venait de se passer.
La soirée passa rapidement entre jeux et rigolade sur Skype. Il était tard quand je décidai d’aller me coucher et c’est en m’allongeant dans mon lit que je commençai à me poser des questions.
_ Est-ce que je commence à aimer les hommes ? Pourquoi cette chose m’a excitée à ce point tout à l’heure… me demandai-je.
Il est vrai que j’aimais bien lire quelques mangas yaoi, un passe-temps que j’avais fini par apprécier à force des incessantes tentatives de ma meilleure amie. Mais j’avais toujours pensé détester les hommes réels, je ne les regardais jamais dans la rue, et avais même un mal fou à apprécier un film érotique si les hommes étaient trop présents. Les questions se bousculaient dans ma tête, je pensais en avoir fini depuis le temps avec ces interrogations. Mon attirance pour le yaoi m’avait déjà bien perturbée à l’époque, il était hors de question que cela recommence. Je chassai ces questions de mon esprit et essayai de m’endormir.
Le sommeil eu finalement raison de moi mais les rêves cette nuit-là, furent aussi agréables que perturbants…J’ouvris les yeux et regardai le plafond, les poutres en bois s’entrecroisaient au-dessus de moi et de la lumière filtrait par la fenêtre. Je ne portais qu’un jean ample et étais couché sur un lit miteux. Je me redressai lentement et inspectai la cabane du regard. Une table pleine de vaisselle sale trônait au centre de la pièce et seul un fauteuil complétait le décor. Un homme était confortablement assis, je ne pouvais pas voir son visage, caché dans l’ombre. Sans savoir pourquoi, je me levai, m’approchai de lui d’un pas assuré et déboutonnai mon pantalon que je laissai tomber à mes pieds. L’entrejambe de l’inconnu m’attirait irrésistiblement… je m’agenouillai devant lui et c’est à ce moment que je remarquai que l’homme était entièrement nu. Mon visage se rapprocha du sexe tendu et j’entrepris de l’inspecter avec ma langue. Je léchai goulûment la base du pénis, le membre tremblait sous mes coups de langue. J’arrivai au gland, chaud, luisant … je laissai couler un peu de salive dessus avant de le prendre dans ma bouche gourmande. Ma main prit son gros membre et se mit à le branler activement pendant qu’avec ma bouche, je suçais toute la surface du gland. Au bout de quelques minutes passées à pomper ce magnifique sexe, je sentis que l’inconnu m’agrippait les cheveux et m’empêchait de sortir le pénis de ma bouche. Au lieu de me débattre, j’enfonçai profondément cette grosse queue dans ma gorge et laissa l’homme se vider dans ma bouche. Comme animé de spasmes, il inonda par saccades ma langue et ma gorge, ma bouche était pleine de ce liquide blanchâtre et visqueux. Je relevai la tête, ouvris la bouche et laissai voir la quantité de sperme qu’elle contenait puis avalai lentement pour le savourer, je léchai le contour de mes lèvres pour ne pas en perdre une miette.
D’autres hommes approchaient, j’entendis murmurer : « Tu es notre chienne maintenant, tu nous appartiens ! »_ Oui je suis à vous maîtres ! gémis-je en ouvrant les yeux.
Je compris que cette superbe expérience avait seulement été rêvée. Mon corps nu se trémoussait sous les draps, mon bas ventre me brûlait d’une envie irrésistible.
_ Une chienne… une chienne… murmurais-je la langue pendante…
Le sommeil me rattrapa mais je ne fis plus aucun rêve cette nuit-là.
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