Une soirée de réception. Le passé ressurgit 6
Récit érotique écrit par Effrontée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une soirée de réception. Le passé ressurgit 6
Résumé
Soumise au chantage du fils de Joachim et de son complice Antonio, j’obéis contrainte malgré moi mais aussi pour en jouir, à leurs injonctions de plus en plus perverses. Ils n’hésitent pas à exercer leur pouvoir sur moi au cours d’une soirée de réception hautement prestigieuse. Mon mari est aussi soumis à la considération d’un général qui lui a obtenu des faveurs et nominations. A ce titre il joue un rôle bien trouble.
Les jours qui suivirent cette soirée de réception, je me suis sentie forte et prête à affronter mes persécuteurs. Je devais organiser un dîner avec le Général et je me doutais bien qu'ils allaient encore m'obliger à me mettre dans des situations compromettantes aux yeux de mon mari et surtout du Général. Mon mari devait beaucoup à cet homme et son comportement à la soirée de gala aurait dû le scandaliser, humilié qu'il était par cet homme puissant qui osait abuser de sa femme en sa présence et l'ignorant complètement.
Les jours passent, puis des semaines. Je commence à croire que ce passé est enterré. Je « respire » même si parfois je suis réveillée en pleine nuit par des angoisses qui m'étreignent le cœur ! Assise dans le lit aux côtés de mon mari qui ronfle, j'ai du mal à reprendre ma respiration. En portant ma main entre mes cuisses, je sens la mouille qui se mélange à la sueur. Je me suis laissée aller à jouir dans un orgasme nocturne. Je prends conscience que les situations que j'ai vécues, d'humiliation et de honte, imposées par ces tortionnaires me manquent. Je me surprends à les réclamer.
Et le passé resurgit encore une fois !
Ce samedi là, je suis avec mon mari au supermarché pour les courses du WE. Il fait beau et chaud et je suis légèrement vêtue d'une robe de coton bleu aux fines bretelles qui laissent nues mes épaules et révèlent que je ne porte pas de soutien gorge. Sous la taille, maintenue par une fine ceinture, elle s'évase, légère et frémit à chacun de mes mouvements. Je vois bien le regard des hommes que je croise et cela m'excite. Mon mari s'attarde dans les rayons d'informatique.
A un moment j'abandonne mon chariot quelques secondes pour attraper une boite de conserve en hauteur sur les rayons. J'avoue qu'alors, je sais bien que ma robe remonte haut sur mes cuisses et doit laisser voir plus que de convenable. Mais je ne suis pas obligée de le savoir et de m'en rendre compte, mon innocence affichée en témoigne.. Quand je me retourne pour placer mon paquet de céréales, mon regard est attiré par une enveloppe blanche posée sur un prospectus de promotions du magasin. Je n'y prête pas vraiment attention car j'imagine qu'il s'agit d'une pub ou autre forme de promotion.
Mais quelques instants après, je suis prise d'une angoisse qui me noue l’estomac quand l'épisode de la lettre contenant cette photo compromettante au cours de la soirée de gala, me revient brutalement en mémoire. Ils sont revenus ! Le cauchemar resurgit. Un mélange de peur et d'excitation me submerge. « Ils sont là ! ». Je sens que je me mets à mouiller alors que la peur envahit mon esprit. Je transpire la peur et le sexe et avec la chaleur et le confinement dans ces rayons, je suis sûre qu’autour de moi, on doit s’en rendre compte. Je suis morte de honte.
Je reste les yeux baissés sur mon caddie sans oser regarder autour de moi. J’avance dans l’allée en tremblant. C’est samedi, il y a beaucoup de monde dans le centre commercial. Je contourne une console, je m’affole, je cherche à localiser mon époux. Je bouscule une vieille dame qui m’insulte en hurlant. Je m'excuse à peine. Un homme âgé me toise et veut m’attraper pour me rouspéter après sans doute. J’arrive à fuir et à échapper à la horde sauvage.
Je me cache au fond d’une rangée peu fréquentée, en tremblant je me saisis de la lettre et j’arrive à trouver le courage de l’ouvrir. C’est l’excitation qui me guide. J’ai du mal à respirer. L’enveloppe me résiste tant je suis énervée, mes geste sont gauches, maladroits. Une lettre manuscrite est dedans, je la déplie, mon sang se glace dans mes veines, je me retiens à la poignée du chariot, titubante à deux doigts de m’évanouir :
« Enlève ta culotte et soulève ta robe bleue pour mettre tes fesses à l'air, pour aérer ton sillon et rafraîchir ta chatte au gré du vent. Reste comme ça le cul à la vue de tous pendant cinq minutes et évite de te faire prendre pour éviter le scandale »
Ce n’est pas possible, je ne peux faire cela ! Il y trop de monde et des caméras partout. Il faut que je sorte de ce magasin. Retrouver mon mari au plus vite et fuir.
En même temps, je retrouve cette excitation perverse qui consiste à obéir, à me soumettre à des ordres qui me plongent dans la débauche, me dédouanant de toute morale ou éducation, comme si je n’étais pas responsable. Cette injonction me libère de mes tabous de bourgeoise BCBG et d’épouse fidèle aux yeux de mon entourage. Sans compter que ce centre est à deux pas de notre maison et que je risque d’y rencontrer des voisins. Mon excitation croit, et prend le pas sur la peur. Soudain je me décide. Je suis dans une allée un peu moins fréquentée. Je me cache en partie derrière mon caddie. Ma robe bleue est légère, courte, évasée sur mes cuisses et c’est un jeu d’enfant de glisser une main dessous et tirer ma culotte vers le bas. Je lève une jambe puis l’autre tout en surveillant devant moi la venue d’un client. Vite, je jette le tissu dans le caddie au moment où le vieux qui voulait me donner la leçon arrive devant moi. Je réalise que ma culotte est visible dans le caddie et qu’il a dû assister en partie à la scène. Il vient vers moi poussant son chariot. Il a le regard froid, violent ! J'ai peur et je reste figée une boule au ventre. Quand il est à me toucher, séparés simplement du chariot, il aperçoit ma culotte abandonnée sur les paquets de commissions. Il se fige, incrédule. Son regard passe de la culotte à mes jambes et ne peut que se conforter de l'évidence : je suis cul nu. Là, l'inattendu arrive : mon mari. Me voyant coincée contre le mur, derrière un caddie avec un inconnu qui me toise, il dit.
- Ma chérie, tu vas bien ? Tu as l'air tout drôle…
Le type se retourne, prend la juste valeur de la situation et brusquement il tend la main et se saisit de ma culotte et s'éloigne après l'avoir mise dans sa poche.
- Mais il a fait quoi ce rustre ?
Je ne sais pas quoi répondre, je suis tétanisée. Puis l'inspiration me vient, j'improvise et je lui réponds d’une voix que j'entends tremblante :
- Il a récupéré un vêtement que sa femme avait placé par erreur dans mon caddie
- Mais c'était une culotte !
- Oui, c'est drôle non ?
- Bon… tu as fini tes courses ?
Bien sûr j'avais fini, mais pas avec mes tortionnaires. Où étaient-ils ? Qui avait déposé la lettre ? Alors prise de folie lubrique je lui dis :
- Non, attends moi, va faire la queue aux caisses, j'arrive.
Alors qu'il s'éloigne, avec le chariot, je cherche du regard si je vois ceux que je soupçonne de m'avoir tendu une nouvelle fois ce piège.
Je n'ai pas longtemps à chercher car derrière moi une voix froide et perverse me dit.
- Alors petite cochonne, on se promène les fesses à l'air ? Petite salope, je suis sûr que tu mouilles.
Je reconnais de suite cette voix : le fils de Joachim !
Je sens mes jambes m’abandonner et se mettre à trembler. Je ne bouge pas, tétanisée. Il se colle derrière moi et me plaque contre un rayon de vêtements. Je ne vois rien derrière moi mais je sens sa main qui se glisse par derrière entre mes cuisses et remonte jusqu'au sillon entre mes fesses. Je réalise que la robe relevée, mon cul est alors en pleine lumière. Je n’ose pas imaginer que d’autres clients doivent nous voir et des caméras de sécurité nous filmer. Je suis morte de honte. Je mouille de plus belle ! Je me cabre quand je sens son doigt qui me fouille le petit trou et qui passe ensuite sur puis dedans ma chatte.
- J'avais raison, tu coules de mouille petite chienne. Écoute, tu vas rejoindre ton mari. Je veux que tu me trouves le numéro de téléphone ou l’adresse mail de ce charmant général que nous avons rencontré à la soirée. Tu me le donneras par SMS, sur ce numéro.
Disant cela, je sens qu'il me glisse entre les fesses un objet que je reconnais comme un bout de bois enveloppé de plastique et qu'il m'enfonce partiellement dans mon fondement. Il rajoute
- Serre bien les fesses ma salope, garde bien mon numéro et fait ce qu’on te demande sinon…
Il m'abandonne toute excitée, je rajuste ma robe sur mes reins. Je n'ose pas récupérer le morceau de bois que je sens dans mes entrailles et dépasser d'entre mes fesses comme un thermomètre anal.
Lentement je reprends mes esprits et je vais rejoindre mon époux en conservant les fesses bien serrées. J’ai l’impression que tout le monde me voit le cul avec cet objet obscène planté dedans. Je dois être rouge de honte.
Une fois les caisses passées, je profite d'un moment d'inattention de mon mari en allant au parking, pour récupérer l’objet qui m’encule. En relevant ma robe, je suis bien consciente que des clients peuvent certainement voir mes fesses nues et constater que je me tripote le cul en public. Je suis mortifiée mais folle d'excitation à cette idée. Il s’agit bien, comme je l’avais imaginé, d’un crayon autour duquel est enroulé un morceau de papier, protégé par un sachet de plastique.
Rentrée à la maison, je me précipite dans les toilettes prétextant une envie pressante, emportant la missive. Je m’empresse de dégager le papier et lire le message.
- Envoie les coordonnées du Général. Nous allons lui offrir une charmante réception, un divertissement de notre invention…
Je recopie le numéro inscrit. Je vais leur envoyer ce qu'ils demandent car je sais que ce sera à nouveau des moments de pire folie de débauche. J’en jouis à l’avance constatant que je deviens une vraie salope assoiffée de sexe et de soumission ! La honte et l’humiliation dans des situations d’exhibition me procurent des jouissances jusqu’alors insoupçonnées.
(à suivre)
Soumise au chantage du fils de Joachim et de son complice Antonio, j’obéis contrainte malgré moi mais aussi pour en jouir, à leurs injonctions de plus en plus perverses. Ils n’hésitent pas à exercer leur pouvoir sur moi au cours d’une soirée de réception hautement prestigieuse. Mon mari est aussi soumis à la considération d’un général qui lui a obtenu des faveurs et nominations. A ce titre il joue un rôle bien trouble.
Les jours qui suivirent cette soirée de réception, je me suis sentie forte et prête à affronter mes persécuteurs. Je devais organiser un dîner avec le Général et je me doutais bien qu'ils allaient encore m'obliger à me mettre dans des situations compromettantes aux yeux de mon mari et surtout du Général. Mon mari devait beaucoup à cet homme et son comportement à la soirée de gala aurait dû le scandaliser, humilié qu'il était par cet homme puissant qui osait abuser de sa femme en sa présence et l'ignorant complètement.
Les jours passent, puis des semaines. Je commence à croire que ce passé est enterré. Je « respire » même si parfois je suis réveillée en pleine nuit par des angoisses qui m'étreignent le cœur ! Assise dans le lit aux côtés de mon mari qui ronfle, j'ai du mal à reprendre ma respiration. En portant ma main entre mes cuisses, je sens la mouille qui se mélange à la sueur. Je me suis laissée aller à jouir dans un orgasme nocturne. Je prends conscience que les situations que j'ai vécues, d'humiliation et de honte, imposées par ces tortionnaires me manquent. Je me surprends à les réclamer.
Et le passé resurgit encore une fois !
Ce samedi là, je suis avec mon mari au supermarché pour les courses du WE. Il fait beau et chaud et je suis légèrement vêtue d'une robe de coton bleu aux fines bretelles qui laissent nues mes épaules et révèlent que je ne porte pas de soutien gorge. Sous la taille, maintenue par une fine ceinture, elle s'évase, légère et frémit à chacun de mes mouvements. Je vois bien le regard des hommes que je croise et cela m'excite. Mon mari s'attarde dans les rayons d'informatique.
A un moment j'abandonne mon chariot quelques secondes pour attraper une boite de conserve en hauteur sur les rayons. J'avoue qu'alors, je sais bien que ma robe remonte haut sur mes cuisses et doit laisser voir plus que de convenable. Mais je ne suis pas obligée de le savoir et de m'en rendre compte, mon innocence affichée en témoigne.. Quand je me retourne pour placer mon paquet de céréales, mon regard est attiré par une enveloppe blanche posée sur un prospectus de promotions du magasin. Je n'y prête pas vraiment attention car j'imagine qu'il s'agit d'une pub ou autre forme de promotion.
Mais quelques instants après, je suis prise d'une angoisse qui me noue l’estomac quand l'épisode de la lettre contenant cette photo compromettante au cours de la soirée de gala, me revient brutalement en mémoire. Ils sont revenus ! Le cauchemar resurgit. Un mélange de peur et d'excitation me submerge. « Ils sont là ! ». Je sens que je me mets à mouiller alors que la peur envahit mon esprit. Je transpire la peur et le sexe et avec la chaleur et le confinement dans ces rayons, je suis sûre qu’autour de moi, on doit s’en rendre compte. Je suis morte de honte.
Je reste les yeux baissés sur mon caddie sans oser regarder autour de moi. J’avance dans l’allée en tremblant. C’est samedi, il y a beaucoup de monde dans le centre commercial. Je contourne une console, je m’affole, je cherche à localiser mon époux. Je bouscule une vieille dame qui m’insulte en hurlant. Je m'excuse à peine. Un homme âgé me toise et veut m’attraper pour me rouspéter après sans doute. J’arrive à fuir et à échapper à la horde sauvage.
Je me cache au fond d’une rangée peu fréquentée, en tremblant je me saisis de la lettre et j’arrive à trouver le courage de l’ouvrir. C’est l’excitation qui me guide. J’ai du mal à respirer. L’enveloppe me résiste tant je suis énervée, mes geste sont gauches, maladroits. Une lettre manuscrite est dedans, je la déplie, mon sang se glace dans mes veines, je me retiens à la poignée du chariot, titubante à deux doigts de m’évanouir :
« Enlève ta culotte et soulève ta robe bleue pour mettre tes fesses à l'air, pour aérer ton sillon et rafraîchir ta chatte au gré du vent. Reste comme ça le cul à la vue de tous pendant cinq minutes et évite de te faire prendre pour éviter le scandale »
Ce n’est pas possible, je ne peux faire cela ! Il y trop de monde et des caméras partout. Il faut que je sorte de ce magasin. Retrouver mon mari au plus vite et fuir.
En même temps, je retrouve cette excitation perverse qui consiste à obéir, à me soumettre à des ordres qui me plongent dans la débauche, me dédouanant de toute morale ou éducation, comme si je n’étais pas responsable. Cette injonction me libère de mes tabous de bourgeoise BCBG et d’épouse fidèle aux yeux de mon entourage. Sans compter que ce centre est à deux pas de notre maison et que je risque d’y rencontrer des voisins. Mon excitation croit, et prend le pas sur la peur. Soudain je me décide. Je suis dans une allée un peu moins fréquentée. Je me cache en partie derrière mon caddie. Ma robe bleue est légère, courte, évasée sur mes cuisses et c’est un jeu d’enfant de glisser une main dessous et tirer ma culotte vers le bas. Je lève une jambe puis l’autre tout en surveillant devant moi la venue d’un client. Vite, je jette le tissu dans le caddie au moment où le vieux qui voulait me donner la leçon arrive devant moi. Je réalise que ma culotte est visible dans le caddie et qu’il a dû assister en partie à la scène. Il vient vers moi poussant son chariot. Il a le regard froid, violent ! J'ai peur et je reste figée une boule au ventre. Quand il est à me toucher, séparés simplement du chariot, il aperçoit ma culotte abandonnée sur les paquets de commissions. Il se fige, incrédule. Son regard passe de la culotte à mes jambes et ne peut que se conforter de l'évidence : je suis cul nu. Là, l'inattendu arrive : mon mari. Me voyant coincée contre le mur, derrière un caddie avec un inconnu qui me toise, il dit.
- Ma chérie, tu vas bien ? Tu as l'air tout drôle…
Le type se retourne, prend la juste valeur de la situation et brusquement il tend la main et se saisit de ma culotte et s'éloigne après l'avoir mise dans sa poche.
- Mais il a fait quoi ce rustre ?
Je ne sais pas quoi répondre, je suis tétanisée. Puis l'inspiration me vient, j'improvise et je lui réponds d’une voix que j'entends tremblante :
- Il a récupéré un vêtement que sa femme avait placé par erreur dans mon caddie
- Mais c'était une culotte !
- Oui, c'est drôle non ?
- Bon… tu as fini tes courses ?
Bien sûr j'avais fini, mais pas avec mes tortionnaires. Où étaient-ils ? Qui avait déposé la lettre ? Alors prise de folie lubrique je lui dis :
- Non, attends moi, va faire la queue aux caisses, j'arrive.
Alors qu'il s'éloigne, avec le chariot, je cherche du regard si je vois ceux que je soupçonne de m'avoir tendu une nouvelle fois ce piège.
Je n'ai pas longtemps à chercher car derrière moi une voix froide et perverse me dit.
- Alors petite cochonne, on se promène les fesses à l'air ? Petite salope, je suis sûr que tu mouilles.
Je reconnais de suite cette voix : le fils de Joachim !
Je sens mes jambes m’abandonner et se mettre à trembler. Je ne bouge pas, tétanisée. Il se colle derrière moi et me plaque contre un rayon de vêtements. Je ne vois rien derrière moi mais je sens sa main qui se glisse par derrière entre mes cuisses et remonte jusqu'au sillon entre mes fesses. Je réalise que la robe relevée, mon cul est alors en pleine lumière. Je n’ose pas imaginer que d’autres clients doivent nous voir et des caméras de sécurité nous filmer. Je suis morte de honte. Je mouille de plus belle ! Je me cabre quand je sens son doigt qui me fouille le petit trou et qui passe ensuite sur puis dedans ma chatte.
- J'avais raison, tu coules de mouille petite chienne. Écoute, tu vas rejoindre ton mari. Je veux que tu me trouves le numéro de téléphone ou l’adresse mail de ce charmant général que nous avons rencontré à la soirée. Tu me le donneras par SMS, sur ce numéro.
Disant cela, je sens qu'il me glisse entre les fesses un objet que je reconnais comme un bout de bois enveloppé de plastique et qu'il m'enfonce partiellement dans mon fondement. Il rajoute
- Serre bien les fesses ma salope, garde bien mon numéro et fait ce qu’on te demande sinon…
Il m'abandonne toute excitée, je rajuste ma robe sur mes reins. Je n'ose pas récupérer le morceau de bois que je sens dans mes entrailles et dépasser d'entre mes fesses comme un thermomètre anal.
Lentement je reprends mes esprits et je vais rejoindre mon époux en conservant les fesses bien serrées. J’ai l’impression que tout le monde me voit le cul avec cet objet obscène planté dedans. Je dois être rouge de honte.
Une fois les caisses passées, je profite d'un moment d'inattention de mon mari en allant au parking, pour récupérer l’objet qui m’encule. En relevant ma robe, je suis bien consciente que des clients peuvent certainement voir mes fesses nues et constater que je me tripote le cul en public. Je suis mortifiée mais folle d'excitation à cette idée. Il s’agit bien, comme je l’avais imaginé, d’un crayon autour duquel est enroulé un morceau de papier, protégé par un sachet de plastique.
Rentrée à la maison, je me précipite dans les toilettes prétextant une envie pressante, emportant la missive. Je m’empresse de dégager le papier et lire le message.
- Envoie les coordonnées du Général. Nous allons lui offrir une charmante réception, un divertissement de notre invention…
Je recopie le numéro inscrit. Je vais leur envoyer ce qu'ils demandent car je sais que ce sera à nouveau des moments de pire folie de débauche. J’en jouis à l’avance constatant que je deviens une vraie salope assoiffée de sexe et de soumission ! La honte et l’humiliation dans des situations d’exhibition me procurent des jouissances jusqu’alors insoupçonnées.
(à suivre)
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Chantal
Je suis hâte de dévorer ta créativité et ton imagination libertines ... vite ... vite ....
Je ne vous parle pas de la forme car comme tjrs une merveille ..
A bientôt
Un fidèle
B.
Je suis hâte de dévorer ta créativité et ton imagination libertines ... vite ... vite ....
Je ne vous parle pas de la forme car comme tjrs une merveille ..
A bientôt
Un fidèle
B.
J'espère que tout ça se révélera être à l'initiative du mari.
Sinon ce serait encore une histoire de cocu soumis.
Sinon ce serait encore une histoire de cocu soumis.
Magnifique saga, bien écrite avec un scénario solide et cohérent: bandant à souhait!!
Félicitations. C'est très excitant et pour une fois pas un déballage de longs détails sexuels tellement courants. La contrainte est bien exploitée et les situations plutôt originales. J'attends la suite avec impatience.