Une soirée de réception. Le passé ressurgit 9 et FIN

- Par l'auteur HDS Effrontée -
Récit érotique écrit par Effrontée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Une soirée de réception. Le passé ressurgit 9 et FIN Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une soirée de réception. Le passé ressurgit 9 et FIN
En sortant de la boutique Domania, j'étais très troublée. Je réalisais les risques que je venais de prendre avec ce jeune vendeur, à qui j'avais exhibé mes fantasmes et donné la possibilité de me retrouver et d'exploiter ma faiblesse. Je craignais encore pour mon couple et ma réputation à cet instant. Mais maintenant…J'ai vite dissimulé collier et plug dans un endroit sûr ! Mon dieu que ces objets sont laids quand ils ne sont pas dans le contexte qui leur est destiné. J'attendais les ordres de mes tortionnaires. La soirée de demain était toujours d'actualité.
Je passe l'après-midi du samedi à me préparer. Je prends soin de chacune des parties de mon corps. J'attache un soin particulier à tailler le fin duvet au dessus de ma chatte parfaitement épilée, dégagée de tout poil, quand soudain je me rappelle le selfie ! J'avais oublié que je devais faire une photo avec mon collier en place et une autre avec le plug bien enfoncé dans mon fondement. A cette idée, un fourmillement gagne mon bas ventre. Je le sens, je mouille, cette idée m'excite et me fait perdre la tête. Sans attendre je me passe le collier. Clic !
Pour enfoncer le plug, je m'assois sur le bord de la baignoire pleine d'eau chaude qui m'attend pour le bain, pour bien écarter mes cuisses et m'ouvrir la voie royale. J'enduis de salive un puis deux doigts que je présente à l'entrée de mon petit trou. Il se crispe malgré moi. Je me détends. La première phalange pousse, l'anneau cède et le doigt entier envahit mon cul. Je sens la mouille qui s'écoule déjà ! Je l'enfonce un peu plus, le tourne et le retourne pour dilater le sphincter. Puis je m'introduis le second qui prépare l'anneau à recevoir le sextoys. Alors, je porte ce dernier à ma bouche pour l'humecter de salive et lentement le présente à mon anneau qui commence à le réclamer tant je suis au bord de la jouissance. Dans ma tête des images défilent : des gens, des inconnus regardent, me fustigent, m'insultent…L'objet de mes délices, une fois le bulbe passé, s'enfonce tout seul jusqu'à la garde, déclenchant mon orgasme.
Il me faut quelques minutes pour récupérer, je peux alors prendre les photos. Clic ! Je n'attends pas et tout de suite j'envoie par texto comme on me l'a demandé ces photos humiliantes.
Je me sens bien, heureuse. Je continue ma préparation en gardant le plug en place. A chaque pas il me donne des frissons. Je manque plusieurs fois de jouir sans même me caresser.
Je décide de prendre le bain. Mon mari devrait rentrer plus tard, pour venir me chercher et partir pour cette soirée dont j'attends la folie. Doucement, je me laisse aller dans l'eau chaude…"J’ai les yeux bandés, j'ai froid, l’atmosphère est lourde dans cet endroit perdu. Je ne sais pas qui est là. J’ai envie de pleurer tellement j’ai honte et je me sens humiliée. J’entends des ricanements de mépris. Je suis nue. J'ai mal, on tire sur la laisse, mon collier est trop serré. Soudain, un coup de cravache s'abat sur mes fesses nues. Les larmes me montent aux yeux, je sens que je vais pleurer.
Quelqu'un me tire par la laisse… je me trouve entre les jambes d'un homme déguisé en cheval, assis dans un fauteuil.
Des déclenchements de téléphones portables : on prend des photos… dans cette position humiliante. Je me sens mourir. Une voix qui chante : - Amenez la moi, s'il vous plait mon ami.
Cette voix, celle du Général, pas de doutes. En disant ces mots, on tire encore sur la laisse et on me fait mettre à quatre pattes devant le fauteuil.
On me tire encore et encore par ma laisse, à m'étrangler, toujours à quatre pattes jusqu'à ce que je pense être le centre d'une salle de cinéma, puis une piscine. J'essaie de crier mais aucun son ne sort d'entre mes lèvres. Dire que j'étouffe.
Je me retrouve dans une position humiliante, les jambes levées et écartée, ma chatte offerte et le plug enfoncé dans mon cul. Je mouille bien sûr et du foutre s'écoule doucement d'entre mes fesses.
Je vais pour jouir…Le bruit de la porte qui s'ouvre me fait sortir de mon rêve. Je m'étais endormie dans la baignoire. J'ai rêvé cette scène horrible.
- Coucou, ma chérie, c'est moi. Tu es où ?
- Je suis encore dans le bain. J'arrive.
Mon mari est très prévenant avec moi. Il est content que je me sois faite belle pour cette soirée. Sans nouvelles de mes tortionnaires, j'ai l'espoir qu'ils ne seront pas là. J'ai envie de faire plaisir à mon homme. Je sens que lui aussi est dans des dispositions amoureuses. Et si cette soirée devait simplement être une soirée entre amis ?
J'ai choisi de porter cette robe bleu nuit, en lycra, fendue haut sur mes jambes. Elle découvre d'un côté mes cuisses jusqu'aux hanches. Des chaussures de la même couleur, qui laissent mes pieds très découverts et dont les talons mi hauts allongent ma silhouette. La robe descend très bas sur mes chevilles. Elle est très ajustée et moule parfaitement mon corps comme une seconde peau. Pas de soutien gorge car devant, elle affiche un décolleté très profond. Mes bras sont nus. Pas de culotte non plus ! C'est mon époux qui me l'a demandé d'un air très coquin. Cela me met dans un état euphorique et fébrile. Professionnelle, cette soirée ?
Par dessus, une simple veste courte en cuir léger qui ne se ferme pas devant.
Dans l'auto, mon mari me caresse la cuisse et dégage par moments un sein. Il est vraiment coquin et connaît mes fantasmes d'exhibition.
Le général habite un superbe appartement dans un quartier chic, au dernier étage d'un immeuble très cossu. Des grandes baies vitrées conduisent à une terrasse privée.
Un homme en livrée nous reçoit et nous mène dans un salon très richement aménagé et précieusement décoré. Apparemment cet homme est célibataire ou veuf. A presque 70 ans, je ne lui connais que sa fille rencontrée à cette fameuse soirée de gala.
Le serviteur s'efface pour laisser le Général nous accueillir avec une chaleur quelque peu excessive. Il est vraiment content de nous recevoir et cela réjouit à l'évidence mon mari. Autour d'une table basse, deux fauteuils profonds et un canapé recouverts d'un velours de luxe. Contre un mur un bar tout en étain dont le mur derrière affiche des étagères remplies de bouteilles de différents apéritifs. Un seau avec une bouteille de Dom Pérignon, petit goulot, semble nous attendre.
Après un baisemain très courtois, le Général m'invite à prendre place dans le canapé. Ma jupe s'ouvre sur le côté. Hypocritement, je la recouvre autant que faire se peut. Mon mari déambule dans la pièce, en admiration devant les diverses toiles exposées. Le bruit de la bouteille qu'on débouche me sort de ma douce torpeur. Une flûte pour chacun. On s'apprête à lever le toast à l'honneur de notre hôte quand la sonnette retentit. Mon sang se glace, une appréhension m'envahit. Je reste le souffle coupé. Je m'affole alors que le Général et mon mari accueillent Antonio !
Le piège se referme à nouveau.
Mais très vite je comprends qu'il n'est plus maître du jeu. Les deux hommes semblent même lui indiquer clairement que cette invitation n'appelle aucun sous-entendu. Il s'approche de moi et m'embrasse sagement sur les deux joues. On lui propose un verre de Champagne qu'il accepte. Puis il s'éloigne vers le bar et rejoint le serviteur qui est attend, aux ordres.
Je suis tranquille, sereine. Je ne sais pas pourquoi mais je sens que mon avenir s'éclaircit. Mon mari a pris des initiatives qui m'étonnent. Lui et le Général partagent une complicité de bon aloi pour moi. Je repense à cette soirée où le général m'avait peloté les seins sans que mon époux réagisse. Comme si ce geste le servait, lui était utile. La situation était alors très claire. J'étais la femme offerte par mon mari, une offrande, pour un service. Cette position loin de me déplaire, m'excitait.
Les coupes vides sont remplies assez vite. Le serviteur est à l'affût. Antonio est simple spectateur passif. Nous passons à table sur l'invitation du Général.
Le repas est délicieux proposant vins fins et mets délicats. Près de moi, le Général me tripote les cuisses avec délice. Mon mari qui s'en rend compte ne dit rien. Je suis assez fière d'exciter un tel homme. Il est âgé certes mais son charme est en partie dans son âge. Délicat et rustre, pervers et courtois il sait faire sentir ces extrêmes et son regard ne laisse aucun doute sur la transparence de ses désirs.
Le serviteur est discret. Antonio participe aux conversations mais plusieurs fois il est remis à sa place soit par mon mari soit par le Général. Je déguste ces moments, même si je sais que cet homme m'a donné des occasions d'assouvir mes fantasmes. Et d'en jouir à plusieurs reprises.
Le dîner fini, notre hôte nous invite à passer au salon.
Je m'assois sur le canapé, le serviteur me remplit une nouvelle fois mon verre de champagne. Je me sens bien, adulée par ces hommes qui savent me mettre en valeur. Je savoure la douceur du moment présent.
Mon mari se lève et passe derrière le divan, me prend délicatement la tête m'attire à lui en arrière. Il dépose un baiser sur mon front puis s'empare de mes lèvres. Je suis aux anges, amoureuse. Je sens soudain qu'il passe doucement une main sur le devant de ma robe pour me caresser la poitrine. Je ferme les yeux, et la dernière image que je vois est celle du Général qui s'est levé et s'approche du canapé, alors que dans le fond de la salle, près du bar, Antonio et le serviteur assistent silencieux à la scène en spectateurs. Je me laisse aller au fond des coussins. Je comprends que mon époux va me livrer une nouvelle fois à la merci de son bienfaiteur. La situation m'excite et le ventre commence à me brûler.
Je perçois deux mains qui écartent délicatement mes jambes nues. Celles de mon époux sont maintenant sous le tissu de la robe et me caressent les seins à même la peau. Je sens déjà la mouille remplir mon vagin.
Ma robe est ouverte, découvrant mes cuisses jusqu'à la taille. Mon sexe nu est exposé à la lumière des lustres du salon. Deux mains dont je sais qu'elles sont au Général, glissent à l'intérieur de mes cuisses là où la peau est si sensible. Puis je sens son souffle chaud caresser les lèvres de ma chatte. Deux doigts les écartent et une langue commence à boire la cyprine qui s'écoule de ma vulve. Je sens déjà la jouissance monter. Le Général est un généreux lécheur. Sa langue, après avoir joué avec mes lèvres externes et titillé mon petit bouton a entrepris de me baiser avec son organe râpeux et si mobile. Elle pénètre, glisse, mouille, boit. Je suis très vite débordée par un orgasme extrême. Mon mari a écarté les bretelles de la robe et dénudé ma poitrine. Il titille mes pointes pour augmenter mon plaisir. Mais je n'ai pas le temps de me ressaisir qu'à nouveau la langue s'avance, se fraie un passage entre mes lèvres glabres, s'abreuve de ma mouille déjà abondante. Je comprends que l'homme se délecte de mon jus qui déborde. Sa langue remonte doucement et trouve à nouveau mon clitoris déjà tout dur, tout tendu comme s'il attendait, comme s'il espérait toute l'attention que le général lui porte. Du coup il s'y concentre en fait le tour, le gourmande, le fait rouler. Alors que je gémis de plus en plus fort. Je me sens me tendre, des mains viennent trouver mes tétons eux aussi tout durcis. C'est mon époux. Je me cambre, pour mieux m'offrir. Deux doigts maintenant s'insinuent dans ma vulve, accompagnant la danse lubrique de cette langue diabolique. Ils trouvent le point de folie sur lequel ils se fixent, je gémis, je frémis sous la douceur de ces caresses. Je suis seule, je suis près de m'évanouir.
Je sens la chaleur qui me monte aux joues. On me regarde, alors, dans un râle de fond de gorge et une crispation de tout mon corps, mon vagin palpite de bonheur et sans pouvoir me contrôler, il éjacule sa cyprine. A bout de souffle, au bout de ma jouissance, je me laisse aller, offerte maintenant aux plaisirs de la chair.
L'homme entre mes cuisses a relevé le bas de ma robe découvrant mon ventre. Je devine qu'il veut maintenant assouvir son désir et me baiser. Derrière moi, je sens une bite se frotter à mes joues et m'invite à la prendre en bouche. Je reconnais celle de mon mari. J'ouvre un instant les yeux, curieuse de saisir la scène. Antonio et le serviteur sont toujours assis au bar. Mais Antonio a sorti son membre et se branle en matant. Le serveur reste de marbre.
Mon mari me caresse la joue avec tendresse. Je le prends en bouche et commence une fellation. Devant, je comprends que le Général s'est relevé, s'est mis nu et se saisissant de mes jambes qu'il pose sur ses épaules, il présente sa bite tendue à l'entrée de ma chatte. Sans attendre il me pénètre et commence un va et vient diabolique. Je sens son souffle s'accélérer au rythme de ses coups de bite. Puis, alors qu'il pousse un râle de fauve en rut, il se déverse en moi en plusieurs salves de foutre brûlant. Je jouis une autre fois ce qui déclenche l'éjaculation de mon époux dans le fond de ma gorge. Je le garde bien planté en moi pour avaler sa semence jusqu'à la dernière goutte.
Mes deux hommes repus se rajustent. Le serviteur s'approche et nous propose des flûtes de Champagne.
Je vois à son regard que mon mari est heureux, satisfait de la performance de sa bien aimée. Le général me couvre des yeux, d'un regard plein de reconnaissance.
Seul Antonio ne semble pas à son affaire. Il a compris que mon mari au courant de mes vices et de mes frasques, fera le complice qu'espère toute femme. Il quitte l'appartement, timidement, vaincu comprenant que son emprise sur moi est finie.
Moi, je suis heureuse. Je me blottis dans les bras de mon mari à qui je promets d'être désormais son esclave. Je lui découvre des envies de libertinage qui vont au delà de toute jalousie. Je l'aime. Pour finir, le Général me présente un petit coffret à bijoux dans lequel je découvre une jolie broche en or. Il me l'accroche sur la poitrine.
- Un modeste cadeau pour notre princesse, dit-il à mon attention.
Je le remercie d'un baiser tendre mais pas chaste, et lui glisse à l'oreille, doucement pour que mon tendre ne l'entende pas, que nous serons appelés à nous revoir.

FIN

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