Une soirée surprenante partie 3

- Par l'auteur HDS HdR33 -
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Récit libertin : Une soirée surprenante partie 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une soirée surprenante partie 3
Une soirée surprenante partie 3

Pour une meilleure compréhension, je vous invite à lire les parties 1 et 2 de cette histoire.

Je me suis assoupi… j’ai perdu le fil de cette soirée.
C’est la gorge sèche et en vibrant que je me réveille. Je mets quelques instants avant de remettre mon esprit en ordre et de comprendre que vous venez d’enclencher la vibration du plug… La sensation est désagréable… Cela fait maintenant plusieurs heures que cet objet est dans mes fondements. Il m'irrite, me gêne, j'aimerais le retirer, mais je ne m'y risque pas sans votre accord.

En plus de cela, mes jambes restées trop longtemps pliées sous mes fesses et ma mâchoire laissée entrouverte par le bâillon me font mal.
Je n’arrive pas à garder le silence, râle dans mon bâillon. De douleur et de plaisir en même temps. Le plaisir d'endurer cela pour vous, de n'être que le prolongement de votre désir. Je coule de toutes parts. Les larmes, le liquide pré-éjaculatoire et la bave qui coule de mon bâillon créent sous moi une flaque d'humiliation.
Je tente de résister à l'asseau de votre jouet qui stimule ma prostate, me procurant une sensation aussi étrange que plaisante.
Je sens que je suis au bord du gouffre… Que je peux jouir à tout moment…
Je halète tout en essayant de faire le moins de bruit possible. Je ne veux surtout pas être découvert dans cette situation par votre invité...
J’étends des pas, puis des voix qui deviennent de plus en plus fortes. Vous et votre visiteur arrivez dans l’entrée.
Je me concentre pour ne laisser passer aucun bruit, serre mes abdominaux... Mais, cette contraction crée un effet pervers et, comme dans une douce euphorie, mais également avec des remords quasi instantanés, je sens que mon sexe se vide abondamment sur le sol de votre vestibule.
Épuisé, je manque de peu de m’écrouler dans mes propres fluides.

Clac, j’entends notre porte se refermer, puis le silence.
Le plug s’arrête. Je sais que vous allez arriver, du moins je l’espère, autant que je le redoute. J'appréhende votre réaction…
La porte s’ouvre et je suis aveuglé par la lumière. Vous êtes auréolés, tel l’ange que vous êtes. « Oh, Monsieur... » me dites-vous, la voix remplie de compassion. Vous laissez la porte ouverte et revenez quelques instants plus tard. Vous vous précipitez pour enlever mon bâillon et me donner à boire.
J’arrive de plus en plus à vous distinguer. Vous avez abandonné votre tenue, mais vous êtes toujours aussi ravissante. J’entends que vous passez une paire de gants et je frémis à l’idée de ce que vous pourriez faire.
Dans un premier temps, vous retirez le plug de mes fondements, me laissant échapper un grand râle de soulagement. Vous me regardez avec empathie tout en caressant mes fesses comme pour vous excuser. « Je suis navrée que les choses se soient passées ainsi Monsieur. Je me suis laissé prendre au jeu, un peu trop peut-être… Si vous voulez rentrer chez vous, dites-le-moi, je comprendrai. Il me faut encore progresser dans mon nouveau rôle », m'avez-vous soufflé, l’émotion dans la voix.
« Non Madame, ce n’est rien. Ne vous excusez pas. J’aurais dû être plus résistant. Ne me congédiez pas, je vous en supplie. »
« Vous avez raison… je suis peut-être trop bonne avec vous depuis le début », me dites-vous avant d’attraper mes bourses et de les tirer vers mes fesses, me faisant tomber la tête la première dans mon lac de semence. « Vous n’êtes décidément qu’un vilain garçon. Je vais devoir sévir. Mais pas ce soir. Nous avons eu notre lot d’émotions pour aujourd’hui. » Vous appuyez néanmoins ma tête dans la flaque avant de me relever en tirant sur mes cheveux. Même si vos mots parlent d'apaisement, votre corps et vos gestes montrent que vous en voulez toujours plus...

Vous m’envoyez me laver tout en déverrouillant ma cage. Une fois sous la douche, vous faites irruption dans la salle de bain. Vous vous déshabillez devant moi. Je vous vois pour la première fois totalement nue, à l’exception de vos gants. Vous êtes époustouflante. Vos formes sont sublimes et je bande instantanément. Sans la cage, mon sexe se déploie au maximum et se gorge de sang. J’ai très envie de vous faire l’amour, de caresser votre corps. Seulement, vous me demandez de croiser mes mains dans mon dos et de ne rien tenter. Vous commencez à branler mon sexe. C’est extrêmement bon. Dans l’oreille, vous me glissez alors : « Je peux être le feu Monsieur », puis avec votre autre main, vous saisissez mon téton et le pincez avant de le tordre. Je lâche un cri de douleur et vous regarde avec supplication. Mais, vous me fixez avec vos magnifiques yeux, « mais aussi la glace », tout en frappant mes bourses avec votre main à plusieurs reprises. Je serre les jambes et tombe à vos genoux. En saisissant mes cheveux, vous me fixez à nouveau. Cette fois en supériorité. « C’est moi qui devais avoir un orgasme ce soir ! Pas toi ! » me dites-vous sur le ton de la colère. Alors reprends-le ! » Vous saisissez un verre que le lavabo et tout en serrant ma mâchoire, vous me faites boire le liquide. Je comprends que c’est mon sperme que vous avez récupéré dans votre vestibule. Je ne m’y attendais pas, le goût est âcre, mais je ne peux qu’avaler avec la pression que vous mettez sur ma mâchoire. Une fois fini, vous me donnez 2 claques qui me font baisser les yeux… « Remercie-moi pour l’intérêt que je te porte alors que tu n’es qu’un sale gosse. »
« Merci Madame pour l’intérêt que vous me portez. Je ferai tout pour me racheter. »
« Oh, ne t'inquiète pas, tu auras l’occasion. En attendant, embrasse mes pieds. »
Je m’exécute et dépose un nombre incalculable de baisers sur vos divins pieds. Entre-temps, vous saisissez le pommeau de douche et le gardez pour vous. Vous mettez le jet à forte puissance et j’entends le plaisir monter en vous. Il monte, monte et monte encore… Je vous entends haleter. « Hummmm… Huuuuummmmm. Oui, c'est bon… Hummmmmmmmmmmm» Et vous partez sans vous retenir dans un orgasme fabuleusement sonore.

Puis plus rien, si ce n’est le bruit de l’eau. Je n’ose relever les yeux pour vous regarder, mais je sais que vous le faites. D’un coup, je sens de l’eau froide s’abattre sur mon corps. J’ai froid, je grelotte et je finis par arrêter de bander. « Relève-toi ! » Votre ton est dur, vous ne me vouvoyez plus… vous séchez rapidement mon sexe avec une serviette puis replacez le tube de la cage avant de la verrouiller « Voilà qui est mieux. Nous verrons combien de temps cette cage reste en place…» Puis vous finissez par me sécher et me prendre dans vos bras. Je sens votre chaleur contre moi, elle me réconforte et me fait du bien. Vous me dites alors à l’oreille : « Allons nous coucher maintenant, vilain garçon. La journée a été éprouvante. Viens dormir dans mon lit… je te veux proche de moi… Je ne peux pas te faire confiance…» : vous terminez cette phrase avec un petit sourire coquin qui illumine votre visage. Nous allons nous coucher et dormirons à poings fermés. Enfin presque...

La journée du lendemain se passe de la façon la plus classique possible. S'il n'y avait pas cette cage autour de mon sexe et cette clé autour de votre cou, nous pourrions être un jeune couple tout à fait classique. Nous allons nous promener, nous déjeunons dans un parc et faisons les boutiques. Avant de rentrer, vous me dites que vous souhaitez faire une dernière halte dans une boutique spécialisée dans le matériel BDSM. Je vous suis avec plaisir et vous propose d’acheter ce qui vous plaira. Une fois là-bas, vous êtes comme dans un magasin de jouets… je vous vois déambuler et prendre tout un tas d’articles. Au début, je les distingue et puis vous me dites que vous souhaitez garder quelque surprise et de vous attendre à la caisse pour payer. Vous m’avez pris au mot et vu les 3 poches pleines et le montant de vos achats, je comprends bien que vous vous êtes équipé. J’ai tellement hâte (peut-être ne devrais-je pas) de découvrir ce qu’il y a à l’intérieur.

Une fois de retour chez vous, je n’attends même pas vos indications. Je pose les sacs dans l’entrée et me déshabille instantanément avant de fermer les yeux afin de respecter les deux premières règles. « Bien ! Je vois que ça commence à rentrer », me dites-vous, la joie dans la voix. « Nous allons rajouter une règle. Maintenant, tu devras te déshabiller et me déchausser avant de déposer un baiser sur chacun de mes pieds. » Je m’exécute en tombant à vos genoux et en ouvrant la fermeture éclaire de vos bottines. Puis je dépose un doux baiser sur chacun de vos pieds. Vous vous accroupissez face à moi tout en caressant mes cheveux, vous m’embrassez langoureusement. « Passons aux choses sérieuses » me dites-vous en vous relevant. « Hier, tu as tout sali chez moi. Alors pour tenter de te faire pardonner, tu vas tout nettoyer. » « Avec plaisir Madame. Que puis-je faire ? » « Tu vas nettoyer la salle de bain et les toilettes, passer l’aspirateur et la serpillère, lancer une machine et faire mon repassage. Tout ce dont tu as besoin est dans le vestibule… je crois que tu sais où c’est… aller au travail ! Comme c’est la première fois, je te laisse deux heures pour tout faire. »

Je me lance à corps perdu dans toutes ces tâches. Je m’applique à faire cela pour vous, ma Déesse. Lorsque j'en arrive à la dernière tâche, il me reste encore 45 minutes. Tandis que vous lisez, détendu dans votre canapé, je profite de ce moment. J'aime sentir votre odeur, plier votre lingerie, sentir les différentes matières sous mes doigts.
Au bout de quelques instants, vous vous levez. « On dirait que tu apprécies me servir… cela m’excite. » Vous passez dans mon dos et saisissez ma cage en mimant une branlette. Je halète sous l'effet que vous me faites. Pourtant, vous cessez rapidement avant de me claquer la bite. « Arrête de bander et concentre-toi, petite boniche. Je vais vérifier si tu as bien fait ton travail. » Vous partez alors avec un petit carnet vert à la main.
« Au fait, rejoins-moi dans 30 minutes dans la chambre. » Il est 18h47 à l’horloge du salon. Vu la pile de linge, j’ai intérêt à me dépêcher.

À 19h17 précise, je frappe à la porte de la chambre. Dans l’entre-bâillement de la porte, je vois une lueur douce et chaude provenant de la lampe de chevet. « Entre, je t’en prie. » J’ouvre la porte et je vous retrouve assise sur le bord de votre lit, les jambes croisées, lisant un livre : osez dresser votre mari.
Cependant, ce n’est pas cela qui me trouble le plus. C’est plutôt votre tenue qui me fait m’arrêter net.
Votre coiffure est identique à la veille, de même pour votre rouge à lèvres et votre loup. Seulement, votre body a laissé place à une superbe combinaison en wetlook. Votre taille est agrémentée d’un corset en latex court qui met parfaitement en valeur vos seins qui pointent magnifiquement. Vous êtes chaussés de cuissardes brillantes, les mêmes que la veille.
Je reste bouche bée… et fait des allers-retours entre le haut de votre corps et le bas, ne sachant plus où donner de la tête. Ce sont vos yeux bleu-vert perçants et votre sourire satisfait qui m'arrêtent net. « Tes achats te plaisent ? »
En déglutissant et en baissant les yeux, je réponds le plus respectueusement possible. « Oui Madame ! Vous êtes magnifique ! » Vous fermez votre livre et vous levez en me rejoignant : « Assez de théorie pour aujourd’hui, passons à la pratique… » Vous saisissez mon sexe au niveau de l’anneau de cage : « J’aime me sentir… bandante… Dire que si tu n’étais pas un vilain garçon, tu pourrais me faire l'amour... » Je regarde mon sexe qui palpite suite à vos mots… J'adorerais arracher cet objet pour pouvoir vous montrer toute ma vigueur et mon désir de vous. Vous reprenez alors : « Mais pour les garçons de ton genre… j’ai un autre programme. »
Vous vous déplacez vers une commode bleu nuit où vous avez déposé les accessoires que vous souhaitez utiliser ce soir. Tout en vous cambrant pour m’aguicher davantage, vous passez un doigt sur la cravache, la badine, le paddle et le martinet que vous avez sorti du placard. « Hummmm l’ivresse du pouvoir… à genoux, petite chose ! »
Alors que je tombe à vos pieds sans dire un mot, certainement encore un peu subjugué par cette scène, je sens votre excitation monter. Vous vacillez déjà.
Vous me tournez autour, je suis votre proie. Je me sens si petit, si faible face à votre grandeur.

En vous baissant derrière moi, vous me chuchotez à l’oreille : « Tu sais ce qu'il faut faire si c'est trop pour toi ? Vu mon excitation, j’ai peur d’aller trop loin… alors n’hésite pas à utiliser ton safeword… je tiens à toi… »
Je reste à nouveau bloqué, rempli d'appréhension, mais aussi de désir pour vous. C'est la première fois que vous me dites une telle chose... Vous venez de prononcer un mot qui va au-delà de tout ça, au-delà du jeu. Entre vous et moi, c’était bien plus fort. Je suis prêt à souffrir pour mériter votre amour, à devenir un bon garçon à vos yeux.

En retournant vers la commode, vous saisissez un objet. Dans un premier temps, je peine à discerner ce que c'est. Puis, vous revenez vers moi et le déployez devant mes yeux. C’est un collier de cuir avec un anneau en argent au centre. Il doit faire à peine 3 cm de large. Il est très simple, mais tellement porteur de sens.
Mon cœur bat la chamade lorsque vous prenez la parole.
- Sais-tu ce que cela représente si je passe cela autour de ton cou ?
- Que je vous appartiens, Madame.
- En effet. J’aurais tout pouvoir sur toi. Ta seule échappatoire est dans ton mot et ton geste de sécurité. Pour le reste, tu me devras un respect et une dévotion totale. Ne jamais discuter mes ordres. Tant que tu porteras ce collier, tu seras à mes côtés, tu seras mon jouet. Acceptes-tu cela ?
- J’en ai bien conscience Madame. J’essaierai de me montrer digne de le porter. J’accepte vos conditions sans reddition.

Vous vous approchez alors de moi et passez le collier autour de mon cou. Je baisse la tête pour vous faciliter l’accès à ma nuque et vous verrouillez le collier dans mon cou. Sans trop le serrer, mais tout de même assez pour qu’il y ait une petite pression. Je ne peux m’empêcher de le toucher, pour sentir que cela est bien réel. Je suis ému de ce symbole qui veut dire tant de choses dans notre relation.

Vous vous asseyez à l’angle du lit et écartez vos cuisses avant d’ouvrir la fermeture éclaire de votre combinaison et de m’offrir le spectacle superbe de l’origine du monde noyée par le désir. Je comprends en croisant votre regard ce que vous attendez de moi.
Je commence à lécher l’intérieur de vos cuisses pour récupérer votre nectar, tout en me dirigeant progressivement vers votre paradis.
Vos grandes lèvres sont gorgées de désir, juteuses, je les lèche à l’extérieur puis à l’intérieur, parfois doucement et parfois plus durement. Je presse mon visage contre votre chatte en nage. Mon nez titille votre clitoris alors que ma langue vous pénètre allègrement. Je lèche votre con, l'assailli. Je le vois se déployer sous mes yeux. Je le lèche, le suce, le mordille et je sens votre excitation qui monte… votre respiration est saccadée, vos cuisses se referment comme un étau sur mon visage. Je ne peux plus respirer, bloqué de part et d'autre de vos cuisses et plaqué contre votre paradis qui tente de me noyer en remplissant mes narines de votre élixir. Alors, lorsque je comprends que je n'ai qu'une seule échappatoire possible, je redouble d'efforts. Votre désir monte, monte et monte encore, vous êtes sonore. Votre corps tente de s'échapper, mais vos cuisses ne veulent pas. Dans un dernier sursaut, vous écrasez littéralement ma tête contre votre intimité avant d'exploser en vous allongeant sur le lit tout en malaxant vos seins de désir. Les yeux mi-clos, vous restez un moment à profiter des derniers soubresauts de votre orgasme qui vous a rassasié.
La question est : pour combien de temps ?
Vous vous relevez encore groggy par cet orgasme qui vous a transpercé. Vous réajustez votre tenue et votre coiffure.

Freya, Vénus, Aphrodite, autant de termes qui vous vont à ravir et qui montrent ce que vous êtes pour moi, une Déesse.
Comme si nos pensées étaient connectées, vous me dites en refermant votre fermeture éclaire : " Maintenant que tu en as vu son origine, considère-moi comme ton monde. Je suis ta Déesse. J'ai tout pouvoir sur toi, simple mortel. "
En vous relevant, je ne vois que vos cuissardes face à moi. Vous êtes gigantesque, inaccessible, me toisant depuis votre Olympe.
« Lèche mes bottes pour implorer mon indulgence, petite chose. Il va être l'heure d'expurger tes fautes. Après cela, tu seras brisé, à moi, à mon service. »
Je m'applique à laper vos magnifiques cuissardes pour les faire briller encore plus, je les embrasse pour prendre chaque miette d'adoration que vous me laissez.
Votre corps bouillonne à chacun de mes coups de langue, vous respirez de plus en plus fort. Je me risque à jeter un œil vers le haut et je croise votre regard brillant d'excitation et admiratif d'une telle dévotion à votre égard.
« Dans quel pétrin tu t'es mis… Je vais faire de toi ma chose. »
Mon sexe palpite à vos mots. C'est la seule issue que je souhaite à cette rencontre. Alors, je redouble d'efforts pour vous montrer toute mon implication.
D'un geste technique que je ne vois pas arriver, vous forcez ma tête à rejoindre le sol tout en me faisant sucer votre talon. Vous attrapez alors une paire de gants longs en similicuir et vous les enfilez lentement et langoureusement. Votre objectif est simple, me faire fondre, et vous y arrivez. Vous me regardez alors du coin de l'œil : « J'aime jouer avec tes faiblesses », tu m'avais dit être un fétichiste des gants. Pourtant, je ne pensais pas que ta bestiole palpiterait autant pour si peu. » Vous vous mettez à rire. Un rire sincère et joviale, un peu moqueur, mais surtout terriblement sexy qui vous donne la prestance d'une reine.

Vous me chevauchez et commencez à frotter votre entrejambe sur mon sexe encagé. Avec vos gants, vous caressez mon visage avant de pénétrer ma bouche. Je vous suce les doigts comme si c'était un sexe. « Sale petite coquine ! Penses-tu m'amadouer ? » Alors que vous aviez un visage rayonnant et angélique, je vois votre regard se durcir derrière votre masque.
« Je te conseille de ne pas jouir, salope ! » Sans que je m'y attende, vous me lancez une première claque... puissante... qui me tord la mâchoire. Puis une seconde de la même intensité. Une troisième, une quatrième. Une cinquième… Vous vous arrêtez et contemplez votre travail. Mes joues sont rouges, mes yeux larmoyants. Je sens la chaleur... je sers les dents pour ne pas craquer. Tout devient plus sérieux tout à coup.
Vous touchez mon sexe... il ne bande plus dans sa cage… Vous lâchez un grand râle de satisfaction mêlé à du plaisir. Puis, en ouvrant une nouvelle fois votre combinaison et en caressant votre paradis, vous me dites à l'oreille : « N'oublie jamais pourquoi tu es ici. » Le tout en étalant votre divin élixir sur mon visage : « Pour mon plaisir... et seulement le mien… Debout maintenant ! Face au miroir ! »

Je m'exécute rapidement. Je plaque mes mains sur le miroir et cambre mes fesses vers vous. Vous me rejoignez rapidement. Vous saisissez ma tête pour m'obliger à me regarder dans les yeux. Face à mon âme. Vous appuyez ma tête contre la glace et saisissez mes bras pour les menottez à mon collier.
« C'est ça ! Baisse la tête et prie pour que je sois clémente. »

Vous revenez quelques instants plus tard et me frappez les fesses avec ce qui semble être un carnet. Certainement, le petit vert que vous aviez plus tôt dans la soirée.
« Ce soir... tu devras payer pour : » Vous commencez ainsi la longue énumération de mes fautes... « ton éjaculation incontrôlée d'hier soir, tes manquements pour les tâches ménagères et… pour le trouble que tu mets dans ma vie depuis peu... es-tu d'accord avec ces accusations » votre souffle est court et montre toute l'intensité de votre excitation.
Je vous réponds de façon à peine audible. Anxieux, mais aussi impatient de découvrir la suite.
« Pour trois fautes, trois sanctions… ce sera : des jours de cage en plus, des jours de ménage et bien évidemment de l'impact sur tes mignonnes petites fesses trop blanches à mon gout. »

Je déglutis face à la montagne qui se dresse devant moi.
« Tourne-toi ! » Lorsque je m'exécute, je vois votre sourire et votre regard satisfait devant tant de dévotion. Vous tenez en main deux dés.
« Je suis joueuse, tu le sais… Alors, nous allons jouer ça aux dés. » En joignant le geste à la parole, vous insérez les dés dans ma bouche.
« Commençons par les jours de chasteté. »
Je crache les dés et attends votre réaction.
« Oh, oh... ça commence bien… 4 et 2. Je note 8 jours de chasteté. Humm que j'ai hâte de te teaser. » Je souris alors plus par réflexe que par joie de la situation. Je n'ai jamais tenu aussi longtemps enfermé et avec une femme telle que vous dans mon esprit, la tâche s'annonce ardue.
Je ne bouge pas, attendant votre prochain tirage, vous me regardez avec un regard suffisant.
« Tu attends que je les ramasse ? » Je vous regarde sans vraiment réagir, ne comprenant pas immédiatement votre indication déguisée. Alors, vous reprenez la parole et tout en notant sur votre carnet, vous comptez de façon croissante au rythme des secondes : « 9, 10,11,12.... » finalement, je comprends que je dois les ramasser et me jette à genoux, handicapé par mes mains attachés « 19 » je me dépêche et finit par les engloutir à nouveau avant de me remettre debout « et 24. Whaoo j'adore ce jeu ! Ça risque d'être compliqué pour toi... je vais m'appliquer à bien te frustrer. » Vous commencez immédiatement en ouvrant la fermeture éclaire de votre combinaison, laissant apparaitre votre poitrine et vos tétons déjà dressés. Vous plongez alors ma tête entre vos seins, me laissant humer votre odeur féline avant de les renfermer comme si de rien n'était...
« Bref. Au suivant ! »
Je jette à nouveau les dés : 6 et 5... aïe... « 30 jours à mon service. Cela va te permettre de t'améliorer en ménage ! Enfin... ce sera plutôt... 31, 32... » Cette fois-ci, je réagis beaucoup plus vite et finalement, la sanction ne sera (que) de 36 jours.

Maintenant, le meilleur pour la fin, vous me demandez de relancer les dés une dernière fois. Pour l'impact… Le temps est suspendu... je vois les dés tourbillonner puis s'arrêter !
« Et c'est un double ! » Dites-vous la joie dans la voix. « Donc 4 fois 4, ce sera 16 coups de... »
Vous vous dirigez vers votre commode et passez vos armes en revue.
« Face au miroir, comme tout à l'heure »
Vous revenez à mes côtés, mais je n'ai pas pu voir ce que vous avez choisi.
Vous vous approchez de mon oreille.
- N'hésite vraiment pas à utiliser ton mont de sécurité. Je suis ivre du pouvoir que tu me laisses. Chaque coup ne sera qu'un verre supplémentaire pour moi.
- Pitié Madame...
- Je n'en aurais aucune pour toi. Parce que c'est ce que tu veux au fond de toi.
Serre tes pieds, que je les attache ! Tu n'iras nulle part. Tu dois affronter tes fautes. Je vais t'éduquer aussi bien que je vais t'aimer passionnément. »

Vous vous accroupissez derrière moi et je sens mes pieds se joindre indéfectiblement. En vous relevant, vous léchez mes couilles qui sont exposées entre mes cuisses. La chaleur de vos lèvres, l'humidité de votre langue sont une bénédiction. Ma bandaison revient progressivement et mon désir pour vous n'est que décuplé. Je subirai bientôt vos assauts pour mieux vous satisfaire. Moment trop court bien que salvateur, vous vous relevez.
Je sens alors le paddle caresser mes fesses avant de s'abattre avec une force modérée sur ma croupe.
Je compte en vous remerciant ma Déesse.
Les coups ne sont pas très intenses avec le paddle, mais je sens peu à peu ma peau monter en température. Au 6ᵉ coup, je sens une chaleur intense et diffuse, comme un coup de soleil sur les fesses. Vous me caressez...
« Voilà qui est parfait comme toile de fond. »

Vous saisissez alors la cravache. Et, commencez à me frapper avec une force qui monte crescendo. Je souffre de plus en plus, j'ai mal et je vous sens de plus en plus débridé. Au 11ᵉ ou peut-être 12ᵉ coup, vous vous approchez. Vous palpez ma cage. Je ne bande pas... je suis trop occupé à gérer la douleur que vous m'infligez. Je ne peux néanmoins pas m'empêcher de vous remercier pour cela.

Vous me répondez en me mordant l'oreille et en me frappant de plus belle. J'ai perdu le compte. Je prie pour que ce soit enfin terminé. Vous vous approchez à nouveau et relevez ma tête face au miroir. Les yeux vitreux, au bord des larmes, je me sens fragile.
« Regarde-toi ! Tu n'es plus l'homme que tu étais en arrivant ici. Maintenant, tu es mien. Pour le pire... » vous frappez une nouvelle fois. « Comme pour le meilleur… » Tout en plaçant votre cravache dans ma bouche, vous commencez à branler ma cage qui, comme souvent, se rigidifie sous vos doigts. Quelle idiote, elle ne voit rien arriver... Mon cerveau aussi veut se laisser convaincre. Mais, votre machiavélisme est imprévisible et, lorsque ma cage est complètement remplie par mon sexe en érection, vous lâchez tout en reculant d'un air choqué.
« Tu oses bander dans un moment pareil ? »
Le piège se referme sur moi. J'entends vos talons claquer sur le parquet avec empressement. Puis revenir dernière moi ! Cette fois, je suis fini. Je vous vois dans le miroir brandir la badine haut au-dessus de votre tête.
Le bruit significatif de l'air fendu par l'objet atteint mes oreilles juste avant la piqûre, un, deux, trois, quatre, cinq. Vous frappez fort ! Sans me laisser le temps de respirer. Puis c'est fini ! Une sensation de vive douleur me foudroie, mes larmes coulent, je hurle de douleur et tombe à terre.
Vous me l'aviez promis, vous m'avez bel et bien brisé.
Attaché, à terre, je sanglote.

Au travers de mes larmes et du miroir, je vois votre empressement de quitter votre corset et d'ouvrir votre combinaison. En vous installant sur le lit, vous posez vos talons sur moi. Puis j'entends une vibration, sans doute celle de votre womaniser que vous placez entre vos jambes.
Tout en caressant vos seins et vos tétons, la jouissance monte vite, vous ne contrôlez plus rien, même pas vos talons aiguilles qui s'enfoncent maintenant dans mes côtes et rajoutent un peu plus de douleur à ma situation.
Une explosion sonore se fait tout à coup entendre, vous jouissez longuement, expulsant tout ce désir accumulé. Vous vous écroulez enfin dans un soupir de soulagement et de satisfaction. Épuisé, à bout de force, vous me dites de monter sur le lit. Vous prenez le temps de me détacher et de passer de la crème sur mes fesses. Cet after care est une bouffée d'oxygène après une si longue apnée.
Vous séchez mes larmes avec vos baisers et me prenez dans vos bras.
Comme dans un nuage et avant que je ne tombe d'épuisement, j'étends vos derniers mots ce jour-là qui raisonnent toujours en moi aujourd'hui...
« Merci pour cette abnégation. Tu es bien le plus fort de nous deux… Je crois que je tombe amoureuse de mon soumis... »

Je suis aux anges, mais je n'ai pas la force de répondre. Répondre combien moi aussi, j'ai trouvé l'oiseau rare que j'ai tant cherché... je ne vous le dis pas et vous laisse dans l'incertitude. Maigre consolation que d'avoir un peu de pouvoir… un tout petit peu de po… ZzZZZ

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