Une soirée surprenante partie 4

- Par l'auteur HDS HdR33 -
Récit érotique écrit par HdR33 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Une soirée surprenante partie 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-08-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une soirée surprenante partie 4
Une soirée surprenante partie 4 

Pour une meilleure compréhension, je vous invite à lire les parties précédentes de cette histoire. 

"Je crois que je tombe amoureuse de mon soumis " ce sont les derniers mots que j'aie entendus en m'endormant et ce sont les premiers qui raisonnent lorsque j'émerge en ce dimanche matin. Cependant, c'est bel et bien votre doux baiser sur ma tempe qui me sort définitivement de mon sommeil. 
Je peine à ouvrir les yeux, ils sont collés par les larmes de la veille. En un instant, tous mes stigmates remontent à la surface et je sens mes fesses endolories, mon sexe et sa bandaison matinale qui presse contre sa prison. 
Ce n'était donc pas un rêve... Je touche mon coup pour vérifier et oui, le collier est bien là... Je suis à vous. 

Avant même que je n'ouvre la bouche pour vous saluer, vous prenez la parole : "J'ai un brunch avec des copines prévu ce matin, tu... "  Je ne vous laisse pas répondre et embraye directement tout en me redressant : "Je comprends, je vais rentrer chez moi " Du tac au tac, vous me repoussez sur le lit avec force " je n'ai pas fini soumis ! Tu as oublié les bonnes manières pendant la nuit ? Regarde, la badine n'est pas encore rangée ! " votre regard est dur, mais je comprends votre réaction. Je n'aurais pas dû vous couper la parole et m'en excuse sur le champ en glissant à vos pieds pour embrasser vos superbes bottines brillantes effet croco. 
Vous soupirez... "Moi qui pensais que l'on allait dans la bonne direction... Je pensais te laisser un peu de liberté ce matin, te laisser sortir d'ici déambuler, digérer tout cela... Mais je crois que tu as besoin d'autre chose... quelque chose de plus restrictif ..."  Vous me relevez par l'anneau du collier et je me retrouve maintenant face à vous. Nous yeux se croisent et je vois en eux toute la détermination que vous avez à faire de moi votre chose sur mesure. Je n'ai pas peur. Non. Je suis impatient ! 
Je murmure alors dans un souffle à peine audible : " éduquez-moi, Madame, je vous en supplie."
Vous vous mettez à rire : " Je n'ai pas attendu ton autorisation pour cela ! Je vais te façonner à mon image. Cela prendra le temps qu'il faudra et j'y emploierai toute ma détermination.  Je vais prendre tout mon temps... je te rappelle que ta queue m'appartient pour 24 jours au moins et que tu me dois 36 jours de service domestique. 
Après ce qui vient de se passer et vu qu'il est inconcevable que ton vermicelle se promène en liberté chez moi, je te propose de passer à 36 jours de chasteté..."
Mes yeux sortent de leurs orbites... 
- C'est beaucoup Madame
- C'est vrai, mais visiblement nécessaire.
- Mais, je... 
-Arrête. Si tu discutes encore une fois, ce sera 40 jours et une punition à mon retour. 
- Bien Déesse.
- Alors c'est décidé. 36 jours de chasteté. Ce sera plus simple à compter. 
J'ai le regard bas, tout en vous écoutant, je profite de la vue de vos bottines et de votre corps si attirant. 36 jours... une éternité lorsqu'on brule de désir et d'envie obscènes. Je rêve de baisser votre pantalon et de vous faire l'amour. De malaxer vos fesses, d'y insérer mon épée, de vous donner du plaisir, de vous satisfaire... 
Je bande lorsque vous vous approchez de moi pour m'embrasser sur la joue et me souffler : " Tu es entre de bonnes mains, ne t'inquiète pas. Tu ne regretteras pas ta libération ! "
Puis, en vous écartant : " Mais en attendant, tu as 10 minutes pour aller aux toilettes et te laver. Tu pues ! " 
Quand je pars, je sens vos yeux sur mon corps. Je vous imagine enjouée et satisfaite des marques que vous avez laissées sur mes fesses. 

Je reviens, dans le temps imparti, propre comme un sous neuf. Vous m'attendez de pied ferme, un tas d'objets déposés sur un petit tabouret dont l'assise est faite d'un quadrillage assez large de corde. Néanmoins, je n'ai pas le temps d'en voir plus, tombant instantanément à vos pieds, tout en m'inclinant jusqu'au sol. 
"Tu l'auras compris, il est hors de question que tu quittes l'appartement. Ni même cette pièce. Tu vas devoir réfléchir au sens profond de notre relation. "
Je vous écoute avec attention, attendant la suite de vos indications. 
" Tout en restant au sol, mets ça. " Vous me tendez une paire de AirPods que j'insère dans mes oreilles. Votre but est sans nul doute de m'isoler auditivement.  
" Redresse-toi maintenant, s'il te plait " Dès que ma tête est droite, sans me laisser une seule seconde, vous m'enfilez quelque chose sur la tête, votre fameuse cagoule avec un unique trou pour la bouche. 
 Vous caressez logement le similicuir, faisant le tour de mon visage à plusieurs reprises. Cela vous excite, je le sens à vos gestes, plus lents, plus insistants. Je caresse vos mollets gainés par le port de vos talons. Vous êtes sur une ligne de crête. Vous devez partir, finir votre méthodique entreprise de contrainte et pourtant, vous ne pouvez pas vous décoller de cette chose.

Dans un geste brusque, vous plaquez ma tête contre votre jean, soupirez, puis me repoussez avant de me claquer ! Splash. 
Je ne l'ai pas vu venir celle-là... dans tous les sens du terme ! 
— Arrête de me chauffer, putain, tu vas me mettre en retard !
- Mais Déesse...
- Tais-toi ! Pas un mot de plus ! 
- ...
Vous tenez ma tête entre vos mains, je sens votre chaleur, votre douceur aussi.
"Et puis merde à la fin ! Elles attendront ! "
Vous baissez votre pantalon sans l'enlever totalement à cause de vos chaussures et plaquez mon dos contre le lit, la tête penche en arrière. 
Vous saisissez mon anneau, ce qui me fait me soulever légèrement ! 
Puis, vous hurlez de façon gutturale : "Lèche-moi ! Tu as une minute pour me faire jouir. "  
Vous êtes déjà dans un état d'excitation intense. Je sors ma langue et vous vous y empalez dessus. Finalement, c'est vous qui vous frottez à moi avec vigueur et je n'ai pas d'autre choix que de subir vos assauts. J'entends vos râles, je sens votre corps se redire, la pression de vos lèvres juteuses sur ma bouche ! Vous explosez  dans un long soupir qui suspend le temps. Vous me laissez enfin respirer. 
Enfin, avant de vous rhabiller, vous déposez au coin de mes narines votre divine odeur. Je vous sens à chaque inspiration, je m'enivre de vous. Quel délice ! 
" Dans les temps... tu es parfait" me dites-vous avant de m'embrasser follement. 

Je me relève et, selon vos indications, me rassois rapidement sur le fameux tabouret de corde. L'assise est bonne, mais je sens directement que sur la durée, ce ne sera pas facile. Mais cela n'est rien par rapport à ce qui m'attend. 

Premièrement, vous tournez mon collier pour faire apparaitre l'anneau dans mon dos. Puis, vous me demandez de joindre mes mains sur ma nuque et les attachez ensemble. La liberté que vous me laissez est minime. Si je me relâche ou si j'essaie de bouger, mon mouvement créera une pression sur le collier. 
Très astucieux de votre part Madame. 
Puis, vous passez à la partie la plus intéressante de votre entreprise... Je sens que vous touchez ma cage. Elle frétille d'impatience entre vos doigts alors, vous me sommez de rester calme. Mais comment pourrais-je l'être alors que je sens une clé s'enfoncer dans la serrure. Dès que le cadenas se dérobe, mon sexe pousse cette cage trop petite pour lui lorsqu'il est dans ses grandes heures. 
" Ça fait du bien n'est-ce pas ? " me dites-vous tout en touchant du bout des doigts mon gland cramoisi. 
- Imagine si tes mains étaient libres ? Je suis certain que tu te branlerai comme un sauvage.
 - Oui déesse, c'est certain ! Dis-je dans un souffle sans pouvoir contrôler les palpitations de mon sexe.
 - Imagine même que je te branle moi-même. avec mes mains, ou peut-être avec mes pieds... tu n'aimerais pas sentir mes bottes sur ton petit machin 
 — Si Déesse, je vous en supplie.
Mais vous ne tenez même pas compte de mes propos et continuez votre inventaire de possibilités tout autant excitantes les unes que les autres.
 - Peut-être que je pourrais la prendre en bouche… Tu aimerais que je te suce ? Regarde, je suis à genoux devant toi... si proche de ce petit oiseau...

Je sens alors le bout de votre langue toucher l'espace d'une seconde mon sexe. Mon cerveau vrille alors et je n'ai qu'une seule obsession, pénétrer votre bouche. Mon bassin se débat sur le piège, je cherche un peu de résistance, mais après quelques coups, je m'aperçois que vous êtes parti et qu'il n'y a que du vide autour de moi. 

Je vous attends alors rire devant ce pathétique spectacle d'un homme en manque qui cherche par tous les moyens à expulser toute cette tension accumulée.
Vous me faites alors une confidence à l'oreille. "Ne t'inquiète pas, un jour, je te sucerai et probablement, tu pourras me faire l'amour. " votre voix douce, enivre mes sens… Quelle promesse... je ferai tout pour. 
Vous reprenez la parole dans l'instant, mais à voix haute : " Mais avant cela, je dois avant tout t'éduquer, mon amour. "

Béat de tous ces mots et promesses que vous m'infligez, je ne résiste pas à la dernière partie de votre plan. Ainsi, vous laissez mon sexe tendu au-dessus de l'assise, mais passez mes bourses dans les quadrillages de corde. Ainsi, après avoir noué une carde autour d'elle, vous les reliez à mes chevilles en suspension avec pour seuls appuis les barreaux verticaux du tabouret. 
Bien évidemment, la corde est trop courte pour me permettre de toucher le sol et dès que mes pieds glissent, je sens une extrême tension sur mes bourses. 

J'entends vos talons qui s'éloignent et je vous imagine contemplant votre œuvre. 
" Il manque quelque chose, mais j'ignore quoi... "dites-vous d'un ton interrogatif... "Ah si, ça y est ! tire la langue !"
Je m'exécute. Vous commencez par la sucer, ce qui réveille mon sexe toujours en érection. Puis, vous vous asseyez sur moi à califourchon, faisant ainsi baisser mes genoux et créant un étirement de mes bourses. Il est difficile de tenir en place sans essayer de contrebalancer avec le haut de mon corps, ce qui fait que je m'étrangle avec le collier. J'essaie de protester, mais pour éviter cela, vous mordez ma langue. je suis incapable de prononcer un son audible. 
Néanmoins, je sens votre jean sur le bout de mon sexe, ce qui me crée une sensation des plus divines ! le feu et la glace, c'est bien votre crédo. 
Lorsque je me ressaisis et me stabilise, vous libérez ma langue. Seulement, mon répit est de courte durée, car deux épingles à linge viennent remplacer vos dents.    
 Avant de quitter la pièce, vous me lancez : " Ainsi, tu imagineras que je suis avec toi. » Sois sage, vilain garçon, je reviens vite... ou pas."
Cette dernière contrainte ne me permet pas de fermer la bouche et je sens rapidement ma salive s'accumuler et couler le long de mon menton et sur mon sexe tendu comme une lance. Quel spectacle ce doit être de me voir ainsi. 

Quelques minutes après votre départ, j'entends les écouteurs s'activer pour lire un de vos SMS : Il fait un temps magnifique dehors. Tu rates quelque chose en t'obstinant à rester dedans. Au moins profites-en pour réfléchir.

C'est bien ce que je m'obstine à faire. Je vous connais depuis si peu de temps et pourtant, j'ai l'impression que nous sommes faits pour être ensemble, pour vivre ce genre d'émotions. Nous sommes comme un puzzle qui s'emboite parfaitement, une pièce unique que nous créons sur mesure. 

Je pense dans un premier temps à vous, à vos yeux billant de désir, à votre corps si attirant, à votre visage angélique qui peut s'intensifier pour faire apparaitre la femme dominante. Celle qui m'attire dans son monde par petits pas, qui tisse sa toile pour mieux me garder auprès d'elle.  Celle qui est, comme vous aimez à le dire, tantôt le feu, tantôt la glace, mais toujours dans la bienveillance et le consentement. 

Cette facette de vous m'amène à repenser à tout ce que nous avons vécu ensemble depuis mon arrivée, à l'intensité de ces trois jours et à mes fautes aussi. Ces fautes pour lesquelles vous m'avez contraint, vous m'avez puni et pour lesquelles je dois maintenant purger une nouvelle peine. 
Je n'ai jamais été très doué pour prendre des décisions ou les devants dans une relation. J'ai toujours pu paraitre peu entreprenant et trop conciliant... Mais vous, cela ne vous dérange pas, car vous aimez le contrôle, avoir l'ascendant. Dans la vie, comme dans le jeu, vous êtes la même. Vous avez simplement cette fabuleuse capacité d'être un caméléon et de vous adapter à votre interlocuteur. Pour ma part, ce sera la Déesse, impérieuse. Parfois celle de l'amour, parfois celle de la guerre, mais toujours celle de la justice. 

En pensant à cette idée de justice et de peine, je ressens instantanément les marques encore fraiches sur mes fesses. Je bouge de droite à gauche pour ressentir toute la profondeur de ces marques que vous avez laissées sur mon corps.

Perdu dans mes pensées, j'en ai oublié le monde extérieur. Le bruit des voitures et des passants que l'on entend par la fenêtre. Ce monde extérieur dont je suis privé ce matin... enfin, pas tout à fait... à ma grande surprise.  

Mis à part le mécanisme de l'horloge de la salle de bain, aucun bruit ne troublait mes réflexions. Le temps commençait à me paraître long. Mon corps figé par vos liens commençait à s'engourdir. 
Mais tout à coup, sans crier gare, j'entends des pas s'approcher dans le couloir. Je m'attends à vous sentir dans quelques instants, à retrouver la chaleur de votre corps et pourtant rien... les pas s'arrêtent visiblement loin de moi et dans l'empressement, j'entends la porte claquer. 

Lorsque je tends l'oreille, j'entends une discussion indistincte au loin, comme si vous étiez au téléphone. Je m'interroge, me demande ce qu'il se passe...  J'aimerais enlever cette cagoule qui m'empêche de comprendre ce qui se produit. Mon cœur bat la chamade, je suis partagé entre peur et excitation. Mon côté rationnel me dit que vous allez arriver, alors que mon imaginaire se dit que ce n'est peut-être pas vous... 
Mais pourquoi donc cette intuition ? Qui d'autre que vous pourrait-être dans cet appartement ? Une personne que vous avez missionnée de venir ? Une personne qui devait vous rendre visite ? La personne qui est venue avant-hier ? Dans ce cas, pourquoi n'a-t-elle pas sonné à la porte ? 

Soudain, je reçois une nouvelle notification de SMS dans mes oreilles :  quelqu'un est dans l'appartement et ce n'est pas moi... Je rentre bientôt. D'ici là, tu ne bouges ou ne parles sous aucun prétexte. Tu es en sécurité. Je compte sur toi, je vois tout ce qui se passe dans la chambre.

Mon cœur bat la chamade, je transpire et mes pieds glissent davantage sur les barreaux du tabouret. Il est difficile de ne pas bouger et de tenir la position. 

Quelques instants après votre message, j'entends la porte du placard à droite du lit s'ouvrir et se refermer et une personne repartir à pas de loup avant de s'arrêter devant moi. 
Je la sens, elle est là, qui est-ce ? 
Je sens cette personne qui m'observe, mais je n'ose pas regarder dans sa direction supposée. 

Le temps semble une éternité avant qu'elle ne se manifeste en posant sa main sur ma poitrine, au niveau de mon cœur.  Je sursaute au contact de cette main fine et douce, rassemblant à la vôtre. C'est une femme. Mon intuition est confirmée lorsqu'elle ouvre la bouche : " N'ait pas peur, je ne vais rien te faire de mal.  " 
Ces propos me rassurent quelque peu et je commence à me détendre. 
Néanmoins, je sursaute à nouveau lorsqu'elle caresse mon visage : « Pauvre homme, qu'a-t-elle fait de toi ?  Je peux te libérer si tu le souhaites. Tu n'as qu'à faire oui de la tête.  Veux-tu que j'enlève ces choses ? » me dit-elle en touchant les pinces sur ma langue. Je reste pourtant stoïque, conformément à vos exigences. 

Quelques instants passent et la conversation est au point mort. C'est alors que la personne présente dans la pièce me pince fortement le téton. Je ne m'y attendais pas et sursaute en poussant un cri. "Me voilà rassuré, tu es bien vivant. La prochaine fois, tu me répondras."  
J'entends alors une sonnerie de téléphone et alors que mon téton me fait encore souffrir, j'entends un début de conversation qui devient progressivement inaudible : " Oui, oui, c'est bon, j'ai récupéré les bottes… Tu ne vas pas me faire la morale, ce n'est pas moi qui ai un type attaché dans ma chambre... Oui, tu as raison, il faut qu'on en discute... c'était... bizarre." 
La porte d'entrée se ferme en claquant... puis plus rien. 

Je saurai dire combien de temps après cet évènement, j'entends la porte et le bruit de talons qui s'approche rapidement. Cette fois-ci, j'en suis sûr, c'est vous.

Après encore quelques minutes d'attente, je vous sens tout proche de moi, c'est alors que le bout de ma langue encore sorti rencontre la plus fantastique partie de votre corps... vos tétons, gorgés de sang et d'une excitation palpable. Au départ, je n'ose pas bouger d'un cheveu, ma langue est endolorie par les pinces. Pourtant, lorsque vous m'invitez à les honorer, tous mes maux s'évaporent. Droite et gauche défilent devant moi dans une danse gracieuse, m'invitant puis s'éloignant l'instant d'après. 
Après quelques instants, vous saisissez ma tête entre vos mains et me murmurez : " Tu lèches plutôt bien... lèche donc ça maintenant " 
Toujours en joignant le geste à la parole, vous m'incitez à me pencher en avant. Bien évidemment, ce mouvement de bascule tire mon sexe vers le haut alors que mes pieds, et donc mes boules, s'échappent vers le sol, ce qui me fait crier à gorge déployée.  
" Je n'en demandais pas tant si tôt… J'aurais dû me douter que tu étais gourmand ! " Pendant une fraction de seconde, je ne comprends pas le sens de votre phrase, puis instantanément, je sens un tube en silicone entrer dans ma bouche. Par réflexe, ma bouche se referme sur l'objet. Il est étonnamment doux, extrêmement lisse… Sa texture est... bandante. D'ailleurs, c'est ce que je fais, je bande comme un cheval, pour vous montrer que moi aussi, je peux avoir un sexe puissant lorsqu'il n'est pas encagé. Seulement, vous n'en tenez même pas rigueur. La seule sollicitation que j'obtiens de vous est celle de votre bassin qui pousse progressivement le gode dans ma bouche béante.  La salive produite depuis des heures maintenant me permet de lubrifier rapidement et les va-et-vient que vous faites sont de plus en plus fluides. Je me surprends même à prendre le relai dans de longs balancements, oubliant la douleur pour le plaisir.

Je vous suce littéralement et vous imagine contempler ce qui devient votre œuvre. Alors que je fais de mon mieux pour vous satisfaire, j'entends une nouvelle fois un bruit qui va, je le sens, devenir commun à mes oreilles, celui de vos gants que vous enfilez. Le claquement est fort, puissant, il laisse peu de doute pour la suite.
Vous retirez les pinces de ma langue en les tirant, je pousse alors un cri étouffé par le gode. "shut shut shut... concentre-toi plutôt"  me conseillez-vous avant d'insérer deux de vos doigts dans la bouche pour que je les suce également. 
- Il y a une place folle ici… on pourrait y mettre deux godes, tu sais.
-gouiii bèesse 
Tentais-je de répondre tout en continuant mes va-et-viens.
 - D'ailleurs, cela me fait penser... Je ne veux aucune question de ta part par rapport à ce qui vient de se passer. Tu comprendras peut-être un jour... C'est clair ? 
 - gouiii bèesse 
 - C'est bien ! Je n'avais pas envie de te punir aujourd'hui. J'ai juste envie de te prendre, de prendre du plaisir et de te voir en prendre. 

Suite à ces mots, vous laissez ma bouche orpheline de vos attributs. Mon répit n'est que de courte durée et je sens déjà vos doigts se frayer un chemin entre mes deux fesses. Le liquide froid force mon anus et me fait lâcher de petits râles de satisfaction.  Progressivement, un second doigt vient doucement, mais tendrement écarter mon anus et l'ouvrir pour la suite. Du bout des doigts, vous caressez délicatement ma prostate, me procurant un plaisir intense et indescriptible. Mais bien que très agréable, ce n'est pas cela qui motive votre geste. Sans m'en apercevoir, mon sexe est redevenu mou et c'est à ce moment-là que vous arrêtez toute simulation, me laissant dans la frustration la plus intense pour me contraindre à nouveau en enfermant mon oiseau dans sa cage. 
Les manifestations de plaisir laissent place à des lamentations. Vous me caressez alors lentement la joue tout en frottant sur ma cage avec vos doigts pour me donner du plaisir contraint. 
" Tu t'en doutais bien, mon amour que cela arriverait à un moment donné, il y avait une bite de trop ici. " Tout en prononçant ces mots pour montrer votre pouvoir, vous me détachez progressivement avant de m'aider à m'allonger sur le lit.  Mes mains ne restent pas libres très longtemps. Vous les attachez à leur cheville respective, vous offrant ainsi un accès direct à ma porte arrière.

" Je veux voir ton regard de luxure se perdre dans le mien lorsque je t'empalerai " C'est alors que je sens la cagoule s'envoler de mon visage. Le monde réapparait autour de moi. Au départ difficilement, puis de plus en plus distinctement. 
La lumière est tamisée, Dieu merci, mais elle permet tout de même d'y voir. C'est d'ailleurs toi que je vois en premier, divinement belle. Je ne vois pas la Maîtresse que tu es, je vois la Déesse céleste, la femme à la beauté pure et au regard empli de désir. 

Tu es là, au-dessus de moi, tes cheveux tirés en arrière, ton rouge à lèvres pourpre, avec deux magnifiques seins qui menacent de me tomber dessus. 
Je m'apprête à vous dire, oh combien je vous admire, mais avant que je ne puisse, vous bloquez ma bouche avec votre main. 
" Ne parle pas… Contente-toi d'écouter. Ne t'inquiète pas, je sais ce que tu voulais me dire, ton regard parle pour toi. "

Mes yeux balaient ton corps totalement nu, à l'exception d'une culotte strapon-me noire sur laquelle est fixé un gode en silicone violet et de vos gants, détail subtil qui sont pour moi un exhausteur de désir. 
Perdu dans mes pensées, c'est une nouvelle fois toi qui m'en sors : " Ne te fais pas prier. vu comment tu essaies de bander, je sais que tu en meurs d'envie ".

Je te suce à nouveau. Le gode glisse parfaitement dans ma bouche, tes hanches se balancent pour me faire aller jusqu'au bout des choses. Pendant ce temps, tu caresses mon corps, les gants volent sur mes pectoraux, puis mes tétons comme pour panser la douleur que m'a infligé la personne mystère, puis mon pubis, l'intérieur de mes cuisses, mes fesses.
Ce moment est suspendu, tout n'est que douceur, que désir. Je brule de l'intérieur, j'ai envie de toi ! Je gesticule en signe d'impatience et toi ? tu me fais languir, tu me montres que tu décides. Tu me parles de ta matinée entre copines, du brunch, de toutes ces choses qui à cet instant me semblent insignifiantes et torturent mon être. Bon sang, FAIS-MOI L'AMOUR MAINTENANT, crie-je à l'intérieur de moi. Mais rien ne se passe, tu continues ta manœuvre. Pire, tu amplifies mon excitation en te plaçant à califourchon sur mon torse. Ton sexe est loin maintenant, mais tu m'ordonnes : " Lèche mon glan si tu veux que je te baise". On dirait une cow-girl qui débourre un cheval, dans une main, tu tiens ma cage et dans l'autre, l'anneau de mon collier pour me forcer vers l'avant. 
J'essaie tant bien que mal de m'étendre pour lécher le gode que j'arrive à atteindre du bout de la langue. Après quelques réussites et beaucoup d'échecs, je vois une auréole foncée se dessiner sur ta culotte. Ton souffle est court, tu es sur le point d'exploser tant la situation t'excite. Tes gestes sont plus hachés, moins doux... et sans prévenir, tu lâches mon collier, me laissant retomber sur le matelas.  
Je vois dans le miroir que tu descends ta culotte pour t'insérer un petit jouet cylindrique dans ton paradis. Tu vois que je te regarde alors, tu en profites pour te caresser, d'abord le pubis, puis l'intérieur des cuisses, puis les lèvres, pour finir par ta main plate sur le clitoris. Tu fermes déjà les yeux alors que nous n'avons pas commencé. 
Tu me rejoins au bord du lit et me tends une télécommande, je reste perplexe, mais tu m'expliques. 
" A toi de jouer ! C'est toi qui décides (clin d'œil). Tu peux faire varier ma stimulation. Lorsque je jouirai, ce sera terminé. Plus ça se termine vite, plus tu rentres chez toi rapidement. Plus tu rentres chez toi rapidement, plus tu seras frustré que cette bite (mouvement d'aller-retour avec sa main) t'ait si peu stimulé...  Tu ne pourras même pas te branler pour te libérer de toute cette frustration."
Encore un plan des plus sadiques, je vais devoir être habile. 
La vue de tes seins au-dessus de ma cage m'aide à me stimuler, non pas pour te faire jouir rapidement, mais pour garder cette vision le plus longtemps possible.
Je sens le froid du lubrifiant glisser dans ma raie, puis vos doigts, caresser ma rondelle avec douceur avant d'y insérer un, puis deux, puis trois doigts. C'est un pur moment de plaisir, d'une délicatesse incroyable. Tu joues avec mon corps. Alors, je décide de faire de même et active le premier niveau de vibration. 
La première te traverse comme un éclair et tu me souris. 
"D'accord, on y va ! " Tu branles ton morceau de silicone d'une main alors que l'autre joue avec mon cul, puis tu les fais se rencontrer. J'expire, alors tu en profites, une poussée lente qui s'accélère de plus en plus. Ma sensation est indescriptible, un plaisir sourd, mais intense, j'ai envie de crier "Hum Hum Huuuuumm" je me perds dans de grands râles maintenant que tu plantes ton épée jusqu'à la garde. Je croise ton regard animal, tu as  envie de jouir toi aussi. Mais je n'augmente pas, je veux te rendre un tant soit peu la monnaie de ta pièce, jouer mon Bart.   Alors, tu accélères de plus belle, tu me prends par les hanches pour essayer d'aller le plus loin possible, de me transpercer. Après quelques instants, je vois ton corps transpirant, tes cheveux en bataille, tu es si belle. Adieu tous les apparats de ces derniers jours, la vraie E. est là, juste devant moi et j'en suis fou ! 

J'augmente de deux niveaux en un coup et tu pousses un cri guttural tout en continuant à me pilonner. Puis je vois comme une vague remonter le long de ton corps et des cris de plus en plus rapprochés sortir de ta bouche !! Tu es magnifique quand tu jouis !! 
Dans un bouquet final, tu serres mes deux cuisses avant de t'enfoncer au plus profond de moi. Je pousse moi aussi un cri de plaisir intense. Tu finis par t'effondrer sur moi.
J'arrête instantanément les vibrations. Nous avons eu notre dose, le temps est à l'apaisement.   

Plus tard, je quitte difficilement cet appartement. Lorsque je me retrouve sur le palier, que tu m'embrasses une dernière fois et que la porte se referme, j'ai l'impression d'avoir déjà vécu cette scène. Seulement, lorsque j'ai vu cette porte fermée pour la première fois, j'étais loin d'imaginer ce qui se cachait derrière. 
Je suis d'ores et déjà impatient de vivre de nouvelles aventures avec cette Déesse. 

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