Une soirée torride : Eloge de la candeur (épisode 04)

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Une soirée torride : Eloge de la candeur (épisode 04) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2014 dans la catégorie Plus on est
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Une soirée torride : Eloge de la candeur (épisode 04)
Une soirée torride Eloge de la candeur (épisode 04)

Après l'après-midi sensuel qu'ils viennent de vivre, Paul et Sandy se retrouvent dans la voiture qui se dirige vers la ville. Paul s'arrête en double file devant la boutique de mode, laissant Sandy dont la toilette est quelque peu froissée. Rapidement, il va chercher les affaires qu'il a achetées pour sa compagne le matin même. Il retrouve Corinne, la plantureuse vendeuse blonde qui vient lui apporter ses paquets. Elle frôle Paul et s'appuie contre lui lorsqu'il donne son reçu à la caisse. Il sent la cuisse de la femme se presser contre la sienne et son sein effleurer son bras, elle se frotte sans vergogne contre-lui, tout en lui glissant en aparté :

- Appelez-moi à l'occasion, j'aime beaucoup le style de votre amie, nous pourrions sortir, en compagnie de mon mari bien sûr.

Paul a un sourire, il acquiesce en hochant la tête, la regardant droit dans ses yeux qu'elle a d'un bleu limpide. Il songe qu'il faudra qu'il profite des dispositions de cette plantureuse vendeuse, avec ou sans sa jeune et nouvelle maîtresse.

Sandy est sous la douche, pendant que Paul ouvre les pochettes pour sortir l'ensemble et la lingerie achetés pour l'occasion. Il dispose la jupe et le haut sur le lit, ainsi que les bas fumés, le soutien-gorge chair et le porte-jarretelles de même couleur. Dans le hall de l'hôtel, il a complété la tenue de Sandy, en ajoutant des chaussures et un sac assortis. Lorsqu'elle sort, enveloppée dans son peignoir, elle vient se blottir dans les bras de Paul qui a beaucoup de mal à la raisonner. Ce n'est pas le moment de batifoler, il faut qu'elle se prépare, car, il lui aussi, il faut qu’il prenne une douche et s'habiller, attendu qu'il soit indispensable qu'ils puissent être à l'heure à ce vernissage, qui dit-il est important pour ses relations d'affaires.

Avec un peu de retard, le couple s'engouffre dans la voiture que Paul conduit rapidement vers le lieu prévu pour le vernissage. C'est un hôtel particulier de la fin du XVIIIe siècle, et déjà, beaucoup de monde se presse à l'entrée. Sandy est particulièrement en beauté. Où est la jeune femme timide, qui, il y a seulement à peine quarante-huit heures était tellement gauche. Elle se sent maintenant pleinement femme, respirant l'amour par tous les pores de sa peau. Toilettée, maquillée, portant cet ensemble de soies sauvages qu'elle devine à peine sur son corps, nue sous sa jupe, son sexe frémissant et humide frottant sur le tissu soyeux et si léger, elle se sent une autre femme. Si son mari et ses amis la voyaient, ils seraient stupéfaits de voir cette femme effacée, considérée comme une épouse habituellement réservée, et même introvertie, se comporter avec cette audace inouïe, devant ce public si chic et de qualité rassemblé pour cette circonstance.

Sandy se sent heureuse, accrochée au bras de son amant, elle respire la joie de vivre, Paul la présente aux personnalités présentes comme une amie de longue date. Les hommes la regardent avec concupiscence et les femmes avec un rien de jalousie dans les yeux. Paul est félicité du charme que dégage sa compagne qui rougit sous les compliments flatteurs de la haute société provinciale.

Alors qu'ils se dirigent vers les étages, Paul reconnaît un de ses amis, antiquaire connu de la région, il est accompagné à la grande surprise de Paul et de Sandy, de Corinne, la vendeuse du magasin de mode. Sandy, lors des présentations, s'empourpre de la gêne qu'elle ressent surtout lorsqu'elle apprend que Corinne est l'épouse de Jacques, l'ami de Paul. Celui-ci ne la connaissait pas, car leur mariage est récent. Au demeurant, ils apprennent également avec étonnement que le magasin où officie Corinne est sa propriété. Celle qu'ils avaient prise pour une vendeuse avait bien caché son jeu. Celle-ci d'ailleurs, fait des compliments à Sandy sur sa tenue, elle est très heureuse dit-elle que l'ensemble que Paul a acheté lui aille si bien.

Corinne est charmante, aussi, prenant Sandy sous son aile, elle l'entraîne avec elle pendant que les deux hommes parlent affaires. La jeune femme est tendue, se souvenant de ce que la plantureuse blonde, il est vrai, encouragée par Paul, s'est permis de lui faire subir en forçant son intimité, mais elle ne peut s'empêcher aussi de frissonner au souvenir de la jouissance qu'elle en a ressentie. Sa compagne s'est bien aperçue de son trouble, aussi elle ne peut s'empêcher de la confondre un peu plus :

- Sandy, ma chérie, vous permettez que je vous appelle par votre prénom, vous pouvez d'ailleurs en faire autant en m'appelant Corinne. Ne croyez surtout pas que cela soit une habitude chez moi de violer l'intimité de mes clientes, mais je puis vous assurer que cela n'a été qu'un concours de circonstances bien fortuit. Je peux vous confier d'abord que je vous trouve très belle et désirable, aussi bien pour un homme que pour une femme, et puis, votre mari m'a quelque peu encouragé. Vous ne m'en voulez plus ?

La jeune femme se détend peu à peu. Elle a eu peur d'un esclandre et que tout le monde sache qu'elle couche avec Paul, enfin, que cette femme si potelée, l'a fait jouir en embrassant et en léchant ses parties intimes. Elle se trouve ridicule, car bien sûr aucune des personnes qui se trouvent ici ne pourrait deviner ce qui s'est passé dans la cabine d'essayage. Elle retrouve le sourire et tranquillise sa compagne :

- Je suis confuse Corinne, c'est la première fois qu'une chose comme cela m'arrive, vous devez me trouver bien innocente et puérile. Mais Paul n'est pas mon mari et.... et... c'est.... Oh ! Eh ! Puis zut ! C'est mon amant. Depuis hier au soir seulement. Vous voyez ma débauche est récente, mais je puis vous assurer aussi que je viens seulement de découvrir ce qu'est le plaisir. Je n'ai jamais connu d'autres hommes à part mon mari. Paul est un amant merveilleux, mais il me fait peur, il m'entraîne dans des situations inimaginables, pourtant, malgré mes frayeurs, je suis attirée par ce qu'il me fait découvrir, de ce que mes sens ignorent.

Corinne sourit au jeune tendron qu'elle se promet en son for intérieur, si elle a de la chance de la revoir, de l'entraîner dans de folles bacchanales. À ce moment, Jacques et Paul les rejoignent. Jacques propose de terminer la soirée chez eux, devant un petit en-cas. Tout le monde étant d'accord, Sandy est, d’un seul coup soulagé de quitter cet endroit qu'elle trouve trop mondain pour elle. Elle sent que Corinne est une femme très sympathique, oubliant rapidement sa confusion au souvenir de ce qui s'est passé entre elles. Jacques, le mari de Corinne, est un homme assez grand qui doit avoir la cinquantaine. Il est roux avec une grosse moustache genre britannique, il a comme son épouse un peu d'embonpoint. Il s'habille avec beaucoup de chic et il est d'un abord plutôt sympathique, bien qu'il détaille les formes de Sandy avec un peu trop d'outrecuidance.

En elle-même, Sandy l'excuse, car l'ensemble qu'elle porte est très suggestif. La robe en soie sauvage saumonée est très transparente et son décolleté laisse deviner ses seins, à peine emprisonnés dans le soutien-gorge de même couleur. Paul suit donc l'automobile de son ami qui quitte la ville pour rejoindre le manoir qu'il occupe avec son épouse à une dizaine de kilomètres. Sandy s'est lovée contre son amant qui a bien du mal à conduire.

Elle lui confie la conversation qu'elle a eu avec Corinne tout en lui disant qu'elle la trouve sympathique. Elle est seulement un peu anxieuse, car elle n'a pas osé lui demander si son mari est au courant de ce qui s'est passé dans la cabine d'essayage. Elle confie aussi à Paul que Jacques la déshabille du regard et qu'elle est gênée, consciente que sa tenue attire immanquablement les yeux des hommes qui la scrutent. Paul qui se doute très bien ce que la soirée chez Jacques et Corinne peut leur réserver ne veut pas l'affoler ni surtout qu'elle se méfie, aussi, il la rassure quelque peu :

- Ma chérie, tu es très désirable et il est vrai que cet ensemble peut faire naître des pensées coquines. Mais tu sais, Jacques est un parfait gentleman et même si son épouse lui a confié, qu'elle a fait jouir une de ses clientes aujourd'hui, il n'y a aucune raison pour qu'il se doute que tu sois en cause, et puis quelle importance, tu as joui magnifiquement il est vrai, j'espère que tu ne le regrettes pas ?

- Non, non bien sûr, je suis un peu gênée c'est tout, je n'ai pas l'habitude comme toi d'une situation semblable. Que va-t-il penser si sa femme lui dit que je suis nue sous ma robe et qu'elle m'a embrassé dans ma fente ?

- Allons, reprends-toi ma chérie, ils doivent se conduire au lit comme nous le faisons, je pense d'ailleurs que c'est tout à fait naturel, et puis ils ont certainement leurs fantasmes. Peut-être qu'ils vont faire l'amour, tous les deux ce soir en pensant à toi et à ton corps admirable. Que penses-tu de Corinne, elle aussi est désirable n'est-ce pas ?

- Oh ! Tu es un cochon, je suis sûr que tu lui ferais bien l'amour si tu en avais l'occasion. Non ? Dis-moi que ce n'est pas vrai ?

- Mais ma chérie, tu fais les demandes et les réponses. Bien qu'à y réfléchir, cette Corinne me paraît très pulpeuse, tu as remarqué ses seins, ils doivent être imposants, je suis sûr qu'elle fait au moins un 95 C, qu'en penses-tu ?

- Tu ne penses qu'à ça, mais que fais-tu ? Non arrête, je t'en prie, je vais être toute mouillée.

Paul a entrepris de passer sa main droite sous la jupe vaporeuse de sa compagne, allant directement au but, il a plongé ses doigts dans la moule abondamment lubrifiée de Sandy, ce qui lui permet de constater, que la conversation qu'elle a provoquée l'émoustille au plus haut point. Aussi, n'abandonnant pas son entreprise, il caresse l'entrejambe et astique le clitoris de la jeune femme qui, essayant d'échapper à ses attouchements, s'ouvre enfin, se laissant masturber et jouissant abondamment de son bourgeon trituré, excitée aussi des propos qu'ils viennent d'échanger. Lorsqu'ils arrivent à la propriété, Sandy est encore tout alanguie, baignant dans une douce félicité, ses sens à peine apaisés par la tension qu'elle vient de subir. Paul est heureux de la sentir déconcertée et encore insatisfaite, car il pense que la suite de la soirée, risque d'être très importante pour l'initiation de sa compagne.

Ils rejoignent leurs hôtes, sur le perron du magnifique manoir qu'ils occupent, entouré tout autour d'une forêt immense. Une fois à l'intérieur, ils découvrent une grande salle, où, dans une cheminée monumentale, brûlent des bûches de bois dont les hautes flammes éclairent le mobilier de haute époque qui se trouve dans cette pièce. Ils prennent place dans des canapés profonds et confortables pendant que Corinne demande à la soubrette qui est apparue, de leur servir les plateaux froids qu'elle lui avait commandés par téléphone depuis le lieu du vernissage.

Sandy regarde avec curiosité la servante qui se prénomme Maud. Elle est sans doute très jeune, dix-sept, dix-huit ans, elle est blonde naturellement, portant ses cheveux coupés très court à la garçonne, elle est habillée d'une jupe noire qui lui arrive à peine à mi-cuisses, car quand elle marche, on découvre le haut de ses bas fumés qui forment jarretière, alors qu’un morceau de peau très blanche apparaît de temps en temps au-dessus lorsqu'elle se penche vers une table. Son chemisier est en voile noir transparent, apparemment, elle ne porte pas de soutien-gorge, attendu que les tétons de ses seins en poire transpercent presque le tissu arachnéen. Elle est juchée sur des escarpins en cuir noir et un petit tablier blanc en dentelle, couvre à peine son ventre légèrement rebondi.

Corinne a bien remarqué, que son invitée détaillait avec surprise la soubrette, surtout quand elle a servi Paul et Sandy, et qu'elle a mis ses appas affriolants sous leurs yeux ébahis, s'approchant presque à les toucher. Sandy est troublée par cette ambiance ambiguë, surtout qu'après s'être restauré et avoir bu abondamment du champagne, Corinne allume une chaîne de radio qui diffuse une musique langoureuse. C’est alors que la conversation s’aiguille imperceptiblement vers des histoires légèrement grivoises, pour très vite aborder franchement les problèmes de sexe. Paul bien sûr est très à l'aise et en parle avec passion. Sandy est morte de peur à l'idée que soit évoqué l'essayage dans le magasin de mode de Corinne, mais à aucun moment, il n'en est fait mention. Justement, la conversation tourne autour de la masturbation féminine augmentant sensiblement la gêne de la jeune femme.

Pendant ce temps, Corinne répond avec franchise aux interrogations directes de Paul, surtout que son mari l'encourage en lui demandant de faire voir à leurs hôtes comment elle se fait jouir. Corinne très décontractée relève son ample jupe et découvre de fortes cuisses qu'elle déploie pour faire admirer une vulve imberbe qui s’entrebâille largement sous ses doigts fureteurs. Elle se caresse d'abord lentement, ondulant de tout son corps devant le regard interloqué de Sandy qui n'en croit pas ses yeux. Elle est effarée de l'effronterie de son hôtesse, surtout que Paul et Jacques contemplent avec avidité l'opulente femme se gamahucher avec maintenant une certaine frénésie et que la soubrette, un peu à l'écart dans la pièce, n'en perd pas une miette. Il n'est pas difficile d'ailleurs de s'apercevoir qu'une de ses mains est enfouie sous sa courte jupe alors que sans se risquer de se tromper, il est compréhensible de percevoir ce qu'elle est en train de se faire.

Jacques pendant ce temps a ouvert le corsage de sa femme, puis, dégrafant habilement son soutien-gorge, il met à jour des seins lourds et volumineux dont il tète un téton gonflé par une large auréole brune. Sandy est cramoisie, les trois coupes de champagne qu'elle a bu ne sont pas étrangères à son état, mais la vue de son hôtesse se livrant à sa masturbation solitaire devant eux tous, ainsi que sa propre libido encore insatisfaite, enfin les pratiques de son amant dans la voiture, tout cela lui procure un véritable bouleversement de ses sens.

Aussi, lorsque Paul l'attire contre lui pour l'embrasser, elle se blottit contre lui, soulagée de se sentir protégée contre cette atmosphère libidineuse. Pourtant, Paul tout en lui baisant ses lèvres dégrafe-lui aussi son corsage bien qu'elle essaie timidement de l'en empêcher, il arrive enfin à détacher son soutien-gorge, faisant jaillir ses seins de son chemisier. Il les palpe avec délicatesse, agaçant les bourgeons turgescents, arrachant des gémissements à la jeune femme affolée. Puis, il lui glisse une main sous sa jupe, bien qu'elle essaie désespérément de l'en empêcher, il arrive tout de même à ses fins, atteignant son pubis qui tressaille sous ses attouchements précis.

Elle supplie son amant de ne pas aller plus loin, qu'elle a honte, mais vaincue par les doigts fureteurs qui viennent d'atteindre sa vulve, ses jambes s'écartent impudiquement. Elle essaie d'avoir un sursaut de décence car dans un éclair, elle se doute que sa position expose pleinement son intimité aux regards de ses hôtes, mais la main se fait pressante dans son vagin, son clitoris trituré par les doigts de Paul, lui arrache des cris qu'elle ne peut plus retenir :

- Oh ! Oui, mon chéri, encore... encore.... oh ! Oui ! Oh ! J'ai honte, que me fais-tu faire. Oh ! Oh ! Oh ! N'arrête pas surtout, n'arrête pas, je t'en supplie ! Oooooooooooh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiii !

En reprenant ses esprits, elle s'aperçoit que leurs deux hôtes sont presque complètement nus, Corinne n'a plus rien sur elle et Jacques, qui a enlevé sa chemise et son pantalon est en slip, agenouillé entre les jambes de son épouse à qui il mange sa chatte avec une grande avidité. Entre les jambes de l'homme, sortant de son slip, une verge longue et épaisse est en complète érection. À la stupéfaction de Sandy, elle aperçoit Maud, la petite servante, qui n'a gardé que sa jupette sur elle et qui gobe et suce l'énorme mandrin de son patron avec application.

Le spectacle que le trio offre est inqualifiable, c'est d'une lubricité inquiétante, surtout pour Sandy qui est effarée de ce qu'elle voit et surtout de ce qu'elle pressent. Mais Paul ne lui laisse pas le temps de se poser et de lui poser des questions trop embarrassantes, il fait glisser rapidement sa jupe avant qu'elle ne puisse avoir le temps de réagir, et, comme Jacques, il vient brouter sa vulve qui dégouline d'un jus abondant. Elle ne peut empêcher l'homme de boire à sa source, ondulant de plaisir sous la pression des lèvres qui étirent son clitoris si sensible et sous les doigts qui fouillent son vagin. Elle gémit et crie des paroles sans suite, jouissant sans retenue, ayant complètement oublié qu'elle participe à une véritable orgie.

La jeune femme qui vient d'avoir plusieurs spasmes désordonnés se jette dans un orgasme incroyable, soulevant son bassin au-devant de la main qui maintenant est presque entièrement enfouie dans sa moule grande ouverte, bavant de la mouille qu'elle produit sans discontinuer ; surtout que les lèvres de Paul aspirent sans cesse son bouton d'amour qui en est devenu douloureux à force d'être aussi bien trituré. Elle ne peut s'empêcher de hurler sa joie à jouir aussi bien. C'est sous un tonnerre d'applaudissements qu'elle s'abîme dans un plaisir qui la laisse pantelante devant les trois regards concupiscents qui la détaillent sans vergogne.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Merci vieux loup pour ce récit si excitant ! J'aurais préféré sa joie de jouir à "sa joie à jouir" ! en toute amitié,

Didier

P.S. je n'ai jamais vu un "pubis tressaillir", sans doute un manque d'expériences. sourire



Texte coquin : Une soirée torride : Eloge de la candeur (épisode 04)
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