Vacances en Normandie 1

- Par l'auteur HDS Ling79 -
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Auteur couple.
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Récit libertin : Vacances en Normandie 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-10-2019 dans la catégorie Plus on est
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Vacances en Normandie 1
Vacances en Normandie 1En raison du mariage de notre neveu, qui a lieu en Normandie, nous avons pris quelques jours de vacances, jean voulant retrouver sa région natale ; sa famille est assez importante, trois frères et une sœur, et de nombreux cousins, nous en avons fait le tour, avec à chaque fois un bon repas arrosé, mais aussi avec un grand plaisir pour nous de nous retrouver. J’ai 54 ans et Jean un peu plus, je l’ai connu après une période assez difficile ; en effet à 18 ans, j’ai été dépucelée assez brutalement par deux loulous de mon quartier (j’étais consentante) et j’en ai gardé longtemps un mauvais souvenir ; suffisamment, je le pense, pour que je devienne l’amie d’une femme, qui m’a fait découvrir l’ensemble des jeux féminins. Je lui ai appartenue corps et âme, pendant trois ans, vivant avec elle, lui appartenant sans réserve, jusqu’au jour où elle a trouvé une autre jeune fille et qu’elle m’a laissé sur le carreau ; c’est à cette époque que j’ai rencontré Jean.
Un 14 juillet, ayant assisté à un feu d’artifice, je n’ai pas pu démarrer ma voiture ; Un homme d‘une trentaine d’année m’a alors proposé de me déposer chez moi, car en raison de l’heure tardive, il serait très difficile de trouver un dépanneur. Après beaucoup d’hésitation, mais avais-je le choix, j’ai accepté et courtoisement, il m’a amené devant chez moi, me proposant pour le lendemain, de me reprendre pour m’emmener pour la réparation. De fil en aiguille, nous sommes devenus amis, lui toujours très respectueux, moi malgré tout, petit à petit m’attachant à lui. C’est au retour d’un repas chez des amis que nos lèvres se sont rencontrées, pour ne plus jamais se quittaient. Six mois plus tard, nous étions mariés, et deux enfants ont vu le jour.
Nos premières relations ont été difficiles, avec cette appréhension de la douleur ressentie lors de mon dépucelage, mais à force de patience, de douceur, mais surtout beaucoup d’amour, j’ai appris à me libérer, puis petit à petit, pour le satisfaire ; je suis devenue une petite coquine, lui offrant mon corps, après lui avoir offert mon cœur. Il s’est avéré que Paul était non seulement un parfait mari, mais aussi un parfais amant ; très libertin, prenant plaisir à me montrer, en tenue très sexy, lors de réunion avec nos amis ; belle femme, je me suis très vite fait draguée, pour le plus grand plaisir de mon homme ; jusqu’au jour, après un banquet bien arrosé, nous avons terminé la soirée à trois, passant la nuit à leur appartenir, chacun rivalisant pour me faire jouir, ce qu’ils ont parfaitement réussi . Le lendemain matin, je me suis retrouvée, entourée, pelotée par mes deux amants, avant qu’ils ne me prennent , l’un après l’autre, puis en double vaginale, et pour terminer chevauchant mon mari , mon amant me sodomisant, une première pour moi. A dater de ce jour, nous avons fréquenté les clubs libertins, pour mon plus grand plaisir, tout en faisant attention que la famille ne remarque rien.
Aujourd’hui, avec mon 95 b , bien ferme, un fessier tendu en raison de mon entretien sportif, une jolie bouille, on me donne 10 ans de moins et j’aime en profiter. Mais j’avoue que je n’avais pas prévu le déroulement de cette semaine.
Pour le mariage, mon homme m’a offert une très jolie robe noire, demie longue, moulante, boutonnée sur le devant, avec un très beau décolleté ; j’avoue qu’elle me semblait trop osée pour une réception familiale, mais il a réussi à me convaincre ; j’ai complété ma tenue par un mini string et des bas auto collants, car un porte jarretelle se serait vu. Mon arrivée au bras de Jean a fait sensation auprès des mâles, avec quelques grimaces venant de leurs femmes, mais ma belle-sœur, la plus jeune est venue me faire la bise en me disant « tu es très belle et tant pis pour les autres, mais je crois que tu plais beaucoup aux hommes » et avant de faire un demi-tour, en souriant, elle m’a déposé un baiser sur les lèvres.
Après la mairie, tout le monde s’est retrouvé pour le vin d’honneur donné dans la cour de la ferme de mes beaux-parents, éleveurs, avant de nous retrouver pour le repas, suivi comme il se doit par une soirée dansante, très arrosée pour les hommes. Mes cavaliers , petit à petit, ont pris de l’assurance, d’autant plus que Jean, il ne boit jamais, s’est vite fait piégé par ses frères et c’est un canapé qui l’a accueilli pour le reste des festivités ; mes beaux frères en ont profité pour essayer de me ploter, et j’ai dû, malgré la chaleur qui montait dans mon ventre et ma chatte de plus en plus humide, gentiment, mais fermement les repousser ; c’est ma jeune belle sœur qui m’a sauvé en venant me chercher sous un prétexte futile. C’est une très belle fille, la trentaine, plein d’allant que j’aime beaucoup, et son baiser lors de notre arrivée, a un peu réveillé mes envies lesbiennes ; à l’abri des regards, à mon tour, je l’ai embrassé, avec le risque de me faire rembarrer, mais ce ne fut pas le cas, bien au contraire. me prenant par la main, elle m’a entrainée dans une chambre, et fougueusement , elle m’a rendu mon baiser, m’avouant qu’elle avait très envie de moi . Pendant de longues minutes, nous nous sommes étreintes, nos doigts trouvant naturellement le chemin de nos grottes pour se fouillaient vigoureusement ; il ne m’a pas fallu longtemps pour jouir sous ses assauts, jouissance qui fut suivie par la sienne ; après un long et langoureux baiser, nous avons rejoint la société, après nous être promis de nous retrouver plus tard.
A notre retour, nous avons pu constater que Jean n’était pas le seul à subir les effets de l’alcool ; en effet, non seulement le mari de Catherine ( ma jeune belle-sœur), mais ,et surtout, le marié était complétement saoul, incapable de faire un pas, et encore moins de satisfaire sa jeune épouse en pleurs dans les bras de sa mère ; afin d’éviter le scandale Catherine et moi, nous l’avons accompagnée à sa chambre, et pendant de longues minutes, nous avons essayé de la réconforter, tout en lui expliquant que c’était souvent le cas, qu’il n’y avait rien de grave et qu’il serait auprès d’elle à son réveil. Enfin nous avons réussi à la réconforter et après l’avoir aidée à se déshabiller, nous l’avons couché ; épuisée, elle s’est endormie. Ouf.
Plus grand monde en bas ; nous nous sommes retrouvées seules, nos maris ronflant dans le salon ; pour nous l’occasion était trop belle, discrètement nous avons récupéré une chambre, pour nous retrouver comme nous en avions envie. Catherine n’était une novice, à peine dans la chambre, elle a fait tomber ma robe à mes pieds. En string et avec mes bas, elle m’a renversé sur le lit et arrachant mon string, sa bouche est venue se poser sur ma vulve ; il ne lui a pas fallu longtemps pour m’amener à la jouissance, un flot de cyprine lui aspergeant le visage ; puis allongeant sa main, elle est venue doucement me pénétrer, dilatant progressivement l’entrée de ma caverne, bien huilée par mes sécrétions ; une dernière poussée et sa main est entrée en entier dans mon vagin pour un fist, le premier depuis ma jeunesse avec ma maitresse ; faisant tourbillonner sa main dans mon antre, percutant avec ses doigts le fond de mon vagin ,m’embrassant goulument pour atténuer mes cris, elle m’a amené plusieurs fois à la jouissance ; Se retirant, me laissant alanguie par mon plaisir, en un instant, elle était nue et se plaçant au-dessus de mon visage, elle a plaqué sa chatte sur ma bouche et me pinçant les tétons, elle m’a dit « à toi de me faire jouir, lèche-moi, bois ma jute. cette nuit tu vas être à moi » ; alors que ma bouche se plaquait sur ses petites lèvres et que ma langue lapait l’intérieur de sa vulve, sa main s’est posé sur mon clito pour le torturer, puis s’allongeant sur moi, à nouveau sa bouche s’est posé sur ma fente gluante de cyprine, déclenchant une nouvelle fois une sécrétion fontaine ; dans mon visage, dans ma bouche , je recevais aussi la concrétisation de nos envies. ; avant de nous endormir, l’une contre l’autre, enlacées, nous nous sommes fait jouir plusieurs fois ; au petit matin, c’est Jean qui nous a trouvé, mais il nous a laissé reprendre une attitude normale, nous promettant à toutes les deux d’autres plaisirs. à suivre

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