Vive les JO (1) - histoire érotique

Nous avons un petit studio de disponible à l’étage de notre maison, Et nous avons décidé d’en faire profiter un supporter étranger d’une nation aux JO.
Etant proche de Saint Etienne, on a passé une annonce sur un site officiel et on est tombé sur un canadien, qui voulait accompagner son frère pour venir supporter l’équipe de foot Féminine, qui avait déjà loué une chambre proche de chez nous. Après des échanges par Visio, on s’est mis d’accord. Il ne trouvait pas, car cela s’est décidé au dernier moment, ils arrivent tous les deux en début de semaine du 25 juillet, date du premier match de leur équipe.
John, 40 ans, débarque le mercredi en fin de soirée, amené par son frère Jackson, et qui ce dernier repart vers son Rbnb. On l’accueille, on échange 2/3 mots, on lui présente le studio, on lui offre à boire et il se dit fatigué du voyage et s’excuse de vouloir aller dormir. Comme on est vacance, on lui dit de venir prendre le petit déj’ quand il veut le lendemain.
On le laisse et je sens Virginie perturbée. Je lui demande ce qu’il se passe. Il faut savoir que depuis qu’on libertine, elle a en elle, ce qu’elle « appelle un radar à queutards ». En soirée ou en club, elle devine quel mec est un bon baiseur, et se trompe rarement. Et elle me dit :
- Je sens que John est un bon queutard.
- Ok, et quoi te fait dire cela
Tu sais bien que cela ne s’explique pas, je le sens, mais là, c’est bizarre, il n’a pas du tout l’attitude
- Bon, et bien, on verra cela demain….
On rentre se coucher, il faut chaud, on laisse les fenêtres ouvertes pour laisser la fraîcheur rentrer, et on baise sans retenue, Virginie est très excitée, elle me demande de la prendre en levrette et je lui remplis sa chatte de ma semence, en oubliant que nous avions un invité au-dessus.
Le matin, premier rayon de soleil, j’ai mon érection matinale et Virginie a la consigne de me réveiller gentiment en me suçant. C’est ce qu’elle fait avec maestria. Et une fois que je suis à point, elle se met contre moi en cuillère et me présente son petit cul. Je m’introduis doucement dans l’orifice très serré, elle vient s’empaler pour une bonne sodomie. Elle jouit après une minute d’aller-retours en gémissant fort, moi je viens juste après son orgasme, tellement je suis compressé par ses spams, en râlant aussi bien fort. Belle journée qui commence, on va prendre une douche, je sors le premier, vêtu d’un short et d’un tee-shirt, et je laisse ma belle se préparer, car on a un invité.
Il est 9h, j’ouvre la baie vitrée de la terrasse et je tombe sur John. Je suis surpris :
- Salut John, bien dormi
- Bonjour, oh oui, comme un bébé. Et vous ?
- Bien, un peu chaud, mais cela été
- Ah oui, chaud, je me suis permis d’ouvrir la fenêtre de la chambre. C’est calme chez vous. Me dit-il avec un air coquin…
Ah zut, la fenêtre qui est juste au-dessus de notre chambre, il a du tout entendre hier au soir et ce matin… Tant pis, avec Virginie qui le trouve à son goût, cela pourrait bien se passer
- On n’a pas trop à se plaindre, les voisins sont loin
- C’est bien ça, on n’a pas de pression, c’est….
John s’arrête, car Véro vient de passer la baie vitrée, habillée avec son peignoir en satin noir très court, sans soutif et en petite mule à plumes noires
- Bonjour vous deux, on papote
- Bonjour Virginie, vous êtes en beauté ce matin, réponds John
- Oh c’est gentil, cela fait plaisir
Mon chéri, tu as préparé le petit déj’ ?
- Pas encore, ma chérie, mais je vais le faire.
Elle s’assoie juste à côté de John, et lui tends la joue pour faire la bise. Surpris, il fait de même. Et en se penchant, le décolleté de ma douce tombe et je suis sûr que John a pu admirer une grande partie de ces lobes charnues. Je prépare le petit déj’, ils discutent de tout et de rien. On prend le petit déjeuner ensemble, Virginie se lève souvent pour aller chercher les bricoles. Je vois John mater les courbes de ma belle quand elle part et fait de même quand elle revient, d’autant plus que la ceinture de son peignoir de détend à chaque voyage, comme par hasard.
Le programme de la journée est serré pour John, il y a match ce soir, son frère le prend en voiture à 10h et ils ne reviennent pas avant 23h. Virginie fait un peu la moue, mais elle fait son plus beau sourire à son départ en agitant la main, qui permet de monter à tout le monde qu’elle n’a pas de soutif et qu’elle pointe des tétons d’excitation.
La journée se passe normalement, on entend John rentrer mais ne passe pas, ce qui permet d’aborder le sujet :
- Tu t’es fait plaisir ce matin ?
- Ah oui, j’ai cru que tu ne l’avais pas vu
- C’est difficile, quand tu es en chasse au male, tu n’es pas discrète
- Tu crois qu’il l’a vu
- Et bien, vu le matage de ton cul qu’il a fait à chaque fois que tu te levais, je pense qu’il a bien compris ton manège
- Tu as vu le paquet qu’il a ?
- Euh non….
- J’aurai tellement aimé le toucher
- Tu as une semaine pour y arriver
A ces mots, Virginie se met en étoile sur le canapé et se caresse devant la TV, pour se faire jouir vite fait. La baie vitrée est ouverte, la fraîcheur rentre, cela fait du bien. On va se coucher, avec notre routine bien huillée de baise du soir et celle du matin…
Le lendemain matin, on se retrouve sur la terrasse, John arrivé en premier, habillé très léger, short en lin et marcel. Véro, a changée de tenu, toujours peignoir, couleur rouge cette fois, court et escarpins d’été rouge. L’arrivée de la miss, a arrêté net notre conversation, John est bouche bée… Il se lève pour lui faire péter la bise, la main sur la hanche du petit chaperon rouge, les lèvres se frôlent. Je remarque que le « paquet » est bien volumineux, en effet, surement plus qu’hier. Virginie s’occupe de préparer le petit déj’ en tourbillonnant de partout, et en laissant percevoir de plus en plus de peau, voir plus… Elle joue le grand jeu.
John est content, car son équipe a gagné, mais qu’il y a un problème d’espionnage et que l’équipe risque d’être exclue de la compétition et que le séjour sera écourté. Virginie propose qu’il reste quand même… Il dit que cela va dépendre de son frère….
On prend notre petit déjeuner, et Virginie commence à se frotter à notre invité.
- Vous êtes costaud… je peux vous tutoyer ?
- Oui, moi aussi ?
- Bien sur… Ton marcel te met en valeur
- Merci, tes peignoirs aussi
- C’est gentil…
-C’est vrai, je suis sincère, vous formez un beau couple tous les deux
- Oui, un beau couple libre
-Ah oui, j’ai bien cru comprendre
Virginien rougit, je reprends la main sur la discussion
- Comment çà, comment tu le sais ?
- Je vous ai entendu les deux matins et soirs, vous aimez bien faire l’amour
- Ah oui, libre …
La langue canadienne et française se rapproche, mais les mêmes mots n’ont pas forcément les mêmes significations…
- Mais, c’est agréable à entendre, cela change des champs matinaux des oiseaux chez moi
- J’imagine, mais quand Viriginie parle de couple libre, elle parlait d’échangiste
- De quoi ?
- De swinger….
- Ah ok….
Et là, John se ferme
- J’ai dit quelque chose qui t’a choqué ?
- Non, mais je pratique pas cela, je vais même dire que je ne suis pas habitué à jouer à cela
- Tu préfères les hommes, relance Virginie
- Non, non, je ne fais que très rarement l’amour
- Oh désolé, on t’a gêné, quand tu nous as entendu
- Non, non, j’ai bien aimé, au contraire
- Alors là, j’ai du mal à comprendre, dis-je
John baisse les yeux et je sens qu’il y a un truc
- Laisses tomber, on va faire attention
- Non, restez comme cela, réponds John, il faut que je vous dise quelque chose
- Tu n’es pas obligé.
- Si, je ne vais pas vous le dire, je vais vous le montrer
John se lève et baisse son short. Et là, Virginie a les yeux qui sortent de leurs orbites. Un sexe qui pointe vers le bas d’une douzaine de centimètres, d’une épaisseur incroyable et monté sur 2 testicules énormes, quasi des boules de pétanques.
- Voilà le problème, poursuit John
- Ah oui, tu es un phénomène
Virginie s’assoie et je pense qu’elle doit faire une flaque sur sa chaise
- Mon dieu, tu dois avoir du succès, avec ce matériel, enchaine a-t-elle
- Ben non, cela fait peur à toutes les femmes et je n’ose plus essayer
- C’est dommage de cacher cela
- C’est gentil de me dire cela, mais ce n’est pas marrant et là, tu m’as bien excité avec tes belles tenues, mais elle peut être encore plus épaisse, mais ne grandit pas beaucoup
- Non !!! c’est vrai ?
Ma chérie est toute chose…. Je reprends la conversation
- Tu veux dire que cela fait longtemps que tu n’as fait l’amour
- Oui, 10 ans
- Ok, pas cool… et tu as envie ?
- Je ne sais plus, quand je m’intéresse à une femme ou qu’une femme me fait du rendre dedans comme Virginie, je suis moqué avant de baiser
- Je comprends, mais, j’en connais une qui n’attend que çà
- Ce n’est pas correct de me dire çà.
Je me tourne vers Virginie, qui fixe l’entrejambe de John.
- Tu ne vas pas le laisser aussi, montre-lui qu’une bonne coquine française peut s’occuper de lui
- Euh oui oui… je ne sais pas si je vais y arriver, mais je vais essayer
- Tu veux bien essayer John ?
- Oui, mais je ne promets rien !!!
Allez, on rentre à l’intérieur, je mets le salon en mode « coquin » et on va voir cela.
Virginie a fait tomber son peignoir devant John assis sur le canapé. Elle lui enlève le short et le marcel. Le chevauche, et fait frotter sa chatte sur le paquet de John. Il a les seins de ma douce à portée de langue et il les saisit doucement pour en lécher les pointes, délicatement. Ma chienne en chaleur bascule les hanches vigoureusement. Je m’installe en face du couple et je vois le minou de ma coquine se liquéfier à chaque passage. J’ai la trique immédiatement.
- Oh, que c’est bon !!!! john tu me fais du bien dit Virginie
- Toi aussi, cela fait si longtemps que je n’ai pas tété de nichons
- Vas-y fait toi plaisir !!!
- Humm, j’adore
- Je vais venir….. ahhhhh, crie Virginie
Et ma belle se met à couler sur John, le canapé et le tapis sont trempés, c’est rare de voir échapper une si grande quantité de liquide de la chatte de ma chérie. John est figé…
- Désolé, je ne l’ai pas fait exprès, dit-il
- Ce n’est pas ta faute, C’est Virginie qui a pris son pied et qui s’est littéralement livrée à toi, cela arrive qu’elle soit fontaine.
- Fontaine, c’est quoi ….
- Squiring
-Ah, je croyais que ce n’était que dans les films pornos, que cela n’hésitait pas…
- Et bien, tu sais maintenant que cela existe…
Ma belle se lève et je comprends pourquoi elle a chaviré, elle s’est frottée à un sexe de 8/9 centimètre de diamètre, 15 cm de long quand même, qui a du bien chauffer son clitoris. C’est la première fois, que je vois cela en vrai. Les seules choses que j’ai vu de plus gros, c’est les godes de ma belle qu’elle collectionne dans son coffre et qu’on utilise régulièrement pour bien remplir ma chérie par tous les orifices. Mais, là c’est du vrai…
Virginie revient et demande :
- Tu as des préservatifs à ta taille ?
- John, non, j’en ai mais ils sont chez moi au canada et doivent être passé de date
- Ah non, j’aurai bien aimé m’empaler sur toi
-Mais, tu es folle, cela ne va jamais renter
-Ne t’inquiète pas, elle a une collection de godes aussi large
- Ah ok, c’est une belle cochonne
- Et bien, John, tu te lâches
- Pardon, désolé
- Non, reste ainsi, j’aime bien, réplique ma belle. Bon et bien je sais ce qu’il me reste à faire
Elle écarte les jambes de John, se met à genou et commence à sucer notre invité. Je vois son cul se dandiner et je perçois sa chevelure faire des va et vient. John mate la belle s’affairer sur son sexe. Je me déplace sur le côté pour voir cela. Elle n’arrive pas à gober la tige, elle en fait le tour, elle essaie de gober les boules difficilement, sa langue se concentre sur le gland et fait des succions… John n’en peut plus…Je ne repositionne derrière ma belle
- Arrêtes arrêtes…
Elle lève la tête
- Je t’ai fait mal ?
- A ça non, mais je ne t’ai pas tout dit
J’ai une grosse éjaculation !!!!
- Et alors, c’est le but, non ?
- Oui, mais, là, c’est important
Ma belle se remet au travail et accélère le rythme, je m’approche d’elle pour lui doigter la chatte, qui bave autant que sa bouche qui est arrivée finalement à avaler la tige de John….
- Ah je viens… il faut tu t’écartes….
- Elle ne va s’enlever, elle veut ton jus. Lui répondis-je…
- Il ne faut pas…. Haaaa sa part…..
John est pris de spasmes, je vois ma belle continuer à pomper et puis d’un coup s’arrêter. Elle avale les deux premiers jets et ensuite elle lâche le morceau en bavant le liquide blanchâtre, elle s’étouffe par la quantité propulsée. Elle prend 3 jets important sur la face. Par reflexe, elle baisse la tête et 5 autres jets lui passent au-dessus et viennent s’écraser sur son dos , ses fesses et à mes pieds, 2 mètres plus loin.. elle s’est pris un déluge foutre
- Désolé, désolé… j’avais prévenu
- Ouf, dis-je, je n’ai jamais vu cela encore
- Harg !!!! j’en ai de partout…. Dis ma cochonne..
- Ca va ?
- Ah la, j’en ai pris plein la gueule !!!
- C’est clair….
Virginie va se prendre une douche, j’essaie de nettoyer ce qui peut l’être, je laisse une serviette à notre invité, pour qu’il fasse de même pour lui.
Elle revient, et va se mettre dans les bras de John, après m’avoir embrassé… Son baiser avait encore le gout de sperme. Elle rassure John, finalement, il est bien content de son séjour… avec cette approche à la française.
Il reste manger avec nous, on rigole, on parle de nos expériences échangistes. John se laisse aller à passer des mains sous la robe de Virginie, qui se laisse faire. J’en profite, je sens son humidité intérieure active, cela coule le long de ses jambes. John a une belle auréole sur on short en lin, on ne dit rien, il rejoint son frère pour une soirée JO entre canadiens.
Une fois qu’il est parti, on fait un débrief.
- Oups quelle giclée que tu as pris
- Oh oui, imagine qu’il me remplisse la chatte
- Ah oui, et les maladies dans l’histoire…
- Je m’imagine, je ne dis pas que je vais le faire, déjà, il faut trouver des préservatifs XXL
- Ok, je m’en charge
La seconde journée passe, j'ai trouvé des préservatifs xxl, et merci les jeux olympiques, ma chérie surement va battre des records pendant une semaine…mais les disciplines ne sont pas inscrites au programme officiel …
Il y a une suite, très fournie…