Vive les JO (3) - histoire érotique

‌Nous sommes tellement extenués, qui nous sommes allés nous coucher, sans entendre John revenir.
Comme tous les dimanches matins, nous trainons au lit, la fenêtre ouvre, les rayons du soleil viennent caresser mon sexe en érection et motive ma douce, pour prendre la pause, afin que sa chatte profite du soleil aussi. Elle se caresse doucement le clito, et cela a pour conséquence de faire luire ses lèvres inférieures. En même temps, de l’autre main, elle me masturbe gentiment. Notre voyeur habituel se présente à la fenêtre, et contemple le spectacle. Ma chérie fait en sorte que sa vulve soit bien exhibée, qui commence à suinter légèrement. John est maintenant à son aise, et sort sa queue de son short et commence à se branler. Sans rien dire, ma chérie va s’accouder au rebord de la fenêtre, en mettant en évidence sa poitrine pointant déjà bien. Elle ouvre la bouche et vient accueillir cette belle queue matinale. De mon côté, j’en ai profité pour me caler derrière elle et je pointe ma tige à ses lèvres inférieures juteuses. Elle absorbe les objets de plaisir sans souci, et s’arrange pour que les entrées d’un côté, correspondent à la sortie de l’autre. Elle est appliquée, elle veut que la journée de notre hôte commence par la meilleure façon qu’il soit, et elle sait que je veux lui remplir son minou de mon jus. C’est moi, qui craque en premier, et elle prend le soin d’arrêter les va-et-vient pour bien récolter ma semence, tout en gémissant la bouche pleine. Ensuite, elle a décidé de s’occuper plus sérieusement de l’autre queue, elle s’adonne à son loisir préféré, le vidage de couille et elle y arrive au bout de 5 minutes, lorsque John se lâche au fond de la gorge de ma douce, qui avale tout le liquide en s’étouffant un peu, car la dose est toujours aussi importante. Elle embrasse notre canadien, m’embrasse ensuite et s’échappe à la douche, en me montrant sa chatte dégoulinante de mon sperme.
On prend le petit déjeuner tous les trois, Ma chérie s’est vêtue légèrement, d’une nuisette courte et transparente, ses formes sont visibles et John n’en manque pas une miette. Quelques mains baladeuses sont de sorties et nous passons une bonne heure à discuter de la journée. Jusqu’à que nous devons préparer le BBQ pour la venue de Jackson. Virginie est dispensée de préparatif culinaire, elle doit s’apprêter pour accueillir notre second invité. John va se préparer aussi, je prends une douche vite fait et je mets en place la table, à l’ombre sous le parasol. Jackson se présente avec son frère, ils s’installent à table, laissant une chaise vide entre eux. Et ma belle se présente à son tour. Les canadiens sont éblouies, elle a sorti le grand jeu. Maquillage appuyé, corset bleu qui met ses seins en avant, les auréoles à moitié visibles, Porte-jarretelles, string, bas blanc et escarpins rouges avec plateforme de 15 cm.
- Bonjour les garçons, j’ai une tenue adéquate aujourd’hui, allez la France !!!!
- Hello, vous êtes magnifique, s’exclame Jackson
- Wouha, Marianne à que bien se tenir, poursuit John
Les bermudas de nos invités montrent l’intérêt subite aux couleurs nationales locales. Jackson se lève et vient saluer la belle frenchie. J’avoue que je suis dans le même état, bien tendu dans mon short. Ma chérie se frotte bien à notre invité et prend mesure du paquet qui lui est promis
- Oh, je sens que vous, … tu apprécies, continue Virginie, contente de l’effet fourni
- Oui, tu es très belle… la France est habitée par le belles sirènes envoutantes
- C’est gentil, je suis sûr que vous allez repartir avec de beaux souvenirs
Toute le monde s’assoit. Ma douce est rayonnante, elle a deux hommes qui la désirent. On mange, on arrive au café, On discute, et Jackson dit :
- Ce soir, c’est le grand match. On doit gagner contre la France pour espérer passer.
- Pas facile, nos bleues sont performantes, dis-je
- Oui, mais, on n’a pas le choix, Cela te dirait de venir voir le match ?
- Heu, je n’ai pas de place…
- Et bien, on a une, car dans l’histoire d’espionnage qu’on a eu, il y a des membres du staff qui sont repartis chez eux et ils nous restent une place.
- C’est génial, s’empresse de dire Virginie, en plus à Saint Etienne, mon chéri, il ne faut pas louper cela
- Mais, on avait prévu d’être tous les deux…
- On aura d’autres occasions, c’est une opportunité !!!
- Ok, je suis ravi de cette proposition, merci.
- De rien, c’est normal, vous avez accueilli à merveille mon frère
- Il faut surtout féliciter Virginie, elle y met tout son cœur…
- Je sais, John m’a dit et j’ai bien vu hier…
- Comment ça ? s’interroge Virginie
Je fais signe à Jackson en mettant mon doigt sur la bouche de ne pas poursuivre le sujet, car elle ne s’est pas rendu compte, qu’elle avait des traces de sperme de son frère dans les cheveux, lors de la première rencontre…
- Heu, John m’a raconté….
- C’est un gros coquin ton frère, et toi ?
- Je …. le suis aussi…..
- Je peux te remercier à la place de mon homme pour la place.
- Mais, ce n’est pas peine….
- Si, si j’insiste, c’est un plaisir pour moi.
- Dans ce cas….
Virginie se positionne entre les jambes de Jackson et lui descend la braguette, plonge sa main dans le bermuda et en ressort l’objet tant fantasmé depuis hier. Une belle tige a demie molle, mais bien épaisse et luisante de « perle d’amour », que Virginie s’empresse de laper. John sort sa queue aussi et commence à se branle. Ma chérie entame une fellation, dont les allers-retours sont de plus en plus amples, car la queue grossie et grandie dans sa bouche. Au maximum, elle ne peut en avaler que 2 tiers. Jackson se laisse entreprendre, et n’ose pas toucher la pompeuse. John s’est positionné à côté de son frère et bande comme ce matin. Bien sûr, le travail de ma chérie paye et Jackson se lève, prend sa nuque entre ses mains de bucheron et l’oriente pour qu’elle reçoive un maximum sur sa figure d’ange. Virginie continue à pomper et laisse la queue se vider sur elle. Le volume de jus est encore plus important que son frère, il arrose littéralement ma douce, qui a du mal à respirer, car cela rentre dans sa bouche, dans son nez, sur ses yeux, sur des joues, sur son front et même dans ses cheveux. Mais, voyant cela, son frère en remet une couche, malgré la production matinale, il envoie 3 jets qui zèbrent la face spermée. Virginie est immaculée, son maquillage est en mode panda, mais elle se tourne vers moi, et je vois un sourire radieux.
- Tu vois mon chéri, ta chérie s’est fait giclées dessus
- Je vois, et tu aimes çà
- Oh oui, je les ai bien remerciés, j’espère que tu apprécieras ton match
- Merci ma chérie
- Merci Virginie, disent les deux vidés….
- Cela été un plaisir, mais, j’aimerai avoir tout cela en moi.
- Mais, ma chérie, tu sais que c’est dangereux
- Non, non, tout le staff a fait des tests avant de partir, on est tous « save »
- Intéressant cela, Mon chéri….
- Ok, bon, nous aussi, on s’est testé la semaine dernière, on est « save ». Alors, faisons un pari….
- Lequel ? S’interroge Jackson
- Si le Canada gagne, vous pourrez remplir ma chérie par tous les orifices autant que vous voulez.
- Oh oui, j’adore être l’enjeu d’un pari… - Et si la France gagne ?
- Je ne sais pas, vous avez une canadienne qui pourrait se prêter au jeu ?
- Heu oui, dit John en regardant son frère, Pamela
- Et bien, elle devra être notre esclave sexuel pendant une nuit, à moi et Virginie
- Hummm, mon cheri, tu as de bonnes idées…
- Ça marche, de toute façon, tu la verras au match, tu pourras commencer à lui en parler si la France gagne…, enchaîne Jackson, qui est toujours la queue pendante à l’air.
On se refait une beauté, surtout Virginie, qui va prendre une douche et c’est l’heure de prendre la route du stade. Virginie m’a dit qu’elle allait m’envoyer des sextos, pour que l’ambiance soit encore plus chaude. Et elle sait bien exciter son monde, surtout, quand elle sait qu’il va y avoir du cul à la clé.
On arrive au stade Géoffroy Guichard, plein et avec une ambiance olympique différente que d’habitude quand les verts de Saint Etienne jouent. Je suis en loge, entouré de la délégation Canadienne. Je dis bonjour à tout le monde, John me présente, Jackson a disparu, car il a des responsabilités à gérer. Puis, je sens une main se poser sur mon épaule, je me retourne, et je vois une blonde, d’1m90, en tenue officielle du canada, avec un sourire jusqu’aux oreilles.
- Bonjour, Jacques, c’est ça ?
- Heu, oui, Bonjour, c’est çà
- Je suis Pamela, Jackson vient de prendre la suite de mon poste, et il m’a parlé de toi
- Ah ok, il ne m’avait pas prévenu que j’allais faire connaissance avec une si jolie femme
- C’est gentil, tout le savoir-faire Français… j’adore
- Je vais suivre le match avec vous si tu le souhaite.
- Avec plaisir
On profite des amuse-bouche proposés, on discute tous les deux, Jack est avec la délégation canadienne, pas bien loin. Je suis content d’avoir une femme à ma hauteur, je fais 2 mètres, pour discuter, cela me change. D’autant plus, qu’elle m’avoue être passé au vestiaire pour mettre des talons, car Jackson lui avait dit que j’étais grand. Elle en met rarement, à cause des railleries des « petits ». Donc, elle culmine à 2 mètres aussi, on ne passe pas inaperçu, des spectateurs viennent nous voir, pensant qu’on était membre de l’équipe de basket. C’était cocasse.
- Cela fait plaisir d’être accompagné d’un homme aussi grand
- Et bien, j’ai le même sentiment, car les françaises ne sont pas bien grandes
- C’est vrai, c’est un problème pour moi, j’ai 45 ans et je n’ai pas trouvé de partenaires assumant cela et le reste.
- Pour la taille, tu peux te retourner vers des basketteurs ou volleyeurs.
- Oui, j’ai essayé, mais j’ai d’autres défauts.
On se sourit sur cette dernière phrase et on s’installe sur un mange debout, car le match commence.
- Jackson m’a dit pour votre pari
- Ah bon, et tu es partante
- Carrément, cela fait 15 jours que je n’arrête pas de bosser, en plus avec le problème d’espionnage, cela été la galère
- Tu es libertine ?
- Oui et non, j’aime le sexe, et je suis un peu addictive
- Ha bon, et bien 15 jours sans baiser, cela doit être compliqué
- Oui, heureusement, j’ai amené mes jouets
- Et c’est passé à la douane, dis-je en rigolant
- Arrête, je crois qu’un douanier français à tout vu par les rayons X, j’ai été obligé de déballer tout mon sac devant lui
- Tu avais mis cela dans le sac en cabine
- Et oui, je me suis fait un petit kiffe dans les toilettes de l’avion
- Ah d’accord, c’est une belle addiction effectivement
- Et c’est pour cela que je ne trouve pas de partenaire.
Et but de la France, toute la délégation canadienne est au plus profond de la morosité, sauf Pamela, qui a le sourire en coin
- Hum, Ta femme est vraiment BI
- Oui, elle adore rencontrer une autre femme BI active, cela fait des étincelles. Plutôt de belles tâches
Mon téléphone me signale un sms reçu, je le regarde et c’est ma chérie qui m’envoie un sexto accompagné d’une photo, ou elle se gode devant le match de foot.
- Tu veux voir ma femme, Virginie ?
- Oui
- Je lui montre la photo
- Hooooo, quelle coquine….
Je lui réponds rapidement que Pamela la trouve coquine. J’explique, à Pamela, le séjour avec les frères canadiens, et comment on est arrivé au pari. La mi-temps arrive, le score est toujours le même. On grignote et on boit deux/trois coupes de champagne et je sens Pamela très tactile, ce qui ne me dérange pas. La partie reprend, tout le monde va s’assoir.
- Jacques, viens !
Pamela me prend par la main et m’entraine dans une salle ou se trouve des affaires diverses.
- J’en peu plus, il faut que tu me baises, et puis Virginie m’a trop excitée
- Tu souhaites que le Canada perde alors
- Non, mais je veux bien prendre un acompte, au cas où (Elle avait eu une belle intuition)
On s’embrasse, on se met à poil en peu de temps, je découvre un corps sportif avec un cul bien ferme et des seins bien refait. Elle me prend en bouche en se mettant à genoux, en mode soumise coquine. Son regard de chipie est excitant, elle ferme les yeux quand elle me prend la queue en gorge profonde. Elle y prend du plaisir. Je prends mon téléphone dans mon pantalon, et je fais une mini vidéo de la séance et Pamela fait un commentaire « coucou, Virginie, je prends un acompte, avant de prendre tout cours ». Je repose mon téléphone. Et je passe en mode dominant
- Alors, tu veux te faire baiser comme une chienne !
- Oui, j’en ai marre de mon gode, je veux de la bonne queue
Je la prends par les cheveux, je la plaque contre le mur, je lui écarte les jambes :
- Cambre tes reins, pour que je puisse voir ton cul
- Voilà, il te plait
- Pas mal, mais il sera mieux quand il sera bien rempli de mon jus
- Oh oui, tu es save ?
- Oui, toi aussi, je le sais
- Ohlala, tu m’excites
Je lui fais claquer une fessée qui marque le galbe droit
- Oh, oui, maître j’aime çà
- bien ma soumise, tu es à moi
- Oui, je suis à toi, je suis ta catin
Je lui lâche une seconde volée qui marque l’autre fesse. Elle gémit, mais elle dandine encore, elle en veut toujours. Je lui offre quelques belles claques, qui la fait jouir, son jus parcours le long de ses cuisses.
- Et bien, tu prends ton pied, ma petite catin
- Ho oui, c’est bon, il faut me remplir la chatte
- Ce n’est pas toi qui donne les ordres ici.
- Oui maître
- Tu es à moi, tu dois subir tous les plaisirs qui me passe par la tête
- Oui, tous, sans exception, rempli moi…
Je me positionne derrière elle, je la prend par les hanches, et je frotte ma queue sur sa vulve. Et elle est clitoridienne, mon gland touche le bouton magique et à chaque contact, elle a un tremblement de jambes. J’insiste plusieurs fois, sa respiration s’accélère, jusqu’à qu’elle soit prise d’un autre spasme, qui la fait couler le long de ma queue, de mes bourses et mon entrecuisse
- Alors, ma catin fontaine, on se lâche !
- Oh oui, vous m’excitez maître, j’ai besoin d’être baisée
- Pas de suite, je vais te faire torrent
Je passe une main devant elle, j’attends le clito bien dure et je le prends entre mon index et mon majeur et je le fais rouler doucement. L’effet est immédiat, elle ne tient plus sur des jambes tellement que les spasmes se déploient dans tous son corps, je la porte pour compenser et la laisser à ma merci. Elle est en apnée, je sens une rivière le long de mes jambes et une cascade à mes pieds. Elle jouit deux autres fois.
- Bien ma belle catin, tu as mérité que je te remplisse
J’avoue que le frottement de ma verge contre sa vulve et son clito, m’avait bien chauffé. Je n’étais pas loin de balancer la purée. Je me repositionne et je pose ma queue, non pas devant sa chatte, mais devant sa rondelle.
- Maintenant, je vais te punir, car tu as été vilaine
- Oh non, je peux l’être encore plus
- Ah oui, et bien, on verra cela, à la maison. Je vais bien t’enculer
Je pousse pour que mon gland force la porte arrière, mais elle ne résiste pas, elle doit avoir l’habitude des passages en force. Sa propriétaire commence à crier, mais sur le match, on entend des hurlements des supporters, il doit y avoir un but. J’en profite pour m’enfoncer d’un coup dans son cul, qui accepte volontiers la pénétration. Une fois mes couilles tapant la vulve baveuse, sa propriétaire me prend la main qui est sur son cul.
- Oh, putain, là j’ai le cul bien rempli…. C’est bon
- Maintenant, tu vas savoir à quoi ressemble une baise de cul à la Française
Je lui prends la seconde main, je la fais joindre avec l’autre, je les prends toutes les deux dans une de mes mains et l’autre je lui prends la queue de cheval pour la tirer à moi. Je commence à me retirer doucement, jusqu’au gland.
- Alors catin, tu es prête
- Oui, je veux être bien enculée et surtout bien rempli de ton jus, mon maître
Je me renfonce de suite, et le je la démonte littéralement, et comme, elle a son cul à ma hauteur, les coups de reins sont plus fort. Elle n’arrête pas de gémir, de crier, de souffler. Mais je ne résiste pas longtemps, je crache tout ce qu’il me reste, à chaque jet, je me retire un peu, pour bien remplir le conduit étroit. Elle jouit une fois que mon gland, qui commence à ramollir, sort. Ce qui fait ressortir un dernier jet de mouille.
- Garde les jambes écartées, Catin, je veux voir mon jus sortir de ton cul
Elle s’exécute et fais-en sorte de laisser son cul ouvert, et le jus blanchâtre bien couler le long de ces cuisses. Je prends une vidéo de cela… jusqu’à qu’une grosse quantité de jus un peu plus immaculé soit éjecté de l’orifice pour venir s’écraser sur le sol, éclaboussant les talons de haut de ma catin
- Merci maitre, je peux demander une dernière faveur ?
- Tu as été docile, tu peux
- Je voudrais te nettoyer votre queue, elle est toute souillée
- Oui, si c’est ce que tu veux
- Merci maître
Elle se positionne à califourchon au-dessus de la flaque de foutre et de mouille et prends ma queue en bouche et la lave sans en laisser une miette. Je la relève, une fois la demande exécutée et je l’embrasse goulument.
- Tu es à moi, jusqu’à la fin du séjour, tu dois m’obéir
- Oui maître.
- Dès à présent, je te veux sans culotte
- Oui maître
On ressort discrètement de la pièce, on va aux toilettes pour se rafraîchir. Et on retourne au match, et on constate que le Canada a égalisé. On prend un cocktail et on se replace sur un mange-debout. Je renvoie les deux vidéos à ma belle, sous les yeux de Pamela. Elle est gênée, mais aussi excitée. Puis, le Canada finalement gagne et se donne le droit d’être qualifié si il gagne leur dernier match à Nice. John est tout fou, de la victoire de son équipe et du pari gagné. Il n’ose pas trop en parler à Pamela, mais je lui dis qu’elle est au courant. J’avais perdu mon pari. Virginie qui n’arrête pas de m’envoyer des SMS, va se faire bien démonter, mais Pamela est un peu déçue. Je lui dis à l’oreille qu’on va trouver un arrangement. La soirée tarde un peu, Jackson remonte du terrain, très heureux. Je discute avec lui, et lui explique ce qui s’est passé avec Pamela. Il me demande si elle peut coucher à la maison, je lui réponds que oui. Il s’éclipse et revient me dire qu’il n’y a pas de souci. Ils doivent donner leur lieu de villégiature, s’ils dorment en dehors de l’hôtel prévu. On quitte le stade, il n’y plus grand monde. J’ai la chance de monter dans la voiture de Pamela, car elle doit passer à l’hôtel pour changer de tenue. Les frères, eux, doivent fermer le clan canadien. Et on se donne RDV à la maison.
Il est déjà tard, il n’y a plus personne à la réception de l’hôtel. On prend l’ascenseur, et je lui ordonne de se mettre nue. Elle s’exécute et sort à l’étage sans vêtement. Elle dandine, jusqu’à sa chambre, l’ouvre et me fais rentrer. A ce moment, la porte d’en face, s’ouvre et c’est un homme, d’un autre pays qui admire le spectacle. Je lui oblige à laisser la porte ouverte et de se caresser devant. Elle prend une chaise, s’assoie et écarte les jambes en face de son voisin, commence à se caresser. Le mec sort son engin de son short et commence à se masturber sur son pas de porte. Le jeu dure 5 minutes et le mec dit :
- I can tuch ?
Je reponds à la place de Pamela :
- Yes, you can ?
Il traverse le couloir, la queue en l’air qu’il masturbe de plus en plus vite et l’autre main, vient caresser les seins pointus
- Suces-le….
Pamela, continue à se caresser et prend la tige qui était à sa portée de bouche. Je prends une photo de l’action. Elle y met tout sa volonté et le mec lâche tout, les seins, un cri de jouissance qui se fait entendre dans tout le couloir et des jets de sperme qui viennent s’écraser sur tout le corps de ma soumise. Elle fait en sorte que le mec, reparte la queue bien propre, il se dépêche de retourner dans sa chambre, car des bruits de clés se font entendre ailleurs et on ferme la porte. Pamela est couverte de jus, elle vient à moi et m’embrasse, puis me dit.
- J’ai été sage, maître
- Oui, tu as été parfaite, tu as fait un heureux
- Peut être, en tout cas, il me reluquait depuis le début du séjour, mais je n’osais pas.
- Il devait te guetter, le cochon
- Tu crois, j’ai bien aimé, il avait une belle queue
- Ah oui, tu voudrais qu’il te remplisse de jus, catin
- Oui, oui… j’ai tellement envie de me faire baiser, cela fait 15 jours que je me masturbe, c’est long
- Et bien, quand tu reviendras, tu t’habilleras très sexy et tu iras frapper à sa chambre et tu le livreras à lui.
- D’accord mon maître, je ferai des photos pour vous les envoyer
- Parfait, petite catin, va te laver et te changer, tu as une nuit de baise qui t’attend
Elle part à la salle de bain, j’envoie la photo à Virginie, qui m’appelle en visio, immédiatement
- Tu es ou avec Pamela ?
- Dans sa chambre, elle doit se changer.
- Ah oui, elle a une drôle de façon de se changer
- Elle m’est soumise, je m’amuse un peu avec elle
- Ah oui, et bien mon cochon, tu l’as enfin ta soumise, elle va prendre aussi cher que moi, j’espère.
- Il y a de fortes chances
- Et les garçons, ils sont avec vous ?
- Non, ils doivent être sur la route, il faudra les accueillir, car on a pris du retard.
- D’accord, compte sur moi, regarde ce que j’ai préparé
Et je vois, ma belle, avec un ensemble en dentelle rouge transparent, un bustier de même couleur qui soutient sa poitrine nue, des bas nylons blancs et des plateformes transparentes au pied, très haut. Elle s’est même fait les ongles des mains et des pieds en rouge vif et blanc, couleurs du Canada. Sur la table, elle a posé la majorité de ses godes et de ses plugs, à côté des verres et de mignardises.
- Hum, tu es vraiment chaude comme la braise
- Oui, c’est dommage que les françaises ont perdues, mais au moins il y en a une qui va gagner, c’est moi, je vais être leur jouet.
- Et bien plus, car je veux que tu sois leur soumise, tu dois faire tout ce qu’ils veulent, sans aucune exception.
Tu veux que je sois leur esclave sexuel ?
- Oui, s’il te donne l’ordre
- Humm, j’attendais cela depuis longtemps, merci mon chéri
- Je vais leur passer un sms, pour qu’il te traite ainsi, je suis sûr qu’ils vont jouer le jeu
- Oh, je crois que je vais encore me faire jouir, avant qu’ils arrivent
- Ah oui, tu peux, cela fait combien de fois que tu t’es caressée ?
- Heu… 4 fois, depuis la fin du match…..
- Petite salope !!!!
- Non, ce soir, grosse salope qui veut se fait défoncer de partout…. Ne tardez pas trop, je veux voir aussi Pamela se faire déglinguer…
Elle raccroche, je fais le SMS à John pour lui dire qu’il traite Virginie comme une esclave sexuelle et que l’on arrivera dans 1h. Il me répond de suite, qu’ils vont bien s’occuper de son cul jusqu’à notre arrivée et qu’ils arrivent dans 5 minutes. J’avoue que j’ai une belle érection, car c’est la première fois que je livre ma belle à deux hommes. Elle va prendre très cher pendant une heure. Je m’installe sur le divan de la chambre et j’attends Pamela sortir. Au bout de 20 minutes, la porte s’ouvre et là, je vois une créature de rêve se présenter en talon haut rouge, mini-jupe en cuir, chemisier blanc transparent sans rien dessous, un maquillage léger et sexy, par contre, une bouche dessinée avec un couleur rouge vif. Une vraie bombe sexuelle. Et un collier de chienne brillant, autour du cou, avec une laisse en acier blanc.
- Vous me trouvez comment ?
- Tu es une soumise très salope
- Merci, maître, venant de vous, c’est un compliment qui me touche
- Viens là, que je vérifie quelque chose
Elle s’approche, se plante devant moi et écarte les cuisses. Je pose ma main sur sa vulve humide
- Je vous ai obéis, je n’ai pas de culotte
- C’est vrai, mais je trouve ta jupe trop longue, plis là au niveau de la ceinture, je veux que ton minou sous à découvert
- D’accord, elle est souple…
Elle s’exécute et je peux admirer le début de ses fesses et le sillon de sa vulve dégoulinante.
- Parfait, maintenant penches-toi, je vais te préparer au voyage
Elle se penche et sa vulve se présente à moi. Je lui caresse les lèvres pour humidifier mon index et majeur, que je plante ensuite au fond de sa matrice. Et je doigte vigoureusement, jusqu’à que je sente ma soumise jouir et que son jus vienne s’écraser sur la moquette de la chambre.
- Merci, maître, je suis toute mouillée entre les cuisses, je vais me laver
- Non, par contre, tu as un plug ?
- Oui, mais, il est gros….
- Je ne veux pas savoir, amène-le
Elle va vers sa table de nuit et sort un plug anal médium.
- Donne-le-moi, je vais te le mettre
- Mais je ne vais pas pouvoir conduire avec çà
- Tu ne vas pas conduite, ma soumise, tu auras autre chose à faire
- D’accord, voilà
Elle me présente son cul et je lui lèche la rondelle, ainsi que le plug. Il rentre facilement, surtout qu’il doit avoir encore du sperme pour faciliter le conduit étroit. Elle l’encaisse avec un petit gémissement.
- Te voilà prête, on y va
Elle prend une veste en cuir, elle veut la mettre sur ses épaules.
- Tu me donnes ta veste, je te dirai quand il faudra la mettre
- Mais je ne vais pas sortir comme cela, maître
Je prends la laisse dans la main et je viens lui fouetter son cul assez fort
- Ohhh, pardon maître, je l’ai bien méritée
- Oh que oui, je décide quand tu la mettras
- Compris maître
On ouvre la porte, et je lui ordonne de sonner à frapper à la porte de son voisin. Chose qu’elle fait. Il ouvre, à poil, la queue tout molle. Je lui dis de prendre rendez-vous demain matin, et qu’elle sera une belle chienne. Elle lui traduit et il ne répond que par sa queue qui commence à se redresser. Et puis, je la tire par la laisse et on prend le couloir. Son voisin, reste dans le couloir, jusqu’à qu’on prenne l’ascenseur au bout du couloir. Une fois, dans le couloir, je lui ordonne d’écarter le cul, pour qu’il voit bien de plug anal briller. L’ascenseur descend, le veilleur est à son comptoir et ne manque pas mater ma soumise. Je l’assoie côté passager, elle me donne les clés et on prend la route. Je lui donne l’ordre de me sucer, chose qu’elle fait, en exhibant bien son cul rempli à la fenêtre. Je mets la lumière centrale pour que je puisse bien profiter. Sur la route, on a une partie autoroute et on double un camion, je fais en sorte de rester au niveau de la cabine quelques instants. Un klaxon m’indique que le chauffeur aime bien la scène, je le double et je vois qu’il me fait des appels de phares et mettre son clignotant. Je comprends qu’il veut que je me gare à l’aire qui est juste à 2 km. Je lui fais comprendre en mettant mes warning que j’ai compris et que je reste juste devant lui. Le convoi arrive sur l’aire, je prends la direction du parking des camions. Il y a déjà 2 camions et je me gare sur la place du fond. Notre suiveur, vient se garer à côté. Et tout cela, sans que ma pompeuse se doute de quoi que ce soit.
- On est arrivé, dit-elle ?
- Non, ma catin, on fait une étape.
- Ah bon, on va faire quoi ?
- Moi rien, mais toi, tu vas sucer une autre queue
- D’accord, maître
- Remets-toi sur le siège et je te dirai quand tu pourras venir.
Je sors au-devant du camion. Ce n’est pas un, mais deux mecs qui en descendent. C’est des français, on discute et je leur dis que j’ai une vide couille dans la voiture. Ils me demandent s’ils pourront toucher, je leur dis que oui, mais je leur dis, qu’il n’y aura aucune pénétration autre que leur queue dans la bouche et les doigts, à condition qu’ils soient propres. Ils sont d’accord, un des deux va chercher des lingettes et je demande à Pamela de sortir, de se mettre à genoux, d’enlever son chemisier. Elle s’exécute, me tend son chemisier et dis bonjour, à celui qui est resté devant elle. Elle porte la main à la braguette et va chercher sa queue. Elle a du mal, car notre homme est bedonnant, et pas loin de la 60 aine. Mais elle la sort et commence à la masturber. Son collègue arrive et tend une lingette pour qu’elle essuie cette petite queue. Elle fait le ménage, pendant que ce dernier vient derrière ma soumise et commence à lui caresser les seins et l’entrecuisse. Elle écarte les genoux et lève sa croupe pour faciliter le passage des mains vicieuses. Elle commence à faire la fellation du premier, qui ne résiste pas, et lâche son jus rapidement. Pamela se lève encore plus, pour bien recevoir le tout sur ses seins. Au même moment, l’autre lascar profite pour mettre un second doigt dans son minou et tout en jouant avec le plug bien planté. Ce qui a pour effet, de la faire jouir une première fois, ce qui lui arracha un cri trident. Le second, passe devant et lui présente une queue, plus conséquente, qu’elle a du mal à prendre à plein bouche. Le sucé, lui laisse du temps pour prendre ses marques et vient lui mettre la main sur la nuque, pour imprimer le rythme. Chose qu’elle accepte volontiers et je vois qu’à chaque poussée, la queue s’enfonce de plus en plus, avec des bruits de gorge encombrée de plus en plus fort
- Tu es une vraie salope !
Il lui laisse l’amplitude pour répondre
- Arghhhh, oui, mon maitre fait en sorte que je le sois de plus en plus
- Et bien, on a eu la chance de vous croiser
- Oui…. C’est la première fois, que je suis une catin de parking
- Et t’aime çà ?
- Oui… force-moi et insulte moi, mon salaud
Il ne se fait pas prier, il lui fait avaler tout la longueur de queue, son nez touche son bas ventre à chaque fois, de la bave sort du bord de ses lèvres.
- Tiens bouffes là cette grosse queue, aspirateur à sperme !!!! Je vais te remplir comme une dinde fourrée !!!!
J’avoue que voir Pamela se faire défoncer la bouche, le cul relevé armé d’un plug, à la vue de tout le monde, grâce à moi, cela m’excite beaucoup. Et je verrai bien Virginie sous ce régime… bon, on verra cela plus tard. La scène est magnifique, mais je n’avais pas vu qu’il y avait deux autres chauffeurs qui nous ont rejoint. Ils se dirigent vers moi, et un avec un français maladroit me demande s’ils peuvent s’approcher. Je lui fais comprendre les règles, le chauffeur vidé leur tend les lingettes et une fois la queue nettoyée et leur main, ils viennent se positionner derrière ma chienne et comment une révision de tous les orifices et des courbes disponibles. Le plug tombe par terre, tellement que les visiteurs sont méticuleux dans leur exploration. A ce rythme, ma catin arrive à se dégager de la queue et commence à jouir une seconde fois. Le sucé, se branle au-dessus de la face de ma soumise et fait en sorte que tout son jus lui arrose la figure. Le rouge à lèvre est en partie sur sa queue et le maquillage dégouline sévère, car des larmes de suffocation sont présentes. Elle crie et se prend des convulsions, son corps est secoué… Les deux étrangers lâche la belle et prennent la place du précédent. Et chacun de leur tour, ils viennent se vider directement dans la bouche ouverte de ma soumise. Des jets s’échappent, et viennent s’écraser sur sa chevelure, ses joues et des seins. Les spasmes se poursuivent et elle n’arrive plus à conserver le liquide en bouche, qui coule le long de son menton pour glisser sur les pointes de ses seins tendus. Tout le monde est satisfait, les étrangers repartent en faisant un signe de la main, les français tendent le reste la boite de lingettes. Je leur dis
- Ce n’est pas la peine, elle va rentrer comme cela.
Je récupère le plug, je lève ma possédée. On prend congé de nos chauffeurs et on remonte dans la voiture. Pamela est totalement déglinguée au niveau du maquillage, elle a les seins immaculés, la chevelure en bataille, mais elle a un sourire spermeux jusqu’aux oreilles
- Oh lala, quel pied d’être prise pour un vide couille, merci maître
- De rien, j’avais envie de voir ce que cela donnait sur toi, avant de proposer à Virginie
- Hum, j’ai adoré…. Je suis souillée
Je redémarre, monte un peu le chauffage et elle met les jambes sur le tableau de bord et commence à se caresser le clito en ramenant les spermes liquéfiés vers son clito. Et cela, jusqu’à l’arrivée et je pense qu’elle s’est fait jouir 2 fois. On arrive à la maison, je récupère son blouson, son chemisier et on rentre. Et là, je vois ma belle en train d’être prise en sandwich, encore habillée, par les deux frères, allongée sur le dos, sur John qui était bien planté dans son cul, pendant que Jackson limait profondément la chatte de ma belle, qui couinait fortement.
- Coucou chéri, vous en avez mis du temps… Ola, tu lui as fait quoi à Pamela ???
Les deux canadiens, se retournent et arrête la baise
- Et bien oui, vous êtes passés ou ? S’inquiète Jackson, la queue tendue et poisseuse
Pamela, ne peut s’empêcher de mater le bas-ventre de Jackson, tout en expliquant le périple, pour rassurer tout le monde. Et je reprends la conversation, pendant que j’ordonne Pamela de s’habiller comme à l’hôtel, et je demande à Virginie, qui remet sa tenue en dentelle d’aplomb de l’accompagner jusqu’à la salle de bain.
- Pamela est ma soumise, elle adore ça, et moi aussi.
- Je vois ça, réponds Jackson, elle aime ça ?
Je leur explique, un peu plus en détail, la séquence au match, l’hôtel, l’air d’autoroute… Ils n’en reviennent pas. Jackson m’avoue qu’il l’avait baisé un jour, mais sans percevoir cette possibilité. Je lui dit qu’au retour de France, il faudra arriver à la frustrer de sexe pendant 3 semaines, et que celui qui osera, pourra en faire ce qu’il veut. Elle fonctionne ainsi. Les filles reviennent bombasses comme jamais, deux plug anaux bien visibles plantés dans leur petit cul. Je me suis mis à poil, comme nos canadiens. Elles se trémousse devant nous, car je leur ordonne de nous servir les sucreries et le champagne qui était au frais. Elles se caressent devant nous, Pamela se laisse faire par Virginie, qui ne se prive pas lui donner des sensations de plaisirs féminin. Elle l’a déshabille au fur et à mesure de l’exploration des caresses ou léchouilles. Paméla se retrouve nue, tétons en pointes et gonflés par le titillement de la langue de sa dominatrice. Les jambes écartées, le clitoris lapé par la bouche experte de cette dernière. Et là encore, dans un lâché prise total, son bassin se met à se lever pour donner encore plus de force à la jouissance naissante. Virginie n’a pas lâché et butine sans mesure le bouton magique, pour aboutir à un hurlement de sa victime. Notre ami, Jackson qui avait la queue en l’air, s’est faufilé jusqu’au derrière de ma belle, qui lors du butinage, a remplacé le plug anal par sa queue. Et qui, maintenant, est obligée de se redresser pour sentir le pénétrant au plus profond d’elle. Il entoure de son bras le haut de son corps et fais-en sorte de lui planter au plus profond, sa tige rigide. Après, une quinzaine aller-retour, Jackson a le souffle court, Virginie doit sentir les veines se gorger de sang, le long de ses parois anales visqueuses, elle prend le rythme cardiaque de son enculeur et montent ensemble vers l’orgasme.
- Donnes-moi tout mon cochon, encourage-t-elle, remplie ta petite salope française, elle veut du jus canadien par tous les trous toute la nuit…. Je viens aussi….ahhhhh
- Ah putain, que c’est bon d’être dans ton cul, tu es une belle salope, Je vais te saillir comme une jument en rut… tiens… voilà ma semence… hummmmmm
Les deux corps ne font qu’un et les coups de reins remontent jusqu’à cerveau de ma belle, qui jouit divinement et on entend les clapotis anaux de dégager sur les dernières poussées. Les deux s’écroulent, mais notre ami John avait pris la gaule et Pamela, qui était à proximité, m’avait demandé par le regard, si elle pouvait en profiter. Je lui ai autorisé, et elle le pompait avec cœur, comme elle doit le faire. Une fois, la queue bien tendue, je lui dis de faire comme son frère, que ma catin est à sa disposition. Chose qu’il ne refuse pas. Il lui enlève le plug anal. Elle s’offre à lui, sans broncher. Et les voilà en levrette, les seins de ma soumise gigotent dans tous les sens, car John ne la ménage pas. Après 10 minutes de ce régime, la catin est saillie avec plaisir. Il s’enlève d’elle et elle reste à quatre pattes.
- Tu vas faire ressortir le jus de ton enculeur, dis-je, en reprenant la main sur elle…
- Oui maître, je sens sa semence se présenter
- Bien, ma soumise, tu es très docile
J’apprends maître
- Tu vas devoir faire cela à chaque saillie cette nuit.
- Oui, vous allez passer tous dans mon cul, hummm, je coule….
Et on voit une belle goute de sperme d’écraser une le sol
Maintenant, tu vas lécher
- Oui maître
Ce qu’elle fait avec Précision. On reprend de l’énergie et on poursuit tout le reste de la nuit notre partouze. Virginie et Pamela n’ont pas le temps de jouer ensemble, mais cela ne sera que partie remise, elles sont assaillies par nos queues, qu’elles prennent dans tous les orifices. Les garçons ont pu recharger 2 fois de plus et ont bien fait en sorte de tous déposer au plus profond des trous explorés. Et à chaque fois, il y a eu une bonne dose. A Croire qu’ils ont une réserve sans fin. De mon côté, j’ai pu recharger une fois dans le cul de Virginie, qui venait de se le faire éclater par Jackson. Cela été une telle excitation de plonger ma queue dans son cul ouvert et rempli de sperme étranger, que j’ai limé deux fois et ajouté mon jus au cocktail.
On prend le petit déj’ ensemble, tous nus et dans un esprit très libertin. Ils doivent repartir, car ce soir, ils prennent la direction de Nice pour le dernier match de leur équipe. On s’est donné rendez-vous à Marseille en fin de semaine prochaine, si l’équipe gagne son billet pour les quarts de final. Sinon, ils repartent au canada, sauf Pamela, qui reste, pour réceptionner les athlètes para-olympiques de sa délégation. Elle devait rester sur Paris, mais elle va s’arranger pour revenir chez nous, pendant une semaine et elle sera notre esclave sexuelle à Virginie et Moi.
Le départ est difficile, car on risque de plus voir les garçons. Je rappelle à ma soumise qu’elle doit voir son voisin de palier et qu’elle devait me faire passer des photos. Elle me promet qu’elle va y aller dès son arrivée.
L’équipe s’est qualifiée… direction Marseille….
De rien. Avec plaisir.