Vivianne mon Graal Chap V Soirée II

- Par l'auteur HDS Prospero -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Vivianne mon Graal Chap V Soirée II Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Vivianne mon Graal Chap V Soirée II
Chap V

Soirée II

J’avais bien compris que Hilse la maitresse, était plutôt de notre côté. Certes elle profitait de la situation pour m’avoir a sa botte me montrer les choses mais j’avais aimé être soumis. Mon ego de mâle avait du mal a l’accepter mais me retrouver sous la botte de cette belle femme, être traité comme une salope j’avais été très excité. E la part féminine que j’ai en moi est vraiment une salope soumise. Avec les femmes c’est vraiment géant mais être la salope de mecs. Je n’imaginais pas encore à quelles extrémités j’allais parvenir, volontairement et en les suscitant même.

Vivianne me confia, qu’elle souffrait de me voir soumis, elle avait de moi l’image de son maitre et la dissonance entre ce qu’elle désirait de moi et me voir en salope sous je joug de Hilse la heurtait. Elle l’acceptait car c’était la volonté de sa maitresse et la clef de sa liberté.

A part ces confidences rien de changé, si ce n’est que je prenais de plus en plus confiance en moi et appréciait de plus en plus ma relation avec Vivianne. Elle en payait le prix et aimait de plus en plus ma façon de la soumettre. A partir de ce moment-là je crois que plus jamais le corps de Vivianne ne se trouva exempt de marques de ma sévérité. Vivianne réclamait des marques quand les précédentes s’estompaient. C’est aussi dans ces moments que je découvris l’usage extensif de cannabis chez Vivianne. Elle essaya de me convaincre mais je restais fidèle a mon tabac blond, Peter’s ou Dunhill menthol pour les deux.

Entre Vivianne et moi c’était le grand amour, je ne peux pas dire autre chose. L’un et l’autre on vivait a travers l’autre. On faisait des projets d’avenir, elle cherchait un poste dans un hôpital près de chez moi. J’avais trouvé un appartement assez grand en vue de notre installation commune. Et nous avions décidé qu’une fois avec moi elle cesserait toute contraception. Elle décida que quand nous aurions des soirées a plusieurs mâles, aucun autre homme n’aurait son sexe, ils devraient utiliser son anus. Vivianne voulait un enfant de moi. Et j’avais moi aussi une irrépressible envie de devenir papa. Je ne pouvais effacer de ma mémoire Giovanna et cette petite fille.

Hilse nous avait rappelé que la date de notre seconde soirée arrivait. Nous voilà arrivé de l’autre côté du Rhin dans ce charmant village.

Accueil chaleureux de Maitresse Hilse qui nous fait la bise comme a des amis. Nous ne sommes pas encore entrés dans le donjon le cérémonial n’a pas lieu d’être.

- Alors les amoureux, tout va bien ? Prêt pour une deuxième soirée Gilles ?

- Autant que possible, des surprises surement, la dernière fois c’était une première prise de contact non ? Dis-je

- En effet, on ne peut rien te cacher, ce sera un peu plus hard cette fois. Surtout pour toi bien sûr, Vivianne est habituée elle. Mais vu les marques qu’elle à j’ai l’impression que tu te fais la main . Montre çà petite salope dit Hilse a Vivianne.

Sans hésiter, Vivianne fais tomber sa robe légère, rien dessous comme toujours. Elle tourne sur elle-même lentement pour faire admirer les marques de la cravache que j’ai imprimée dans sa peau.

- Oh ma chérie, il commence a bien prendre le coup, tu a du bien profiter

- Ohh oui il m’a fait jouir des tas de fois c’est mieux a chaque fois dit Vivianne.

- Je suis heureuse pour toi, on va faire de ton homme un vrai maitre, tu vois il comprend bien quand il subit ce qu’il devra faire.

- C’est vrai, je comprends mieux ce que cherche cette beauté perverse.

- Hmmm dit Hilse “Beauté perverse” joli nom de baptême.

Hilse est sanglée dans un corset de cuir blanc ans doute verni tant il réfléchit la lumière. Ce corset laisse libre les gros seins de la maitresse qui sont gonflés et aux tétons tendus. Son sexe est libre. Des cuissardes blanches a hauts talons complète la tenue, et elle descend le masque, le loup blanc verni sur son visage. Nous entrons dans le donjon. Là surprise trois personnes attendent, une femme petite, replète aux seins lourds a la toison rousse fournie, malgré ses hauts talons elle parait petite. La quarantaine rousse cheveux longs, pas vilaine le visage insondable. Une esclave a en juger par les anneaux au bout de ses tétons, son collier de chien et les poids pendants au bout de chaines clipsée sur les petites lèvres de la chatte, diablement étendues de la femme.

- Gilles, Esclave tu bandes déja tu est incapable de résister à çà. Allez mets les bracelets poignets et chevilles ton collier, ta laisse. Toi la petite chienne aussi, sans oublier les pinces aux tétons.

De chaque côté de la femme, deux hommes cagoulés, harnais de cuir, la peau huilée. Bien plus grands et costauds que moi. Leur sexe est emprisonné dans une cage de fer. Une cage comme celle que Hilse tient dans sa main.

- Viens là esclave, tu vas regretter de bander, je vais t’encager. Approche

Je m’approche de Hilse qui s’est assise sur une chaise. Elle referme une bague qi enserre la base de ma queue et passe derrière mes couilles. Des glaçons dans sa main Maitresse me fait débander pour enfiler ma queue dans la cage et verrouiller mon sexe dans ce piège. A peine refermé, elle taquine mes tétons de ses doigts, puis de la langue avant de me les mordiller.

- Je sais que tu adore çà mon chien fou, regarde tu bandes déja.

En effet ma queue gonfle et se heurte au métal, rapidement mon érection contrariée me fait un mal de chien.

- Oh tu dois bien le sentir esclave regarde ta queue déborde par tous les interstices.

En effet je continue a bander, regardant Vivianne, Hilse et la femme je ne peux m’empêcher de bander, de penser que j’aimerais baiser cette femme, aux formes attirantes.

- A quatre pattes chien m’ordonne Maitresse Hilse

J’obéis docilement, et elle donne un petit coup sur la laisse pour me faire avancer. Me voilà dans une position humiliante trainé par cette magnifique maitresse qui marche lentement faisant sonner ses talons sur le sol. Nous approchons de la femme. Toute en rondeur, ses seins légèrement tombants ont de beaux tétons bien gras percés de grands anneaux dorés, Sa toison flamboyante masque des anneaux qui lui percent les grandes lèvres et je vois qu’en fait les poids qui étirent les petites lèvres sont en fait accrochés a des anneaux qui percent ses petites lèvres. Et les trous dans la chair sont distendus a l’extrême.

- Va mon chien renifle moi cette esclave. Ordonne ma maitresse.

Je joue le jeu et vais humer la toison, c’est une odeur que j’aime, elle doit être bien excitée cette rousse, elle sent bon. Maitresse me fait faire le tour de la femme et je vais maintenant renifler son cul. Elle ordonne a la rousse de se pencher en avant et d’écarter ses fesses. Elle me dévoile ainsi la vallée de son cul, le cratère plissé que je renifle. Je bande plus fort, car je vois que cette esclave a sans doute été prise, défoncée, dilatée car son anus en porte les stigmates. Je dois lécher cet anus, qui palpite sous ma langue, puis on me demande de pénétrer ce trou du cul avec ma langue. Je le fais avec plaisir. Être soumis a ce genre de contrainte est plutôt a mon goût. Mais surtout je sens que ce jeu me plait. Ce qu’on “m’oblige” a faire je l’aurais fait naturellement, mais le jeu apporte un piquant supplémentaire. A chaque ordre la maitresse me met une claque sur une fesse pour me motiver. Petit a petit le SM et sa codification se dévoile. Je saisis le but, l’esprit.

La maitresse lève sa cravache et la fait claquer sur les fesses de la rousse qui glousse a chaque coup. Puis elle lui assène 4 coups sur les seins qui marque de traces rouges les mamelles de cette femme. Les coups ont été violents, elle s'est recroquevillée un instant avant de reprendre la position. Ses cris de douleur étaient stridents, le visage de la femme est maintenant inondé de larmes. Cette violence extrême me rappelle que le jeu est très dur parfois. Maintenant la femme tremble de tous ses membres, mais étant si près d’elle je ne peux que remarquer que le long des lèvres distendues suinte une mouille transparente qui glisse sur la chair rose. Violence, cris, plaisir voilà le résumé de ce qui s'est passé. J’aime cette trilogie, je rentrais vraiment dans le jeu. Je savais maintenant que je n’étais plus étranger à tout çà. Jusqu’a ce moment, je jouais avec Vivianne pour lui faire plaisir. Mais là maintenant je savais que les prochaines fois que j’allais la battre ce serais pour mon plaisir autant que le sien. Cet instant a brisé le frein que je mettais inconsciemment à mes coups. Peut-être que ce moment est celui où j’ai perdu la partie. Depuis toutes ces années, sans renier le plaisir que j’ai pris et prend dans la pratique SM je ne me pardonnes pas certaines choses, un certain aveuglement qui présida à la fin tragique de cette histoire d’amour.

Maintenant Maitresse Hilse libère les deux hommes de leur cage. Les deux sont bien membrés, l’un d’eux est doté d’une queue qui passe les 20 cm et est très épaisse. L’autre esclave est a peu près comme moi mais moins épais.

- Vivianne, vient ici, met toi sur ce banc, ouvre toi bien ils vont te prendre mes chiens et ton “amoureux” va les sucer avant.

J’imagine le sourire des deux gars quand ils voient Vivianne s’offrir, le con largement ouvert qu’elle leur offre est déja mouillé. La salope est excitée, je suis partagé entre jalousie de la voir offerte a ces deux mecs, et le désir de la voir prise par ces gars. Je suis a genoux devant le plu balèze. En effet sa queue est bien plus importante que la mienne. Un coup de cravache me cingle les reins.

- Allez chien suce cette belle queue, qu’il puisse baiser ta petite amie.

- Oui maitresse dis-je servile.

Mes mains s’emparent de la queue du mec, il bande mou pour le moment, mais je sens qu’il apprécie le contact de mes doigts. Je serre la base de la queue, décalottant le gland au maximum. Ma langue mouille la tige de la base jusqu’au frein, je mouille le gland et darde ma langue dans le méat. Le mec frissonne et pose ses mains sur ma tête. Ma bouche a du mal à englober la totalité du gland aplati. Je sens les pulsations de la queue, le sang qui afflue dans l’organe et le fait durcir. Je vois Vivianne du coin de l’oeil qui se caresse la chatte se doigte avidement, elle mouille déjà beaucoup si j’en crois le bruit de clapot que font ses doigts allant et venant dans son sexe. Elle gémit et crie quand Maitresse cravache les seins de ma chérie. Elle qui est marqué des coups que je lui ai infligés, va encore être plus abimée, car Hilse frappe fort.

Le mec pousse ma tête vers son pubis, il a de la poigne et lentement il enfonce sa queue dans ma gorge. La maitresse me frappe encore les reins et les fesses. Je m'étouffe sur la queue.

- Allez toi, va enfiler la pute sur le banc.

Le gars relâche la pression sur ma tête et sors sa queue luisante de salive de ma bouche. Il se dirige vers le banc se place entre les cuisses de Vivianne et d’un coup sec enfile la totalité de sa queue dans ma compagne. Je sens un mélange de colère et d’excitation intense. Ma queue se gonfle encore plus dans ma cage. Voir ce corps que j’adore sous l'étreinte d’un autre que moi c’est la première fois que je le vois. Je ne suis pas d’un naturel jaloux quand on pratique l'échangisme il ne vaut mieux pas. Vivianne est vraiment mon amour et là je serais presque tenté de tout envoyer balader, mais je me retiens, en plus l’autre gars viens de choper ma tête et m’enfile sa queue dans la bouche presque de force. Me sentir ainsi forcé, est étrange mais j’aimes çà, être la pute de l’autre me fais bander et ma queue me fait mal à force d’essayer de briser ma cage.

Maitresse Hilse vient de me poser des pinces sur les tétons, ils sont écrasés et la douleur est intense. Mais j’aimes cette sensation qui renforce mon excitation. Je sens ma queue goutter, ma liqueur fait du goutte a goutte.

- Regardez-moi çà s’exclame Maitresse Hilse, comment tu coules mon chien !! Mais tu fais des flaques sur le sol. Nettoie çà lèche ordonne-t-elle avec un coup de cravache.

Je lâche la queue du gars, et me prosterne vers le sol, en effet deux taches humides de ce qui s’égoutte de ma queue est là. Ma langue nettoie ces tâches. Je retrouve le gout de cette liqueur je la connais.

Tandis que le gars baise Vivianne avec force je suis là, à genoux, Maitresse Hilse cravache mon cul mon dos et elle donne des coups de bottes dans la cage qui enserre ma queue. Loin de me faire débander ce traitement intensifies mon excitation.

Le deuxième gars c’est approché de moi sur ordre de la Maitresse, qui me demande de me mettre à quatre pattes, de me cambrer.
Je sens les mains se poser sur mes fesses, puis le gland du gars qui cherche mon anus. C’est rapide et soudain, il me prend d’un coup sec. Je suis tellement excité que j’ai l’impression de jouir au moment de l’introduction. En fait je viens de lâcher une giclée de sperme qui goutte sur le sol depuis ma cage. Il me baise profondément, j’aimes sentir cette queue gonflée qui ramone mon cul. Je donnes des coups de reins me cambre et gémis de plaisir.

- Quelle salope tu fais mon chien, tu aimes te faire baiser dis le moi.. Ordonne Hilse.

- Oh oui maitresse j’aimes me faire défoncer !! Oh c’est bon.

Sur le banc Vivianne, cries et jouis sous les coups de boutoir du mec que j’ai sucé. Elle me regarde sans me voir, les yeux hagards sous le plaisir qui la submerge. Pour ajouter encore a cette folie, Maitresse Hilse cravache les seins de Vivianne. Loin de se protéger c’est elle qui offre sa poitrine au coups.

- Ouiii plus fort!! Encore !!! Plus !! Hurles Vivianne.

La femme rousse se masturbe comme une folle en se manipulant durement les seins. La maitresse lui distribue des coups de cravaches qui marquent sa peau de rouge. Le mec qui me baise se dégage et change de place avec le premier gars qui a son tour vient me prendre. Il est plus brutal et me fais gueuler.

- Oh putain oui baise moi fort criais je, je suis une pute.

- Quelle salope tu fais me cries Maitresse Hilde.. Et tu craches encore!!

En effet quand la queue m’a pénétré j’ai encore lâché un jet de foutre. La maitresse accroupie, attrapes mes couilles et les écrase.

- Tes couilles sont pleines mon chien, tu as envie de cracher

- Oui maitresse, oui..

Pendant ce temps le mec me pistonne furieusement. Et il se crispe, et je sens qu’il gicle dans mon cul.. Avec la main de la maitresse qui me détruit les couilles je ne peux me retenir. Je tremble, l’autre me pistonne toujours glissant dans son foutre qui me remplis le cul. Je ne peux que jouir dans ma cage. Mon sperme ne gicle pas tante je suis serré je coule .. longtemps. Un orgasme au ralenti qui me dévaste totalement. Et la maitresse qui me chope les pinces des tétons et les arrache pour les jeter a terre. J’ai comme un second orgasme et je coule encore sans même débander.

La rousse arrive vers moi elle a un gode ceinture et remplace le mec qui viens de juter dans mon cul. La maitresse ricane près de moi.

- Regarde, elle va bien te défoncer avec ce gros gode, toi le “maitre” de Vivianne, une belle pute surtout et tu aimes ça te faire défoncer. Dis-le-moi encore.

- Oui maitresse j’aimes être enculé comme une pute. Qu’elle vienne me prendre encore j’ai envie !!!

Je suis totalement sincère, j’ai hâte de sentir ce jouet dans mon cul, il est plus gros que les queues des mecs avant, mais je suis grand ouvert, lubrifié. Maitresse Hilse sait que j’en crève d’envie elle oblige la rousse à s’asseoir sur un banc, et je dois venir m’empaler sur le gode. Face à cette femme. Je me laisse glisser contre elle, ses gros seins contre ma poitrine, le gode m’ouvre le cul, c’est gros mais il glisse tout seul. Je suis bientôt empalé à fond. J’ai enlacé la rousse.me presse contre, ses seins. Sa bouche cherche la mienne, elle me roule des pelles baveuses, elle le fait exprés, crachant presque sur ma langue. La salive coule et macule ses seins et ma poitrine. Je m’empale sur ce gode. Ma queue comprimée dans la cage est suintante. J’ai l’impression de couler en permanence et en fait c’est le cas, Je suppose que c’est le fait d’être encagé. Ma queue me fait souffrir, mon gland est plaqué par mon érection contre les barreaux de sa cage, le corps de ma bite ressemble à un rôti ficelé débordant de ce carcan. J’apprécies l’excitation permanente que déclenche cette cage.

Le ventre de la rousse est luisant de tous les sucs que je laisse dans mes mouvements alternatifs haut , bas. Dans les yeux de cette femme je vois une lueur un peu folle. Elle aime la douleur, je malmène ses seins, elle a la tête en arrière, ses yeux parfois se révulsent quand je tourne ses tétons, elle a une plainte rauque et hachée.

- Ouii ouii fort plus fort !!! Encore !! Murmure la rousse entre ses dents.

- Ah elle aime çà cette grosse pute. Détruis ses seins mon chien. Mords ses seins.

J’obéis et mords à pleines dent les seins de cette femme. J’y mets toute la hargne voulue. Mes dents pénétrant presque la chair. Quand je relâche mes mâchoires, l’empreinte profonde de mes dents reste presque sanguinolente dans la chair tendre. Trois fois je mords chaque sein, puis à deux reprises je mords les tétons. Elle hurle de douleur et se débat, ce qui enfile le gode de façon brutale dans mon anus maintenant bien dilaté.

- Bien mon chien, tu la mets dans un bel état. Mais ce n’est que le début. Elle vient me voir pour se faire détruire de temps en temps la salope, ce sera toi qui vas la pousser au bout ce soir. Dit Maitresse Hilse

- Ohhhhh ouiiiiii murmure la femme.

La rousse me regarde dans les yeux, ses yeux sont fous, brulants. Elle semble vouloir me donner toutes les raisons de la punit Elle me crache au visage, donne de furieux coups de reins, loin de me déranger je sens que je suis encore sur le point de cracher. Mais Maitresse fait cesser la sodomie et je me relève dégageant le gode qui me comblait le cul.
Maitresse passe ses doigts sur mon anus ouvert en grand, glisses ses doigts dedans. Je rêve qu’elle y glisse sa main. J’avais déjà tâté du fist et j’adorais déjà à cette époque.

- Donne-moi ta cage que je te libère. Dit Maitresse Hilse

Je suis heureux qu’elle me laisse enfin bander normalement. A peine a t-elle enlevé le dispositif, que ma queue se déplie et se dresse contre mon ventre. Le gland décalotté suinte abondamment et ça coule le long de ma tige. Mes veines sont prêtes a exploser et ma queue est noueuse comme jamais je ne l’avais vue. La cage est un vrai supplice mais l’effet est conséquent. Mes couilles sont serrées contre la base de ma queue. Tout est douloureux. Je n’ai pas débandé depuis le début, comme toujours. Il me faudra plusieurs éjaculations avant d’être serein.

Bien, maintenant tu vas me détruire cette esclave, elle est là pour ça. C’est ce qu'elle vient chercher près de moi. Tu vas la fouetter, la punir comme je vais te le dire. Peu importe les cris, les supplications tu fais ce que je te dis Ordonne Maitresse Hilse.

J’acquiesce et regarde la rousse, elle a toujours ce regard intense. Ses lèvres tremblent légèrement avec un petit sourire provocateur.

Je gifle cette salope qui me défies. Mes doigts laissent leur empreinte sur sa joue. Elle me regarde passant sa langue sur ses lèvres. Cette fois c’est tout son corps qui tremble légèrement. On le voit car elle est un peu dodue, les endroits un peu trop chargés trahissent se tremblement.

Prend le martinet là et fouette tout son corps. Des chevilles au cou. Fais la rougir. Allez cognes.

- Oui Maitresse.

Je me retiens de prendre ma queue en main et de me branler. Hilse se met près de Vivianne agenouillée en train de sucer les deux esclaves mâles. Elle lui cravache le cul.

Je donne le premier coup à la rousse, sur le ventre sous les seins.

- Plus fort esclave me cries Maitresse Hilse

Je donne un second coup, bien plus fort, la rousse marque le coup et pousse des cris de douleur. Ma queue tressaute. Un autre coup sur le bas ventre, la femme cries de plus belle. Ma queue se tend encore plus. Je remonte et frappe les seins de cette salope rousse. Ses seins ballotent se balancent. Malgré mes coups elle semble de plus en plus excitée et sa main entre ses cuisses s’agite.

- Ne la laisse pas se branler comme çà Dit Maitresse Hilse.

Un coup de martinet sur sa main et un ordre bref lui interdisant de se branler remet de l’ordre. Je frappe la chatte de cette nana, elle pousse son pubis en avant. Je chance d’outil et prend une cravache fine. Je donne de grands coups sur la motte de la femme, sa peau se marque, rose puis rouge. Je frappe plus fort et une trace gonflée rouge foncée nait au travers de sa fente. Elle tremble sur ses jambes, mais s’offre à mes coups.

- Frappe là plus fort esclave tu es trop doux.

Hilse me prend la cravache des mains et cingle les seins de la rousse qui tombe à genoux en criant. Elle me rend la cravache me faisant signe de continuer. Je frappe de gauche a droite, de droite a gauche de haut en bas. Visant uniquement les seins de la femme. Au bout de quelques minutes de cris de pleurs les seins de cette rouquine ne sont plus qu'un’ entrelac rougeoyant de marques gonflée, parfois des petites blessures laissent couler des gouttelettes rouges. Je passe ma main sur les mamelles martyrisées, la peau est brulante et le simple contact fait crier la femme. Je glisse ma main entre ses cuisses je ressors mes doigts trempés dégoulinants presque. La salope mouille comme une folle. Son corps tremble de désir sans doute. Elle se retiens pour ne pas se caresser. Sa main parfois se dirige vers son sexe, mais mon regard l’empêche de se toucher.

- Fais là s’allonger, ouvre-lui les cuisses, cravache son sexe ouvert, j’ai dit ouvert. Dit Maitresse

- Oui Maitresse je le fais. Dis-je

La rousse obéit, elle se met sur le dos écarte les cuisses et avec ses doigts écarte les lèvres de son sexe. Il est grand ouvert, palpitant, plein de mouille qui coule doucement vers l’anus de la fille. Son clito est saillant sous le capuchon de chair. Tout le corps agité de tremblement est offert. Les marques sur son corps sont intenses, plus un coin de peau n’a pas de marques. Elle est haletante, la bouche ouverte, les yeux rivés sur moi. Un regard brulant de désir. Elle regarde ma queue gonflée qui suinte. Je sens qu’elle aimerait que je la prenne. Je suis tenté également de la planter et je gicler en elle.
Au lieu de çà je donne un violent coup sur le centre de son sexe, je suis certain d’avoir touché le clito. Un hurlement répond au coup et d’autres hurlements suivent à chaque coup. Je me sens transformé, la puissance qui m’est offerte me grise. Le pouvoir de faire ce que je veux me tourne la tête

Maitresse Hilse s’approche de moi.

- Tu vois petit chiot, c’est comme çà que tu devras traiter Vivianne, c’est ce qu’elle attend de toi. Tu es trop doux avec elle, tu ne satisfais pas ses désirs profonds. Elle t’aime et çà peut durer un moment mais si tu de la traite pas comme ce que tu viens de faire a cette femme... pire même. Tu crois que tu sauras le faire ? Je sens que tu aimes, tu le montre dit-elle en prenant ma queue a pleine main.

Je suis sur le point de jouir et cette main sur mon sexe me mène presque à l’éjaculation. Fermant les yeux je vide mon esprit et réussit a ne pas éjaculer.

- Bien.. Tu as failli jouir non ?

- Oui Madame.

- Hmmm va pour Madame. C’est bien tu te maitrises. Quand tu frappes tu devras te maitriser. C’est dangereux tu sais, tu pourrais blesser sérieusement. Tu vois ce que supporte cette femme ?

- Oui C’est dingue madame. Mais j’aimes la voir souffrir.

Tu ne me croiras peut-être pas, Vivianne supporte 10 fois plus que cette esclave rousse. Elle te demandera bien plus. Elle te demandera des choses que tu devras refuser. Vivianne te fera peur crois moi. C’est pour ça que je voulais passer du temps avec toi et elle. J’aimes beaucoup Vivianne, je ne laisserais personne la mettre en danger, pas même toi pourtant je vois comment tu es amoureux d’elle. Si ce n’était pas le cas tu n’aurais jamais accepté d’être là avec moi. Elle est amoureuse sincèrement, mais il lui faudra ce qu’elle recherche. Un homme qui saura la traiter comme une esclave quand il le faudra. Un homme qui osera lui faire subir les pires choses.

- J’espère pouvoir la satisfaire, ce que je fais avec vous ici me fais découvrir que c’est dans ma nature.

- Oui j’ai vu que tu commences à prendre beaucoup de plaisir à tout ça. La prochaine soirée, ce sera Vivianne et toi sous ma surveillance. Et tu vas la prendre en main toute la nuit. Maintenant on va terminer cette esclave rousse. Tu vas lui faire rendre grâce. Tu va la travailler jusqu’a ce qu’elle te donne le mot. C’est Rouge tu le sais.

- Oui maitresse.

- Et tu peux aussi profiter d’elle de toutes les façons. Tu en a besoin. Je crois DIt Hilse.

Maitresse Hilse était une amie, c’était certain pour moi, elle me faisait toucher du doigt les choses liées au SM. J’étais novice, j’avais découvert mon goût pour cela ces derniers mois. Vivianne avait été honnête en me disant que pour elle c’était primordial. Elle était heureuse de mon adhésion à ses plaisirs étranges. Moi qui adore les femmes, me retrouver à les battre pour leur plaisir est un sentiment étrange, je ne cache pas qu’une fois ma tendance sadique découverte, j’ai eu de mauvaises nuits a me demander si j’étais normal, ou un monstre capable d’horreurs. Je sais maintenant que je peux être un horrible sadique, violent, intransigeant. Mais seulement si ma partenaire ou mon partenaire souscris et réclame ces choses. Je jure sur ce qui m’est le plus cher que je n’ai jamais frappé une femme qui ne le désirais pas. J’ai amené certaines femmes a pratiquer le SM mais en leur exposant les choses et elles ont cédé à la curiosité. En général sauf deux elles ont apprécié et continué. Je voulais le préciser. Je déteste qu’on puisse penser que je déteste les femmes ou que je ne les respecte pas.



Maitresse Hilse m’avais laissé carte-blanche pour faire craquer cette rouquine. Pourquoi je ne donne pas son prénom ? Je ne l’ai jamais connu. Simplement. J’ai su que c’était une femme mariée, occupant un poste important. Une Française. Qui venait auprès de cette Maitresse professionnelle assouvir ses instincts masochistes.

Toujours sur le dos, écartelée Je cravachais encore le sexe de cette femme offerte. Elle criait de douleur et de plaisir car mes coups déclenchaient des orgasmes. A force de coups son sexe gonflait, les lèvres et petites lèvres tuméfiées gorgées de sang avait au moins triplé de volume. Attira comme un aimant par ce sexe ravagé. Je glissais mon sexe gonflé dans ce sexe ruisselant tout gonflé. Les plaintes qu’elle émettait quand je la pénétrais siffle encore à mes oreilles. Son con était brulant, mais soyeux tellement elle mouillait. Son clitoris était violet gonflé par les coups. Mon pouce dessus tire un hurlement de bête a la rouquine qui agrippe mes avants bras.

- Baise moi maître, défonces moi s’il te plait.

- Ouvre ta bouche salope dis-je.

Elle ouvre la bouche et je crache ma salive sur sa langue. Elle rejette la tête en arrière un masque d’extase sur son visage en sueur. Je plante ma queue au fond de son vagin. Elle est tremblante, secouée de spasme. Je la pilonne assez peu de temps avant de cracher mon sperme sur son corps offert. Son sexe son ventre, jusqu’a ses seins sont maculés d’un sperme épais et abondant. Elle l’étale elle-même sur son corps. Je reviens en elle mais cette fois dans son anus. Je bande toujours aussi dur et j’ai vite a nouvelle envie de jouir. Ma main gauche crispé sur le cou de la femme et ma droite giflant son visage et ses seins. Je sens la rousse jouir a nouveau et squirter sur mon bas ventre. Je n’oublierais jamais ce regard de bête aux abois. Essayant de reprendre son souffle alors que mes mains se sont fermées en poing et que j’utilise ses gros seins comme punching-ball. Je frappe je frappe tout en baisant son cul. Je décharge longuement et je la sens jouir a nouveau.se débattre contre mon étreinte. Échevelée, les yeux fous, elle tente de respirer, la bave au coin des lèvres, elle fait des bulles. Je relâche mon étreinte elle reprend son souffle et me dit

- Fouette-moi encore encore !!! Démolis moi!!!

- Salope !!! Tiens prend çà.

Je frappe son ventre avec mon poing. Elle souffle, cries. Se cramponne à moi. Hilse vient vers moi et me met dans les mains un martinet au manche de métal comme un tube. Au lieu de lanières il y a sept petites chainettes faites de boules imbriquées. Souvent on attache les stylos avec çà. Longues d’une quarantaine de centimétres je pense que ça va faire mal.

- Debout chienne, jambes écartées mains sur la nuque.

- Oui Maitre dit elle.

Je ne connais pas ce fouet, je commence par ses fesses. Un coup sans y mettre trop de force. Les chainettes cinglent la fesse droite et laissent des traces rouges très marquées. La fille se cabre et cries. L’autre fesse un peu plus fort. Les mini billes marquent leur empreinte dans la peau. La rouquine a du mal a rester en place. Je frappe son dos. Rapidement c’est une nuée de marques rouges qui se recoupent, tandis que les cris de la femme sont plus forts. Je tourne autour d’elle. Je la regarde elle tremble comme une feuille. La sueur baigne son corps. Je m’approche et glisse mes doigts sans sa bouche. J’enfonce presque ma main entière, elle bave sur ses seins. Son regard fiévreux me fait bander Cette expression d’animal apeuré dans un abattoir est prenant. Elle ne me quitte pas des yeux. Je léve le bras elle regarde mon geste. J’abat le fouet sur son sein gauche. C’est fort, elle rejette la tête en arrière et hurle. Le sein droit. Même réaction. Son tremblement est de pire en pire. Sein gauche plus fort. Elle plie les genoux se recroqueville avant de se remettre en position. Elle peine a respirer. Sein droit. Elle semble tétanisée. Le mouvement de son bas ventre indique qu’elle est en train de jouir. Elle pisse en même temps. Lâchant toute sa vessie. J’ai commencé le geste pour frapper le sexe de la rousse. Hilse me fait signe que non. Et désigne les seins. Je frappe les seins de la femme. Encore six ou sept fois.. Son dernier cri est si intense et les contractions de son corps si expressives. Que j’éjacules violemment sur elle. Maitresse Hilse c’est approché. Et me prends la queue elle me branle furieusement.

- Continue a frapper ses seins elle adore. Me dit Maitresse Hilse.

Je fais ce qu’elle demande pendant qu’agenouillée près de moi elle branle mon sexe avec beaucoup de savoir-faire.

Le fouet continue a ravager la poitrine de la rousse qui cries de plus belle et jouis plusieurs fois de suite avant de tomber à genoux en hurlant.

- ROUGE!!!! ROUGE!!!

Tout se fige, les deux esclaves viennent relever la rouquine qui tiens a peine debout. Il l’emméne se reposer.

D’un geste, maitresse Hilse appelle Vivianne qui se précipite près de nous. Je vois qu’elle porte des marques de cravache sur tout le corps, ses tétons sont gonflés, son sexe aussi me parait tuméfié. Hilse c’est déchainé sur elle. Vivianne est à genoux face à moi ses yeux vont de mon visage à mon sexe que la maitresse manipule avec force. Les yeux gris pâle de mon amour sont plein de désir. Sa respiration est courte.

- Approche petite pute, il va te gicler dans la bouche. Viens boire ton futur maitre. Tu a vu comment il a traité cette femme ? Tu seras la prochaine et tu crieras grâce.

- Ohhhhh ohhhhh Maitresse !!! Commençais-je.

- Vas-y mon chien gicle sur la gueule de ta petite pute.

J’explose tout tremblant, flageolant sur mes jambes je lâche mon jus dans la bouche de Vivianne, qui vient happer mon gland et me laisse me vider dans sa gorge. En même temps je sens Hilse jouir car elle se caressait en me branlant. Elle se tient à ma jambe.

Se relevant la maitresse délaisse son rôle. Embrasse a pleine bouche Vivianne maculée de mon sperme et elle vient me rouler une pelle assaisonnée avec mon propre sperme qu’elle a volé à Vivianne.

- J’espère qu’après on se verra encore, j’aimerais bien ne pas vous perdre de vue, j’aimes jouer avec toi, tu es tout neuf et quelle endurance. Tu jouis coup sur coup sans presque débander. Elle se régale avec toi vous êtes bien tous les deux.

Vivianne est accrochée a moi, me caressant la poitrine se serrant contre moi. Hilse caresse son visage et dit.

- Tu vois je commence a penser que ton choix est excellent. Il est novice mais il apprend vite et je comprends pourquoi tu l’aime il est insatiable.

- Oui j’ai vu comment il l’a poussée a bout. J’avais envie d’être a sa place tu sais dit Vivianne en se serrant contre moi.

- Oh mais c’est prévu la prochaine soirée ce sera vous deux et moi pour vous guider. Et ma chérie, tu demanderas grâce toi aussi.

A ce moment la rousse, toujours nue s’approche de nous, son corps est rouge vif, des marques presque sanglantes sur ses seins. Démarche plus que sensuelle. Elle s’approche de moi et m’embrasse à pleine bouche. Le baiser fini elle passe le dos de sa main sur mon visage.

- C’était génial, tu m’as détruite comme j’aime. J’ai vraiment joui comme une folle. J’espère te revoir ici.

(a suivre)

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Texte coquin : Vivianne mon Graal Chap V Soirée II
Histoire sexe : Une rose rouge
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