VOLUPTÉ EN PUBLIC - Dévergondages 04
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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VOLUPTÉ EN PUBLIC - Dévergondages 04
VOLUPTÉ EN PUBLIC - Dévergondages 04
Lors d’un récent voyage, un Français nommé Michel B., est venu en voyage d’affaires dans le pays où je réside. Demeurant dans la région bordelaise, il m’a confié les fantasmes qu’il a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il l’a connu avec une maîtresse durant une dizaine d’années. Pour cela, il m’a demandé d’imaginer des récits pouvant l’amener à se pervertir.
« Qu’est-ce qu’une femme honnête ? Celle qui donne ce que les autres vendent ».
(Comtesse Diane)
Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Depuis six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête à tête chez Edmond, Odile s’est laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime d’un chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond pour éviter le déshonneur. Celui-ci commence à la circonvenir alors que malgré elle, le plaisir que lui procure le sexagénaire attise ses sens exacerbés.
Odile se détend sur le lit où elle vient d’éprouver plusieurs orgasmes qui ont eu raison de sa pudeur naturelle. Elle a laissé son corps profiter des doigts qui l’ont si bien massé, puis caresser pour enfin la masturber avec une fougue et une diabolique adresse. Elle s’est entendue feuler et gémir de plaisir, crier et hurler sa joie lorsque, n’étant plus maitre de ses sens, elle s’est laissée aller dans une savoureuse plénitude d’une sexualité révélée. Jamais, au grand jamais elle n’a éprouvé une telle jouissance avec son mari. Cette pensée la rappelle soudain à la réalité. Elle éprouve un remords inquiétant à tromper ainsi son époux dans ce dérèglement de sa chair qu’elle a laissé s’exprimer béatement.
Ce sont des lèvres se posant sur les siennes qui la ramènent à la réalité. Sous la surprise, elle ouvre la bouche, alors qu’une langue s’introduit recherchant la sienne. Les mains d’Edmond pendant ce temps malaxent ses seins. Elle voudrait le repousser, lui dire que c’est inconvenant de se conduire ainsi avec une femme mariée, elle voudrait… Elle ne peut que répondre hardiment au baiser qui la fait encore chavirer. Tâtant maladroitement le corps nu de l’homme qui l’embrasse fougueusement, ses mains parcourent sa nuque, ses épaules, ses bras, son torse, sa taille ; elle n’ose aller plus bas. Edmond lui prenant ses mains dans les siennes, les attirent vers son pubis et son sexe dressé depuis presque une heure. Elle a un geste de recul comme si elle touchait un fer rouge, l’homme insiste, lui mettant le bâton de chair au creux d’une de ses paumes. Elle n’hésite pas longtemps, faisant le tour de la hampe de ses longs doigts fins, Edmond lui souffle dans l’oreille.
Branlez-moi Odile, vos mains délicates autour de mon vit me font encore plus bander pour vous. Allons tirez sur le prépuce et dégagez mon gland.
Odile fait le mieux qu’elle le peut, alors qu’Edmond triture ses mamelons, pinçant par intermittence ses tétons, devenus douloureux, tellement ils sont raidis par l’excitation présente en permanence à présent. Mais Edmond la redresse et l’assoit sur le lit. Il présente soudain sa verge contre la bouche d’Odile qui garde ses lèvres serrées. Mais Edmond se montre plus que persuasif.
Eh ! Bien ma chère, ne me dites pas que vous ne faites pas une petite gâterie à votre mari ? J’ai gouté avec délices à votre chatte bien ouverte, raclant de ma langue votre cyprine odorante. À vous à présent de pomper mon dard. N’oubliez pas qu’il va me falloir payer vos photos d’un prix exorbitant.
Odile, est remplie de honte d’avoir à absorber l’organe du vieux notaire, mais aussi et surtout, qu’on lui signifie la dette pour laquelle elle doit se prostituer ; elle entrouvre ses lèvres et laisse Edmond forcer sa bouche avec son pénis, qu’il enfonce sans précaution jusqu’à la glotte de la femme mature. Celle-ci a un hoquet, manquant vomir, mais la verge se retire et s’enfonce alternativement, alors qu’Odile, reprenant ses esprits, prenant l’engin dans sa main, la maintient à bonne distance du fond de sa gorge et suce et lèche la hampe rigide comme elle le fait à son époux ; depuis peu d’ailleurs, car celui-ci, ayant tellement insisté depuis des années et las de ses nombreux refus, l’a averti qu’il irait voir ailleurs si elle ne cédait pas.
Aussi, Odile s’applique à contenter son sauveur, agaçant le trou du méat, léchant la hampe le mieux qu’elle le peut, suçant le gland, exagérément gonflé, en le mordant légèrement, occasionnant des gémissements à Edmond qui tient fermement la tête féminine en recommençant à baiser la bouche comme si c’était un vagin qu’il pénétrait. Odile répond le mieux qu’elle le peut aux coups de boutoir dans sa gorge, lorsque sans qu’elle ne puisse se retirer, le foutre explose dans sa bouche, à gros jets, jusqu’à la glotte ; pour ne pas étouffer, elle déglutit et en avale une bonne quantité, mais le jus poisseux continue à jaillir du gland appuyé contre son palais, Edmond maintenant à deux mains la pauvre Odile, elle n’a d’autre choix que d’absorber le liquide séminal qui s’écoule encore de la verge d’Edmond.
Odile, le moment de répulsion passé, car c’est la première fois qu’elle avale du sperme, n’ayant jamais accepté que son mari le fasse, malgré ses supplications, ne trouve pas que c’est aussi horrible qu’elle le pensait. Ce jus, qu’elle pensait dégouttant, a seulement un goût de noisette légèrement salé. Elle regrette à présent d’avoir refusé ce petit plaisir à Michel, son mari ; elle se promet d’accepter s’il lui demande à nouveau. Edmond vient de prendre sa bouche avec ses lèvres, et faisant fi de son propre sperme, il nettoie avec sa langue, les muqueuses de la belle Odile, qui se presse contre l’homme qui domine sa volonté, mais qui lui procure aussi un plaisir inconnu jusqu’ici. Elle est reconnaissante à cet homme de lui venir en aide, elle se surprend même, à avoir des sentiments pour lui.
Edmond, avec beaucoup d’attention, enlève le bandeau qui aveuglait Odile. Celle-ci cligne des yeux et rougit en voyant l’homme nu, au sexe encore en érection ; elle ne peut s’empêcher de flatter de la main la verge qu’elle a absorbée entre ses lèvres. Edmond, toujours contre elle, laisse aussi sa main s’égarer entre les cuisses, et il caresse le pubis qui tremble aussitôt sous l’attouchement précis. Les deux amants se masturbent délicatement, continuant à s’embrasser tendrement. Odile n’a plus d’appréhension à leurs nudités, elle prend même un plaisir certain à sentir la verge qui grossit à nouveau entre ses doigts.
Pourtant, Edmond veut disposer de beaucoup de temps encore, pour déniaiser et posséder le corps appétissant de cette mature qui est loin de faire son âge. Elle a le corps et le visage d’une femme de trente-cinq ans, alors qu’elle approche de la cinquantaine. Il la prend dans ses bras tout en l’embrassant avec une grande tendresse et lui dit calmement.
Ma chérie, nous allons, si le voulez bien, allez nous rafraichir un peu. Je vais vous faire couler un bain et vous allez vous détendre. Ensuite, nous allons faire quelques achats, puis nous dinerons dans un restaurant du centre médiéval qui a une excellente cuisine.
Odile est décontenancée, elle s’attendait, après les assauts tumultueux dont elle a été l’objet, à ce que l’homme, qui la courtise depuis six mois, et qui a barre sur elle, avec la somme énorme qu’il va devoir payer pour lui éviter le déshonneur, elle s’attendait pense-t-elle, à ce qu’il fasse l’assaut de son corps et qu’il la prenne sans retard. Il n’a aucun problème d’érection, au contraire, elle s’en est bien rendue compte. Il a décidemment beaucoup de délicatesses, appréciant la maitrise de cet homme qui ne l’a pas sauté comme un soudard.
Edmond prépare un bain chaud pour Odile, mélangeant les sels et les gels parfumés pour qu’elle se détende parfaitement. Elle s’enfonce dans l’eau bouillonnante avec délice, embrassant avec reconnaissance celui qui l’a rendu vraiment femme. Celui-ci, caresse son dos, ses épaules, sa poitrine, son ventre, ses cuisses et ses jambes avec une grosse éponge naturelle trempée dans la mousse onctueuse. Elle se laisse dorloter, n’ayant aucune pudeur à se savoir ainsi manipulée par l’homme qui l’a fait jouir au-delà de ce qu’elle n’a jamais imaginé. Elle, pour qui le sexe était une chose inexistante il y a encore peu de temps.
En sortant de la salle bains, elle se rend compte que le temps a passé très vite et qu’il est presque dix-huit heures. Elle appelle, depuis son portable, sa fille à Londres. Lorsque Muriel lui répond, Odile, après avoir pris de ses nouvelles, lui indique qu’elle va, après sa séance de fitness, assister à une réunion de l’association caritative dont elle s’occupe et qu’elle rentrera assez tard, donc inutile qu’elle la contacte avant demain. Elle téléphone également à son mari qui se trouve en Hollande, lui tenant le même langage. Elle se doute que son compagnon ne va pas lui rendre la liberté avant le lendemain matin, soupçonnant qu’il va encore profiter de son corps et certainement vouloir pénétrer son minou avec son énorme engin.
Odile et Edmond déambulent dans les rues pavées à l’ancienne de la commune de Saint-Macaire. Ils visitent l’église Saint-Sauveur, qui a la particularité d’avoir à la fois, une nef romane et un recouvrement de forme gothique, puis ils visitent le musée de la poste installé dans le Relais de poste Henri IV, situé place du Mercadiou, où se trouve le marché, et un grand nombre de maisons anciennes datant du XIIIe au XVIIe siècles. Dans une de celle-ci, sous les arcades médiévales, une succursale d’un magasin de mode parisien très connu, offre de très jolies robes dans ses vitrines. Sans hésiter Edmond en pousse la porte et fait entrer sa compagne.
Après avoir fait le tour des collections, Edmond propose, pour la soirée prévue au restaurant, d’essayer une jupe longue de bohémienne, à godets, aux dessins de fleurs champêtres, et une blouse paysanne aux plis froncés, avec un décolleté bateau. Il choisit également des sandales blanches aux talons de sept centimètres. Odile subjugué par l’assurance de son compagnon ne dit rien. Puis, il demande à voir les tailleurs d’été. La vendeuse lui présente différents modèles ; il s’arrête devant un très joli tailleur en lin crû, à la jupe droite et aux doubles coutures surpiquées qu’il fait essayer à Odile. Puis il demande à celle-ci de choisir deux parures, soutien et shorty, pour aller avec. Toute rougissante, celle-ci se décide sur les dessous, puis elle va essayer le tout dans une cabine, accompagné de son pygmalion. Celui-ci, reste sagement au dehors de la cabine, se contentant de donner son avis, lorsqu’Odile sort pour lui montrer le tailleur, puis l’ensemble de la jupe et de la blouse. Il lui demande de garder ce dernier, et donne les vêtements retenus à la vendeuse, ainsi que l’ensemble pantalon, le corsage et les trotteurs, qu’Odile ne mettra pas ce soir. La vendeuse partie, Edmond entre dans la cabine et prenant Odile dans ses bras il l’embrasse légèrement sur les lèvres tout en lui disant.
Ma chère, dorénavant, lorsque nous serons ensemble, je vous veux sans vos dessous. Veuillez retirez votre soutien-gorge s’il vous plait.
Mais… Mais… Mais pourq…
Allons tournez-vous, je vais vous le dégrafer moi-même.
Odile sent les mains d’Edmond qui se glissent sous sa blouse, dégrafant prestement le soutien-gorge qu’il enfouit dans sa poche de veste ; puis retroussant la jupe, il agrippe la culotte qu’il fait rouler sous les fesses pleines de la femme tétanisée, et la fait rouler sur les cuisses et les jambes tremblantes d’Odile, qui, machinalement lève ses pieds l’un après l’autre, pour faciliter la manipulation de son suborneur. Edmond s’en va à la caisse pour payer la facture, et il entraine Odile vers la sortie. Celle-ci, est cramoisie en sortant du magasin, n’osant regarder personne, persuadée que tout le monde est au courant qu’elle se promène les seins et les fesses nus.
Edmond la prend par la taille, puis, levant sa main, il flatte le sein à sa portée, affolant encore plus la pauvre femme. Il est vrai que le tissu fin, plaqué contre sa poitrine, met en valeur la gorge orgueilleuse ; les tétons frottant contre le voile, sont érigés en outre comme s’ils voulaient le transpercer.
L’obscurité étant tombée, et les rues étant très peu éclairées, Edmond passe sa main sur le fessier proéminent d’Odile. Celle-ci n’ose se dérober, alors que l’homme caresse les globes charnus, pressant sa paume contre la chair, puis contournant la croupe, il adosse Odile dans une encoignure de porte ancienne et il plonge ses doigts entre les cuisses, atteignant directement la moule de sa proie. Il masturbe à présent à travers le tissu de la jupe, la vulve d’Odile, trouvant l’étoffe bien humide. Celle-ci défaille, la honte de se savoir exposée en plein centre ville, même si peu de personnes circulent, les doigts qui fouillent son entrejambe au travers de sa jupe, ainsi que la main qui triture la pointe du sein affolent sa libido. En sus, Edmond retirant sa main de dessus la jupe, la retrousse, et atteint sans tarder son vagin, glissant prestement ses doigts à l’intérieur et crochetant la chair. Elle ne peut retenir un long gémissement du plaisir qu’elle ressent, et répond avec fougue au baiser d’Edmond qui vient de prendre sa bouche. Elle vibre sous l’assaut des doigts qui tripotent et se meuvent dans sa chair intime, ne voulant plus penser à son humiliation si on la découvre en train de jouir en public…
À suivre…
Lors d’un récent voyage, un Français nommé Michel B., est venu en voyage d’affaires dans le pays où je réside. Demeurant dans la région bordelaise, il m’a confié les fantasmes qu’il a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il l’a connu avec une maîtresse durant une dizaine d’années. Pour cela, il m’a demandé d’imaginer des récits pouvant l’amener à se pervertir.
« Qu’est-ce qu’une femme honnête ? Celle qui donne ce que les autres vendent ».
(Comtesse Diane)
Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Depuis six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête à tête chez Edmond, Odile s’est laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime d’un chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond pour éviter le déshonneur. Celui-ci commence à la circonvenir alors que malgré elle, le plaisir que lui procure le sexagénaire attise ses sens exacerbés.
Odile se détend sur le lit où elle vient d’éprouver plusieurs orgasmes qui ont eu raison de sa pudeur naturelle. Elle a laissé son corps profiter des doigts qui l’ont si bien massé, puis caresser pour enfin la masturber avec une fougue et une diabolique adresse. Elle s’est entendue feuler et gémir de plaisir, crier et hurler sa joie lorsque, n’étant plus maitre de ses sens, elle s’est laissée aller dans une savoureuse plénitude d’une sexualité révélée. Jamais, au grand jamais elle n’a éprouvé une telle jouissance avec son mari. Cette pensée la rappelle soudain à la réalité. Elle éprouve un remords inquiétant à tromper ainsi son époux dans ce dérèglement de sa chair qu’elle a laissé s’exprimer béatement.
Ce sont des lèvres se posant sur les siennes qui la ramènent à la réalité. Sous la surprise, elle ouvre la bouche, alors qu’une langue s’introduit recherchant la sienne. Les mains d’Edmond pendant ce temps malaxent ses seins. Elle voudrait le repousser, lui dire que c’est inconvenant de se conduire ainsi avec une femme mariée, elle voudrait… Elle ne peut que répondre hardiment au baiser qui la fait encore chavirer. Tâtant maladroitement le corps nu de l’homme qui l’embrasse fougueusement, ses mains parcourent sa nuque, ses épaules, ses bras, son torse, sa taille ; elle n’ose aller plus bas. Edmond lui prenant ses mains dans les siennes, les attirent vers son pubis et son sexe dressé depuis presque une heure. Elle a un geste de recul comme si elle touchait un fer rouge, l’homme insiste, lui mettant le bâton de chair au creux d’une de ses paumes. Elle n’hésite pas longtemps, faisant le tour de la hampe de ses longs doigts fins, Edmond lui souffle dans l’oreille.
Branlez-moi Odile, vos mains délicates autour de mon vit me font encore plus bander pour vous. Allons tirez sur le prépuce et dégagez mon gland.
Odile fait le mieux qu’elle le peut, alors qu’Edmond triture ses mamelons, pinçant par intermittence ses tétons, devenus douloureux, tellement ils sont raidis par l’excitation présente en permanence à présent. Mais Edmond la redresse et l’assoit sur le lit. Il présente soudain sa verge contre la bouche d’Odile qui garde ses lèvres serrées. Mais Edmond se montre plus que persuasif.
Eh ! Bien ma chère, ne me dites pas que vous ne faites pas une petite gâterie à votre mari ? J’ai gouté avec délices à votre chatte bien ouverte, raclant de ma langue votre cyprine odorante. À vous à présent de pomper mon dard. N’oubliez pas qu’il va me falloir payer vos photos d’un prix exorbitant.
Odile, est remplie de honte d’avoir à absorber l’organe du vieux notaire, mais aussi et surtout, qu’on lui signifie la dette pour laquelle elle doit se prostituer ; elle entrouvre ses lèvres et laisse Edmond forcer sa bouche avec son pénis, qu’il enfonce sans précaution jusqu’à la glotte de la femme mature. Celle-ci a un hoquet, manquant vomir, mais la verge se retire et s’enfonce alternativement, alors qu’Odile, reprenant ses esprits, prenant l’engin dans sa main, la maintient à bonne distance du fond de sa gorge et suce et lèche la hampe rigide comme elle le fait à son époux ; depuis peu d’ailleurs, car celui-ci, ayant tellement insisté depuis des années et las de ses nombreux refus, l’a averti qu’il irait voir ailleurs si elle ne cédait pas.
Aussi, Odile s’applique à contenter son sauveur, agaçant le trou du méat, léchant la hampe le mieux qu’elle le peut, suçant le gland, exagérément gonflé, en le mordant légèrement, occasionnant des gémissements à Edmond qui tient fermement la tête féminine en recommençant à baiser la bouche comme si c’était un vagin qu’il pénétrait. Odile répond le mieux qu’elle le peut aux coups de boutoir dans sa gorge, lorsque sans qu’elle ne puisse se retirer, le foutre explose dans sa bouche, à gros jets, jusqu’à la glotte ; pour ne pas étouffer, elle déglutit et en avale une bonne quantité, mais le jus poisseux continue à jaillir du gland appuyé contre son palais, Edmond maintenant à deux mains la pauvre Odile, elle n’a d’autre choix que d’absorber le liquide séminal qui s’écoule encore de la verge d’Edmond.
Odile, le moment de répulsion passé, car c’est la première fois qu’elle avale du sperme, n’ayant jamais accepté que son mari le fasse, malgré ses supplications, ne trouve pas que c’est aussi horrible qu’elle le pensait. Ce jus, qu’elle pensait dégouttant, a seulement un goût de noisette légèrement salé. Elle regrette à présent d’avoir refusé ce petit plaisir à Michel, son mari ; elle se promet d’accepter s’il lui demande à nouveau. Edmond vient de prendre sa bouche avec ses lèvres, et faisant fi de son propre sperme, il nettoie avec sa langue, les muqueuses de la belle Odile, qui se presse contre l’homme qui domine sa volonté, mais qui lui procure aussi un plaisir inconnu jusqu’ici. Elle est reconnaissante à cet homme de lui venir en aide, elle se surprend même, à avoir des sentiments pour lui.
Edmond, avec beaucoup d’attention, enlève le bandeau qui aveuglait Odile. Celle-ci cligne des yeux et rougit en voyant l’homme nu, au sexe encore en érection ; elle ne peut s’empêcher de flatter de la main la verge qu’elle a absorbée entre ses lèvres. Edmond, toujours contre elle, laisse aussi sa main s’égarer entre les cuisses, et il caresse le pubis qui tremble aussitôt sous l’attouchement précis. Les deux amants se masturbent délicatement, continuant à s’embrasser tendrement. Odile n’a plus d’appréhension à leurs nudités, elle prend même un plaisir certain à sentir la verge qui grossit à nouveau entre ses doigts.
Pourtant, Edmond veut disposer de beaucoup de temps encore, pour déniaiser et posséder le corps appétissant de cette mature qui est loin de faire son âge. Elle a le corps et le visage d’une femme de trente-cinq ans, alors qu’elle approche de la cinquantaine. Il la prend dans ses bras tout en l’embrassant avec une grande tendresse et lui dit calmement.
Ma chérie, nous allons, si le voulez bien, allez nous rafraichir un peu. Je vais vous faire couler un bain et vous allez vous détendre. Ensuite, nous allons faire quelques achats, puis nous dinerons dans un restaurant du centre médiéval qui a une excellente cuisine.
Odile est décontenancée, elle s’attendait, après les assauts tumultueux dont elle a été l’objet, à ce que l’homme, qui la courtise depuis six mois, et qui a barre sur elle, avec la somme énorme qu’il va devoir payer pour lui éviter le déshonneur, elle s’attendait pense-t-elle, à ce qu’il fasse l’assaut de son corps et qu’il la prenne sans retard. Il n’a aucun problème d’érection, au contraire, elle s’en est bien rendue compte. Il a décidemment beaucoup de délicatesses, appréciant la maitrise de cet homme qui ne l’a pas sauté comme un soudard.
Edmond prépare un bain chaud pour Odile, mélangeant les sels et les gels parfumés pour qu’elle se détende parfaitement. Elle s’enfonce dans l’eau bouillonnante avec délice, embrassant avec reconnaissance celui qui l’a rendu vraiment femme. Celui-ci, caresse son dos, ses épaules, sa poitrine, son ventre, ses cuisses et ses jambes avec une grosse éponge naturelle trempée dans la mousse onctueuse. Elle se laisse dorloter, n’ayant aucune pudeur à se savoir ainsi manipulée par l’homme qui l’a fait jouir au-delà de ce qu’elle n’a jamais imaginé. Elle, pour qui le sexe était une chose inexistante il y a encore peu de temps.
En sortant de la salle bains, elle se rend compte que le temps a passé très vite et qu’il est presque dix-huit heures. Elle appelle, depuis son portable, sa fille à Londres. Lorsque Muriel lui répond, Odile, après avoir pris de ses nouvelles, lui indique qu’elle va, après sa séance de fitness, assister à une réunion de l’association caritative dont elle s’occupe et qu’elle rentrera assez tard, donc inutile qu’elle la contacte avant demain. Elle téléphone également à son mari qui se trouve en Hollande, lui tenant le même langage. Elle se doute que son compagnon ne va pas lui rendre la liberté avant le lendemain matin, soupçonnant qu’il va encore profiter de son corps et certainement vouloir pénétrer son minou avec son énorme engin.
Odile et Edmond déambulent dans les rues pavées à l’ancienne de la commune de Saint-Macaire. Ils visitent l’église Saint-Sauveur, qui a la particularité d’avoir à la fois, une nef romane et un recouvrement de forme gothique, puis ils visitent le musée de la poste installé dans le Relais de poste Henri IV, situé place du Mercadiou, où se trouve le marché, et un grand nombre de maisons anciennes datant du XIIIe au XVIIe siècles. Dans une de celle-ci, sous les arcades médiévales, une succursale d’un magasin de mode parisien très connu, offre de très jolies robes dans ses vitrines. Sans hésiter Edmond en pousse la porte et fait entrer sa compagne.
Après avoir fait le tour des collections, Edmond propose, pour la soirée prévue au restaurant, d’essayer une jupe longue de bohémienne, à godets, aux dessins de fleurs champêtres, et une blouse paysanne aux plis froncés, avec un décolleté bateau. Il choisit également des sandales blanches aux talons de sept centimètres. Odile subjugué par l’assurance de son compagnon ne dit rien. Puis, il demande à voir les tailleurs d’été. La vendeuse lui présente différents modèles ; il s’arrête devant un très joli tailleur en lin crû, à la jupe droite et aux doubles coutures surpiquées qu’il fait essayer à Odile. Puis il demande à celle-ci de choisir deux parures, soutien et shorty, pour aller avec. Toute rougissante, celle-ci se décide sur les dessous, puis elle va essayer le tout dans une cabine, accompagné de son pygmalion. Celui-ci, reste sagement au dehors de la cabine, se contentant de donner son avis, lorsqu’Odile sort pour lui montrer le tailleur, puis l’ensemble de la jupe et de la blouse. Il lui demande de garder ce dernier, et donne les vêtements retenus à la vendeuse, ainsi que l’ensemble pantalon, le corsage et les trotteurs, qu’Odile ne mettra pas ce soir. La vendeuse partie, Edmond entre dans la cabine et prenant Odile dans ses bras il l’embrasse légèrement sur les lèvres tout en lui disant.
Ma chère, dorénavant, lorsque nous serons ensemble, je vous veux sans vos dessous. Veuillez retirez votre soutien-gorge s’il vous plait.
Mais… Mais… Mais pourq…
Allons tournez-vous, je vais vous le dégrafer moi-même.
Odile sent les mains d’Edmond qui se glissent sous sa blouse, dégrafant prestement le soutien-gorge qu’il enfouit dans sa poche de veste ; puis retroussant la jupe, il agrippe la culotte qu’il fait rouler sous les fesses pleines de la femme tétanisée, et la fait rouler sur les cuisses et les jambes tremblantes d’Odile, qui, machinalement lève ses pieds l’un après l’autre, pour faciliter la manipulation de son suborneur. Edmond s’en va à la caisse pour payer la facture, et il entraine Odile vers la sortie. Celle-ci, est cramoisie en sortant du magasin, n’osant regarder personne, persuadée que tout le monde est au courant qu’elle se promène les seins et les fesses nus.
Edmond la prend par la taille, puis, levant sa main, il flatte le sein à sa portée, affolant encore plus la pauvre femme. Il est vrai que le tissu fin, plaqué contre sa poitrine, met en valeur la gorge orgueilleuse ; les tétons frottant contre le voile, sont érigés en outre comme s’ils voulaient le transpercer.
L’obscurité étant tombée, et les rues étant très peu éclairées, Edmond passe sa main sur le fessier proéminent d’Odile. Celle-ci n’ose se dérober, alors que l’homme caresse les globes charnus, pressant sa paume contre la chair, puis contournant la croupe, il adosse Odile dans une encoignure de porte ancienne et il plonge ses doigts entre les cuisses, atteignant directement la moule de sa proie. Il masturbe à présent à travers le tissu de la jupe, la vulve d’Odile, trouvant l’étoffe bien humide. Celle-ci défaille, la honte de se savoir exposée en plein centre ville, même si peu de personnes circulent, les doigts qui fouillent son entrejambe au travers de sa jupe, ainsi que la main qui triture la pointe du sein affolent sa libido. En sus, Edmond retirant sa main de dessus la jupe, la retrousse, et atteint sans tarder son vagin, glissant prestement ses doigts à l’intérieur et crochetant la chair. Elle ne peut retenir un long gémissement du plaisir qu’elle ressent, et répond avec fougue au baiser d’Edmond qui vient de prendre sa bouche. Elle vibre sous l’assaut des doigts qui tripotent et se meuvent dans sa chair intime, ne voulant plus penser à son humiliation si on la découvre en train de jouir en public…
À suivre…
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