Ce cousin-là (1)

- Par l'auteur HDS Bourgeoise -
Récit érotique écrit par Bourgeoise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Ce cousin-là (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ce cousin-là (1)
Ce cousin là…
D’habitude, je fais très attention... je n’ai jamais eu d’aventure avec un de mes
cousins, et encore moins avec une demie cousine… Mais ce soir-là, nous étions dans un
mariage et je dansais comme une folle, le cousin qui s’était présenté à moi est d’une
autre génération, et j’ai accepté de danser avec lui toute la soirée… Il était beau,
il était bien parfumé et dansait très bien, il avait un beau physique, des épaules
larges et souriait tout autant… D’abord, j’ai apprécié son sourire qui me semblait un
peu innocent, mais après quelques danses, je me suis bien sentie contre ses épaules,
et quand il m’a serrée, j’ai d’abord été surprise de sentir son membre épais contre
mon ventre… Surprise parce que le temps où je l’avais connu, lors de notre enfance, il
était plus jeune que moi et je l’avais connu quand moi j’étais adolescente et que lui
n’était qu’un enfant…
Sachant que dans cette cérémonie, il n’y aurait que la famille, j’étais venue la sans
aucune arrière-pensée, et ma seule idée était d’oublier mon divorce, musique et danse
sont alors conseillées. Lors de nos cérémonies de mariage, il n’y a généralement pas
de slows, ni danse en corps à corps. Mais en fin de nuit, quand les personnes les plus
âgés ont quitté la soirée, le rythme change un peu. C’est ainsi qu’à quatre heures du
matin, un peu sans m’en rendre compte, je me suis trouvée dans une position très
rapprochée de mon cavalier, l’orchestre jouait des musiques douces, et mon cousin ne
se gênait plus à caresser tout mon corps, il ne faisait plus l’attention à mes fesses
dans un premier temps, puis n’a pas hésité longtemps avant de comprendre que je ne
portais point de sous-vêtements. J’avais bien compris qu’il avait cherché, par ses
caresses, à localiser les crochets de mon soutif et les élastiques de ma culotte. Je
sais que dans les deux cas sa recherche avait été infructueuse.
Quand nous nous installons à une table, il me regarde en souriant, et pour le
décompresser un peu je lui dis discrètement :
- alors elles sont infructueuses tes recherches ?
-mais le résultat me plaît…
Se rapprochant de moi, il me murmura à l’oreille :
-tu as un très beau corps, on croirait que tu portes des gaines partout, un si beau
corps qui tient tout seul, sans soutien-gorge, sans-culotte et sans la moindre gaine…
je ne connais pas les bons termes qu’il faut pour te féliciter…Tu as un très beau
corps…
-tu ne manques pas d’audace, dit donc…
- je ne voudrais surtout pas que tu te fâches, mais je ne pourrais en dire un peu
plus…un peu plus…
- que n’as-tu pas encore dit ?
-je ne sais pas si avec toi un homme pourrait en manquer… à moins que tu ne
l’intimide…
-arrête, s’il te plaît, je suis l’amie de sa maman…
-j’ai toujours aimé les amies de maman, mais tu es la plus belle d’entre elles… et si
nous passons un moment ensemble, qui pourrait être le plus doux de ma vie, cela ne
fera de mal à personne et je te promets toute la discrétion qu’il faudra… Je sais que
comme moi tu en as envie, dis-moi oui en souriant s’il te plaît…
Je ne dis rien, mais dès que je monte en voiture, je suis surprise de sentir sa main
sur ma cuisse, je le regarde avec un air sévère, mais il me sourit avec un ton
moqueur…
-mais que fais-tu ? tu es fou… ?
-je viens terminer la nuit avec toi, ne me dis pas que cela te dérange… Je sais que tu
le veux aussi, soit cool ce sera plus facile, en tout cas, je ne vais pas te rater ce
matin, surtout que toi aussi tu es très excitée, et je dirais même toute mouillée… Je
ne vais pas vérifier ici, rentrons…
-rentrer ou, on ne va pas aller chez moi, j’habite seule avec mon fils… Et si on me
voit rentrer avec un homme, je vais me faire une belle réputation… descend s’il te
plaît…
- en fait, j’habite une garçonnière avec un amie, mais c’est loin d’être le confort…
c’est discret et je te promets que tu ne seras pas dérangée… d’ailleurs, j’aimerais
que cette visite ne soit pas la seule… à moins que je ne te ne déçoive… Et quand il
commença à m’indiquer le chemin, je ne sais pas pourquoi j’ai obéi comme un robot,
sans un mot… mais j’étais sous une excitation d’autant plus intense que sa main se
faisait une place entre mes cuisses…
-mais calme-toi, s’il te plait, je dois conduire…
-on dirait que ça t’excite, mais je ne vais pas m’arrêter, nous sommes arrivés… Tu
peux stationner ici…
Dès que la voiture s’arrête, il dépose un bisou sur mon cou, et je sens qu’il est en
train d’imprimer un suçon qui mettra quelques jours à disparaître, mais puisque
c’était fait, tant mieux… Dès que nous sommes dans la rue, il pose une main sur mes
épaules, je passe ma main sur sa hanche et je ris intérieurement en pensant que je
suis bras dessus bras dessous avec celui qui est mon cadet d’au moins 15 ans… Il me
serra très fort comme un amoureux… Il est encore courtois devant l’entrée de
l’immeuble, il me laisse entrer d’abord, referme la porte derrière moi, mais dès que
nous sommes dans l’ascenseur, c’est un autre homme que je découvre… En m’embrassant,
goulûment certes, il dégage un de mes seins qu’il caresse de manière assez dure, puis
un second… J’espérais que le couloir serait vide à l’arrivée, et que nous n’aurions
pas une surprise…
Ce studio est vraiment, le plus petit possible : il y avait juste un grand lit, une
petite table, un tout petit fauteuil et, heureusement, une douche. Comme j’avais
toujours les seins à l’air libre, y entrer fut pour moi un soulagement. Si j’y avais
réfléchi, j’aurais préféré que cet homme garde tout son respect pour moi… mais je
crois que c’était déjà bien tard, et je n’avais pas su dire non au bon moment… mais
quand ?
Quand il retira ma ceinture, qu’il ouvrit carrément mon caftan, dévoilant toute ma
nudité, il siffla d’admiration. Mais je sais qu’il l’aurait fait plus sincèrement
devant une photo, et se serait peut-être masturbé en m’imaginant dans toutes les
positions… Là, il allait pouvoir faire du corps qu’il avait conquit, l’usage auquel je
lui permettrais d’accéder… il me débarrassa complètement de mon caftan et se mit à le
plier, je me dirigeai timidement vers le lit au fond de la pièce, mais il me prit par
les hanches et me plaqua contre la porte, puis ses mains montèrent vers mes aisselles,
par lesquelles il me soulève pour m’embarrasser :
-je rêve de tout voir depuis si longtemps et qu’il serait dommage de te prendre aussi
banalement… le jour de ton mariage, j’aurais voulu me mettre à la place de celui qui
t’avait emmenée à l’hôtel, j’en avais presque pleuré et je t’avoue que je m’en suis
masturbé longtemps…
-je suis avec toi enfin, mieux vaut tard que jamais…
- je veux te prendre debout, comme je l’ai fais souvent en me masturbant…
-et puis quoi encore, dis-je d’un air mécontent…
C’est par un baiser fougueux qu’il mit fin à ma phrase, puis ses mains sous mes
aisselles me soulèvent malgré mes talons. Je sens une hampe bien dure passer entre mes
cuisses et atteindre l’entrée de mon sexe, il me souleva un peu et je sens à peine son
gland épais pénétrer doucement en moi. Puis il me laisse redescendre lentement entre
ses mains sur mes aisselles et le manche qui me traversait. Je sentis d’abord quelques
coups de boutoir accompagnés de caresses sur mes seins et particulièrement sur mes
tétons. Et les mains de mon cousin descendirent vers mes fesses qu’elles serrèrent
contre lui tout en les écartant un peu… je sens ma jambe droite prise par l’arrière et
mise à l’horizontale, je laisse glisser mon talon avant de la tourner autour de sa
taille. Je m’agrippais à son cou à deux mains, alors que tenais mes fesses de l’une et
tenait ma nuque de l’autre. Le rythme s’accéléra progressivement alors que je ne
tenais plus que sur un talon… mon amant le devina et prit mon autre jambe. En laissant
tomber mon deuxième talon, je pus enfin entourer sa taille.
Après une deuxième série de coups de boutoirs, je commençai à crier mon plaisir quand
je sentis un jet de sperme envahir mes entrailles… deux autres suivirent et mon cousin
me déposa délicatement sur le bord du lit, laissant son manche se vider en moi…
Quand je reprends conscience, je suis bien au milieu du lit, et mon amant est derrière
moi…, il me caresse doucement les hanches et très discrètement les seins.
-je viens de réaliser un fantasme que je traîne depuis 7 ans, tu es formidable… tu es
un amour …
-j’ai rajeuni de sept ans ce matin, grâce à toi… Tu es merveilleux, mais c’est pas
bien ce que nous avons fait… nous sommes comme frère et sœur.
-non, tu es la cousine de ma mère, tu n’es pas ma sœur, et je crois que le plaisir
doit passer avant des soucis… En tout cas, moi je n’ai pas de regrets, et j’espère que
nous allons faire l’amour encore cet après-midi. Je t’aime ma déesse… tu sais combien
de sperme je garde depuis longtemps pour toi, et je tiens à payer mes dettes
aujourd’hui…
-non, c’est pas possible, je dois rentrer…
-ainsi habillée, et en plein jour… Attendons au moins le soir, cela paraîtra plus
normal… Et joignant le geste à la parole, il avait déjà un doigt sur mon clitoris et
ne se gênait pas à le taquiner, et j’étais déjà bien émoustillée…
-arrête, dis-je… Mais je n’étais ni convaincante ni convaincue, d’ailleurs je voulais
qu’il me prenne encore.
- mais je te veux encore magicienne, je ne sais d’ailleurs pas si je serais apaisé un
jour, tu me rends fou, une semaine de toi ne me suffirait pas… S’il te plaît, dis-moi
que tu restes et je ferai tout ce que tu voudras, et je te promets tout ce que tu
voudras… tu aimes les cunnis ?
-j’ai soif pour l’instant…
Il sortit un instant et revint avec une grande caisse de canettes de bière, des
pizzas et des biscuits… il m’offrit une canette qu’il posa entre mes seins pour me
montrer qu’elle est bien froide…
-mais je ne bois pas, moi…
-oh j’avais cru te faire plaisir, moi j’adore la bière avec les cunnis, surtout quand
ma copine mouille beaucoup… ça va te plaire aussi en… il ne m’annonça pas encore que
j’allais le sucer, mais je fis comme si je n’avais rien vu… et puis, une seule bière
ne va pas te saouler…
Je savais bien ce que l’alcool m’avais fait avec les 4 jeunots après le hammam, mais
peu m’importait ce qui allait advenir, tant que ce ne serait que du plaisir… et tant
que cela reste discret.
-tu m’as promis de rester discret, redis-je avant d’avaler une gorgée de la canette
qu’il m’avait offerte…
-tu peux te défouler sans réserve ma cousine chérie, et je serai toujours là pour toi…
-merci, mon chou, moi aussi je ferai ton plaisir tant que je suis là… puis en buvant
une bonne gorgée de bière, j’en laisse couler sur mes seins…
-c’est une invitation, chérie ? demanda-t-il gentiment
-si tu le prends ainsi, je suis là pour toi…
Ainsi, notre jeu consista à jeter des gouttes de bière sur les parties que je veux que
mon cousin lèche : ce fut un moment ma poitrine, puis mes seins et rapidement mon
ventre pour arriver sur mes grandes lèvres… de son côté, il semble apprécier… laper
et la bière sur mon nombril, il me demanda même d’en rajouter… ce que je vis et qui
m’amuse même… La bière que je tenais en main fut vide un peu trop tôt à mon goût, je
devais m’en servir pour mener sa langue vers un cunni que je voulais à ma guise,
dont je voulais contrôler les mouvements… Je lui demandai alors de me passer une autre
cannelle… Mais après l’avoir ouverte, il me dit :
-c’est mon tour maintenant… Je sais que tu n’y verras pas d’inconvénient…
Il prit une gorgée de bière dans sa bouche, m’attira pour m’embarrasser et la partager
avec moi, puis il la laissa couler sur son cou, puis sa poitrine. Je dus ainsi
m’acquitter de ma dette en léchant son cou, son torse et ses tétons… c’est à ce niveau
qu’il me serra un peu pour me retenir… Puis il versa de la bière sur son nombril
m’invitant ainsi à laper…
-tu sais comment tu dois faire, comme moi un peu… mais surtout comme la petite chatte
que tu es, vas-y mon ange…
Je me mis donc à consommer cette bière mélangée et de sueur quand je sentis sa hampe
taper sur ma joue… Je devinais alors ce qu’il voulait, sans le lui montrer…
-tu t’es bien limité au nombril, alors… gardons un peu de respect s’il te plaît…
C’est à ce moment, qu’il se retourne et que nous nous retrouvons en 69. C’est donc
comme ça que tu veux qu’on fasse… Et comme sa langue pénétrait déjà entre mes grandes
lèvres, je me tais un instant, pour savourer la caresse qu’il me prodiguait… Quand je
sens son gland sur mes lèvres, je veux jouer à celle qui n’a pas compris. Mais quand
il arrête ses caresses linguales, j’abandonne ce petit jeu d’innocentes et de sainte-
nitouche… je caresse donc le gland avec ma langue avant de le prendre en bouche… En
fait je n’ai fait que le laisser pénétrer au fond de ma gorge et en ressortir… Un peu
moins gloutonne que d’habitude… sa caresse buccale d’ailleurs en devint plus chaude et
c’est à peine si je le sens se vider au fond de ma gorge… j’hésite un instant à
avaler… ce qui aurait montré que j’étais une habituée, mais pouvais-je recracher sur
ses drap… j’optai, pour garder un peu de dignité, en faisant comme si j’étouffais, et
une grimace qui minerait la découverte d’un goût nouveau…
-tu le trouve comment ce sperme, ne me dis pas que le goutter te dérange…
-je n’en ai jamais goûté, c’est la première fois, j’ai failli étouffer…
-en tout cas moi, j’ai aimé son goût de plaisir, il est agréable au goût…
-tu le bois toujours, avec toutes les copines ?
-non, on n’a pas toujours le temps de tout apprécier chez l’autre, mais ton gout est
délicieux, et j’aimerais bien en découvrir le maximum… et c’est à ce moment-là que je
sentis un doigt sur mon anus…
- non, ne me dit pas que tu vas goûter à mon petit trou intime, on a déjà fait
beaucoup d’erreurs entre cousins. Et puis je dois rentrer, et tu ne voudrais pas que
ta cousine soit une enculée, s’il te plaît…
- ce n’est qu’un mot, là, mais j’aurais bien préféré être le premier, pourquoi pas le
seul, mais je me contenterai de ce qui est possible…
-non, même mon ex n’y a jamais touché… respecte au mon cela…
-oui, oui, bien sûr, si tu le prends pour un manque de respect je ne le ferai pas,
mais je crois que tu le prendras pour un manque d’amour, ou d’admiration pour ce petit
creux intime… Et tu ne me refuseras par l’intimité que je te demande…
Et pendant qu’il continuait à parler pour ne rien dire, il avait déjà introduit son
majeure à l’entrée de mon anus, tout en le faisant tourner pour vérifier la
faisabilité de son entreprise… et comme je disais toujours NON, il poursuivi :
-et si je te demandai de te mettre en levrette, ce ne serais pas un manque de respect
ma cousine chérie ?
-puisse que je suis dans ton lit, je dois obéir…
Il m’aida à me mettre sur les genoux, me prit par les hanches et se colla contre moi…
Je savais qu’une levrette peut facilement tourner vers ce que mon cousin projetait, et
quand sa bite se promène sur mes lèvres, je savais que ce n’était pas à la recherche
d’une pénétration, mais celle d’une lubrification préalable… J’avais compris qu’il
était décidé à me faire le plaisir que j’aurais laissé attendre. Je savais ce qui
m’attendait, mais dès que le sentis me pénétrer, je criai.
-qu’est-ce que tu fais, enculer ta cousine, quel manque de respect. Je n’aurais même
pas du accepter ton invitation… tu ne devais pas me faire ça… c’est honteux…
-calme-toi chérie, tu vas aimer… s’il te plaît… si tu n’aimes pas, demande ce que tu
voudras.
J’avais beau crier ma colère, puis ma douleur et grogner des mots sans vrai sens ni
conviction… il me ramona d’abord avec beaucoup de douceur, puis de plus en plus
violemment et sans arrêt, j’en arrivai à crier mon plaisir… Ce qui l’encouragea encore
jusqu’au point où il éjacula très fort en moi, d’abord un premier jet, puis un second…
Et quand il se retira, il s’arrangea pour qu’un troisième jet retombe dans sa main… il
me le présenta devant mes yeux, avant de l’étaler entre mes seins…
-mais arrête, je devais rentrer…
-mais, nous avons encore le temps pour conclure, on ne doit pas faire l’amour sans
jouir… je pourrais être frustré…
Quand il me posa sur le dos et fit coulisser sa bite entre mes seins, je lui dis que
j’avais soif. Il me fit boire un peu d’une bière qu’il fit couler sur mon cou et sur
mes seins… le coulissage de sa bite se trouva facilité et devint donc rapide… et
tirant l’arrière de mes cheveux, il ramena ma bouche sur le bas de mon cou. Devant le
fait accompli, je lui fis la branlette espagnole qu’il exigeait… il se vida encore
dans ma bouche en caressant mes seins…
En prenant une dernière bière, il me montre des habits féminins que je porterai pour
rentrer discrètement, et que je ramène dans deux semaines pour aller à un autre
mariage… je viendrai tôt le matin, pour faire l’amour avant de danser… histoire de
changer de programme…

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