TROMPERIE ET DECEPTION.
Récit érotique écrit par Bourgeoise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
TROMPERIE ET DECEPTION.
Laila a 28 ans, et n’imaginait peut-être jamais tromper son mari, avant d’avoir parlé à cette femme qui avait épousé un bel homme très beau et très riche. Safia racontait à qui voulait l’entendre (chez les femmes) qu’elle avait failli perdre son mari si elle n’avait pas vécu, avec lui toute sa sexualité, et qu’elle y trouvait aussi son plaisir. Laila n’avait qu’une objection : je risque de passer pour pute. Elle me confia un jour, qu’elle regardait des images sur le net et des movies…
Son envie de gouter de nouveaux plaisirs était assez grande, mais c’était encore trop tôt pour lui suggérer tout le chamboulement qu’entrainerait un amour de femmes. Elle ne parlait d’ailleurs que de son mari, et jamais de quelqu’un d’autre.
Le jour de notre cinquième anniversaire de mariage, mon mari voulant une grande cérémonie, nous avons convié familles et collègues, et Laila notre amie et son mari. Mes collègues n’étaient pas tous accompagnés, mais le groupe s’était vite constitué et personne ne restait en marge.
Laila avait porté une robe rouge légèrement décolletée, assez longue mais avec une échancrure assez importante à l’arrière. Elle portait un petit gilet blanc qui ne changeait en rien le charme de ses épaules nues. Mais son côté le plus attirant a toujours été ses lèvres (du moins pour moi). Elle les avait teintées ce soir d’un rouge scintillant.
Taoufik, un collègue de bureau, qui ne montre jamais sa femme, était venu sans elle, comme on pouvait s’y attendre. Il est assez costaud et a des épaules bien larges, et manque rarement une tentative de séduction, malgré un léger bégaiement.
A un moment de la soirée, il me demanda s’il pouvait utiliser les toilettes de l’étage, et je lui dis de faire comme chez lui, tout en le suivant puisqu’il n’y est jamais monté. Quand il est dans la salle de bain, je m’étonne de constater qu’il ne referme pas la porte. J’entends alors la porte intérieure s’ouvrir et une femme lui dire :
-vous vouliez entrer ?
-non, ça va
-je peux vous aider ?
-oh, ouiii…
N’entendant plus rien, je me suis approchée pour voir ce qui se passe. Il était entrain d’embrasser Laila qui se laissait faire timidement. Il embrassait ses lèvres, ses joues, sa poitrine et caressait sa nuque, son dos et ses fesses… comme une poupée, elle ne réagissait dans aucun sens et gardait les bras écartés.
Quand il l’entraina dans la chambre la plus proche, en tenant juste sa main, elle fut très docile, et le suivit en se déhanchant. Dans le couloir, il me fit un clin d’œil complice, alors qu’elle ne m’avait pas vue apparemment.
Taoufik s’arrangea pour que la porte reste entr’ouverte et que Laila ne s’en rende pas compte. Il embrassa sa main et en la mouillant un peu, sortit sa bite et ramena la petite main dessus. Elle le toucha un peu comme pour évaluer ses mensurations, avant de commencer un lent va-et-vient qui le fait redresser, comme je l’avais connu.
Quand il sortit son portefeuille, je compris qu’il cherchait un préservatif. Ne le trouvant pas, il la prit par les cheveux et ramena sa tête devant son sexe.
Elle continua de le masturber pour éviter de le prendre en bouche, mais il retira violemment sa main, et lui demanda de le sucer. Puis, ne la voyant pas réagir, il changea de ton et dit, en secouant sa tête :
- tu ne veux pas sucer petite pute, tu veux des baffes !
Elle le prit totalement en bouche, et entreprit une fellation rapide que Taoufik régula en tenant ses cheveux. Quand il éjacula dans sa bouche et sur son visage, elle mit ses mains pour éviter de toucher sa robe, et se précipita dans la salle de bain.
A sa sortie, elle est un peu rouge, mais avait une allure normale, et ses habits étaient propre.
-ça va ma chérie ?
Avant de redescendre nous fumons une cigarette dans ma chambre, échangeons quelques mots, et quelques caresses.
Quand Taoufik demanda de la revoir, je lui ai dit qu’elle ne peut pas tromper son mari.
A SUIVRE
Son envie de gouter de nouveaux plaisirs était assez grande, mais c’était encore trop tôt pour lui suggérer tout le chamboulement qu’entrainerait un amour de femmes. Elle ne parlait d’ailleurs que de son mari, et jamais de quelqu’un d’autre.
Le jour de notre cinquième anniversaire de mariage, mon mari voulant une grande cérémonie, nous avons convié familles et collègues, et Laila notre amie et son mari. Mes collègues n’étaient pas tous accompagnés, mais le groupe s’était vite constitué et personne ne restait en marge.
Laila avait porté une robe rouge légèrement décolletée, assez longue mais avec une échancrure assez importante à l’arrière. Elle portait un petit gilet blanc qui ne changeait en rien le charme de ses épaules nues. Mais son côté le plus attirant a toujours été ses lèvres (du moins pour moi). Elle les avait teintées ce soir d’un rouge scintillant.
Taoufik, un collègue de bureau, qui ne montre jamais sa femme, était venu sans elle, comme on pouvait s’y attendre. Il est assez costaud et a des épaules bien larges, et manque rarement une tentative de séduction, malgré un léger bégaiement.
A un moment de la soirée, il me demanda s’il pouvait utiliser les toilettes de l’étage, et je lui dis de faire comme chez lui, tout en le suivant puisqu’il n’y est jamais monté. Quand il est dans la salle de bain, je m’étonne de constater qu’il ne referme pas la porte. J’entends alors la porte intérieure s’ouvrir et une femme lui dire :
-vous vouliez entrer ?
-non, ça va
-je peux vous aider ?
-oh, ouiii…
N’entendant plus rien, je me suis approchée pour voir ce qui se passe. Il était entrain d’embrasser Laila qui se laissait faire timidement. Il embrassait ses lèvres, ses joues, sa poitrine et caressait sa nuque, son dos et ses fesses… comme une poupée, elle ne réagissait dans aucun sens et gardait les bras écartés.
Quand il l’entraina dans la chambre la plus proche, en tenant juste sa main, elle fut très docile, et le suivit en se déhanchant. Dans le couloir, il me fit un clin d’œil complice, alors qu’elle ne m’avait pas vue apparemment.
Taoufik s’arrangea pour que la porte reste entr’ouverte et que Laila ne s’en rende pas compte. Il embrassa sa main et en la mouillant un peu, sortit sa bite et ramena la petite main dessus. Elle le toucha un peu comme pour évaluer ses mensurations, avant de commencer un lent va-et-vient qui le fait redresser, comme je l’avais connu.
Quand il sortit son portefeuille, je compris qu’il cherchait un préservatif. Ne le trouvant pas, il la prit par les cheveux et ramena sa tête devant son sexe.
Elle continua de le masturber pour éviter de le prendre en bouche, mais il retira violemment sa main, et lui demanda de le sucer. Puis, ne la voyant pas réagir, il changea de ton et dit, en secouant sa tête :
- tu ne veux pas sucer petite pute, tu veux des baffes !
Elle le prit totalement en bouche, et entreprit une fellation rapide que Taoufik régula en tenant ses cheveux. Quand il éjacula dans sa bouche et sur son visage, elle mit ses mains pour éviter de toucher sa robe, et se précipita dans la salle de bain.
A sa sortie, elle est un peu rouge, mais avait une allure normale, et ses habits étaient propre.
-ça va ma chérie ?
Avant de redescendre nous fumons une cigarette dans ma chambre, échangeons quelques mots, et quelques caresses.
Quand Taoufik demanda de la revoir, je lui ai dit qu’elle ne peut pas tromper son mari.
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