ENCULEES PAR MON MARI.
Récit érotique écrit par Bourgeoise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-08-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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ENCULEES PAR MON MARI.
Un samedi après-midi alors que mon mari n’était pas là, j’avais emmené mon fils dans un parc de jeux avec Marjana. Elle s’est occupée de le fatiguer pour qu’il s’endorme vite et nous laisse une longue nuit d’amour tranquille, surtout que nous n’avions pas couché ensemble depuis quelques jours.
J’en ai profité pour séduire un beau jeune homme dont la femme raffole des jeux pour enfants et nous avons fixé un RV pour jeudi.
Sur le chemin du retour, Marjana assisse à mes côtés avait mon fils dans ses bras, et s’amusait à me palper les cuisses, ou à pincer mes mamelons. De mon côté, je n’ai manqué l’occasion d’un changement de vitesse pour découvrir sa cuisse. Au feu rouge, j’embrasse mon fils et caresse la cuisse dénudée de sa nourrice.
A la maison, mon fils arrive à peine à diner, avant de s’endormir.
Une demi-heure plus tard, nous étions au lit Marjana et moi à nous embrasser et nous caresser, à nous exciter mutuellement après un diner bien arrosé.
Quand elle se couche les jambes écartées du coté de ma tête, je comprends son désir de recevoir une langue exploratrice qui ne pouvait être que la mienne. Elle prend une de mes cuisses pour la passer par dessus sa tête et commence à caresser l’arrière de mes cuisses. Je sens alors ses seins entre mes cuisses et sa langue sur mon bouton. Je lèche le sien avant de le prendre dans ma bouche et de le sucer très fort. Puis nos caresses deviennent plus lentes à la recherche d’un plaisir beaucoup plus progressif.
Quand nous atteignons la jouissance ensembles, j’utilise sa cyprine pour lubrifier son petit trou pas très accessible. Elle en fait autant alors que mes fesses sont en l’air. Elle est plus à l’aise pour me doigter et je sens ma rondelle se dilater et recevoir deux petits doigts. Tout mon bassin ondulait à chaque pénétration.
A un moment, alors que mon sexe était tout ruisselant, je sentis des mains plus épaisses serrer mes fesses, alors que la bouche de Marjana avait quitté mon sexe, je sentis des mains plus épaisses serrer mes fesses puis les écarter sans aucune douceur. Un pénis s’introduit dans mon anus d’un coup sec avant de commencer des va-et-vient brutaux.
Dans ce plaisir inconnu, j’attendais une voix qui me dévoilerait le secret de ce passager de hasard, alors qu’une première giclée de sperme m’inondait. Je voulus retourner ma tête, mais une main noya encore ma langue et ma bouche dans le sexe de ma partenaire chérie qui fondait littéralement.
J’entendis alors Marjana grogner, et l’inconnu lui dire :
-t’aimes pas le sperme, avale salope
Si tu lèves la tête, je la casse dit il en frappant mes fesses
Puis il disparaît dans la salle de bain.
-tu as laissé une porte ouverte ou quoi ?
-c’était qui alors ?
-aucune idée, mais c’était comment ?
-pas trop mal, mais j’aime savoir qui m’encule
-moi aussi, dit l’homme qui ressort de la salle de bain, j’aime savoir que la mère de mon fils se fait enculer souvent. Et restez comme ça, petites putes.
Nous étions tous les trois nus, et lui ne s’était pas lavé. Il s’approcha et s’assit sur le lit du côté de Marjana. Il la prend par les cheveux et met sa bite dans sa bouche et veut que je regarde de très près. Puis, au moment de jouir, il colle ma joue à celle de Marjana en arrosant nos deux visages.
-souriez, petites putes, vous serez plus belles... et vous éviterez mes baffes… les baffes d’un cocu… qui vient de le savoir… maintenant, petites putes, reprenez votre 69, mais avec ma femme en bas, OK ?
Il reprit le même schéma du début en enculant Majana, mais à un moment décida que je devais le sucer, et me demanda de tout avaler.
-tu vois que tu aimes, sale petite pute
-jamais fait, chéri
-ne dis plus ce mot, sinon je te tue, dit-il en me collant une baffe, puis une autre. Mets-toi à pattes par terre, petite chienne. Et toi aussi, petite garce, au dessus d’elle… comme deux chiens… serre-la bien en ressortant ses seins de côté… les tiens aussi…
Quand il s’est mis à caresser nos seins puis nos fesses, je crus qu’il allait nous enculer encore, Marjana en était si excitée que je reçus son jus sur ma peau. Quand elle l’entendit ouvrir une armoire de la salle de bain, elle me dit :
-merde, le tuyau…
-des coups sur les fesses, ça passe avec le temps, et c’est sexy d’ailleurs, mais ailleurs, ce sera votre faute.
Il se mit à balancer ses coups sur mes fesses de manière régulière en comptant. Au bout de chaque dizaine, il passe sa main sur mes fesses pour que je puisse évaluer le résultat. Avec ses deux dernières dizaines, ses caresses devenues douloureuses, j’ai senti que ma peau avait été écorchée par endroit. Arrivé à 100, il s’amusa à me mordiller les fesses, m’arrachant des cris de douleur qui témoignaient bien de ma souffrance. Et pour être plus dur encore, il me pinça très dur et Marjana hurla de douleur.
-si tu tombes, petite pute, je t’écrase, OK ?
-oui, Sidi…
-alors, montre-moi comment une puce se colle bien.
Elle croisa ses jambes autour de mes hanches, il lui ramena les talons sur mon clitoris et j’entendis les mains de mon mari claquer sur ses fesses, elle hurla encore et je sentis son talon sur mon sexe. Quand j’entendis le tuyau frapper un rythme plus rapide sur ses fesses, son talon devient source de plaisir…
Quand il mit sa main dans mon sexe et se rendit compte de ma jouissance, il la récolta et la mit dans la bouche de Marjana.
-c’est quoi ça ?
-heu…
-parle, petite pute !
-la jouissance de madame….
-de madame ? de ta pute chérie, oui, dis-le !
-la jouissance de ma pute chérie
-alors, suce-moi, je veux enculer.
Il mit sa verge dans la bouche de Marjana qui ne put que la sucer jusqu’à obtenir une érection valable. Du coup, elle frottait son sexe contre mes vertèbres lombaires, me serrer de ses jambes. Elle jouait de ses talons sur mon sexe, et je jouissais. Mais, mes genoux que la moquette frottait depuis le début, devinrent douloureux, et j’en pleurais.
Mon mari ordonna à ma chérie de se laisser glisser sur la moquette. Elle se mit à quatre pattes à mes côtés en pensant qu’il aller l’enculer, mais surprise : il voulut qu’elle s’étale sur le dos et qu’elle lui offre son minou.
-mais Sidi, je dois rester vierge, sinon, on me tuera
-ça fera un cocu de moins, petite salope, non
-je vous en supplie par… (tous les saints y passèrent sans résultat)
-alors raconte-moi ce que tu sais de cette pute, et je te laisse…
Comme elle nie tout, il tient à la prendre et la pauvre, tout en pleurs écarte ses jambes. Je tombe alors sur son minou la protégeant et lui dit :
-je te dis tout, mais laisse la tranquille.
-vas-y, j’écoute
Je lui parle d’un viol récent par deux voyous en lui expliquant que je ne pouvais pas les déclarer à cause de son honneur, et que je ne lui ai rien dit pour ne pas le perdre. Pour la sodomie, je lui explique que le mari de ma mère me le faisait toujours, et c’est trop humiliant… mais j’en ai besoin.
Il laissa Marjana partir pour s’occuper du petit, me porta sur le lit et me couvrit avant de sortir. Le soir, quand le l’entend rentrer, il passe deux heures avec Marjana, et quand il arrive dans ma chambre en souriant, il est déjà en robe de chambre. Elle le suit avec un plateau de champagne en main. Elle ne porte qu’une petite jupe rouge avec des bretelles en dentelles.
-c’est quoi, cette tenue ? demandais-je pour comprendre son plan.
-sa robe de mariée, un peu courte, mais comme le mariage… je l’épouse demain.
Elle me présenta le champagne en souriant, elle garde son sourire quand il parle de divorce après une semaine.
-on pourrait baiser ce soir, ma pute chérie ? tu nous accompagne au tribunal, pour manifester ton accord ?
Il m’explique que cette nuit, elle lui a offert son cul, et qu’il l’avait prise en levrette, et qu’elle n’était donc plus vierge.
-et comme je sais que tu ne tiendras pas une semaine, je te baise avant de partir, en espérant que tu seras fidèle une fois…
-promis juré chéri…
(NB. je publie mon mail, pour recevoir des courrier, ne venez pas me chauffer sur msn, inutile)
J’en ai profité pour séduire un beau jeune homme dont la femme raffole des jeux pour enfants et nous avons fixé un RV pour jeudi.
Sur le chemin du retour, Marjana assisse à mes côtés avait mon fils dans ses bras, et s’amusait à me palper les cuisses, ou à pincer mes mamelons. De mon côté, je n’ai manqué l’occasion d’un changement de vitesse pour découvrir sa cuisse. Au feu rouge, j’embrasse mon fils et caresse la cuisse dénudée de sa nourrice.
A la maison, mon fils arrive à peine à diner, avant de s’endormir.
Une demi-heure plus tard, nous étions au lit Marjana et moi à nous embrasser et nous caresser, à nous exciter mutuellement après un diner bien arrosé.
Quand elle se couche les jambes écartées du coté de ma tête, je comprends son désir de recevoir une langue exploratrice qui ne pouvait être que la mienne. Elle prend une de mes cuisses pour la passer par dessus sa tête et commence à caresser l’arrière de mes cuisses. Je sens alors ses seins entre mes cuisses et sa langue sur mon bouton. Je lèche le sien avant de le prendre dans ma bouche et de le sucer très fort. Puis nos caresses deviennent plus lentes à la recherche d’un plaisir beaucoup plus progressif.
Quand nous atteignons la jouissance ensembles, j’utilise sa cyprine pour lubrifier son petit trou pas très accessible. Elle en fait autant alors que mes fesses sont en l’air. Elle est plus à l’aise pour me doigter et je sens ma rondelle se dilater et recevoir deux petits doigts. Tout mon bassin ondulait à chaque pénétration.
A un moment, alors que mon sexe était tout ruisselant, je sentis des mains plus épaisses serrer mes fesses, alors que la bouche de Marjana avait quitté mon sexe, je sentis des mains plus épaisses serrer mes fesses puis les écarter sans aucune douceur. Un pénis s’introduit dans mon anus d’un coup sec avant de commencer des va-et-vient brutaux.
Dans ce plaisir inconnu, j’attendais une voix qui me dévoilerait le secret de ce passager de hasard, alors qu’une première giclée de sperme m’inondait. Je voulus retourner ma tête, mais une main noya encore ma langue et ma bouche dans le sexe de ma partenaire chérie qui fondait littéralement.
J’entendis alors Marjana grogner, et l’inconnu lui dire :
-t’aimes pas le sperme, avale salope
Si tu lèves la tête, je la casse dit il en frappant mes fesses
Puis il disparaît dans la salle de bain.
-tu as laissé une porte ouverte ou quoi ?
-c’était qui alors ?
-aucune idée, mais c’était comment ?
-pas trop mal, mais j’aime savoir qui m’encule
-moi aussi, dit l’homme qui ressort de la salle de bain, j’aime savoir que la mère de mon fils se fait enculer souvent. Et restez comme ça, petites putes.
Nous étions tous les trois nus, et lui ne s’était pas lavé. Il s’approcha et s’assit sur le lit du côté de Marjana. Il la prend par les cheveux et met sa bite dans sa bouche et veut que je regarde de très près. Puis, au moment de jouir, il colle ma joue à celle de Marjana en arrosant nos deux visages.
-souriez, petites putes, vous serez plus belles... et vous éviterez mes baffes… les baffes d’un cocu… qui vient de le savoir… maintenant, petites putes, reprenez votre 69, mais avec ma femme en bas, OK ?
Il reprit le même schéma du début en enculant Majana, mais à un moment décida que je devais le sucer, et me demanda de tout avaler.
-tu vois que tu aimes, sale petite pute
-jamais fait, chéri
-ne dis plus ce mot, sinon je te tue, dit-il en me collant une baffe, puis une autre. Mets-toi à pattes par terre, petite chienne. Et toi aussi, petite garce, au dessus d’elle… comme deux chiens… serre-la bien en ressortant ses seins de côté… les tiens aussi…
Quand il s’est mis à caresser nos seins puis nos fesses, je crus qu’il allait nous enculer encore, Marjana en était si excitée que je reçus son jus sur ma peau. Quand elle l’entendit ouvrir une armoire de la salle de bain, elle me dit :
-merde, le tuyau…
-des coups sur les fesses, ça passe avec le temps, et c’est sexy d’ailleurs, mais ailleurs, ce sera votre faute.
Il se mit à balancer ses coups sur mes fesses de manière régulière en comptant. Au bout de chaque dizaine, il passe sa main sur mes fesses pour que je puisse évaluer le résultat. Avec ses deux dernières dizaines, ses caresses devenues douloureuses, j’ai senti que ma peau avait été écorchée par endroit. Arrivé à 100, il s’amusa à me mordiller les fesses, m’arrachant des cris de douleur qui témoignaient bien de ma souffrance. Et pour être plus dur encore, il me pinça très dur et Marjana hurla de douleur.
-si tu tombes, petite pute, je t’écrase, OK ?
-oui, Sidi…
-alors, montre-moi comment une puce se colle bien.
Elle croisa ses jambes autour de mes hanches, il lui ramena les talons sur mon clitoris et j’entendis les mains de mon mari claquer sur ses fesses, elle hurla encore et je sentis son talon sur mon sexe. Quand j’entendis le tuyau frapper un rythme plus rapide sur ses fesses, son talon devient source de plaisir…
Quand il mit sa main dans mon sexe et se rendit compte de ma jouissance, il la récolta et la mit dans la bouche de Marjana.
-c’est quoi ça ?
-heu…
-parle, petite pute !
-la jouissance de madame….
-de madame ? de ta pute chérie, oui, dis-le !
-la jouissance de ma pute chérie
-alors, suce-moi, je veux enculer.
Il mit sa verge dans la bouche de Marjana qui ne put que la sucer jusqu’à obtenir une érection valable. Du coup, elle frottait son sexe contre mes vertèbres lombaires, me serrer de ses jambes. Elle jouait de ses talons sur mon sexe, et je jouissais. Mais, mes genoux que la moquette frottait depuis le début, devinrent douloureux, et j’en pleurais.
Mon mari ordonna à ma chérie de se laisser glisser sur la moquette. Elle se mit à quatre pattes à mes côtés en pensant qu’il aller l’enculer, mais surprise : il voulut qu’elle s’étale sur le dos et qu’elle lui offre son minou.
-mais Sidi, je dois rester vierge, sinon, on me tuera
-ça fera un cocu de moins, petite salope, non
-je vous en supplie par… (tous les saints y passèrent sans résultat)
-alors raconte-moi ce que tu sais de cette pute, et je te laisse…
Comme elle nie tout, il tient à la prendre et la pauvre, tout en pleurs écarte ses jambes. Je tombe alors sur son minou la protégeant et lui dit :
-je te dis tout, mais laisse la tranquille.
-vas-y, j’écoute
Je lui parle d’un viol récent par deux voyous en lui expliquant que je ne pouvais pas les déclarer à cause de son honneur, et que je ne lui ai rien dit pour ne pas le perdre. Pour la sodomie, je lui explique que le mari de ma mère me le faisait toujours, et c’est trop humiliant… mais j’en ai besoin.
Il laissa Marjana partir pour s’occuper du petit, me porta sur le lit et me couvrit avant de sortir. Le soir, quand le l’entend rentrer, il passe deux heures avec Marjana, et quand il arrive dans ma chambre en souriant, il est déjà en robe de chambre. Elle le suit avec un plateau de champagne en main. Elle ne porte qu’une petite jupe rouge avec des bretelles en dentelles.
-c’est quoi, cette tenue ? demandais-je pour comprendre son plan.
-sa robe de mariée, un peu courte, mais comme le mariage… je l’épouse demain.
Elle me présenta le champagne en souriant, elle garde son sourire quand il parle de divorce après une semaine.
-on pourrait baiser ce soir, ma pute chérie ? tu nous accompagne au tribunal, pour manifester ton accord ?
Il m’explique que cette nuit, elle lui a offert son cul, et qu’il l’avait prise en levrette, et qu’elle n’était donc plus vierge.
-et comme je sais que tu ne tiendras pas une semaine, je te baise avant de partir, en espérant que tu seras fidèle une fois…
-promis juré chéri…
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