Une aventure...
Récit érotique écrit par Bourgeoise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une aventure...
Le Mardi soir, en ramenant le petit de son école, je jette un coup d'œil interrogateur à ma douce Marjana qui sourit pour dire oui. Je commençais déjà à mouiller quand dans la cuisine elle me confirme l'appel de mon avocat, m'annonçant un rendez-vous pour le Lundi suivant…
-ohhhhh, encore…
-contente-toi de moi, ma chérie, je te régale ce soir, tu verras… promit-elle consolante.
-je sais, mais lui, il a … il est…
-ne me dis pas que tu l'aimes
-je le veux… et mon divorce surtout…
Notre nuit commence comme toutes les autres par un baiser doux, puis ses confidences où elle me raconte qui elle a allumé en faisant les courses, et à qui elle cèdera. Entre nos câlins, nous parlons de tout, sauf de nos conquêtes où rapports avec des femmes, un peu comme si nous nous étions promis fidélité, mais surtout parce que chacune sait que l'autre ne veut pas en entendre parler.
-si tu es en colère parce qu'il te manque, tu peux me fesser pour te calmer, ou te venger… ça me plait… dit-elle en se positionnant.
-dis que tu en as envie plutôt…
-oui, aussi
Je lui envoie trois claques qu'elle apprécie, mais avec la quatrième j'éclate en sanglots laissant mes doigts investir ses orifices. Notre étreinte se termine dans la baignoire où nous nous savonnons mutuellement en nous caressant.
-parfumes-toi bien à 11h30, c'est mieux que rien… et l'après-midi sera plus longue, d'ailleurs…
Le lendemain, en cherchant mon fils, je prends soin de mettre le bon parfum et attends la sortie des enfants. Depuis une heure déjà, mes seins avaient durci et mes mamelons érigés pointaient sous le tissu léger de ma chemise… "une vraie femelle en chaleur" qui veut l'affirmer à son mâle, mais celui qui ne m'avait pas donné son nom, n'était pas venu chercher sa fille, et c'est une femme qui vient la prendre…
Au moment où mon fils arrive j'entends deux jeunes hommes discuter un rendez-vous:
-14h30, ici, ça te va ?
-je ne sais pas, je dois demander…
-dis lui que c'est un lieu sympa, et surtout discret, et que personne ne risque de la connaître, et si elle te sourit, c'est un bon signe.
Sentant une main caresser franchement une de mes fesses, je me retire discrètement sans rien dire.
-et dis lui aussi qu'on rentre dès qu'une fille le demande… et moi je sais qu'elle va aimer dit-il en caressant mon autre fesse…
Là, l'invitation était claire, et je souris en le regardant, et ne peut m'empêcher de répondre à son charmant clin d'œil.
Quand j'arrive devant l'école à 14h30, le soleil est encore ardent, et nous portons tous les quatre des lunettes de soleil. Ils mes font la bise et je suis surprise de réaliser que j'étais avec trois beaux jeunes hommes, grands de taille et de musculatures moyennes.
Celui qui avait pris place à ma droite avait un torse un peu plus large et semblait être le meneur, c'était lui qui m'avait draguée en quelque sorte, ou que moi j'avais séduit si je préfère.
-et Soraya et Dounia demanda-t-il en se retournant vers ses amis?
-elles nous attendent à la maison.
C'est alors que je sens sa main se poser sur mon genou, puis ma cuisse qu'il veut caresser.
-où allons-nous?
Comme il m'indique une plage, je lui demande de ne pas m'exciter et de me laisser conduire, mais je pose ma main sur sa cuisse à chaque changement de vitesse. Quand nous sommes parmi les cabanons, la main reprend ma cuisse et mon excitation remonte, et quand je m'arrête devant un cabanon indiqué, je sens déjà trois mains sur mon corps.
Rachid caresse l'intérieur de mes cuisses, les deux autres tiennent chacun un sein. Puis d'un commun accord, ils m'accordent un répit dont Rachid profite pour retirer les clefs et me prendre dans ses bras.
Dans le cabanon, Lotfi appelle Soraya et Dounia, deux petites chattes arrivent, et j'en tire la conclusion qui s'impose; je vais avoir trois hommes cet après-midi, mais serais-je leur pute ou leur maîtresse, leur amie ou leur vide-couilles?.
Je suis leur coup de la journée, comme ils sont le mien. Je choisis en tout cas de laisser venir, sans jouer la petite offensée.
Quand Rachid me dépose devant lui pour le sucer, je n'hésite pas à emboucher le sexe que j'emplie de salive, quand Lotfi me tire par les cheveux, je me retourne très vite pour lui obéir en continuant de masturber Rachid, et pour répondre à Samir, qui malaxe mes seins, je gémis comme je peux pour montrer que j'aime. Puis Rachid passe derrière moi et, me prenant par le ventre, m'aide à tendre les jambes en continuant de sucer Lotfi qui tient toujours mes cheveux. Quand je le sens venir, je mordille un peu le sexe qui envahit ma bouche, et c'est à peine si je n'étouffe pas quand il fond dans ma bouche. La première giclée déborde sur le bord de mes lèvres, alors que ma tête est retirée en arrière, les deux suivantes aspergent mon visage et mes cheveux. En relevant ma tête, Lotfi dit "belle petite salope; merci", je lèche les goûtes de sperme autour de mes lèvres et lui sourit de manière coquine.
C'est à ce moment que Rachid fixe son sexe sur ma fente anale un instant, avant de le laisser glisser entre mes jambes pour quelques va et vient… puis comme s'il hésitait traverse encore ma raie supérieure. Dans des circonstances plus intimes, j'aurais dit "baise-moi", mais la langue de Lotfi explorait ma bouche et l'obstruait, et je devait gémir pour rester proche des soins prodigués à mes seins. Enfin, c'est au fond de mon vagin que le sexe se retrouve et commence à coulisser.
Je ne peux crier mon plaisir, mais mes sécrétions sont beaucoup plus éloquentes. C'est enfin Samir qui me prend le corps pour me déposer sur le dos, Il continue à malaxer mes seins jusqu'à me faire crier de douleur… Quand il me demande gentiment si je veux bien le sucer, j'en suis si étonnée que je ne réponds que par un clin d'œil coquin. Il se met alors à cheval sur mon ventre, m'embrasse très fort sur la bouche. En se relevant, il laisse couler beaucoup de salive entre mes seins… c'était notre salive, celle de notre baiser… Il se laisse progressivement glisser sur mon corps; ramenant ses testicules au niveau de mes seins, il sert mes seins et les dessert sur son sexe, le fait coulisser sur notre salive, puis me rappelle ma promesse. Je relève la tête et ma bouche devient le prolongement du chemin que nous venions d'inventer. Pendant que le membre coulisse entre mes seins et ma bouche, je découvrais un nouveau plaisir: celui de la fellation moins étouffante ou celui de se faire malaxer les seins par une bite. Je connaissais déjà par le net, mais on ne me l'avait jamais demandé… Pour finir, Samir me serre contre lui comme pour coller nos poitrine un instant…
-fais comme chez toi, dit Lotfi, mais n'oublie pas que nous sommes là !
-à moins que Mima ne veuille plus de nous… Mima?
-plus on est de fous, et plus on s'amuse, venez.
Lotfi se colle alors contre mon dos comme pour me faire apprécier sa belle et solide érection. Je tourne alors la tête de son côté pour lui offrir un baiser furtif, mais il me prend par les hanches en poussant ma poitrine vers l'avant. Samir se plie un peu aussi avant de décoller nos poitrines et de rester près de mon sein qu'il garde entre ses mains pour le peloter encor un moment.
Lotfi met une jambe entre les miennes pour le écarter, je sens son genou sur mes grandes lèvres, puis c'est l'avant de sa cuisse qui les essuie, puis je sens une queue (c'est le cas de le dire) claquer entre mes fesses, boucher un moment mon cul, avant de pénétrer doucement mon vagin comme en levrette. Le plus beau sexe des trois se frotte à mes lèvres. Rachid, dont le pouce caresse tendrement ma joue, me relève la tête, et m'offre son clin d'œil charmeur, et ce n'est pas totalement hypocrite quand je pose ma joue contre sa main tremblante: je n'étais pas amoureuse, main j'avais un sentiment, une sensation… je lui souris de manière coquine avant de caresser le gland du bout de ma langue en me concentrant sur le sexe qui investissait mon vagin par petits coups. Quand il ressort de moi, j'embouche totalement le sexe de Rachid qui me lance un "OUI chérie".
Pour m'embrocher encore, Lotfi me tient par les hanches et m'attire à lui, ma bouche qui la belle verge, et je réussis, en synchronisant les rythmes des deux pénétrations, à n'avoir en mon corps que l'équivalent d'une bite. Samir, qui avait contemplé le spectacle aux premières, avait collé une cuisse contre mon sein, et passé une main de coté pour mesurer le mouvement. Mais quand mes amants accélérèrent la cadence, je ne suivais plus… Lotfi, emplit mon vagin, Rachid inonde ma gorge, et les giclées suivantes souillent le haut et le bas se mon dos. Mes deux amants me mènent sur un matelas très fin, me couchent entre eux et me câlinent... les mots doux de Rachid se mêlent aux crudités de Lotfi… ils s'étaient partagé mon corps, et j'avais un sein pour chacun, une cuisse entre les cuisses de chacun, et une verge sur chaque coté de mon ventre.
Samir me regarde en souriant et me dit:
-Mima, tu es trop désirable, je te veux très fort…
-et très dur; dit Lotfi en pressant mon sein…
-et c'est mutuel, dit Rachid en caressant l'autre sein…
-c'est collectif, dis-je en prenant les deux bites sur mes hanches, et en les masturbant doucement…
Samir me prend les talons, les met sur ses épaules, et me caresse les jambes, puis l'arrière de mes cuisses, avant d'atteindre mes fesses qu'il écarte et ressert plusieurs fois, avant d'aller sur mon sexe mouillé recueillir le jus de mon plaisir. Je sens son pouce au bord de mon anus, imbiber mon anneau rectal, sans le forcer. J'avais bien besoin qu'on me défonce le cul; mais j'évite de réagir pour les laisser venir comme ils veulent… et j'aimais bien ce rythme et cette jeunesse qui se partage ce corps un peu plus mur, et moins jeune.
J'ai donc les cuisses repliées contre le ventre, les seins entre les genoux; alors que deux hommes appuient sur mes chevilles les rapprochant au maximum de mes épaules. Exercice que je n'ai plus fait depuis longtemps, et donc un peu dur… et par réflexe, je serrais les deux bites que j'avais en mains. Samir m'avait embrassé passionnément en caressant l'arrière de mes cuisses avant de mouiller encore une fois mon cou, mon entre seins, mon nombril avant de commencer un cunnilingus qui me fait hurler un plaisir que je n'ai encore jamais vécu sans pénétration.
Je n'étais pas étonnée de sentir mon jus de plaisir couler entre mes jambes et mes fesses pour laisser une flaque sous le bas de mon dos. La langue qui s'était attardée sur mon clito et mes lèvres, remonte rapidement vers mon ventre, mes seins, mon cou et mon menton. Les deux autres bouches, qui avaient tout fait pour me rougir les lèvres allèrent de chaque côté de mon cou et l'arrière de mes oreilles. Cette caresse m'a toujours chauffée, et dans ma situation, je n'ai pu que serrer mes mains, en comprimant les deux verges que je tenais…
Quand cette langue qui m'avait remontée tout mon corps, pénètre ma bouche, je retrouve tous les goûts jusqu'à celui de son sperme et des autres, mais surtout celui de ma jouissance. Au même moment, sa verge pénètre mon sexe dont le trop plein facilitait l'entrée, alors que mes mains coulissaient sus les bites, Samir éjacula en moi, d'abord, puis sur mon ventre en se relevant, les deux autres le suivirent. Lotfi et Rachid continuèrent à prendre soin de ma nuque pendant que je jouissais, dans une demi-inconscience.
Quand je reviens à moi-même, j'ai encore les jambes pliées alors que rien ne les retient: ils sont déjà debout autour de moi et portent des maillots de bains.
-lève-toi Mima, on va dans l'eau, dit Lotfi…
-quoi? Avec moi? Je n'ai pas de maillot, moi…
-nous sommes entre nous, répondirent-ils tous les trois…
-vous n'allez pas m'exposer, dehors, svp mes chéris…
Lotfi me montra une petite serviette, en me tendant la main. Je me rends compte que j'étais encore pliée sans y être forcée. En les tendant, je me retrouve écartée et offerte. Je me caresse un sein et offre un clin d'œil à Rachid qui dit:
-on te veut dans l'eau, tu dois avoir goûter au sexe salé, sinon, c'est l'occasion.
Prise par la nuque et les fesses, je suis mise debout, les jambes légèrement écartées. Rachid m'embrasse sans mes serrer, et quand je veux répondre, il me tire par les cheveux et parle d'un baiser salé.
La serviette couvre à peine mes seins et le haut de mes fesses, et le seul choix que j'ai est de la porter où aller les 200 mètres totalement nue.
Entre le cabanon et l'eau, je suis tenue comme prisonnière entre Rachid qui tient le haut de la serviette en caressant mes seins, et Lotfi, qui en minant de tenir le bas de la serviette, caresse mes fesses et fait glisser un doigt dans ma raie. Puis, le doigt devient plus insistant
-je vois que tu me respectes moins que mon mari…
-si tu voulais être respectée, tu ne serais pas là, non ma chérie?
-et si nous nous mettons à trois, c'est pour tout respecter en toi…ajouta Rachid.
Quand mes jambes sont dans l'eau, la serviette est retirée et Lotfi la porte sur le sable sec, alors que Rachid m'entraîne pour que mes seins soient immergés. Nous nous embrassons fougueusement quand il me prend par les fesses et ramène mon sexe sur le sien. Je le sens coulisser entre mes jambes et gagner en volume. Lotfi me prend par les aisselles et m'élève un peu. Mes jambes enlacent la taille de Rachid dont je tenais le cou, Pourtant, je me sens glisser le long de son corps. Quand son gland touche mes lèvres, j'ai comme l'illusion que je serais retenue au dessus. Mais je le sens à peine traverser mon sexe et envahir mes entreilles en un temps record, et ce sont finalement ses boules qui me retiennent.
Comme il ne bouge pas, je tente un mouvement vers le haut, quand je sens le gland de Lotfi sur ma rondelle, alors qu'il pince légèrement mes seins.
-non, stp, nooooooooooooooon
-tu as un problème, Mima chérie?
-j'ai peur mes chéris, pas les deux, svp…
-embrasse-moi, me dit Rachid, en retirant en partie son phallus, Lotfi me pousse contre lui.
Nous nous embrassons très fort, et il me sert puissamment les fesses qui s'écartent un peu. Le gland de Lotfi traverse ma rondelle et progresse lentement en moi, alors que Rachid a gardé le tiers de sa verge en moi. C'est d'abord dans mon cul que le mouvement est le plus ample, puis mes partenaires accordent leur mouvement pour que je ne subisse pas de douleur… puis, excités, ils se mirent à mes défoncer de plus bel, et je sentis d'abord mon cul inondé, puis presque au même moment Rachid noie mon vagin.
Nous ainsi tous les trois un moment comme pour savourer la jouissance.
-alors, le sexe salé; tu aimes? Me dit Rachid qui vient libérer ma bouche.
Mais, comme j'embrassais déjà Lotfi en guise de remerciements mutuels, je caressai tendrement le cou auquel je m'étais accrochée dès le début.
Nous batifolons un moment dans l'eau, entre caresses, baisers, ils me rincent et doigtent, je les masturbe légèrement, ils me fouettent les fesses avec leurs verges peu érigées…
Quand nous entendons appeler, nous voyons Samir au bord de l'eau, serviette en main nous faire signe. Dès que je suis hors de l'eau, il me prend dans ses bras comme un bébé, les autres me couvrent comme ils peuvent avec la serviette, et je suis transportée vers le cabanon. J'étais déjà satisfaite et à bout de force, mais je savais que je ne les avais pas encore également satisfait.
-les bons comptes font les bons amis, me dit Samir… tu dois me sucer.
Comme il était couché sur le dos, je me suis placée entre ses jambes pour le sucer, mais il me força à mettre ma croupe au niveau de sa bouche, ce qui me fait croire à un doux 69 qu'il me semble entamer. Mais très vite, sa langue laisse mon clito pour flatter mon anus. Et très vite, j'augmentai ma salive sur son sexe. Il me releva, me prit par les seins, et je sentis son sexe se faire un passage à travers ma rondelle. Son intrusion est plutôt sauvage, et son mouvement est sans ménagement. J'en arrive à hurler à chaque coup de boutoir et je suis en larmes quand il éjacule en moi.
Il devait être 19 h quand je déposai Rachid devant l'école, et c'est à regret que je lui refuse une autre rencontre:
-tu serais un amant idéal, mais je risque d'être amoureuse de toi…
-moi, je le suis déjà, Mima, me dit-il
-non Rachid, nous sommes, chacun pour l'autre, une belle aventure, c'est tout. OK?
-on pourrait la prolonger, stp
Je lui offre un dernier baiser qu'il s'évertue à prolonger en me donnant ses coordonnées, mais dès qu'il n'est plus là, je range la carte avec celles que l'oublie emporte.
Je ne finis de ruisseler que dans un bain chaud que ma douce Marjana partage en me cajolant comme elle le fait si bien.
-ohhhhh, encore…
-contente-toi de moi, ma chérie, je te régale ce soir, tu verras… promit-elle consolante.
-je sais, mais lui, il a … il est…
-ne me dis pas que tu l'aimes
-je le veux… et mon divorce surtout…
Notre nuit commence comme toutes les autres par un baiser doux, puis ses confidences où elle me raconte qui elle a allumé en faisant les courses, et à qui elle cèdera. Entre nos câlins, nous parlons de tout, sauf de nos conquêtes où rapports avec des femmes, un peu comme si nous nous étions promis fidélité, mais surtout parce que chacune sait que l'autre ne veut pas en entendre parler.
-si tu es en colère parce qu'il te manque, tu peux me fesser pour te calmer, ou te venger… ça me plait… dit-elle en se positionnant.
-dis que tu en as envie plutôt…
-oui, aussi
Je lui envoie trois claques qu'elle apprécie, mais avec la quatrième j'éclate en sanglots laissant mes doigts investir ses orifices. Notre étreinte se termine dans la baignoire où nous nous savonnons mutuellement en nous caressant.
-parfumes-toi bien à 11h30, c'est mieux que rien… et l'après-midi sera plus longue, d'ailleurs…
Le lendemain, en cherchant mon fils, je prends soin de mettre le bon parfum et attends la sortie des enfants. Depuis une heure déjà, mes seins avaient durci et mes mamelons érigés pointaient sous le tissu léger de ma chemise… "une vraie femelle en chaleur" qui veut l'affirmer à son mâle, mais celui qui ne m'avait pas donné son nom, n'était pas venu chercher sa fille, et c'est une femme qui vient la prendre…
Au moment où mon fils arrive j'entends deux jeunes hommes discuter un rendez-vous:
-14h30, ici, ça te va ?
-je ne sais pas, je dois demander…
-dis lui que c'est un lieu sympa, et surtout discret, et que personne ne risque de la connaître, et si elle te sourit, c'est un bon signe.
Sentant une main caresser franchement une de mes fesses, je me retire discrètement sans rien dire.
-et dis lui aussi qu'on rentre dès qu'une fille le demande… et moi je sais qu'elle va aimer dit-il en caressant mon autre fesse…
Là, l'invitation était claire, et je souris en le regardant, et ne peut m'empêcher de répondre à son charmant clin d'œil.
Quand j'arrive devant l'école à 14h30, le soleil est encore ardent, et nous portons tous les quatre des lunettes de soleil. Ils mes font la bise et je suis surprise de réaliser que j'étais avec trois beaux jeunes hommes, grands de taille et de musculatures moyennes.
Celui qui avait pris place à ma droite avait un torse un peu plus large et semblait être le meneur, c'était lui qui m'avait draguée en quelque sorte, ou que moi j'avais séduit si je préfère.
-et Soraya et Dounia demanda-t-il en se retournant vers ses amis?
-elles nous attendent à la maison.
C'est alors que je sens sa main se poser sur mon genou, puis ma cuisse qu'il veut caresser.
-où allons-nous?
Comme il m'indique une plage, je lui demande de ne pas m'exciter et de me laisser conduire, mais je pose ma main sur sa cuisse à chaque changement de vitesse. Quand nous sommes parmi les cabanons, la main reprend ma cuisse et mon excitation remonte, et quand je m'arrête devant un cabanon indiqué, je sens déjà trois mains sur mon corps.
Rachid caresse l'intérieur de mes cuisses, les deux autres tiennent chacun un sein. Puis d'un commun accord, ils m'accordent un répit dont Rachid profite pour retirer les clefs et me prendre dans ses bras.
Dans le cabanon, Lotfi appelle Soraya et Dounia, deux petites chattes arrivent, et j'en tire la conclusion qui s'impose; je vais avoir trois hommes cet après-midi, mais serais-je leur pute ou leur maîtresse, leur amie ou leur vide-couilles?.
Je suis leur coup de la journée, comme ils sont le mien. Je choisis en tout cas de laisser venir, sans jouer la petite offensée.
Quand Rachid me dépose devant lui pour le sucer, je n'hésite pas à emboucher le sexe que j'emplie de salive, quand Lotfi me tire par les cheveux, je me retourne très vite pour lui obéir en continuant de masturber Rachid, et pour répondre à Samir, qui malaxe mes seins, je gémis comme je peux pour montrer que j'aime. Puis Rachid passe derrière moi et, me prenant par le ventre, m'aide à tendre les jambes en continuant de sucer Lotfi qui tient toujours mes cheveux. Quand je le sens venir, je mordille un peu le sexe qui envahit ma bouche, et c'est à peine si je n'étouffe pas quand il fond dans ma bouche. La première giclée déborde sur le bord de mes lèvres, alors que ma tête est retirée en arrière, les deux suivantes aspergent mon visage et mes cheveux. En relevant ma tête, Lotfi dit "belle petite salope; merci", je lèche les goûtes de sperme autour de mes lèvres et lui sourit de manière coquine.
C'est à ce moment que Rachid fixe son sexe sur ma fente anale un instant, avant de le laisser glisser entre mes jambes pour quelques va et vient… puis comme s'il hésitait traverse encore ma raie supérieure. Dans des circonstances plus intimes, j'aurais dit "baise-moi", mais la langue de Lotfi explorait ma bouche et l'obstruait, et je devait gémir pour rester proche des soins prodigués à mes seins. Enfin, c'est au fond de mon vagin que le sexe se retrouve et commence à coulisser.
Je ne peux crier mon plaisir, mais mes sécrétions sont beaucoup plus éloquentes. C'est enfin Samir qui me prend le corps pour me déposer sur le dos, Il continue à malaxer mes seins jusqu'à me faire crier de douleur… Quand il me demande gentiment si je veux bien le sucer, j'en suis si étonnée que je ne réponds que par un clin d'œil coquin. Il se met alors à cheval sur mon ventre, m'embrasse très fort sur la bouche. En se relevant, il laisse couler beaucoup de salive entre mes seins… c'était notre salive, celle de notre baiser… Il se laisse progressivement glisser sur mon corps; ramenant ses testicules au niveau de mes seins, il sert mes seins et les dessert sur son sexe, le fait coulisser sur notre salive, puis me rappelle ma promesse. Je relève la tête et ma bouche devient le prolongement du chemin que nous venions d'inventer. Pendant que le membre coulisse entre mes seins et ma bouche, je découvrais un nouveau plaisir: celui de la fellation moins étouffante ou celui de se faire malaxer les seins par une bite. Je connaissais déjà par le net, mais on ne me l'avait jamais demandé… Pour finir, Samir me serre contre lui comme pour coller nos poitrine un instant…
-fais comme chez toi, dit Lotfi, mais n'oublie pas que nous sommes là !
-à moins que Mima ne veuille plus de nous… Mima?
-plus on est de fous, et plus on s'amuse, venez.
Lotfi se colle alors contre mon dos comme pour me faire apprécier sa belle et solide érection. Je tourne alors la tête de son côté pour lui offrir un baiser furtif, mais il me prend par les hanches en poussant ma poitrine vers l'avant. Samir se plie un peu aussi avant de décoller nos poitrines et de rester près de mon sein qu'il garde entre ses mains pour le peloter encor un moment.
Lotfi met une jambe entre les miennes pour le écarter, je sens son genou sur mes grandes lèvres, puis c'est l'avant de sa cuisse qui les essuie, puis je sens une queue (c'est le cas de le dire) claquer entre mes fesses, boucher un moment mon cul, avant de pénétrer doucement mon vagin comme en levrette. Le plus beau sexe des trois se frotte à mes lèvres. Rachid, dont le pouce caresse tendrement ma joue, me relève la tête, et m'offre son clin d'œil charmeur, et ce n'est pas totalement hypocrite quand je pose ma joue contre sa main tremblante: je n'étais pas amoureuse, main j'avais un sentiment, une sensation… je lui souris de manière coquine avant de caresser le gland du bout de ma langue en me concentrant sur le sexe qui investissait mon vagin par petits coups. Quand il ressort de moi, j'embouche totalement le sexe de Rachid qui me lance un "OUI chérie".
Pour m'embrocher encore, Lotfi me tient par les hanches et m'attire à lui, ma bouche qui la belle verge, et je réussis, en synchronisant les rythmes des deux pénétrations, à n'avoir en mon corps que l'équivalent d'une bite. Samir, qui avait contemplé le spectacle aux premières, avait collé une cuisse contre mon sein, et passé une main de coté pour mesurer le mouvement. Mais quand mes amants accélérèrent la cadence, je ne suivais plus… Lotfi, emplit mon vagin, Rachid inonde ma gorge, et les giclées suivantes souillent le haut et le bas se mon dos. Mes deux amants me mènent sur un matelas très fin, me couchent entre eux et me câlinent... les mots doux de Rachid se mêlent aux crudités de Lotfi… ils s'étaient partagé mon corps, et j'avais un sein pour chacun, une cuisse entre les cuisses de chacun, et une verge sur chaque coté de mon ventre.
Samir me regarde en souriant et me dit:
-Mima, tu es trop désirable, je te veux très fort…
-et très dur; dit Lotfi en pressant mon sein…
-et c'est mutuel, dit Rachid en caressant l'autre sein…
-c'est collectif, dis-je en prenant les deux bites sur mes hanches, et en les masturbant doucement…
Samir me prend les talons, les met sur ses épaules, et me caresse les jambes, puis l'arrière de mes cuisses, avant d'atteindre mes fesses qu'il écarte et ressert plusieurs fois, avant d'aller sur mon sexe mouillé recueillir le jus de mon plaisir. Je sens son pouce au bord de mon anus, imbiber mon anneau rectal, sans le forcer. J'avais bien besoin qu'on me défonce le cul; mais j'évite de réagir pour les laisser venir comme ils veulent… et j'aimais bien ce rythme et cette jeunesse qui se partage ce corps un peu plus mur, et moins jeune.
J'ai donc les cuisses repliées contre le ventre, les seins entre les genoux; alors que deux hommes appuient sur mes chevilles les rapprochant au maximum de mes épaules. Exercice que je n'ai plus fait depuis longtemps, et donc un peu dur… et par réflexe, je serrais les deux bites que j'avais en mains. Samir m'avait embrassé passionnément en caressant l'arrière de mes cuisses avant de mouiller encore une fois mon cou, mon entre seins, mon nombril avant de commencer un cunnilingus qui me fait hurler un plaisir que je n'ai encore jamais vécu sans pénétration.
Je n'étais pas étonnée de sentir mon jus de plaisir couler entre mes jambes et mes fesses pour laisser une flaque sous le bas de mon dos. La langue qui s'était attardée sur mon clito et mes lèvres, remonte rapidement vers mon ventre, mes seins, mon cou et mon menton. Les deux autres bouches, qui avaient tout fait pour me rougir les lèvres allèrent de chaque côté de mon cou et l'arrière de mes oreilles. Cette caresse m'a toujours chauffée, et dans ma situation, je n'ai pu que serrer mes mains, en comprimant les deux verges que je tenais…
Quand cette langue qui m'avait remontée tout mon corps, pénètre ma bouche, je retrouve tous les goûts jusqu'à celui de son sperme et des autres, mais surtout celui de ma jouissance. Au même moment, sa verge pénètre mon sexe dont le trop plein facilitait l'entrée, alors que mes mains coulissaient sus les bites, Samir éjacula en moi, d'abord, puis sur mon ventre en se relevant, les deux autres le suivirent. Lotfi et Rachid continuèrent à prendre soin de ma nuque pendant que je jouissais, dans une demi-inconscience.
Quand je reviens à moi-même, j'ai encore les jambes pliées alors que rien ne les retient: ils sont déjà debout autour de moi et portent des maillots de bains.
-lève-toi Mima, on va dans l'eau, dit Lotfi…
-quoi? Avec moi? Je n'ai pas de maillot, moi…
-nous sommes entre nous, répondirent-ils tous les trois…
-vous n'allez pas m'exposer, dehors, svp mes chéris…
Lotfi me montra une petite serviette, en me tendant la main. Je me rends compte que j'étais encore pliée sans y être forcée. En les tendant, je me retrouve écartée et offerte. Je me caresse un sein et offre un clin d'œil à Rachid qui dit:
-on te veut dans l'eau, tu dois avoir goûter au sexe salé, sinon, c'est l'occasion.
Prise par la nuque et les fesses, je suis mise debout, les jambes légèrement écartées. Rachid m'embrasse sans mes serrer, et quand je veux répondre, il me tire par les cheveux et parle d'un baiser salé.
La serviette couvre à peine mes seins et le haut de mes fesses, et le seul choix que j'ai est de la porter où aller les 200 mètres totalement nue.
Entre le cabanon et l'eau, je suis tenue comme prisonnière entre Rachid qui tient le haut de la serviette en caressant mes seins, et Lotfi, qui en minant de tenir le bas de la serviette, caresse mes fesses et fait glisser un doigt dans ma raie. Puis, le doigt devient plus insistant
-je vois que tu me respectes moins que mon mari…
-si tu voulais être respectée, tu ne serais pas là, non ma chérie?
-et si nous nous mettons à trois, c'est pour tout respecter en toi…ajouta Rachid.
Quand mes jambes sont dans l'eau, la serviette est retirée et Lotfi la porte sur le sable sec, alors que Rachid m'entraîne pour que mes seins soient immergés. Nous nous embrassons fougueusement quand il me prend par les fesses et ramène mon sexe sur le sien. Je le sens coulisser entre mes jambes et gagner en volume. Lotfi me prend par les aisselles et m'élève un peu. Mes jambes enlacent la taille de Rachid dont je tenais le cou, Pourtant, je me sens glisser le long de son corps. Quand son gland touche mes lèvres, j'ai comme l'illusion que je serais retenue au dessus. Mais je le sens à peine traverser mon sexe et envahir mes entreilles en un temps record, et ce sont finalement ses boules qui me retiennent.
Comme il ne bouge pas, je tente un mouvement vers le haut, quand je sens le gland de Lotfi sur ma rondelle, alors qu'il pince légèrement mes seins.
-non, stp, nooooooooooooooon
-tu as un problème, Mima chérie?
-j'ai peur mes chéris, pas les deux, svp…
-embrasse-moi, me dit Rachid, en retirant en partie son phallus, Lotfi me pousse contre lui.
Nous nous embrassons très fort, et il me sert puissamment les fesses qui s'écartent un peu. Le gland de Lotfi traverse ma rondelle et progresse lentement en moi, alors que Rachid a gardé le tiers de sa verge en moi. C'est d'abord dans mon cul que le mouvement est le plus ample, puis mes partenaires accordent leur mouvement pour que je ne subisse pas de douleur… puis, excités, ils se mirent à mes défoncer de plus bel, et je sentis d'abord mon cul inondé, puis presque au même moment Rachid noie mon vagin.
Nous ainsi tous les trois un moment comme pour savourer la jouissance.
-alors, le sexe salé; tu aimes? Me dit Rachid qui vient libérer ma bouche.
Mais, comme j'embrassais déjà Lotfi en guise de remerciements mutuels, je caressai tendrement le cou auquel je m'étais accrochée dès le début.
Nous batifolons un moment dans l'eau, entre caresses, baisers, ils me rincent et doigtent, je les masturbe légèrement, ils me fouettent les fesses avec leurs verges peu érigées…
Quand nous entendons appeler, nous voyons Samir au bord de l'eau, serviette en main nous faire signe. Dès que je suis hors de l'eau, il me prend dans ses bras comme un bébé, les autres me couvrent comme ils peuvent avec la serviette, et je suis transportée vers le cabanon. J'étais déjà satisfaite et à bout de force, mais je savais que je ne les avais pas encore également satisfait.
-les bons comptes font les bons amis, me dit Samir… tu dois me sucer.
Comme il était couché sur le dos, je me suis placée entre ses jambes pour le sucer, mais il me força à mettre ma croupe au niveau de sa bouche, ce qui me fait croire à un doux 69 qu'il me semble entamer. Mais très vite, sa langue laisse mon clito pour flatter mon anus. Et très vite, j'augmentai ma salive sur son sexe. Il me releva, me prit par les seins, et je sentis son sexe se faire un passage à travers ma rondelle. Son intrusion est plutôt sauvage, et son mouvement est sans ménagement. J'en arrive à hurler à chaque coup de boutoir et je suis en larmes quand il éjacule en moi.
Il devait être 19 h quand je déposai Rachid devant l'école, et c'est à regret que je lui refuse une autre rencontre:
-tu serais un amant idéal, mais je risque d'être amoureuse de toi…
-moi, je le suis déjà, Mima, me dit-il
-non Rachid, nous sommes, chacun pour l'autre, une belle aventure, c'est tout. OK?
-on pourrait la prolonger, stp
Je lui offre un dernier baiser qu'il s'évertue à prolonger en me donnant ses coordonnées, mais dès qu'il n'est plus là, je range la carte avec celles que l'oublie emporte.
Je ne finis de ruisseler que dans un bain chaud que ma douce Marjana partage en me cajolant comme elle le fait si bien.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Idem : abandon avant la fin. Qui sont les protagonistes ? Est-ce unse saga ?
abandon avant la fin