CONSOLATION
Récit érotique écrit par Bourgeoise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2009 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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CONSOLATION
A peine deux jours étaient passés quand je reçus un appel de Laila, me suppliant presque de passer la voir Samedi, chez sa mère.
-pourquoi chez ta mère ? rien de grave ?
-non, non, je t’assure, c’est juste que j’y serai, ok ?
-je ne peux rien te refuser, ma chérie (surtout en pensant à ses lèvres), 16h c’est bon ?
Elle rappela encore vendredi pour insister sur le RV. « j’ai vraiment besoin de toi, chérie », avait-elle dit tristement en raccrochant.
Le Samedi, m’attendant à rencontrer sa mère, j’avais porté une djellaba a et un foulard assorti, et me suis encore parfumée dans la voiture avant de monter.
En entrant, je suis tout de suite étonnée par un musique populaire que sa mère n’écouterait pour rien au monde. Quand elle me fait la bise, je sens qu’elle vient de fumer : sa mère n’est donc pas là.
J’enlève donc mon foulard alors qu’elle m’aide à retirer ma djellaba. Et c’est à ce moment que tout bascule : au lieu de tenir mon étoffe qui glisse à mes pieds, ses mains suivent sa chute le long de mon corps, s’arrêtant au dessus de ma raie.
-mais tu me caresses ou quoi ? dis-je un peu eexcitée.
-ça t’arrive de porter des dessous ? pour toute réponse.
-oui, en hivers
-on pourrait te voir à poils, alors, un mouvement… un vent un peu fort…
-aucun risque, répondis-je en riant, je ne garde jamais de poils…
J’aurais pu lui dévoiler mon pubis totalement épilé et voir sa réaction, mais sur le coup j’ai préféré la laisser venir, la laisser cuir à feu doux. Ne le suis-je pas depuis que j’ai vu ses lèvres ?
-tu veux une bière ?
-oui, si tu en as quatre pour moi… et pas besoin de verre…
Elle en ramena deux, et s’assied prêt de moi, sans rien dire, mais en souriant. J’avais surtout envie de sa bouche et surtout de sa lèvre inférieure si belle. Et quand elle ramena la bouteille dessus je me retiens pour ne pas faire de compliment.
-alors, dis-moi chérie, tu voulais me voir ?
-on a toujours envie de te voir, ma belle…
-et de me dire quelque chose, de me confier quelque chose… une idée, une peur… tu as un souci ?
-oui, j’ai trompé mon mari, et je culpabilise un peu, j’ai été stupide et punie, je n’aurais pas du…j’ai été traitée comme une pute, et je l’ai mérité… j’y pense avec beau coup d’amertume…
-alors ne le refais plus, ma chérie… ne propose plus ton aide, mais fais-toi courtiser un peu… tu es femme, et tu es belles…
-tu as tout vu alors, dit-elle en baissant la tête humiliée.
-un faux départ et une première expérience sans jouissance… ce n’est pas grave, tu feras mieux après.
Je relevai son menton en caressant ses joues en l’invitant au sourire. Elle ramena ses lèvres vers les miennes, mais je la repousse un peu :
-là encore, tu vas trop vite, mon ange, je veux prendre deux bières avant.
-tu ne veux pas, ou quoi ? dit-elle au bord des larmes…
-oh que si, depuis très longtemps, depuis notre première rencontre… répondis-je tout bas en reprenant ma bière.
La voyant toute tremblant d’excitation, je m’amuse à prolonger son attente en lui offrant une cigarette, et en prenant une pour moi. Quand je lui offre du feu, elle caresse un peu ma main. Je la laisse faire un peu avant d’allumer la mienne.
-ce que tes lèvres son délicieuses, tu es admirable…
-alors ?
-j’admire, dis-je avec un sourire malicieux. Tu me donnes ma deuxième bière, ma chérie ?
Elle fit très vite le déplacement et revint s’asseoir contre moi, contre mon bras gauche écarté, en me tendant la bouteille. Je la sentis poser timidement son visage sur mon sein. Le caresse doucement son cou et sa nuque alors qu’elle commence à gémir.
-fais-moi fumer, ma chérie, lui dis-je.
-comment ?
-en prenant la fumée dans ta bouche avant de m’embrasser.
Elle se précipita d’allumer et d’emplir sa bouche pour m’embrasser. Je soude mes lèvres aux siennes en respirant la fumée tout en léchant ses lèvres. Quand je la repousse, elle se réalimente en fumée, et le baisser reprend, et quand la cigarette est consumée, je la retiens à mes lèvres et commence à explorer sa bouche minutieusement. Alors que son corps répondait parfaitement, sa langue restait timide. Quand je pus l’aspirer et la faire tourner dans ma bouche je gémis en la serrant pour lui dire que j’appréciais. Ce qu’elle ne tarda pas à comprendre et alla bien au fond de ma bouche. Et notre baiser devient plus fougueux et plus passionné.
Ma main s’aventure à travers son corsage et atteint un mamelon, turgescent comme prévu, mais si désirable que je ne peux m’empêche de déboutonner sa robe et dégrafer son soutien-gorge.
Elle voulut alors se dégager de ma bouche en tentant de me repousser d’une main peu déterminée. Je m’attendais bien à une petite protestation de convenance. Quand je lâche sa langue, et donc ses lèvres, j’avais une main sur sa nuque et l’autre sur son nombril.
-mais que faisons-nous, là ? que me fais-tu ?
-je veux juste te connaître de plus près ma chérie, à moins que tu me refuses ? Répondis-je alors que j’avais deux doigts entre ses lèvres vaginales.
-non, mais c’est qu’entre femmes, c’est pas correct… je sais pas…
-si tu ne veux pas, je m’arrête, dis-je alors que j’avais deux doigts en elle.
Elle ne fait plus que gémir en écartant ses jambes. Je l’invite à se lever en faisant autant. Elle fait elle-même glissé sa robe à travers ses épaules, et quand celle-ci se retrouve sur mes bras, je fais un dernier mouvement dans ses entrailles avant de lui permettre de libérer ses jambes. Elle n’avait alors plus que sa petite culotte sur elle.
Quand je me lève pour l’embrasser, elle se retourne et me demande :
-je peux te déshabiller, moi aussi ?
-mais bien sure ma chérie, tu dois le faire.
-elle descendit la fermeture-éclair et resta un instant à caresser mon dos, avant de laisser choir ma robe que je bloquai sur mon pubis.
-montre-toi bébé chérie, j’ai hâte de voir…
Quand je laisse tomber la robe à mes pieds en levant les bras assez haut pour lui montrer que je suis toute épilée, elle reste bouche-bée avant de me serrer contre elle. Etant plus petite, je lève la tête à la recherche d’un nouveau baiser, tout en malaxant ses fesses un peu fermes. Alors qu’elle m’offrit à nouveau ses lèvres de rêve dans un nouveau baiser, elle serra aussi mes fesses en s’amusant à les comprimer et les écarter.
J’en fus excitée au plus haut point et mis un doigt dans son anus en espérant qu’elle en fasse autant. Mais elle me surprend en me collant deux grosses baffes sur chacune de mes fesses me faisant pousser un cri en repoussant sa bouche
J’étais surtout étonnée de recevoir ces coups de la part de celle qui fut si soumise l’autre jour. Mais, nouvelle surprise, elle tombe à genoux devant moi et me demande de lui pardonné son excès.
-comment tu trouves mon pubis ? hein ?
-très beau, et très excitant
-alors, fais-toi pardonner, salope, dis-je en écartant les jambes, pour jouer un peu la dominatrice. Sans y être forcée, elle se débrouillait merveilleusement bien.
Après mon premier orgasme, je l’installe sur le canapé et me livre à un 69 avec elle. Après son second orgasme, elle me laisse doigter son anus, qui sans être vierge, ne semblait pas très fréquenté. Et c’est en subissant mes coups de langue devant, et mes doigts dans son petit trou qu’elle jouit pour ma troisième fois.
-on continue, chérie ? demanda-t-elle.
-oui, on continue à boire, si tu veux, après on verra.
Assises devant nos bières à califourchon, elle me parle de son mariage un peu forcée, de leur différence d’âge, et de ses rares aventures avant le mariage : quelques sodomies et des baisers, mais jamais de femmes.
Nous sommes restées en contact quelque temps jusqu’au jour où elle m’annonça qu’elle avait un jeune amant de 17 ans. Ce qui n’est pas très sage mais je n’ai rien dit
-pourquoi chez ta mère ? rien de grave ?
-non, non, je t’assure, c’est juste que j’y serai, ok ?
-je ne peux rien te refuser, ma chérie (surtout en pensant à ses lèvres), 16h c’est bon ?
Elle rappela encore vendredi pour insister sur le RV. « j’ai vraiment besoin de toi, chérie », avait-elle dit tristement en raccrochant.
Le Samedi, m’attendant à rencontrer sa mère, j’avais porté une djellaba a et un foulard assorti, et me suis encore parfumée dans la voiture avant de monter.
En entrant, je suis tout de suite étonnée par un musique populaire que sa mère n’écouterait pour rien au monde. Quand elle me fait la bise, je sens qu’elle vient de fumer : sa mère n’est donc pas là.
J’enlève donc mon foulard alors qu’elle m’aide à retirer ma djellaba. Et c’est à ce moment que tout bascule : au lieu de tenir mon étoffe qui glisse à mes pieds, ses mains suivent sa chute le long de mon corps, s’arrêtant au dessus de ma raie.
-mais tu me caresses ou quoi ? dis-je un peu eexcitée.
-ça t’arrive de porter des dessous ? pour toute réponse.
-oui, en hivers
-on pourrait te voir à poils, alors, un mouvement… un vent un peu fort…
-aucun risque, répondis-je en riant, je ne garde jamais de poils…
J’aurais pu lui dévoiler mon pubis totalement épilé et voir sa réaction, mais sur le coup j’ai préféré la laisser venir, la laisser cuir à feu doux. Ne le suis-je pas depuis que j’ai vu ses lèvres ?
-tu veux une bière ?
-oui, si tu en as quatre pour moi… et pas besoin de verre…
Elle en ramena deux, et s’assied prêt de moi, sans rien dire, mais en souriant. J’avais surtout envie de sa bouche et surtout de sa lèvre inférieure si belle. Et quand elle ramena la bouteille dessus je me retiens pour ne pas faire de compliment.
-alors, dis-moi chérie, tu voulais me voir ?
-on a toujours envie de te voir, ma belle…
-et de me dire quelque chose, de me confier quelque chose… une idée, une peur… tu as un souci ?
-oui, j’ai trompé mon mari, et je culpabilise un peu, j’ai été stupide et punie, je n’aurais pas du…j’ai été traitée comme une pute, et je l’ai mérité… j’y pense avec beau coup d’amertume…
-alors ne le refais plus, ma chérie… ne propose plus ton aide, mais fais-toi courtiser un peu… tu es femme, et tu es belles…
-tu as tout vu alors, dit-elle en baissant la tête humiliée.
-un faux départ et une première expérience sans jouissance… ce n’est pas grave, tu feras mieux après.
Je relevai son menton en caressant ses joues en l’invitant au sourire. Elle ramena ses lèvres vers les miennes, mais je la repousse un peu :
-là encore, tu vas trop vite, mon ange, je veux prendre deux bières avant.
-tu ne veux pas, ou quoi ? dit-elle au bord des larmes…
-oh que si, depuis très longtemps, depuis notre première rencontre… répondis-je tout bas en reprenant ma bière.
La voyant toute tremblant d’excitation, je m’amuse à prolonger son attente en lui offrant une cigarette, et en prenant une pour moi. Quand je lui offre du feu, elle caresse un peu ma main. Je la laisse faire un peu avant d’allumer la mienne.
-ce que tes lèvres son délicieuses, tu es admirable…
-alors ?
-j’admire, dis-je avec un sourire malicieux. Tu me donnes ma deuxième bière, ma chérie ?
Elle fit très vite le déplacement et revint s’asseoir contre moi, contre mon bras gauche écarté, en me tendant la bouteille. Je la sentis poser timidement son visage sur mon sein. Le caresse doucement son cou et sa nuque alors qu’elle commence à gémir.
-fais-moi fumer, ma chérie, lui dis-je.
-comment ?
-en prenant la fumée dans ta bouche avant de m’embrasser.
Elle se précipita d’allumer et d’emplir sa bouche pour m’embrasser. Je soude mes lèvres aux siennes en respirant la fumée tout en léchant ses lèvres. Quand je la repousse, elle se réalimente en fumée, et le baisser reprend, et quand la cigarette est consumée, je la retiens à mes lèvres et commence à explorer sa bouche minutieusement. Alors que son corps répondait parfaitement, sa langue restait timide. Quand je pus l’aspirer et la faire tourner dans ma bouche je gémis en la serrant pour lui dire que j’appréciais. Ce qu’elle ne tarda pas à comprendre et alla bien au fond de ma bouche. Et notre baiser devient plus fougueux et plus passionné.
Ma main s’aventure à travers son corsage et atteint un mamelon, turgescent comme prévu, mais si désirable que je ne peux m’empêche de déboutonner sa robe et dégrafer son soutien-gorge.
Elle voulut alors se dégager de ma bouche en tentant de me repousser d’une main peu déterminée. Je m’attendais bien à une petite protestation de convenance. Quand je lâche sa langue, et donc ses lèvres, j’avais une main sur sa nuque et l’autre sur son nombril.
-mais que faisons-nous, là ? que me fais-tu ?
-je veux juste te connaître de plus près ma chérie, à moins que tu me refuses ? Répondis-je alors que j’avais deux doigts entre ses lèvres vaginales.
-non, mais c’est qu’entre femmes, c’est pas correct… je sais pas…
-si tu ne veux pas, je m’arrête, dis-je alors que j’avais deux doigts en elle.
Elle ne fait plus que gémir en écartant ses jambes. Je l’invite à se lever en faisant autant. Elle fait elle-même glissé sa robe à travers ses épaules, et quand celle-ci se retrouve sur mes bras, je fais un dernier mouvement dans ses entrailles avant de lui permettre de libérer ses jambes. Elle n’avait alors plus que sa petite culotte sur elle.
Quand je me lève pour l’embrasser, elle se retourne et me demande :
-je peux te déshabiller, moi aussi ?
-mais bien sure ma chérie, tu dois le faire.
-elle descendit la fermeture-éclair et resta un instant à caresser mon dos, avant de laisser choir ma robe que je bloquai sur mon pubis.
-montre-toi bébé chérie, j’ai hâte de voir…
Quand je laisse tomber la robe à mes pieds en levant les bras assez haut pour lui montrer que je suis toute épilée, elle reste bouche-bée avant de me serrer contre elle. Etant plus petite, je lève la tête à la recherche d’un nouveau baiser, tout en malaxant ses fesses un peu fermes. Alors qu’elle m’offrit à nouveau ses lèvres de rêve dans un nouveau baiser, elle serra aussi mes fesses en s’amusant à les comprimer et les écarter.
J’en fus excitée au plus haut point et mis un doigt dans son anus en espérant qu’elle en fasse autant. Mais elle me surprend en me collant deux grosses baffes sur chacune de mes fesses me faisant pousser un cri en repoussant sa bouche
J’étais surtout étonnée de recevoir ces coups de la part de celle qui fut si soumise l’autre jour. Mais, nouvelle surprise, elle tombe à genoux devant moi et me demande de lui pardonné son excès.
-comment tu trouves mon pubis ? hein ?
-très beau, et très excitant
-alors, fais-toi pardonner, salope, dis-je en écartant les jambes, pour jouer un peu la dominatrice. Sans y être forcée, elle se débrouillait merveilleusement bien.
Après mon premier orgasme, je l’installe sur le canapé et me livre à un 69 avec elle. Après son second orgasme, elle me laisse doigter son anus, qui sans être vierge, ne semblait pas très fréquenté. Et c’est en subissant mes coups de langue devant, et mes doigts dans son petit trou qu’elle jouit pour ma troisième fois.
-on continue, chérie ? demanda-t-elle.
-oui, on continue à boire, si tu veux, après on verra.
Assises devant nos bières à califourchon, elle me parle de son mariage un peu forcée, de leur différence d’âge, et de ses rares aventures avant le mariage : quelques sodomies et des baisers, mais jamais de femmes.
Nous sommes restées en contact quelque temps jusqu’au jour où elle m’annonça qu’elle avait un jeune amant de 17 ans. Ce qui n’est pas très sage mais je n’ai rien dit
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