Mon divorce... Mon avocat chéri...
Récit érotique écrit par Bourgeoise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon divorce... Mon avocat chéri...
Mon divorce…mon avocat (chéri)…
J’avais cru que mon mari (aujourd’hui mon ex), s’habituerait à la douceur de Marjana, et m’était faite à l’idée de faire ménage à trois en étant corrigée de temps à autre, pour garder le droit chemin. Mais, à leur retour de voyage, il répudia ma chérie qui accepta sans rien dire.
Durant une autre semaine, je fus négligée au plus haut point, sans la moindre attention de sa part, alors qu’il était là, contrairement à son habitude.
Marjana avait repris son service habituel, mais était beaucoup plus triste, moins souriante surtout :
-je ne suis qu’une poubelle pour son sperme, depuis le début…
-c’est fini, je crois, non ?
-le mariage, oui, mais je dois sucer et avaler 3 fois par jour au moins, avec ses coups et humiliations… rien de pire, tu sais…
-il ne me parle plus depuis votre retour, c’est le brouillard total… j’attends que ça lui passe…
-espérons, mais… demain il part pour 10 jours, j’ai préparé sa valise…
Je devais donc me résigner à une prolongation de mon abstinence, qui n’a jamais été vraie depuis cette fameuse rétrospective. On va voir, mais ma chérie sera là.
Quelques jours plus tard, je reçois une lettre de répudiation et vais donc voir l’avocat que mon médecin m’avait recommandé. J’étais certaine, avant de prendre rendez-vous, qu’une certaine réputation m’avait précédée : il lui a certainement parlé de la manière de traiter une femme dont les fesses sont abimées par une correction un peu trop dure. Mais j’étais prise dans l’engrenage, et mon dossier doit certainement en dire un minimum… et tant que j’y passe, autant jouer le jeu. Et puis, arriver à 19 h dans un bureau, c’est bien pour des heures sups…
La secrétaire qui me reçoit a un sourire assez coquin, qui va bien avec son décolleté un peu trop voyant pour un lieu de travail, à mon gout. Quand elle m’introduit dans son bureau, je remarque sa jupe plissée un peu trop courte pour l’ampleur de ses fesses, et sa démarche ondulante et presque indécente. Son boss m’invite à m’asseoir, et me demande si je veux un café, qu’elle ramène en ayant déjà posté sa djellaba et son foulard sur les épaules.
²En posant les cafés, elle annonce qu’elle doit rentrer parce qu’ »il » l’attend, (IL, c’était son homme, mari, ou amant…)
Elle fait une bise un peu bruyante et mouillée à son boss, qui lui tapote une fesse comme si je n’étais pas là, elle me fait un clin d’œil et disparaît.
Il continue ses explications sur ses prochaines démarches tout en essayant de me rassurer sur l’issu de la procédure. Et s’installant en face de moi, continue à exprimer sa solidarité par le discours d’abord, puis en me prenant la main. Là, c’est une démarche qui m’est plus familière, et dont je vois l’issue. Sa main se dessert un peu, et son indexe pénètre entre ma paume et mes doigts, alors que son pouce caresse franchement mon poignet. Je cherche quelque chose à dire, mais je suis déjà certaine que mon médecin m’a bien recommandée à ce dernier.
Celui-ci a certainement prévu que j’y passe ce soir, et il est bien séduisant, je le désire aussi, mais je me dois d’être un peu compliquée quand-même. Je retire ma main de son emprise et lui souris en disant :
-j’aimerai bien être aussi sure que vous, je me demande si j’ai raison de me plaindre, ou si je dois accepter mon sort…
-TON sort, c’est, d’être très charmante, d’avoir un si beau corps, de si belles jambes (sa main tombe sur mon genou), une si belle poitrine (que sa main gauche dénude) de m’avoir comme avocat, épris de tout cela…(en enlevant le dernier bouton de ma robe)...
-on ne m’a jamais fait ça comme ça… humm
Il leva mon bras vers le haut, caressa mon ventre, et m’embrassa passionnément pendant un long moment, et je lui répondais avec plaisir, debout sur mes talons, mais retenue par des bras forts, et une douceur propre à cet amant. Il m’aide à retirer les petites manches de ma robe. Il ne la laisse pas tomber à terre, mais la pose délicatement sur le bureau, et se déshabille rapidement joignant ses habits à ma robe. En me découvrant sans dessous, il siffle d’admiration et dit :
-je t’aime et je te veux, beauté, pas toi ?
-oh, oouiii
Il me prend par les aisselles et me pose sur le bureau et m’embrasse à nouveau en caressant mon dos avant de s’attarder sur mes seins qu’il malaxe assez longtemps comme dans mes fantasmes les plus doux, en me murmurant des petits dictons dont je n’avais jamais saisi le coté érotique. A la force de mes gémissements, il glissa un doigt près de mon sexe pour découvrir mon humidité, y dépose une touffe de papier mouchoir et m’embrasse encore alors que j’aurais crié mon orgasme.
Puis, en déposant des petites bises sur mon cou, en mordillant ma nuque, me dit encore que je suis un amour, que je suis douce, qu’il ne me laissera jamais… etc… mes seins sont durs comme jamais, mes tétons sont érigés, il les taquine de ses doigts, de sa langue puis les suce l’un après l’autre avant que je ne sente ses mains caresser mon abdomen. C’est alors que mon corps se cambre, et je me sens vibrer et rejeter ma tête en arrière, retenue par le bras de mon amant qui dépose un coussin juste avant de la déposer dessus.
-tu es bien, chérie, laisse toi mener, je te conduis au plaisir le plus fort…
-oui, je t’aime mon ange, prends-moi stp, ohhhh …
-apprécie ce que tu ressens, ma belle, apprécie…
Alors que j’étais impatiente de sentir sa pénétration, mes cuisses tremblaient et mon bassin se surélevait alors qu’il continua à masser mon ventre en s’approchant lentement de mon minou.
Puis sa tête se baisse sur mon sexe alors que ses deux mains caressent les racines de mes cuisses en me les écartant encore plus. Puis il déposa ses lèvres sur mon pubis épilé dont il suce la peau comme il le ferait pour y laisser une marque, un suçon. (ce que je verrais dans la soirée). Quand il lâche sa succion, il me caresse avec son indexe et relève la tête en me regardant au fond des yeux un instant et me dit :
-j’adore les femmes bien épilées, les bébés femmes… tu es si belle, si je ne peux te faire jouir toute ta vie, je veux te donner la jouissance de ta vie… alors apprécie ma belle…
-oh oui, c’est déjà fait mon ange
-tu n’as pas tout vu ma belle…
Il ramène sa tête sur mon pubis pour y déposer sa joue un moment, écartant mes grandes lèvres de ses pouces, et voilà que sa langue touche mon clito qu’il lèche un peu avant de le sucer tout en le mordillant. Ses mains remontent le long de mes hanches pour atteindre mes seins qu’il malaxe encore, sans que son cunnilingus ne s’arrête ; alternant succions et mordillages… ma jouissance, la troisième, est alors très violente et je crie assez fort.
Il pose alors son torse sur ma poitrine et me dit :
-jouis et détend-toi beauté, tu peux être tranquille, on ne t’entend pas ici, crie ton plaisir comme tu veux, je t’aime et suis fier des toi ma belle…
-mais tu n’as pas joui, j’ai honte chéri…
-mais si, ta jouissance est aussi la mienne… et c’est pas fini, tu vas voir… détend-toi bien… Ce soir, c’est ton cadeau de bienvenue…
Il me masse un moment les épaules et les hanches, me remet assise et me masse le dos tout en me faisant des bises sur tout le corps. En marquant un nouveau suçon à la racine de mon cou, il me masse longuement les reins et me dit :
-prête pour la suite, beauté ?
-oh oui, partante si tu m’emmènes, où tu voudras mon prince…
Me prenant dans ses bras, il me remet debout devant lui, m’attire contre son corps, et je sens son membre sur mon ventre. J’en estime la taille largement supérieure à celle du dernier visiteur de mes entrailles : celui du docteur.
Me prenant par les fesses, il me lève un peu et je sens ce membre glisser entre mes jambes, et atteindre ma fente arrière. Mon amant me prend par les fesses en reculant un peu son bassin. Je sens alors son gland à l’entrée de mon gouffre s’introduire doucement, profitant de l’humidité des parois.
Je m’accroche au cou de mon amant qui me laisse progressivement glisser sur ce membre qui me pénètre complètement, qui me bourre les entrailles. Mes jambes entourent ce corps et j’entame un mouvement d’ascension et de chutes qui font aller et venir en moi ce chibre source de mon plaisir, et de celui qui m’en a déjà tant donné. Voulant donner du plaisir à mon amant, j’accélère la cadence de mon coulissage, d’abord volontairement, puis dans une inconscience follement éperdue. Mais, ma jouissance l’emporte sur moi, et mon amant me retient et termine lui-même le travail. Son sperme m’emplie et, encore une fois, je crie mon plaisir.
Mon amant m’embrasse à nouveau avec fougue pendant que son membre me quitte sous l’effet de nos deux jus de plaisir mélangés.
Je m’affale alors sous ses pieds, et tombe sur le côté, les genoux pliés. Il se place derrière mon dos et m’achève avec de douces paroles avant de reprendre mes seins et mes fesses…
A chacune de ses caresses, je ronronne comme un chat endormi. Comblée et fatiguée, je somnole un instant avant d’être réveillée par une douce sensation de bien-être. Recueillant des goutes qui ruisselle de mon vagin, mon amant était entrain de lubrifier mon anus. Je le laisse faire sans broncher, mais quand son majeur me pénètre, j’exprime mon accord et mon plaisir.
Après quelques allers et venues, je me relève un peu et prend le bout du membre en bouche, sans pouvoir l’absorber totalement. Je le sens durcir et s’épaissir, pendant que le doigt continue ses mouvements dans mon anus. Puis mon amant me prend doucement par le cou pour me retirer ma glace chaude :
-je veux te prendre par ton petit trou, tu permets ?
-oui mon ange, suis tout à toi dis-je en me mettant à quatre pattes, en lui clignant de l’œil.
Il se met à genoux derrière moi, mes genoux sont écartés par les siens, et je sens son chibre sur le bas de mon dos, alors que ses bourses sont voisines de mon anus. Ses mains agrippent mes hanches et écartent mes fesses, et place son gland à l’entrée de mon anus. Je recule un peu et je le sens me pénétrer doucement, et suis un peu surprise par ce calibre que j’ai rarement rencontré sans un minimum de douleur. Mais le fait que je sois bien lubrifiée et la lenteur de la pénétration, font que je suis surprise de sentir ses boules contre mon bas ventre.
Ses vas et viens sont d’abord lents et courts, avant de gagner très progressivement en rythme et en amplitude. Parallèlement, ses mains me caressent partout, l’extérieur de mes cuisses, mes hanches, mon dos et mon ventre. En se pliant vers l’avant, il peut sucer mon épaule et s’empare de mes seins qu’il torture doucement, alors que son coulissage est au plus fort.
Ce double traitement me procure un immense plaisir que je ne peux m’empêcher de crier violemment menant mon amant à une jouissance que nous partageons dans un ronronnement alors que ses lèvres terminent de me marquer.
Quand il quitte mon cul, je me relève et sens couler le sperme sur mes cuisses, il prend des mouchoirs en papier et me sèche mes deux trous.
-Non, tu ne va pas faire ça toi-même, arrête, je vais le faire à la maison…
-mais on va d’abord diner dehors, ok
-je peux me rincer un peu ?
-si tu veux, tu as des serviettes aux toilettes
-non, donne moi les mouchoirs stp, faut pas qu’on les retrouve demain
-si tu parles de Nora, elle a déjà compris…
-quoi ?
-que je ne suis pas un ange
Je vais aux toilettes pour rincer et en profite pour jeter un coup d’œil au miroir, mes épaules sont marquées de suçons comme si j’avais été battue, mais celui sur pubis est plus arrondi.
-si mon mari voyait ça…
-tu peux déjà dire ton ex… c’est fini…
Il était déjà rhabillé et tenait délicatement ma robe. En la portant, je me retrouve dans ses bras, mais son baiser est rapide, et il me dit :
-si je t’embrase, je vais t’avaler…
-avale-moi, mon ange, dis-je en offrant mes lèvres…
-non, je tiens à toi pour longtemps. On va manger…
Nous quittons le bureau, et sagement, nous allons dans sa voiture où il me dit :
-t’excite pas trop, on va dans un resto, alors ne mouille pas trop ta robe stp chérie… retiens-toi pour la suite…
Je pose ma tête sur son épaule en essayant de rester calme alors qu’en conduisant il se met à parler de mon dossier de divorce, de la démarche à suivre, en me posant quelques questions.
En arrivant au resto, il ouvre ma portière de manière galante, puis me tend le bras pour me mener à l’intérieur.
A SUIVRE
J’avais cru que mon mari (aujourd’hui mon ex), s’habituerait à la douceur de Marjana, et m’était faite à l’idée de faire ménage à trois en étant corrigée de temps à autre, pour garder le droit chemin. Mais, à leur retour de voyage, il répudia ma chérie qui accepta sans rien dire.
Durant une autre semaine, je fus négligée au plus haut point, sans la moindre attention de sa part, alors qu’il était là, contrairement à son habitude.
Marjana avait repris son service habituel, mais était beaucoup plus triste, moins souriante surtout :
-je ne suis qu’une poubelle pour son sperme, depuis le début…
-c’est fini, je crois, non ?
-le mariage, oui, mais je dois sucer et avaler 3 fois par jour au moins, avec ses coups et humiliations… rien de pire, tu sais…
-il ne me parle plus depuis votre retour, c’est le brouillard total… j’attends que ça lui passe…
-espérons, mais… demain il part pour 10 jours, j’ai préparé sa valise…
Je devais donc me résigner à une prolongation de mon abstinence, qui n’a jamais été vraie depuis cette fameuse rétrospective. On va voir, mais ma chérie sera là.
Quelques jours plus tard, je reçois une lettre de répudiation et vais donc voir l’avocat que mon médecin m’avait recommandé. J’étais certaine, avant de prendre rendez-vous, qu’une certaine réputation m’avait précédée : il lui a certainement parlé de la manière de traiter une femme dont les fesses sont abimées par une correction un peu trop dure. Mais j’étais prise dans l’engrenage, et mon dossier doit certainement en dire un minimum… et tant que j’y passe, autant jouer le jeu. Et puis, arriver à 19 h dans un bureau, c’est bien pour des heures sups…
La secrétaire qui me reçoit a un sourire assez coquin, qui va bien avec son décolleté un peu trop voyant pour un lieu de travail, à mon gout. Quand elle m’introduit dans son bureau, je remarque sa jupe plissée un peu trop courte pour l’ampleur de ses fesses, et sa démarche ondulante et presque indécente. Son boss m’invite à m’asseoir, et me demande si je veux un café, qu’elle ramène en ayant déjà posté sa djellaba et son foulard sur les épaules.
²En posant les cafés, elle annonce qu’elle doit rentrer parce qu’ »il » l’attend, (IL, c’était son homme, mari, ou amant…)
Elle fait une bise un peu bruyante et mouillée à son boss, qui lui tapote une fesse comme si je n’étais pas là, elle me fait un clin d’œil et disparaît.
Il continue ses explications sur ses prochaines démarches tout en essayant de me rassurer sur l’issu de la procédure. Et s’installant en face de moi, continue à exprimer sa solidarité par le discours d’abord, puis en me prenant la main. Là, c’est une démarche qui m’est plus familière, et dont je vois l’issue. Sa main se dessert un peu, et son indexe pénètre entre ma paume et mes doigts, alors que son pouce caresse franchement mon poignet. Je cherche quelque chose à dire, mais je suis déjà certaine que mon médecin m’a bien recommandée à ce dernier.
Celui-ci a certainement prévu que j’y passe ce soir, et il est bien séduisant, je le désire aussi, mais je me dois d’être un peu compliquée quand-même. Je retire ma main de son emprise et lui souris en disant :
-j’aimerai bien être aussi sure que vous, je me demande si j’ai raison de me plaindre, ou si je dois accepter mon sort…
-TON sort, c’est, d’être très charmante, d’avoir un si beau corps, de si belles jambes (sa main tombe sur mon genou), une si belle poitrine (que sa main gauche dénude) de m’avoir comme avocat, épris de tout cela…(en enlevant le dernier bouton de ma robe)...
-on ne m’a jamais fait ça comme ça… humm
Il leva mon bras vers le haut, caressa mon ventre, et m’embrassa passionnément pendant un long moment, et je lui répondais avec plaisir, debout sur mes talons, mais retenue par des bras forts, et une douceur propre à cet amant. Il m’aide à retirer les petites manches de ma robe. Il ne la laisse pas tomber à terre, mais la pose délicatement sur le bureau, et se déshabille rapidement joignant ses habits à ma robe. En me découvrant sans dessous, il siffle d’admiration et dit :
-je t’aime et je te veux, beauté, pas toi ?
-oh, oouiii
Il me prend par les aisselles et me pose sur le bureau et m’embrasse à nouveau en caressant mon dos avant de s’attarder sur mes seins qu’il malaxe assez longtemps comme dans mes fantasmes les plus doux, en me murmurant des petits dictons dont je n’avais jamais saisi le coté érotique. A la force de mes gémissements, il glissa un doigt près de mon sexe pour découvrir mon humidité, y dépose une touffe de papier mouchoir et m’embrasse encore alors que j’aurais crié mon orgasme.
Puis, en déposant des petites bises sur mon cou, en mordillant ma nuque, me dit encore que je suis un amour, que je suis douce, qu’il ne me laissera jamais… etc… mes seins sont durs comme jamais, mes tétons sont érigés, il les taquine de ses doigts, de sa langue puis les suce l’un après l’autre avant que je ne sente ses mains caresser mon abdomen. C’est alors que mon corps se cambre, et je me sens vibrer et rejeter ma tête en arrière, retenue par le bras de mon amant qui dépose un coussin juste avant de la déposer dessus.
-tu es bien, chérie, laisse toi mener, je te conduis au plaisir le plus fort…
-oui, je t’aime mon ange, prends-moi stp, ohhhh …
-apprécie ce que tu ressens, ma belle, apprécie…
Alors que j’étais impatiente de sentir sa pénétration, mes cuisses tremblaient et mon bassin se surélevait alors qu’il continua à masser mon ventre en s’approchant lentement de mon minou.
Puis sa tête se baisse sur mon sexe alors que ses deux mains caressent les racines de mes cuisses en me les écartant encore plus. Puis il déposa ses lèvres sur mon pubis épilé dont il suce la peau comme il le ferait pour y laisser une marque, un suçon. (ce que je verrais dans la soirée). Quand il lâche sa succion, il me caresse avec son indexe et relève la tête en me regardant au fond des yeux un instant et me dit :
-j’adore les femmes bien épilées, les bébés femmes… tu es si belle, si je ne peux te faire jouir toute ta vie, je veux te donner la jouissance de ta vie… alors apprécie ma belle…
-oh oui, c’est déjà fait mon ange
-tu n’as pas tout vu ma belle…
Il ramène sa tête sur mon pubis pour y déposer sa joue un moment, écartant mes grandes lèvres de ses pouces, et voilà que sa langue touche mon clito qu’il lèche un peu avant de le sucer tout en le mordillant. Ses mains remontent le long de mes hanches pour atteindre mes seins qu’il malaxe encore, sans que son cunnilingus ne s’arrête ; alternant succions et mordillages… ma jouissance, la troisième, est alors très violente et je crie assez fort.
Il pose alors son torse sur ma poitrine et me dit :
-jouis et détend-toi beauté, tu peux être tranquille, on ne t’entend pas ici, crie ton plaisir comme tu veux, je t’aime et suis fier des toi ma belle…
-mais tu n’as pas joui, j’ai honte chéri…
-mais si, ta jouissance est aussi la mienne… et c’est pas fini, tu vas voir… détend-toi bien… Ce soir, c’est ton cadeau de bienvenue…
Il me masse un moment les épaules et les hanches, me remet assise et me masse le dos tout en me faisant des bises sur tout le corps. En marquant un nouveau suçon à la racine de mon cou, il me masse longuement les reins et me dit :
-prête pour la suite, beauté ?
-oh oui, partante si tu m’emmènes, où tu voudras mon prince…
Me prenant dans ses bras, il me remet debout devant lui, m’attire contre son corps, et je sens son membre sur mon ventre. J’en estime la taille largement supérieure à celle du dernier visiteur de mes entrailles : celui du docteur.
Me prenant par les fesses, il me lève un peu et je sens ce membre glisser entre mes jambes, et atteindre ma fente arrière. Mon amant me prend par les fesses en reculant un peu son bassin. Je sens alors son gland à l’entrée de mon gouffre s’introduire doucement, profitant de l’humidité des parois.
Je m’accroche au cou de mon amant qui me laisse progressivement glisser sur ce membre qui me pénètre complètement, qui me bourre les entrailles. Mes jambes entourent ce corps et j’entame un mouvement d’ascension et de chutes qui font aller et venir en moi ce chibre source de mon plaisir, et de celui qui m’en a déjà tant donné. Voulant donner du plaisir à mon amant, j’accélère la cadence de mon coulissage, d’abord volontairement, puis dans une inconscience follement éperdue. Mais, ma jouissance l’emporte sur moi, et mon amant me retient et termine lui-même le travail. Son sperme m’emplie et, encore une fois, je crie mon plaisir.
Mon amant m’embrasse à nouveau avec fougue pendant que son membre me quitte sous l’effet de nos deux jus de plaisir mélangés.
Je m’affale alors sous ses pieds, et tombe sur le côté, les genoux pliés. Il se place derrière mon dos et m’achève avec de douces paroles avant de reprendre mes seins et mes fesses…
A chacune de ses caresses, je ronronne comme un chat endormi. Comblée et fatiguée, je somnole un instant avant d’être réveillée par une douce sensation de bien-être. Recueillant des goutes qui ruisselle de mon vagin, mon amant était entrain de lubrifier mon anus. Je le laisse faire sans broncher, mais quand son majeur me pénètre, j’exprime mon accord et mon plaisir.
Après quelques allers et venues, je me relève un peu et prend le bout du membre en bouche, sans pouvoir l’absorber totalement. Je le sens durcir et s’épaissir, pendant que le doigt continue ses mouvements dans mon anus. Puis mon amant me prend doucement par le cou pour me retirer ma glace chaude :
-je veux te prendre par ton petit trou, tu permets ?
-oui mon ange, suis tout à toi dis-je en me mettant à quatre pattes, en lui clignant de l’œil.
Il se met à genoux derrière moi, mes genoux sont écartés par les siens, et je sens son chibre sur le bas de mon dos, alors que ses bourses sont voisines de mon anus. Ses mains agrippent mes hanches et écartent mes fesses, et place son gland à l’entrée de mon anus. Je recule un peu et je le sens me pénétrer doucement, et suis un peu surprise par ce calibre que j’ai rarement rencontré sans un minimum de douleur. Mais le fait que je sois bien lubrifiée et la lenteur de la pénétration, font que je suis surprise de sentir ses boules contre mon bas ventre.
Ses vas et viens sont d’abord lents et courts, avant de gagner très progressivement en rythme et en amplitude. Parallèlement, ses mains me caressent partout, l’extérieur de mes cuisses, mes hanches, mon dos et mon ventre. En se pliant vers l’avant, il peut sucer mon épaule et s’empare de mes seins qu’il torture doucement, alors que son coulissage est au plus fort.
Ce double traitement me procure un immense plaisir que je ne peux m’empêcher de crier violemment menant mon amant à une jouissance que nous partageons dans un ronronnement alors que ses lèvres terminent de me marquer.
Quand il quitte mon cul, je me relève et sens couler le sperme sur mes cuisses, il prend des mouchoirs en papier et me sèche mes deux trous.
-Non, tu ne va pas faire ça toi-même, arrête, je vais le faire à la maison…
-mais on va d’abord diner dehors, ok
-je peux me rincer un peu ?
-si tu veux, tu as des serviettes aux toilettes
-non, donne moi les mouchoirs stp, faut pas qu’on les retrouve demain
-si tu parles de Nora, elle a déjà compris…
-quoi ?
-que je ne suis pas un ange
Je vais aux toilettes pour rincer et en profite pour jeter un coup d’œil au miroir, mes épaules sont marquées de suçons comme si j’avais été battue, mais celui sur pubis est plus arrondi.
-si mon mari voyait ça…
-tu peux déjà dire ton ex… c’est fini…
Il était déjà rhabillé et tenait délicatement ma robe. En la portant, je me retrouve dans ses bras, mais son baiser est rapide, et il me dit :
-si je t’embrase, je vais t’avaler…
-avale-moi, mon ange, dis-je en offrant mes lèvres…
-non, je tiens à toi pour longtemps. On va manger…
Nous quittons le bureau, et sagement, nous allons dans sa voiture où il me dit :
-t’excite pas trop, on va dans un resto, alors ne mouille pas trop ta robe stp chérie… retiens-toi pour la suite…
Je pose ma tête sur son épaule en essayant de rester calme alors qu’en conduisant il se met à parler de mon dossier de divorce, de la démarche à suivre, en me posant quelques questions.
En arrivant au resto, il ouvre ma portière de manière galante, puis me tend le bras pour me mener à l’intérieur.
A SUIVRE
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j"aime vraiment et souhaite que tu en ecrive encore beaucoup d'autres sz plus si ce sont
tes propres experiences je pense que ton cul tu vas mieu et te souhaite plein de beaux
plaisir pour 2011
gros bisous
tes propres experiences je pense que ton cul tu vas mieu et te souhaite plein de beaux
plaisir pour 2011
gros bisous
La suite
tres émouvant et tres bien raconté, ca fait de l'effet, j'ai pas pu l'empêcher de
s'ériger et de monter en érection.
s'ériger et de monter en érection.
voilà une bien belle histoire joliment conté ...