Les courbes du printemps

- Par l'auteur HDS Minpass -
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Les courbes du printemps Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Les courbes du printemps
Le cours s’éternisait. Camille était assis à la dernière rangée. Il observait l’amphi,
ne prêtant aucune attention à la voix du prof, devenu un simple fond sonore. Dehors,
un doux soleil inondait la cour de la fac. On était en Mai et il était coincé à
écouter ce monologue assommant. La situation n’était pas totalement sans avantage
cependant. Plus de soixante pour cent des membres de sa promo étaient de jeunes femmes
plus qu’appétissantes. Agées entre dix-huit et vingt ans, elles arboraient toute cette
fraicheur et vigueur que seul les filles de leur âge possèdent. Il y en avait de toute
sorte : blonde, brune, petite et grande, toutes plus mignonnes les unes que les
autres. Elles avaient sorti le grand jeu du printemps : minijupes, voiles légers et
débardeurs laissant apparaître des formes douces et fermes. Ses yeux continuaient de
longer les rangées de belles têtes étudiantes quand il s’arrêta sur l’une d’entre
elles. Celle-ci, au lieu de regarder vers le prof cependant, était tournée vers lui.
Elle était brune, une frange menant vers des doux yeux marron, puis des joues sur
lesquelles quelques timides tâches de rousseur se baladaient. Elle avait une bouche
rose parfaitement dessinée sur laquelle un petit sourire s’était logé. Ses yeux
étaient rivés sur ceux de Camille. Elle souriait toujours, le fixa un long moment puis
se retourna vers l’estrade. Elle portait une robe légère, laissant apparaître un
soupçon de peau. Camille n’arrivait pas à discerner la trace d’un soutien gorge
dessous. Il se sentait durcir. Ce regard avait était intense et perçant.

Le restant du cours se passa dans la frustration.

Enfin la fin arriva et le prof termina sa présentation. Camille quitta l’amphi et se
plaça prêt de la sortie. Il ne savait pas exactement ce qu’il espérait mais au moins
souhaitait voir passer la fille qui l’avait fusillé d’un regard si profond et
mystérieux. La fille tardait à passer, mais enfin elle sortit, accompagnée par deux
amies, très mignonnes également. Camille sentait son cœur battre de plus en plus vite.
La fille ne l’adressa pas, passant sans même un regard. Camille l’observa, excité et
frustré à la fois. Sa robe était courte, s’arrêtant mi-cuisse. Elle avait de longues
jambes blanches et fines. Son regard se logea sur des fesses rebondies, le tissu fin
de sa robe se collait à elle avec chaque pas, laissant apparaître ses courbes. Il se
sentait de nouveau durcir malgré lui. Une voix l’interrompit dans sa rêverie.

« Tu viens ce soir ? » Cécile, sa meilleure amie était sortie parmi les dernières.

On était vendredi, il y avait une soirée de prévue dans un appartement du onzième, il
avait zappé.

« Je sais pas trop. Ca a été une semaine chiante, et je pense que ce cours vient de
m’achever. » Camille se sentait frustré et fatigué, il n’avait pas particulièrement
envi de sociabiliser.

« Mélanie sera là. » Cécile arborait un sourire moqueur à présent.

« Mélanie ? »

« Celle que tu mattes depuis le milieu du cours. T’es vraiment pas discret tu sais. »

Camille se sentait rougir. Cécile le connaissait par cœur. Ils avaient eu une aventure
en première année mais avaient préféré devenir amis plutôt que risquer leur amitié
dans une relation plus sérieuse. Elle était belle. Elle était blonde, les cheveux mi
longs, une belle poitrine et un joli petit cul. Une image lui vint de ses fesses
s’appuyant contre son bassin, sa peau nue luisant dans une lumière tamisée. Leurs
ébats avaient été passionnés et longs. Cécile était une vraie coquine au lit, sa
bouche accueillant son sexe dure avec engouement. Ils avaient même fait deux plans à
trois ensemble. Le premier, son cadeau de vingt ans avec une belle petite coquine que
Cécile côtoyait ; le deuxième avec un mec que Camille avait rencontré en soirée –
pompier volontaire, musclé, bien membré. Elle avait savouré les deux sexes qui lui
étaient offerts, les prenants tour à tour ou en même temps en bouche et en elle. A
présent ils baisaient moins, seulement de temps en temps lors de soirées bien arrosées
ou alors après une longue traite de travail.

Cécile lui sourit à nouveau, « Je la connais, je peux te la présenter. »

« Et en échange ? » Rien n’était jamais gratuit avec Cécile, une vraie petite business
woman.

« T’amènes James à la soirée. »

James était un ami d’enfance, un jeune franco-australien du même âge, étudiant à
Paris. Cécile l’avait repéré depuis un moment.

« Ca marche. »

« Cool ! En attendant, on va chez toi ? Je te sens bien excité après avoir observé le
petit cul de Mélanie. Faut que tu tiennes ce soir si tu veux l’impressionner.» Elle
lui fit un clin d’œil, le prit par la main et le guida vers la sortie de la fac.

Ils poussèrent la porte de chez lui, les mains de Cécile parcourant déjà à travers son
jean la bosse de sa queue raide. Elle enleva son haut puis défit son soutif, relâchant
ses seins ronds et laissant paraître de beaux petits tétons roses déjà dures. Elle ne
portait plus que son pantalon blanc moulant qui laissait deviner l’ombre de son tanga.
Elle s’agenouilla devant Camille, lui jeta un regard coquin, puis se mit à défaire son
jean devenu bien trop serré. Elle sortie sa queue, raide depuis un petit moment déjà
et l’observa un instant. Elle avait un sourire aux lèvres.

« Je dois avouer que je suis un tout petit peux jalouse à l’idée de livrer ce bel
engin à Mélanie. Mais bon je me consolerai avec celui de ton pote australien. » Elle
haussa les épaules et écarta les lèvres, prenant son gland en bouche. Elle le suça
longuement, une main accompagnant les vas et viens de sa bouche, l’autre caressant et
malaxant ses boules.

Camille pensa à Mélanie : ses belles fesses, son regard intense et sa peau à travers
le tissu. Il gicla sans prévenir dans la bouche de Cécile. Celle-ci fit un mouvement
de recul surpris, laissant la semence tomber sur ses lèvres entrouvertes.

« Wow, elle a vraiment eu un effet sur toi. J’espère pour toi que ta performance sera
meilleure ce soir. »

« Merde, désolé Cécile. Je… j’ai pas pu m’en empêcher. »

« Je vois ça. » Elle s’essuya la bouche, se leva puis fit quelques pas en direction de
la salle de bains. Elle défit son pantalon avant d’entrer, le laissant glisser le long
de ses jambes. Son tanga dentelle noir dessinait ses belles fesses. Elle se pencha
lentement pour ramasser son pantalon, le posant sur une chaise, puis elle tira tout
aussi lentement son sous vêtement vers ses pieds. Cette fois elle laissa apparaître sa
chatte épilée en se penchant. Elle luis lança un regard taquin avant de passer à la
salle de bains. Camille avait commencé à débander mais à présent se sentait durcir à
nouveau. Il finit de se déshabiller et la suivie dans la douche. L’eau était déjà
chaude quand il tira le rideau. Cécile se blottît contre son corps, sa peau trempée et
chaude. Le sexe de Camille se frottait entre ses cuisses. Cécile les resserra pour
l’exciter d’avantage. Il l’embrassa, puis la retourna et plaça une main fermement sur
le haut de son dos, l’autre tenant sa hanche. Ainsi, il la cambra et se plaça contre
elle, son sexe se frottant contre sa chatte trempée d’eau et de mouille. Elle émit un
petit murmure d’anticipation. Il fit entrer son gland en elle. Sa peau lui résista un
instant puis ses parois chaudes l’accueillirent et il s’enfonça doucement en elle. Il
se mit à donner des petits coups de reins, ses mains toujours posées sur elle, celles
de Cécile plaquées contre le carrelage. Il accéléra le rythme, son sexe s’enfonçant en
entier, chaque coup arrachant à Cécile un gémissement de plaisir. Elle jouit contre
lui, ses gémissements se faisant de plus en plus forts, aboutissants en un petit cri
de plaisir aigue et essoufflé. Il ralentit. Elle était extrêmement sensible après le
climax et aimait prendre une pause. Elle reprit son souffle puis tourna la tête vers
Camille, ses joues rouges de chaleur et d’excitation.

« Tu vas avoir besoin d’un trou plus serré pour finir une deuxième fois… » Camille
sourit.

Cécile était une vraie coquine. Il se saisit de sa queue, se retirant de sa chatte et
plaça le gland plus haut. Il fit d’abord pénétrer un doigt, puis deux, la dilatant.
Enfin il commença à appliquer une pression avec son sexe, se guidant avec une main.
Doucement, il se poussa en elle, la mouille de sa chatte encore sur son sexe. Le gland
peina à entrer mais enfin il le sentit s’engouffrer pleinement, sa verge s’enfonçant à
son tour. Cécile émit un petit son de douleur. Il posa alors un doigt contre son
clitoris et commença à faire de petites caresses avec un mouvement circulaire. La
douleur s’effaça, laissant place au plaisir et Camille commença à lui limer le cul.
Elle était pleinement dilatée, ses fesses claquant contre son bassin. Il exacerba le
rythme, puis, son sexe engouffré dans son trou serré, il lâcha sa semence en elle.



Ils se préparèrent pour la soirée. Cécile avait un air satisfait – si c’était du à
leurs ébats ou alors au fait qu’elle l’avait baisé avant Mélanie ou même en
anticipation de James, il n’en savait rien. Elle avait prévu une tenue pour la soirée,
enfilant un string en dentelle blanc, un shorty en jean et un haut large sans manches.
La vue de son cul moulé dans le shorty fit rebander Camille qui s’était enfilé un t-
shirt sobre et un jean bleu marine. Cécile le vit.

« Gardes-en pour ce soir bichon. »

Il était tenté d’ignorer le commentaire et de la prendre une nouvelle fois mais ils
n’avaient pas le temps. Il ne voulait pas laisser la chance à un autre de profiter de
Mélanie. Il se contenta d’une fessée sur la fesse gauche de Cécile. Elle lâcha un
petit cri taquin.

Ils quittèrent l’appartement de bonne humeur et prirent la ligne onze en direction du
nord. Il était vingt-et-une heure et la nuit tombait. Elle allée être chaude, Camille
espérait qu’elle le serait dans tous les sens du terme.

Il avait appelé James en se préparant. Quand il avait mentionné Cécile celui-ci avait
confirmé qu’il viendrait sans hésiter, une pointe d’excitation dans sa voie. Pour
Cécile, une bonne soirée était assurée, il espérait juste que ce serait de même pour
lui.

Ils arrivèrent à la fête vingt minutes plus tard. Une dizaine de personnes étaient
déjà arrivées mais Mélanie n’en faisait pas partie. Camille discuta avec diverses
personnes attendant avec impatience l’arrivée de celle qui l’avait enchanté pendant le
cours. James arriva une heure plus tard. Camille lui présenta Cécile et les laissèrent
flirter en paix.

Il était vingt-trois heures et Camille se trouvait sur le balcon. Il la vit tout de
suite. Mélanie entra dans le salon, portant une nouvelle robe toute aussi légère que
la première. Elle fit la bise à l’hôte de la soirée et commença à discuter. Camille
sentait l’excitation pointer à nouveau. Il ne pouvait s’empêcher de la regarder. Elle
avait une peau crémeuse et blanche parsemée de petites tâches de rousseur. Ses cheveux
se baladaient autour de ses épaules, la lumière faisant apparaître des reflets roux.
Sa robe s’arrêtait juste au-dessus de la ligne de ses seins. Encore une fois, elle ne
portait pas de soutien gorge. Deux petites impressions dans le tissu laissaient
deviner ses tétons. Elle parlait à présent avec des copines, son dos face à lui. La
robe tombait contre ses formes, épousant la courbure de ses hanches et fesses. Il
n’arrivait pas à discerner si elle portait un bas. La lumière perçait le tissu,
faisant ressortir la blancheur de sa peau dessous.

La soirée battait son plein, James et Cécile s’étaient éclipsés et Mélanie était
assise dans un canapé, un verre à la main. Elle discutait avec un mec, plutôt beau
gosse, clairement intéressé. Camille savait qu’il devait agir bientôt s’il voulait
avoir une chance. L’occasion se présenta- le mec avec qui elle parlait se leva et se
dirigea vers les toilettes. Camille s’avança vers le canapé.

Mélanie le regarda s’approcher, un sourcil légèrement levé, l’air curieux.

« Salut, moi c’est Camille. »

« Je sais qui t’es. » Elle avait une voix douce.

Camille s’assit à côté d’elle.

« Tu sais, je pense que le mec avec qui tu parlais est très intéressé. » Il ne savait
pas pourquoi il lui disait ça, c’était sorti tout seul. A vrai dire il ne se sentait
pas à l’aise.

Elle rit, « Tu es venu me parler pour m’arranger un coup ? » Son sourire n’était pas
moqueur, taquin plutôt.

Camille se sentait rougir. Il sourit, il fallait rattraper le coup, « Non, enfin en
tout cas pas avec lui. » Putain, décidément il n’arriverait pas à sortir une phrase en
sa faveur.

Elle rit une nouvelle fois - un son délicieux, « Ah je vois. C’est vrai qu’aujourd’hui
t’avais l’air un peu en chien en amphi, à reluquer toutes les filles… »

« J’observais simplement les tendances mode de la nouvelle saison. »

« Hmm, oui ce devait être ça. »

« Et toi alors, tu regardes toujours vers l’arrière pendant un cours ? »

« De temps en temps… j’aime beaucoup les choses qui se passent à l’arrière. » Elle
sourit.

Camille se sentait durcir une nouvelle fois. Un silence s’ensuivit.

« Tu sais, la chambre au fond à une très belle vue sur la ville, je suis déjà venue
une fois. Tu veux voir ? »

Camille n’arrivait pas à croire sa chance. Il fit oui de la tête. Mélanie se leva, le
prit par la main et le guida vers la belle vue. Ils croisèrent le mec avec qui elle
avait discuté sur le canapé, revenant des toilettes. Il eut un regard étonné en les
voyant passer. Camille se sourit à lui même.

La chambre baignait dans l’obscurité, la seule source de lumière un fin rayon blanc de
lune entrecoupé par l’ombre de nuages sombres. Mélanie se tint debout, devant la
fenêtre, contemplant le panorama superbe de la capitale. La lumière embrassait ses
courbes, transperçant le tissu de la robe et laissant apparaître sa peau nue. Elle ne
portait pas de sous vêtements. La raie de ses fesses se dessinait parfaitement dans
l’obscurité. Il s’approcha d’elle.

« J’adore cette vu. C’est une des seules raisons pour laquelle je suis venue ce soir.
»

« Une des seules ? Pas la seule ? » Camille sentait son cœur battre à tout allure.

« Faut voir, tout dépend de comment se passe le restant de la soirée… »

Camille posa une mais sur sa nuque. Elle pencha sa tête vers la droite, ses cheveux
glissant le long de son épaule. Il embrassa sa peau, se colla à elle. Le haut de sa
tête arrivait sous son menton. Il sentit le parfum de ses cheveux. A présent, la
courbure de ses fesses se moulait à lui. Elle remua légèrement le bassin, se frottant
contre son membre dur.

« Déshabille toi. » Sa voix était toujours douce mais ferme. Elle regardait toujours
par la fenêtre.

Camille enleva son t-shirt, puis les chaussures, le jean et enfin le caleçon. Il se
plaça de nouveau derrière elle, se collant au tissu de sa robe, nu. C’était une
sensation agréable, elle continuait de se frotter à lui, la matière de la robe
chauffant son sexe, caressant son gland devenu sensible.

« Hmm… Soulève ma robe, je veux te sentir entre mes cuisses. » Elle avait les yeux
fermés, un sourire aux lèvres.

Il s’exécuta, tirant le tissu vers le haut, révélant ses fesses nues et fermes. Il la
caressa d’une main, ses doigts glissants sur ses reins vers ses cuisses. Enfin, il
plaça sa queue contre sa chatte déjà humide. Elle se frotta à nouveau à lui, ses
cuisses serrées autour de son membre raide, écartant légèrement ses lèvres. Il plaça
une main sur un sein rond et ferme, le téton dur au toucher. Elle frissonna puis se
retourna, pressant son sexe contre son ventre. Il sentit une fine trainée de liquide
s’étalant du bout de son gland sur son ventre. Elle lui sourit. Il saisit les bords de
sa robe et souleva, la dénudant totalement. Ils s’embrassèrent nus devant la vue.

Elle glissa vers le bas, son regard rivé au sien. A genoux, nue devant lui, son dos,
reins et fesses baignant dans la pâle luminosité, elle le prit en main. Elle lécha du
bout de sa langue le liquide pré-séminal qui s’était échappé de son sexe. Elle le
branla doucement, s’arrêtant pour lécher le long de sa verge, épaisse et dure dans sa
main. Elle le prit en bouche, tétant son gland avec le bout des lèvres puis
l’englobant pleinement. Elle alterna, par moments le laissant toucher le fond de sa
gorge, et à d’autres ses lèvres caressants le bout de sa queue. Elle le suça de
longues minutes, puis, n’en pouvant plus, il la releva, la souleva et l’allongea sur
le lit. Il lui écarta les cuisses, une main posée contre son torse, la poussant au
lit. Elle avait une fine ligne de poils traçant le long de sa chatte. Il posa sa
langue délicatement contre son clitoris enflé. Il se mit à le titiller puis le lécher
du bout de sa langue, parfois le caressant du bout du pouce. Mélanie gémissait à
présent, ses cuisses frémissantes contre sa tête. Il glissa un doigt, puis deux en
elle, continuant de la lécher. Elle plaça les mains sur sa tête, l’encourageant, ses
doigts se contractant. Elle laissa échapper un long gémissement, son corps tremblant
alors qu’elle jouit.

Camille se releva, s’allongeant entre ses cuisses ouvertes. Son regard était à nouveau
fixé sur le sien mais cette fois il n’y voyait qu’envie et désire. Il plaça son sexe
entre ses cuisses, le frottant et l’appuyant contre sa chatte, son clito chatouillant
le bout de son gland. Elle gémit une nouvelle fois, l’implorant des yeux de la
pénétrer. Il attendit encore un instant, la taquinant, puis s’enfonça en elle sans
aucune résistance. Elle était trempée.
Camille s’enfonça jusqu’au bout de sa verge, sentant ses boules se poser contre sa
peau. Elle poussa un cri de plaisir, plaçant ses mains sur ses fesses, l’encourageant.
Il la prit de plus en plus fort, sentant ses jambes se resserrer autour de son corps.

Il la fit jouir une nouvelle fois, puis se retira et la retourna brusquement. Il la
plaqua contre le lit, se glissant à nouveau en elle. Il la baisa, son ventre plaqué
contre son dos, son bassin s’appuyant contre son petit cul bombé.

Il la prit en levrette, ses boules tapant contre elle. Elle passa une main sous elle
pour les saisir et les caresser. Il avait les deux mains fermement sur ses hanches.
Elle se mit à bouger d’elle même. Il la lâcha, ses fesses venant se cogner à son
bassin, sa queue raide et longue en elle.

Enfin elle s’assit sur lui et le chevaucha longuement. Il lui caressait les seins.

Essoufflée, le montant toujours elle le regarda –

« Je veux sentir ta semence sur mon visage. »

Il la souleva, son sexe quittant l’emprise de ses parois chaudes. Elle s’allongea
devant lui alors qu’il se tenait à genoux sur le lit, son sexe luisant. Elle le
branla, l’encourageant du regard. Elle le supplia de gicler. Il le fit, sa semence se
répandant épaisse et argentée sur son visage. Elle écarta les lèvres, laissant couler
le foutre sur sa langue.

Il lui administra une petite biffle au visage, la faisant sourire – ce même regard
coquin qu’elle avait eu l’après midi en cours.

Mélanie ne l’avait pas déçu.

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