Titre de l'histoire érotique : Le Jail Club II - Julie
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Le Jail Club II - Julie
Je me rhabille lentement. Nassim m’a donné un mouchoir pour essuyer le foutre qui coule le long de ma jambe. Julie attend toujours près de la porte. Je n’ose la regarder.
La signature du contrat se fait rapidement. Nassim me propose un salaire décent. Mon rôle sera principalement d’aider Julie – tenir la porte deux heures par nuit, faire du networking et l’aider côté médias sociaux. En gros c’est plus ou moins ma bosse. L’idée m’excite un peu.
Nous quittons le bureau de Nassim. Le silence règne tandis que nous nous dirigeons vers la salle. Puis Julie s’arrête et me prend par le bras,
« Il t’as dit quoi à mon propos ?»
Surpris je m’arrête et la regarde.
« C’est à dire ? »
Elle me sourit, « Arrête de faire l’innocent, je viens de te voir te faire enfiler sur son bureau. »
Je rougis, « Ben il m’a dit que tu étais trans. »
« Et ? »
« Et que je ne devais pas essayer de coucher avec toi. »
Elle rit, « Ca ne m’étonne pas – il veut te garder pour lui. T’es tout à fait son genre. »
« C’est à dire ? »
« Très mignon, un peu minet mais pas trop, en forme et… bi. Ah et un cul sublime. »
« Ah, merci pour le compliment. »
« De rien, je le pense – on partage les même goûts avec Nassim, même si j’aime aussi de temps en temps un beau mec bien dominant. » Elle me fait un clin d’œil et je sens que je rougis.
« Tu me donnes ton numéro ? »
Pris de court je ne sais pas trop quoi répondre, « Eu… »
« On va pas mal bosser ensemble, j’ai donc besoin de pouvoir te contacter. »
« Ah ! Oui bien sur. » Elle sourit toujours, parfaitement consciente de ce qu’elle vient de faire.
« T’es vers où sinon sur Paris ? »
« Répu, et toi ? »
« Ah la chance ! Je vis encore chez mes parents en banlieue. »
« Ah, du coup tu fais comment après le service ? »
Je m’aperçois que je bande à présent. Son regard, sa façon d’être – tout est extrêmement sensuel chez Julie. Je fais de mon mieux pour me cacher.
« Ca dépend, d’habitude on prend le petit déj ensemble avec l’équipe et puis je prend le train. Parfois je trouve une âme charitable qui veuille bien m’accueillir. »
« Je vois. » Je ne sais quoi dire, ni faire. Elle a clairement vu mon excitation.
« Allez beau gosse, on va en salle. »
Julie me fait faire le tour de la boite. Elle me présente l’équipe, m’explique le fonctionnement de la caisse et me fait découvrir la cave et les bureaux. Le Jail est un club moderne, bien équipé et sobrement décoré.
A vingt et une heures Julie m’amène à la porte. Elle a avec elle une liste VIP et réservations. Elle me montre comment sont ordonnées les tables et les boxes. Les premières personnes arrivent peu à peu. Une queue se forme rapidement à l’entrée. Je l’aide principalement dans le placement VIP. Elle me montre comment faire – amenant les invités aux tables – puis me laisse faire les deux heures qui suivent. On a droit à une pause d’une demie heure avant de reprendre. Julie ne fume pas. A vingt cinq ans, elle a tout d’une athlète. Elle fait du sport quatre fois par semaine, mange équilibré, boit très peu et semble être globalement motivée et dynamique dans tout ce qu’elle fait. Elle m’avoue avoir commencé sa « transformation » très tôt.
A deux heures du matin nous avons finit pour la journée. Le DJ star de la soirée vient d’entamer son set mais pour Julie et l’équipe du « matin » c’est fini. Nous sortons par une petite porte de service rue Rambuteau. Les autres membres de l’équipe repartent rapidement. Je n’ai pas vu Nassim depuis la signature du contrat.
« Il a tendance à rester tard et ensuite sort dans d’autres boites. C’est un grand fêtard. »
« Et toi ? »
« Moi je cherche une âme charitable. »
Elle me fait un grand sourire.
« Ah… Ben tu es la bienvenue chez moi. »
« Cool ! Je te suis. »
Nerveux et excité à la fois je sort mon téléphone et commande un Uber. Le trajet se passe dans le silence. Mon cœur bat à un rythme forcené.
Devant ma porte d’entrée je galère avec mes clefs. Julie pose une main sur la mienne.
« Détends toi. » Puis elle m’embrasse. Sa langue s’insère entre mes lèvres.
Nous entrons dans l’appartement et je referme rapidement la porte. Je l’embrasse, ne pouvant me retenir. Ma main se balade le long de sa nuque, l’autre se saisit de sa taille. Julie me serre contre elle. Je glisse mes doigts le long de ses fesses, sa cuisse, puis remonte sous sa jupe. Je pétrie sa fesse gauche.
Nous reculons vers le lit, j’allume une lampe au passage. Julie soulève mon t-shirt. Il tombe à terre. Elle m’embrasse le torse. Puis c’est au tour de son haut. Elle ne porte pas de soutien gorge. Ses seins, bien que faux, pointent, parfaits, dans la lumière tamisée de l’appartement. Je les caresse, les malaxe. Elle soupire et je sens une main se coller contre mon entre jambe. Elle me massage fermement la queue déjà raide, à travers le jean. Elle défait mon pantalon et je me retrouve en tanga. Je m’empresse de défaire sa jupe, révélant un string noir, le tissu dissimulant à peine une érection impressionnante. J’y dépose ma main et Julie expire longuement.
« J’étais tellement excitée en te voyant avec Nassim. »
Elle me pousse en arrière sur le lit. Je m’assieds et la tire vers moi.
« Suce-moi, James, j’en ai tellement envi. »
« T’es actif ? » Ma voix est surprise
Elle me sourit, « Je suis tout. Ne t’inquiètes pas chéri je te laisserai aussi jouer avec moi. Mais s’il te plait tais toi et suce. »
Je m’empresse de baisser son string. Son membre résiste un moment, puis, d’un coup se libère. Et quel membre. Sa verge est visiblement plus grosse que la mienne. Elle voit que j’hésite.
« Elle ne te plait pas ? »
Je regarde vers le haut, son regard inquiet se rive au mien.
« Si, énormément. »
Elle sourit et je baisse de nouveau mes yeux vers son sexe. Je m’avance et écarte les lèvres. Son gland a un gout acidulé mais agréable. Je la suce tendrement, prenant plaisir à la satisfaire. Je suçote une à une ses boules. La reprenant en bouche, je place ma main droite sur son scrotum et avance un doigt vers son anus. Je la caresse longuement avant d’insérer un doigt.
« James tu me fais tellement de bien. Laisse moi te prendre. »
Je me retourne sur le lit et prends le tube de lubri toujours sorti après ma soirée avec Nassim. Je lui tend.
“Mets toi à quatre pattes.”
J’obéis et je sens Julie se positionner sur le lit derrière moi. Elle passe une main sur l’intérieur de ma cuisse droite puis remonte. Ses doigts se posent sur mes boules à travers la dentelle du tanga. Puis elle remonte encore, glisse sous le tissu et prend en main mon sexe toujours raide. Julie se penche en avant et me chuchote à l’oreille « J’aime beaucoup ce petit sexe James. » C’est alors qu’elle écarte la bretelle de mon tanga. Je l’entends desserrer le bouchon du tube de lubri.
Son gland se colle froid contre mon scrotum. Elle se positionne contre mon anus.
« J’ai envi que tu te donnes à moi James, que je te possède, te domine totalement. Tu veux bien ? »
Je fais oui de la tête. Elle pousse, une main guidant son membre, l’autre sur ma hanche. Julie me pénètre sans problème, glissant en moi.
Julie me baise avec une passion comme j’en ai jamais connu. Elle me fait longuement l’amour, son membre au fond de moi. J’ai l’impression qu’elle fait partie de moi. Aucun homme ne m’avait encore possédé ainsi. Elle alterne le rythme et la profondeur à perfection. Je gémis, ne pouvant m’en empêcher. Alors que je ne peux plus me retenir, je sens la main de mon amante se saisir de mes couilles. Elle fait légèrement pression et je me lâche. Mon sperme s’étale sur ma couette. Quelques instants plus tard et je sens Julie jouir en moi. Nous nous allongeons côte à côte, ma tête sur ses seins.
Nous restons de longues minutes silencieux. C’est moi qui brise le silence,
« Tu voudrais quand même que je te prenne ? »
Elle rit et me regarde, le regard taquin.
« Seulement si tu en as envi. »
« C’est que, je ne sais pas si je pourrais te donner autant de plaisir en tant qu’actif. »
Elle sourit encore, « T’es honnête. Mais tu ne réponds pas à ma question – est-ce que tu as envi de me prendre ? »
Je fais oui de la tête.
« Alors tu me prendras, mais d’abord on dors. »
Nous dormons enlacés. Son contact chaud me rappelle ma dernière nuit avec une femme, il y a si longtemps. Cependant, la présence indéniable de son sexe me fait également penser à mes amants.
Je me réveille aux coups de langues tendres de Julie sur ma queue, déjà raide. Elle me suce langoureusement, un doigt jouant avec mon scrotum. J’ai envi qu’elle me prenne de nouveau, me rappelant l’extase de la veille. Cependant, je sais également que si je n’inverse pas les rôles aujourd'hui j’en aurait peut-être plus jamais l’occasion. Alors je la laisse remonter, je l’embrasse, je la caresse.
Julie m’encourage du regard tandis que je glisse en elle, ses jambes écartées en missionnaire. Nous alternons en levrette. Mes boules tapent contre la peau de ses fesses rebondies. Elle frémit sous mes coups de hanches et je la fais jouir d’un coup de main.
« Jouis James, jouis ! » Je ne me retiens pas et, tout comme elle la soirée précédente, je laisse mon foutre l’inonder.
De nouveau collés, elle m’embrasse.
« Alors, tu as aimé ? » Ma voix est haletante.
« On ne t’as jamais apprit à ne jamais poser cette question ? A ton avis, j’ai aimé ? »
« Oui. »
« Bon, voilà. Tu sais je prends du plaisir à partir du moment que je me sens bien avec quelqu’un. Je ne suis ni actif, ni passif. Je goute à tout. Mais je sens que tu n’en es pas encore là. Alors on va passer un pacte. Tu n’as le droit de me prendre que si je juge que tu en as réellement envi. »
« Mais j’en avais envi ! »
« Oui mais tu aurais préféré que je te pénètre non ? Ne mens pas. »
Je fais oui de la tête.
« N’aies pas honte James. Ça ne te rends pas moins virile à mes yeux. Au contraire, un homme qui sait ce qu’il veut, ça c’est sexy. Tu as eu combien d’amantes ces derniers mois ? »
« Une seule. »
« Elle t’as dominé ? »
Je suis surpris, « comment t’as su ? »
« Rien. Mais ça ne m’étonne pas. Tu es bi mais tu as pris l’habitude de te laisser dominer. Ça t’excite mais c’est également ce qui t’empêche de rencontrer plus de femmes, de te considérer réellement en tant qu’homme. Ça n'a rien à voir avec la taille de ca. » Elle passe une main sur mon sexe. « Je t’ai vu avec Nassim. Alors bon, je ne te cache pas que ton côté soumis m’excite énormément mais je sais que ça ne te suffit pas. Sinon on n’en serait pas là. Tu saurais te laisser aller à tes envies sans en avoir honte. Donc voila, je vais t’apprendre à reprendre le contrôle de ta sexualité. On ne fait que ce que l’on a vraiment envi de faire. Si tu veux que je te baise pendant deux mois sans interruptions, soit. Quand l’envi te prends d’être actif, tu n'hésite pas. Deal ? »
« Deal. »
Elle me sourit et m’embrasse de nouveau.
« Bon et sinon, tu suces comme une déesse. » Je ris « Toi aussi. »
« C’est normal, j’en suis une. » Elle me fait un clin d’œil.
Nous restons au lit presque toute la journée. Nous faisons l’amour plus de cinq fois. Comme promis je suis honnête avec elle. Julie me baise sur le lit, à même le sol du salon et contre un mur. Je ne la prends que deux fois – sur la table et dans la douche.
La signature du contrat se fait rapidement. Nassim me propose un salaire décent. Mon rôle sera principalement d’aider Julie – tenir la porte deux heures par nuit, faire du networking et l’aider côté médias sociaux. En gros c’est plus ou moins ma bosse. L’idée m’excite un peu.
Nous quittons le bureau de Nassim. Le silence règne tandis que nous nous dirigeons vers la salle. Puis Julie s’arrête et me prend par le bras,
« Il t’as dit quoi à mon propos ?»
Surpris je m’arrête et la regarde.
« C’est à dire ? »
Elle me sourit, « Arrête de faire l’innocent, je viens de te voir te faire enfiler sur son bureau. »
Je rougis, « Ben il m’a dit que tu étais trans. »
« Et ? »
« Et que je ne devais pas essayer de coucher avec toi. »
Elle rit, « Ca ne m’étonne pas – il veut te garder pour lui. T’es tout à fait son genre. »
« C’est à dire ? »
« Très mignon, un peu minet mais pas trop, en forme et… bi. Ah et un cul sublime. »
« Ah, merci pour le compliment. »
« De rien, je le pense – on partage les même goûts avec Nassim, même si j’aime aussi de temps en temps un beau mec bien dominant. » Elle me fait un clin d’œil et je sens que je rougis.
« Tu me donnes ton numéro ? »
Pris de court je ne sais pas trop quoi répondre, « Eu… »
« On va pas mal bosser ensemble, j’ai donc besoin de pouvoir te contacter. »
« Ah ! Oui bien sur. » Elle sourit toujours, parfaitement consciente de ce qu’elle vient de faire.
« T’es vers où sinon sur Paris ? »
« Répu, et toi ? »
« Ah la chance ! Je vis encore chez mes parents en banlieue. »
« Ah, du coup tu fais comment après le service ? »
Je m’aperçois que je bande à présent. Son regard, sa façon d’être – tout est extrêmement sensuel chez Julie. Je fais de mon mieux pour me cacher.
« Ca dépend, d’habitude on prend le petit déj ensemble avec l’équipe et puis je prend le train. Parfois je trouve une âme charitable qui veuille bien m’accueillir. »
« Je vois. » Je ne sais quoi dire, ni faire. Elle a clairement vu mon excitation.
« Allez beau gosse, on va en salle. »
Julie me fait faire le tour de la boite. Elle me présente l’équipe, m’explique le fonctionnement de la caisse et me fait découvrir la cave et les bureaux. Le Jail est un club moderne, bien équipé et sobrement décoré.
A vingt et une heures Julie m’amène à la porte. Elle a avec elle une liste VIP et réservations. Elle me montre comment sont ordonnées les tables et les boxes. Les premières personnes arrivent peu à peu. Une queue se forme rapidement à l’entrée. Je l’aide principalement dans le placement VIP. Elle me montre comment faire – amenant les invités aux tables – puis me laisse faire les deux heures qui suivent. On a droit à une pause d’une demie heure avant de reprendre. Julie ne fume pas. A vingt cinq ans, elle a tout d’une athlète. Elle fait du sport quatre fois par semaine, mange équilibré, boit très peu et semble être globalement motivée et dynamique dans tout ce qu’elle fait. Elle m’avoue avoir commencé sa « transformation » très tôt.
A deux heures du matin nous avons finit pour la journée. Le DJ star de la soirée vient d’entamer son set mais pour Julie et l’équipe du « matin » c’est fini. Nous sortons par une petite porte de service rue Rambuteau. Les autres membres de l’équipe repartent rapidement. Je n’ai pas vu Nassim depuis la signature du contrat.
« Il a tendance à rester tard et ensuite sort dans d’autres boites. C’est un grand fêtard. »
« Et toi ? »
« Moi je cherche une âme charitable. »
Elle me fait un grand sourire.
« Ah… Ben tu es la bienvenue chez moi. »
« Cool ! Je te suis. »
Nerveux et excité à la fois je sort mon téléphone et commande un Uber. Le trajet se passe dans le silence. Mon cœur bat à un rythme forcené.
Devant ma porte d’entrée je galère avec mes clefs. Julie pose une main sur la mienne.
« Détends toi. » Puis elle m’embrasse. Sa langue s’insère entre mes lèvres.
Nous entrons dans l’appartement et je referme rapidement la porte. Je l’embrasse, ne pouvant me retenir. Ma main se balade le long de sa nuque, l’autre se saisit de sa taille. Julie me serre contre elle. Je glisse mes doigts le long de ses fesses, sa cuisse, puis remonte sous sa jupe. Je pétrie sa fesse gauche.
Nous reculons vers le lit, j’allume une lampe au passage. Julie soulève mon t-shirt. Il tombe à terre. Elle m’embrasse le torse. Puis c’est au tour de son haut. Elle ne porte pas de soutien gorge. Ses seins, bien que faux, pointent, parfaits, dans la lumière tamisée de l’appartement. Je les caresse, les malaxe. Elle soupire et je sens une main se coller contre mon entre jambe. Elle me massage fermement la queue déjà raide, à travers le jean. Elle défait mon pantalon et je me retrouve en tanga. Je m’empresse de défaire sa jupe, révélant un string noir, le tissu dissimulant à peine une érection impressionnante. J’y dépose ma main et Julie expire longuement.
« J’étais tellement excitée en te voyant avec Nassim. »
Elle me pousse en arrière sur le lit. Je m’assieds et la tire vers moi.
« Suce-moi, James, j’en ai tellement envi. »
« T’es actif ? » Ma voix est surprise
Elle me sourit, « Je suis tout. Ne t’inquiètes pas chéri je te laisserai aussi jouer avec moi. Mais s’il te plait tais toi et suce. »
Je m’empresse de baisser son string. Son membre résiste un moment, puis, d’un coup se libère. Et quel membre. Sa verge est visiblement plus grosse que la mienne. Elle voit que j’hésite.
« Elle ne te plait pas ? »
Je regarde vers le haut, son regard inquiet se rive au mien.
« Si, énormément. »
Elle sourit et je baisse de nouveau mes yeux vers son sexe. Je m’avance et écarte les lèvres. Son gland a un gout acidulé mais agréable. Je la suce tendrement, prenant plaisir à la satisfaire. Je suçote une à une ses boules. La reprenant en bouche, je place ma main droite sur son scrotum et avance un doigt vers son anus. Je la caresse longuement avant d’insérer un doigt.
« James tu me fais tellement de bien. Laisse moi te prendre. »
Je me retourne sur le lit et prends le tube de lubri toujours sorti après ma soirée avec Nassim. Je lui tend.
“Mets toi à quatre pattes.”
J’obéis et je sens Julie se positionner sur le lit derrière moi. Elle passe une main sur l’intérieur de ma cuisse droite puis remonte. Ses doigts se posent sur mes boules à travers la dentelle du tanga. Puis elle remonte encore, glisse sous le tissu et prend en main mon sexe toujours raide. Julie se penche en avant et me chuchote à l’oreille « J’aime beaucoup ce petit sexe James. » C’est alors qu’elle écarte la bretelle de mon tanga. Je l’entends desserrer le bouchon du tube de lubri.
Son gland se colle froid contre mon scrotum. Elle se positionne contre mon anus.
« J’ai envi que tu te donnes à moi James, que je te possède, te domine totalement. Tu veux bien ? »
Je fais oui de la tête. Elle pousse, une main guidant son membre, l’autre sur ma hanche. Julie me pénètre sans problème, glissant en moi.
Julie me baise avec une passion comme j’en ai jamais connu. Elle me fait longuement l’amour, son membre au fond de moi. J’ai l’impression qu’elle fait partie de moi. Aucun homme ne m’avait encore possédé ainsi. Elle alterne le rythme et la profondeur à perfection. Je gémis, ne pouvant m’en empêcher. Alors que je ne peux plus me retenir, je sens la main de mon amante se saisir de mes couilles. Elle fait légèrement pression et je me lâche. Mon sperme s’étale sur ma couette. Quelques instants plus tard et je sens Julie jouir en moi. Nous nous allongeons côte à côte, ma tête sur ses seins.
Nous restons de longues minutes silencieux. C’est moi qui brise le silence,
« Tu voudrais quand même que je te prenne ? »
Elle rit et me regarde, le regard taquin.
« Seulement si tu en as envi. »
« C’est que, je ne sais pas si je pourrais te donner autant de plaisir en tant qu’actif. »
Elle sourit encore, « T’es honnête. Mais tu ne réponds pas à ma question – est-ce que tu as envi de me prendre ? »
Je fais oui de la tête.
« Alors tu me prendras, mais d’abord on dors. »
Nous dormons enlacés. Son contact chaud me rappelle ma dernière nuit avec une femme, il y a si longtemps. Cependant, la présence indéniable de son sexe me fait également penser à mes amants.
Je me réveille aux coups de langues tendres de Julie sur ma queue, déjà raide. Elle me suce langoureusement, un doigt jouant avec mon scrotum. J’ai envi qu’elle me prenne de nouveau, me rappelant l’extase de la veille. Cependant, je sais également que si je n’inverse pas les rôles aujourd'hui j’en aurait peut-être plus jamais l’occasion. Alors je la laisse remonter, je l’embrasse, je la caresse.
Julie m’encourage du regard tandis que je glisse en elle, ses jambes écartées en missionnaire. Nous alternons en levrette. Mes boules tapent contre la peau de ses fesses rebondies. Elle frémit sous mes coups de hanches et je la fais jouir d’un coup de main.
« Jouis James, jouis ! » Je ne me retiens pas et, tout comme elle la soirée précédente, je laisse mon foutre l’inonder.
De nouveau collés, elle m’embrasse.
« Alors, tu as aimé ? » Ma voix est haletante.
« On ne t’as jamais apprit à ne jamais poser cette question ? A ton avis, j’ai aimé ? »
« Oui. »
« Bon, voilà. Tu sais je prends du plaisir à partir du moment que je me sens bien avec quelqu’un. Je ne suis ni actif, ni passif. Je goute à tout. Mais je sens que tu n’en es pas encore là. Alors on va passer un pacte. Tu n’as le droit de me prendre que si je juge que tu en as réellement envi. »
« Mais j’en avais envi ! »
« Oui mais tu aurais préféré que je te pénètre non ? Ne mens pas. »
Je fais oui de la tête.
« N’aies pas honte James. Ça ne te rends pas moins virile à mes yeux. Au contraire, un homme qui sait ce qu’il veut, ça c’est sexy. Tu as eu combien d’amantes ces derniers mois ? »
« Une seule. »
« Elle t’as dominé ? »
Je suis surpris, « comment t’as su ? »
« Rien. Mais ça ne m’étonne pas. Tu es bi mais tu as pris l’habitude de te laisser dominer. Ça t’excite mais c’est également ce qui t’empêche de rencontrer plus de femmes, de te considérer réellement en tant qu’homme. Ça n'a rien à voir avec la taille de ca. » Elle passe une main sur mon sexe. « Je t’ai vu avec Nassim. Alors bon, je ne te cache pas que ton côté soumis m’excite énormément mais je sais que ça ne te suffit pas. Sinon on n’en serait pas là. Tu saurais te laisser aller à tes envies sans en avoir honte. Donc voila, je vais t’apprendre à reprendre le contrôle de ta sexualité. On ne fait que ce que l’on a vraiment envi de faire. Si tu veux que je te baise pendant deux mois sans interruptions, soit. Quand l’envi te prends d’être actif, tu n'hésite pas. Deal ? »
« Deal. »
Elle me sourit et m’embrasse de nouveau.
« Bon et sinon, tu suces comme une déesse. » Je ris « Toi aussi. »
« C’est normal, j’en suis une. » Elle me fait un clin d’œil.
Nous restons au lit presque toute la journée. Nous faisons l’amour plus de cinq fois. Comme promis je suis honnête avec elle. Julie me baise sur le lit, à même le sol du salon et contre un mur. Je ne la prends que deux fois – sur la table et dans la douche.
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