Titre de l'histoire érotique : Plus jeune qu'à mon habitude (le retour de Georges II)
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Plus jeune qu'à mon habitude (le retour de Georges II)
“C’est fini James.”
“Je sais Julie.”
“J’ai encore envie de toi mais pas comme ca. Donc on continuera de baiser mais on ne sera plus en couple. Je crois que tu as besoin de te consacrer aux hommes. De vraiment te laisser posséder. Et Georges m’a rappelé que j’ai besoin d’un mec qui sache quand il peut me dominer.”
“Tu vas rejoindre Emile?”
“Oui.”
“Et quand il ne souhaitera plus qu’on se voit?”
Elle me caresse la joue, “Je ne pourrais me passer de ta petite bouche.”
“Donc pour toi je suis un bon pompeur et c’est tout. Je vois.”
“Mais non. Ne soit pas comme ça.” Elle se lève, mon regard se porte sur son beau membre. Elle est nue. Nous sommes nus. Elle s’applique un patch d’Oestrogène sur le bras. “Je t’aime. Je suis sincère. Mais la réalité et que tu as besoin de quelqu’un comme Georges. Et moi quelqu’un comme Emile. Tout du moins, pendant un certain temps.”
Nous faisons une dernière fois l’amour puis elle va rejoindre Emile en fin d’après midi.
La soirée se déroule lentement. Je ne travail pas aujourd’hui et reste affalé dans mon fauteuil, sur un site de rencontre gay. Je discute un peu avec un homme qui m’invite chez lui. Mais je n’ai pas la force d’accepter.
A 23h cependant je n’ai pas envi de me coucher. Aucune touche sur mon site de rencontre alors je décide de sortir. Je prends le métro direction Pigalle. Une fois sorti je m’initie dans la queue à l’entrée de la boîte la Machine. Ca fait un moment que je ne suis pas venu, et c’est ma première fois seul. Mais je m’en fous. J’ai juste envi de me défouler, de penser à autre chose que ce que Julie doit être en train de faire avec son amant.
Une fois entré je me dirige vers le bar et commande un cocktail. J’en descends deux puis me tourne vers la première salle. Ce soir c’est house, ce qui me convient parfaitement. Je me faufile dans la foule. Pendant près de deux heures je danse sans m’arrêter. Une personne se colle à moi. La salle est bondée mais ce corps est tout de même plus proche que strictement nécessaire. Je me tourne. Un jeune homme, environ la vingtaine danse à mes côtés. Nos regards se croisent. Il est beau. Il sourit et je sens malgré moi mon coeur qui accélère. Il glisse une main sur ma taille et je ne fais rien pour le repousser. Il me tire à lui. Nous continuons de danser. Ses lèvres se rapprochent des miennes mais il ne m’embrasse pas. A la fin du deuxième set il me prend par la main et me fait signe de le suivre. Nous retournons au bar.
“Je te paye un verre?”
Je fais oui de la tête.
“Manu au fait et toi?”
“James.”
“Exotic! Enchanté James.”
Il commande deux vodkas coca et m’en passe un.
“T’es beau.”
Je souris. Il est très jeune. A vraie dire je n’ai que cinq ans de plus que lui mais il c’est passé tellement de choses depuis mes vingt ans que ces quelques années me paraissent bien plus longues.
“Toi aussi.”
“Merci. Tu viens souvent à la Machine?”
“Assez rarement, quand j’étais plus jeune ouais. Et toi?”
“Presque toutes les semaines. Il rit, t’as quel âge?”
“25.”
“Moi, 19.”
Encore plus jeune que ce que je croyais donc.
“Viens on retourne danser.”
Il me guide de nouveau vers la foule. Nous dansons cote à cote un long moment. Parfois il glisse une main contre moi. A chaque contact elle devient plus ambitieuse avant de finir sur ma fesse gauche. Il me tourne vers lui et je me laisse faire de nouveau. Cette fois il m’embrasse.
“Viens!” Il crie par dessus le vacarme.
Nous sortons du club et il fait signe à un taxi.
“Attends, je ne sais pas si…”
Il m’embrasse encore,
“Pas si quoi?”
“Rien.”
Nous entrons dans la voiture.
“On va chez toi?”
“Ah, euh oui.” Je donne l’adresse au chauffeur.
“T’es du genre timide?”
Nous sommes posés sur mon lit, toujours pleinement habillés. Il ne m’a pas touché depuis notre arrivée.
“Un peu. Enfin ça dépend.”
Il me regarde d’un air curieux, “T’as pas l’habitude avec les mecs?”
“Si. Mais pas aussi jeunes.”
“Ah ok. T’aimes les daddy?”
“Ouais, on peut dire ça.”
“Bon, au moins je sais que t’es passif. Pas de copain?”
“Non, enfin si mais c’est compliqué.”
“Raconte!” Il s’approche et pose une main sur ma cuisse.
“Ben, l’appart lui appartient mais il vit aux USA. Il ne vient pas souvent. Mais j’avais une copine.”
“Ah ouais? Wow et elle était d’accord?”
“Oui. Elle est trans.”
“Intéressant. Vous vous êtes séparés récemment?”
“Aujourd’hui.”
“Ah… désolé.” Il laisse passer un long silence, “On va prendre une douche?”
Il se lève sans m’attendre et se dirige vers la salle de bain. Avant même d’atteindre la porte il enlève son t-shirt, puis laisse tomber le jean. Il se retourne et me sourit tandis qu’il ôte son caleçon. J'aperçois brièvement son sexe, long et épais avant qu’il n’entre dans la salle de bain. J’entends couler l’eau. Je me lève et le suis dans la salle de bain.
“Ben alors? Déshabille toi.”
Il me regarde depuis la douche tandis que je l’obéis. Une fois dénudé je le rejoins. Il ouvre la porte en verre de la douche et me laisse entrer. Il me sourit et passe ses mains sur mon torse, puis mes hanches. Il m’embrasse et je le sers à moi. Il fait ma taille mais est mieux bâti. Ses cheveux bruns - à présent trempés, se collent à sa peau. Il me malaxe les fesses, me caresse la nuque. Je sens son membre chaud et lourd contre ma peau, raidissant. Je m’en empare d’une main, la glissant entre nous. Je le branle, découvrant ce bel engin. Il taquine mes couilles d’une main tandis que l’autre explore la raie de mes fesses.
Sa main passe sur ma propre queue, elle aussi dur au toucher. Je l’embrasse dans le creux de sa nuque, puis le haut du torse, je descends, m’agenouillant devant lui et laissant l’eau chaude couler sur mon visage. Je m’empare de nouveau de son sexe et tire sur la peau, le décalottant. Puis je l’embrasse, goûtant à l’eau ruisselant sur son gland gonflé. Je sens ses doigts courir à travers mes cheveux. Je jette un regard vers le haut avant de gober le bout de son pénis. Je le tète longuement.
L’eau chaude ruisselle le long de ma peau tandis que je suce Manu.
“Oh putain ouais.”
Il me laisse le gober longuement puis finit par me faire remonter.
“Viens.”
Nous nous séchons rapidement puis retournons dans la chambre. Il me pousse sur le lit et m’écarte les cuisses. Puis il descends et je sens sa langue se coller à mon scrotum. Il me lèche et je durcis. Quelques minutes plus tard et je gémis tandis qu’il remonte, place sa queue contre mon anus et fait pression. Elle peine à entrer cependant.
“T’as du lubri?”
Je me tourne et prends le tube posé sur ma table de chevet. Je lui tends. Il s’en applique sur le gland puis sur moi. Cette fois il ne rencontre aucune résistance et me pénètre facilement. À peine en moi cependant il s’immobilise et se saisit de mes hanches. Il me retourne brusquement, me colle sur le ventre et me tire vers lui. Je suis ainsi cambré sur le bord du lit, lui debout. Il s’enfonce en moi et entame une série de coups de reins puissants. Manu est endurant. Il me baise sans relâche. Je jouis au bout d’une heure d'ébats, sa queue enfoncée en moi, sur mon dos, les cuisses écartées. Il se vide en moi quelques instants plus tard. Nous nous endormons sans même se mettre sous la couette, son foutre encore en moi.
Le lendemain matin je me réveille au son d’une clef tournant dans la serrure de la porte. Je m'assois sur le lit, alarmé. La porte ferme. Et j’entends quelqu’un se diriger vers la chambre. Georges apparaît en travers de la porte. Il a d’abord l’air surpris puis souris. Il dépose un sac et enlève son t-shirt.
A suivre.
“Je sais Julie.”
“J’ai encore envie de toi mais pas comme ca. Donc on continuera de baiser mais on ne sera plus en couple. Je crois que tu as besoin de te consacrer aux hommes. De vraiment te laisser posséder. Et Georges m’a rappelé que j’ai besoin d’un mec qui sache quand il peut me dominer.”
“Tu vas rejoindre Emile?”
“Oui.”
“Et quand il ne souhaitera plus qu’on se voit?”
Elle me caresse la joue, “Je ne pourrais me passer de ta petite bouche.”
“Donc pour toi je suis un bon pompeur et c’est tout. Je vois.”
“Mais non. Ne soit pas comme ça.” Elle se lève, mon regard se porte sur son beau membre. Elle est nue. Nous sommes nus. Elle s’applique un patch d’Oestrogène sur le bras. “Je t’aime. Je suis sincère. Mais la réalité et que tu as besoin de quelqu’un comme Georges. Et moi quelqu’un comme Emile. Tout du moins, pendant un certain temps.”
Nous faisons une dernière fois l’amour puis elle va rejoindre Emile en fin d’après midi.
La soirée se déroule lentement. Je ne travail pas aujourd’hui et reste affalé dans mon fauteuil, sur un site de rencontre gay. Je discute un peu avec un homme qui m’invite chez lui. Mais je n’ai pas la force d’accepter.
A 23h cependant je n’ai pas envi de me coucher. Aucune touche sur mon site de rencontre alors je décide de sortir. Je prends le métro direction Pigalle. Une fois sorti je m’initie dans la queue à l’entrée de la boîte la Machine. Ca fait un moment que je ne suis pas venu, et c’est ma première fois seul. Mais je m’en fous. J’ai juste envi de me défouler, de penser à autre chose que ce que Julie doit être en train de faire avec son amant.
Une fois entré je me dirige vers le bar et commande un cocktail. J’en descends deux puis me tourne vers la première salle. Ce soir c’est house, ce qui me convient parfaitement. Je me faufile dans la foule. Pendant près de deux heures je danse sans m’arrêter. Une personne se colle à moi. La salle est bondée mais ce corps est tout de même plus proche que strictement nécessaire. Je me tourne. Un jeune homme, environ la vingtaine danse à mes côtés. Nos regards se croisent. Il est beau. Il sourit et je sens malgré moi mon coeur qui accélère. Il glisse une main sur ma taille et je ne fais rien pour le repousser. Il me tire à lui. Nous continuons de danser. Ses lèvres se rapprochent des miennes mais il ne m’embrasse pas. A la fin du deuxième set il me prend par la main et me fait signe de le suivre. Nous retournons au bar.
“Je te paye un verre?”
Je fais oui de la tête.
“Manu au fait et toi?”
“James.”
“Exotic! Enchanté James.”
Il commande deux vodkas coca et m’en passe un.
“T’es beau.”
Je souris. Il est très jeune. A vraie dire je n’ai que cinq ans de plus que lui mais il c’est passé tellement de choses depuis mes vingt ans que ces quelques années me paraissent bien plus longues.
“Toi aussi.”
“Merci. Tu viens souvent à la Machine?”
“Assez rarement, quand j’étais plus jeune ouais. Et toi?”
“Presque toutes les semaines. Il rit, t’as quel âge?”
“25.”
“Moi, 19.”
Encore plus jeune que ce que je croyais donc.
“Viens on retourne danser.”
Il me guide de nouveau vers la foule. Nous dansons cote à cote un long moment. Parfois il glisse une main contre moi. A chaque contact elle devient plus ambitieuse avant de finir sur ma fesse gauche. Il me tourne vers lui et je me laisse faire de nouveau. Cette fois il m’embrasse.
“Viens!” Il crie par dessus le vacarme.
Nous sortons du club et il fait signe à un taxi.
“Attends, je ne sais pas si…”
Il m’embrasse encore,
“Pas si quoi?”
“Rien.”
Nous entrons dans la voiture.
“On va chez toi?”
“Ah, euh oui.” Je donne l’adresse au chauffeur.
“T’es du genre timide?”
Nous sommes posés sur mon lit, toujours pleinement habillés. Il ne m’a pas touché depuis notre arrivée.
“Un peu. Enfin ça dépend.”
Il me regarde d’un air curieux, “T’as pas l’habitude avec les mecs?”
“Si. Mais pas aussi jeunes.”
“Ah ok. T’aimes les daddy?”
“Ouais, on peut dire ça.”
“Bon, au moins je sais que t’es passif. Pas de copain?”
“Non, enfin si mais c’est compliqué.”
“Raconte!” Il s’approche et pose une main sur ma cuisse.
“Ben, l’appart lui appartient mais il vit aux USA. Il ne vient pas souvent. Mais j’avais une copine.”
“Ah ouais? Wow et elle était d’accord?”
“Oui. Elle est trans.”
“Intéressant. Vous vous êtes séparés récemment?”
“Aujourd’hui.”
“Ah… désolé.” Il laisse passer un long silence, “On va prendre une douche?”
Il se lève sans m’attendre et se dirige vers la salle de bain. Avant même d’atteindre la porte il enlève son t-shirt, puis laisse tomber le jean. Il se retourne et me sourit tandis qu’il ôte son caleçon. J'aperçois brièvement son sexe, long et épais avant qu’il n’entre dans la salle de bain. J’entends couler l’eau. Je me lève et le suis dans la salle de bain.
“Ben alors? Déshabille toi.”
Il me regarde depuis la douche tandis que je l’obéis. Une fois dénudé je le rejoins. Il ouvre la porte en verre de la douche et me laisse entrer. Il me sourit et passe ses mains sur mon torse, puis mes hanches. Il m’embrasse et je le sers à moi. Il fait ma taille mais est mieux bâti. Ses cheveux bruns - à présent trempés, se collent à sa peau. Il me malaxe les fesses, me caresse la nuque. Je sens son membre chaud et lourd contre ma peau, raidissant. Je m’en empare d’une main, la glissant entre nous. Je le branle, découvrant ce bel engin. Il taquine mes couilles d’une main tandis que l’autre explore la raie de mes fesses.
Sa main passe sur ma propre queue, elle aussi dur au toucher. Je l’embrasse dans le creux de sa nuque, puis le haut du torse, je descends, m’agenouillant devant lui et laissant l’eau chaude couler sur mon visage. Je m’empare de nouveau de son sexe et tire sur la peau, le décalottant. Puis je l’embrasse, goûtant à l’eau ruisselant sur son gland gonflé. Je sens ses doigts courir à travers mes cheveux. Je jette un regard vers le haut avant de gober le bout de son pénis. Je le tète longuement.
L’eau chaude ruisselle le long de ma peau tandis que je suce Manu.
“Oh putain ouais.”
Il me laisse le gober longuement puis finit par me faire remonter.
“Viens.”
Nous nous séchons rapidement puis retournons dans la chambre. Il me pousse sur le lit et m’écarte les cuisses. Puis il descends et je sens sa langue se coller à mon scrotum. Il me lèche et je durcis. Quelques minutes plus tard et je gémis tandis qu’il remonte, place sa queue contre mon anus et fait pression. Elle peine à entrer cependant.
“T’as du lubri?”
Je me tourne et prends le tube posé sur ma table de chevet. Je lui tends. Il s’en applique sur le gland puis sur moi. Cette fois il ne rencontre aucune résistance et me pénètre facilement. À peine en moi cependant il s’immobilise et se saisit de mes hanches. Il me retourne brusquement, me colle sur le ventre et me tire vers lui. Je suis ainsi cambré sur le bord du lit, lui debout. Il s’enfonce en moi et entame une série de coups de reins puissants. Manu est endurant. Il me baise sans relâche. Je jouis au bout d’une heure d'ébats, sa queue enfoncée en moi, sur mon dos, les cuisses écartées. Il se vide en moi quelques instants plus tard. Nous nous endormons sans même se mettre sous la couette, son foutre encore en moi.
Le lendemain matin je me réveille au son d’une clef tournant dans la serrure de la porte. Je m'assois sur le lit, alarmé. La porte ferme. Et j’entends quelqu’un se diriger vers la chambre. Georges apparaît en travers de la porte. Il a d’abord l’air surpris puis souris. Il dépose un sac et enlève son t-shirt.
A suivre.
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