Le Jail Club - histoire érotique

Nassim dort profondément. Il me tient toujours. J’ai été réveillé par la barre chaude et dure de son membre contre mon dos. Mon réveil m’informe qu’il est huit heures. J’ai décidé de le faire jouir rapidement. Même si l’idée de me faire prendre m’excite, nos ébats m’ont laissé sensible. Lentement, faisant en sorte de ne pas le réveiller je me retourne, son bras toujours autour de mon torse. Je glisse mes deux mains sous le drap et me saisit de son sexe et de ses testicules. Je le masturbe tendrement. Il grogne mais ne se réveille pas. Je me glisse vers le bas, me libérant de son étreinte. Je le taquine un peu avec ma langue avant de prendre son gland en bouche. Il grogne à nouveau et j’entame la fellation. Je le suce d’abord lentement mais fait rapidement monter la cadence. Je sens qu’il s’est réveillé – sa main se pose sur ma tête, au-dessus du drap. Ma main gauche taquine son scrotum tendis que je le sens monter. Il comprend que je souhaite le faire jouir et ne se retient pas. Mon amant se raidit et je maintiens mon rythme, me focalisant sur le gland, mon index et mon pousse serrant la base de ses boules. Il retient sa respiration un instant. Son sperme fait irruption dans ma bouche. Il me maintient la tête contre son membre mais je n’essaye pas de reculer. J’accepte son foutre que j’avale peu à peu. Il relâche et laisse échapper un râle de plaisir. Nassim rabat le drap alors que je finis d’avaler son sperme.

« Tu m’apportes le petit déj ? Je t’ai donné le tiens. » Il sourit

« B-bien sur. »

Je prépare deux morceaux de toast et un jus d’orange que j’apporte ensuite à mon amant encore au lit.

« C’est bien t’es docile. Bon et sinon je me suis fait tester hier sinon je ne t’aurais jamais baisé sans capote. »

« Cool. » Je suis soulagé.

« Tu aimes les gros calibres alors ? »

Sa main se balade sur mon torse tandis qu’il prend une gorgée de jus. Il la glisse vers mon membre, puis, lentement commence à me masturber. Mon amant me pousse sur mon dos, ma queue toujours en main. Tandis qu’il continue de me branler il insère un doigt dans mon anus. Puis il se penche et saisit le tube de lubri sur la table de chevet.

« Attends – » je tente de lui expliquer que je ne peux pas

« Ne t’inquiètes pas, je ne bande pas. »

Me caressant toujours il s’astique longuement le membre puis mon anus. Comme promis, au repos, il pose son gland circoncis contre mon trou. Il n’a à peine besoin de pousser – aidé par le lubrifiant et le fait que je suis encore dilaté de la veille – et son gland me pénètre. La sensation est agréable. Il s’enfonce jusqu’à la garde et continu de me masturber. Je sens le plaisir monter. En à peine une minute je jouis – n’arrivant pas à résister la sensation de sa queue en moi. Haletant je le regarde à nouveau, mon regard plein de gratitude.
« Allez, on va prendre une douche. » Il se retire de moi et se dirige vers la salle de bain, me guidant par la main.

Nous nous savonnons tour à tour. Sa queue est lourde et chaude entre mes doigts tandis que je la lave. Une fois sortis Nassim me demande de le sécher intégralement. Je me place à genoux pour mieux m’occuper de ses jambes, fesses et parties génitales que j’embrasse tendrement. De retour dans la chambre Nassim s’habille. Je reste nu, m’asseyant sur le bord du lit. Je le regarde faire.

« Bon, j’ai un truc à te proposer. » Nassim boutonne sa chemise.

« Oui ? »

« Tu as perdu ton job hier c’est ça ? Tu bossais dans quoi déjà? »

Je fais oui de la tête. « Serveur, mais je suis juriste de formation. »

« Ok. Je tiens une boîte pas loin du bar où on est allé hier soir. J’ai besoin d’un évènementiel. Et je préfère quelqu’un sans trop d’expérience pour le former moi même. Il faut aussi qu’il soit minet dans ton genre. C’est plutôt sympa comme boulot et ça peut déboucher sur une carrière. Y’a pas mal d’heures à faire mais c’est bien payé. Ca te dirait ? »

Mon cœur bat à tout allure, « O-oui ça serait parfait ! »

« Bien. Tu commences demain avec un CDI. Laisse-moi ton numéro et je t’enverrai les détails. »

« Pas besoin de période d’essai ? »

Il rit, « C’était cette nuit et ce matin ta période d’essai. » Il me fait un clin d’œil. « Je te préviens je ne compte pas cesser de te baiser par contre. Une des conditions non écrites c’est un accès VIP à ton petit cul de minette blanche et ta bouche. Compris ? »

Je souris, « Oui patron.»

Nassim quitte l’appartement et je me lève. J’ouvre le tiroir du haut de la commode IKEA et choisis un tanga noir dentelle. Demain je mettrai mon préféré pour mon nouveau patron.

Le lendemain matin à sept heures mon réveil sonne. J’ai reçu un texto la veille de Nassim me disant d’être à onze heures au Jail club, rue Rambuteau. J’ai prévu d’aller au sport avant donc j’enfile un jogging et un vieux t-shirt puis quitte l’appartement. Ma salle étant à République j’y suis en cinq minutes à pied. Une session de muscu et de tapis puis je ressors. Je prends ma douche chez moi. Je me rase le pubis et le scrotum puis enfile mon tanga en dentelle blanche comme prévu. Je fais un tour rapide sur moi même devant la glace et souris. J’espère que Nassim me baisera. Enfilant un jean taille slim et une chemise blanche également serré, je m’apprête à quitter l’appartement une nouvelle fois.

Le trajet sur la ligne onze me prend à peine une dizaine de minutes. J’irai à pied quand il fera beau. Mais aujourd’hui l’horizon est lourd et gris. En sortant de la bouche l’averse éclate. Le temps d’arriver au Jail – au rez-de-chaussée d’un bel immeuble haussmannien et je suis trempé, ma chemise transparente. Je me présente, dégoulinant, à une jeune femme, belle, se tenant près de la porte qui est entrouverte.

« Salut, je cherche Nassim – ”

Elle se retourne vers moi. Elle est belle, ses yeux sombres.

« Ah, James je présume, » elle me sourit – un éclat de blancheur, le visage riant, « moi c’est Julie. Bienvenu au Jail Club. » Elle rit et je ne peux m’empêcher de sourire. « Viens je t’emmène voir le boss. »

Julie me tend la main. Je la saisis, un peu surpris. Nous traversons la salle. Le style est plutôt minimal – monochrome. Des LEDs blancs illuminent sobrement la pièce et un long bar se dessine au centre. Je comprends à présent le nom. Le thème est visiblement inspiré des rayures d’uniforme de prison à l’ancienne. Nous croisons plusieurs serveurs qui s’affairent à ranger et trier bouteilles, cartons et commandes diverses. Ils portent tous un t-shirt à rayures blanches et noires. Julie me fait monter un escalier puis frappe à une porte.

« Entrez. » je reconnais la voix grave de Nassim.

« James ! Pile à l’heure, excellent. Je vois que tu as fait connaissance avec Julie. Tien ben, t’as qu’à m’aider à expliquer le concept. Mais est-ce que tu pourrais nous faire un café s’il te plait Julie ? » Elle sourit et ressort. Je ne peux m’empêcher de la suivre du regard tandis qu’elle quitte la pièce. Elle porte une jupe courte mettant en valeur une paire de fesses parfaite.

Nassim se rassied derrière un bureau en verre et je prends place dans un des fauteuils disposés devant. Son regard se fixe au mien.

« Elle et jolie hein ? »

« Très. »

« Elle est également trans. » Nassim affiche un grand sourire.

Je reste bouche bée, « Ca ne se voit absolument pas ! »

« Aha, hé non, mais crois moi, cette petite jupe ne dissimule pas seulement un petit cul bien mignon. Mais C’est également une excellente manageur. Elle gère tout au niveau de la salle et l’entrée et sans compter qu’elle est super sympa, vous vous entendrez à merveille. Une chose par contre, je ne tolère pas les liaisons entre employés, compris ? »

Je fais oui de la tête.

« Avec le boss par contre c’est différent. » Il sourit de nouveau. « Et comme convenu, une partie de ton contrat sera de me satisfaire quand l’envie me vient. Bien sur ces activités ne t’empêcheront pas de faire ton travail correctement et si jamais tu ne te sens plus à l’aise n’hésite pas à me le dire. Je t’embauche également parce que mon intuition me dit que t’es un mec capable. Compris ? »

« Oui chef. »

« Alors commence par me tailler une pipe. »

« Mais Julie et le café? »

Nassim rit, « Julie est bien trop importante pour passer son temps à préparer le café. Elle connaît mon type de mec et a parfaitement compris. Alors arrête de chouiner et vient m’offrir ta petite bouche. »

Je me lève et m’approche, passant derrière le bureau. Nassim se pousse en arrière. Sa chaise est sur roulettes et il me laisse la place pour m’agenouiller entre ses jambes. Je passe littéralement sous le bureau. Je défais sa braguette sans attendre et commence à masser son membre à travers le tissu de son boxeur.

« Allez, suce-la, y’a du travail et j’ai bien envi de te baiser un coup. »

J’exécute et baisse son bas, faisant dépasser son gland que j’embrasse immédiatement. Je ne me sers pas de mes mains. Ma bouche englobe le haut de son membre, tétant d’abord. Puis je sens la main de Nassim se coller à ma nuque et je cède à sa pression – enfonçant sa queue au fond de ma bouche. Il me baise ainsi la bouche.

Nassim contrôle totalement la situation. Il choisit ensuite de me faire lever, me dessape, admire un moment mon tanga avant d’en écarter la bretelle me faire basculer sur le haut du bureau, s’offrant ainsi mon cul. Puis il saisit un tube de lubri, s’astique le doigt et le colle contre la raie de mes fesses. Il m’enduit l’anus avant de s’en passer sur le gland. Sans attendre il colle son membre énorme entre mes cuisses et se frotte à moi.

Nassim me baise puissamment et je ne peux m’empêcher de gémir. Alors que je sens qu’il va jouir et que j’en suis proche également j’entends la porte s’ouvrir derrière nous.

« Oh pardon ! Je croyais que vous aviez finit ! »

Nassim ne s’arrête pas, « Hé non ! Mais reste Julie, mate un peu. »

Je jette un coup d’œil en arrière. Julie s’est adossée au mur, ayant refermé la porte. Elle nous regarde avec intensité et me sourit. Je sens le plaisir monter et jouis, éclaboussant le haut du bureau. Nassim jute juste après moi et je sens son sperme m’emplir.

Nassim, haletant, se retire et me claque la fesse droite, « Allez, au boulot, je dois te faire lire ton contrat. »