Avec Mario et notre amant - histoire érotique

Mon mec est bisexuel. Quand nous voulons faire l'amour, souvent il me charge de trouver un troisième pour nos éteintes. Pourquoi il me demande ces choses à moi, sa femme ? Il pourrait chercher un amant tout seul. Non je dois faire le tour des bars pour trouver la perle rare, un qui nous plaise. Des fois j'en ai assez, je préférerai choisir un amant que je garderai pour moi seule.
Je cède à tous les coups ! J'ai une excuse, le fait que je me masturbe quand son amant est là, je le reçois aussi et dans mes fesses et ma chatte quand ce n'est pas dans ma bouche. Il me le faut, assez beau, fort bien monté et résistant. Plusieurs qui pourraient faire l'affaire refusent quand ils savent de quoi il s'agit : ou c'est seul avec mon mari ou seul avec moi, à la rigueur avec mon mari s'il me baisait aussi avec lui.
Cet après midi de samedi j'ai trouvé une perle rare ; il est beau, mignon, bien monté, bi, ce qui ne dépare pas.
Quand nous sommes arrivés ensemble à la maison, je l'ai embrassé sur la bouche avant Mario mon mari. J'aime finalement le voir embrasser un autre homme. Je suis excitée comme ce n'est pas permis. Je m'amuse pour les déshabiller pour les voir nus ensemble. Je compare les bites. Aujourd’hui j'ai fait un bon choix, ce nouveau porte bien une belle queue qui va nous plaire, Je les laisse faire pour se caresser la queue. Mario aime bien en toucher une de temps en temps.
Ça me permet de regarder deux sexes d'hommes en érection, de me faire du cinéma en imaginant l'effet qu'elles me feront dans mon ventre ou ma bouche. Pourtant je sens qu’aujourd’hui il va y avoir une différence. Je suis nue, assise près d'eux : les queues sont sur le point de se toucher. Il me tarde surtout qu'ils se les prennent en mains pour se branler devant moi : deux types qui font ça ensemble devant une faible femme, c'est le paradis pour ma masturbation. Si j'osais, je participerai en y mellant ma langue.
Cet amant passe derrière Mario, lui prend la queue dans une main, le branle lentement. Il connaît bien son affaire. Mario ne va pas tarder à juter. Je suis devant la queue caressée, la bouche ouverte dans l'attente du sperme qui va sortir. Mario sens la bite de notre futur amant se loger dans ses fesses. C'est le moment béni pour lui.
Tant pis je me lance, je vais caresser les fesses de notre futur. Elles sont dures et soyeuses à la fois. Moi aussi je passe ma main entre elles, je veux lui caresser le cul avant Mario. Le doigt n'a pas l'air de suffire, je vais directement derrière lui, accroupie, c'est facile à lui lécher le cul. Je vais plus loin, je la rentre le plus possible.
Situation bizarre : cet homme est là pour enculer et sucer mon mari, il est sur le point de le branler, il reçoit ma langue dans un endroit où je suis supposée ne pas être. Le plus fort est qu'il accepte ma bouche sur son cul, pire il en jouit même.
Il marmonne un merci pas content quand même qu’une fille lui ai brûlé la politesse. Heureusement qu'il ne débande pas. Mario voudrai bien se faire mettre : il nous entraîne dans la chambre. Si avec une femme un homme prend pas mal de temps pour la caresser, chauffer, là pas de temps perdu : c'est direct.
Je suis toujours étonnée de voir un spectacle d'hommes qui s'aiment en regardant la rapidité de leur accouplement. Ils jouissent bien sur, pas autant que les filles je suppose. Pour le moment, Mario est couché sur le coté, sa bite bien droite. Notre ami vient près de lui, lui donne sa queue dans la bouche et prend celle de Mario. C'est excitant pour moi de voir deux bites dans leurs bouches. En plus ils font une fellation plus intense que celle que je peux faire. Mario me dit souvent que les hommes savent mieux se sucer entre-deux.
Ils savent aussi s’arrêter avant de jouir, il doit y avoir une suite. Je connais le scénario comme si je l'avais écrit :
Mario embrasse une seule fois la bite qu'il laisse, se tourne pour offrir son cul. Il met pas mal de salive sur sa pastille. Il ne laisse à personne le soin de guider la pine qui va l'enculer. J'aime voir quand la queue entre dans son postérieur !!! A chaque fois j'éprouve le même effet ; je mouille et suis obligée de me branler. Dans ses bons jours c'est Mario qui me demande de lui donner ma chatte pour la lécher. Ce n'est pas le cas aujourd'hui.
La queue entre est sort du cul de mon mari, il gémit de plaisir, juste avant de jouir. J'ai juste le temps de récupérer un peu de sperme pour le goutter.
Enfin commence la partie intéressante pour les trois. Mario est couché, avec la tête sur l'oreiller, son corps du long. Notre amant couché sur son coté gauche avec la queue de mon mari dans la bouche. Il ne me touche pas encore, je suis de l'autre coté avec une main de Mario sur une épaule. Mes jambes grandes ouvertes montrent ma chatte à qui veut la voir. J'ai ma main droite qui s'occupe des bricoles de ma chatte, depuis le haut, clitoris jusqu'en bas du périné, l'anus. Je sais qu'une main de Mario est sur les fesses de l'autre, il doit lui mettre des doigts dans le cul, qui en ce moment le suce. J'ai la bite à moins de 25 centimètres de moi.
Je regarde avec plaisir comme Mario se fait sucer : la bite est presque avalée, puis mise presque dehors, la langue de l'amant la reprend avant de la remettre toute dans la bouche, et pourtant elle est longue. Je n'y arrive pas moi même, où donc la met-il ?
Le corps de Mario est secoués de crispations : à chaque fois je pense qu'il va lâcher sa semence, je me trompe toujours. Il a bien raison en disant que seuls les hommes savent se sucer entre eux.
Je reste toujours avec ma main sur ma chatte et sur mon anus : je rentre souvent deux doigts dans le cul en attendant la suite.
Je vois la queue de Mario grossir un peu avant d'avoir des soubresauts d'orgasme. Au moins il ne pourra pas dire qu'il n'a pas jouit ! J'en suis satisfaite pour lui et pour moi : je pourrai enfin me faire mettre par une bite de calibre. L'inconnue est de savoir où ?
Je m'en fiche totalement, du moment que je jouis avec un machin dans mon ventre. Il me fait signe de venir, j'enjambe mon mari et l'autre : sa bite me semble plus grosse et tendue que tout à l'heure.
Cette fois je suis traitée en vraie femme : il me caresse les seins mieux que bien, m'embrasse partout, y compris les fesses, y compris sa langue dans le cul. Je peux lui lécher le bâton un moment : je pense qu'il a fait jouir mon mari avec ça, j'en suis heureuse.
Maintenant il me désire. Il agit comme s'il était mon propriétaire. Il me fait mettre sur le dos, sans gentillesse, m'écarte les cuisses pour venir sur moi m'écraser. Par contre il me baise comme si j'étais en porcelaine. Il entre dans mon ventre comme dans un endroit sacré. Il fait de lents allers et venues. Je ne peux faire autrement que de lever mes talons pour les loger sur ses reins.
Il baise bien, s'il a baisé mon Mario comme moi, il a du le faire drôlement jouir. Je l’oubliais Mario, il rebande encore. Je me demande ce qu'il veut faire, il a le choix entre deux culs. Pourvu qu'il ne m'oublie pas en route. Je me faisais du soucis pour rien, il fait tourner notre amant pour que je me trouve sur lui. Il vient contre mon cul. Il le caresse avec sa langue : je suis totalement trempée là aussi. Il en profite pour entrer sa bite dans l'anus. C'est un homme, il ne peut pas savoir quel effet font deux bites à la fois dans son ventre : c'est le paradis puissance 100. Je suis totalement comblée. Je suis pleine de bites en bandaison. C'est le seul remède pour combler tous les manques d'un mois. Ça ce vois qu'ils ont jouit plusieurs fois : ils tiennent le coup plus que la normale : j'en profite au maximum. Je jouis sans arrêt.
Ils se lèvent tous le deux quand ils finissent : je ne peux plus rien faire, j'ai l'entre-jambes en confiture, mais heureuse.