La nymphomane guérie

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : La nymphomane guérie Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La nymphomane guérie
Cette histoire vraie comporte des personnages et des lieux autres. A cette époque le jour de congé était le Jeudi. Marie était interne au Lycée de Carcassonne. Pour pouvoir sortir le mercredi soir au jeudi soir et du samedi midi au lundi matin il lui fallait un correspondant. Pour des raisons de sécurisé c'est le père de Georgette (dite Gégé) qui devenait le responsable. La maison de Gégé n'était pas extensible. Gégé n'avait que se chambre pour accueillir son amie. Au début la cohabitation était très agréable: les deux filles avaient une foule de secrets à partager. Après la vacances de Noël, Marie, annonçait à Gégé qu'un garçon l'avait embrassée sur la bouche: elle en avait eu de drôle de sensation et voulait recommencer. Gégé, curieuse se proposait pour lui prêter sa bouche. Sans se faire prier Marie pose ses lèvres sur la bouche de son amie. Elles s'embrassent en mettant la langue dans la bouche de l'autre.
Elles éprouvent toutes les deux une drôle de sensations. Ignorantes du sexe, elles s'interrogent un peu, surtout quand elles sentent que leur chatte devient mouillée. Gégé, la première se touche, juste pour voir. Elle est réellement trempée. Il lui faut absolument se caresser le sexe. Elle en parle à Marie qui ressent la même chose. Partager ensemble les mêmes impressions et passer à l'action n'est pas très compliqué pour les deux copines. Pour être plus à l'aise, elle enlève leur stricte chemise de nuit. Ce n'est pas la première fois qu'elles se voient nues. Cette fois c'est différent: elles vont satisfaire ce besoin/ Elle se recouchent en silence, se collent l'une à l'autre. Elles s'embrassent encore: leur baiser dure tout le temps de la suite: chacune cherche dans la chatte de l'autre les endroits où ils leurs semblent qu'elle en ont besoin. C'est vite trouvé.
Les filles ont ça de bien, elles trouvent toujours rapidement les coins sensibles chez les autres femmes. Elles se masturbent jusqu'à sentir la délivrance, Marie un peu avant Gégé. Elles sont étonnées de ce qu'elles viennent de sentir, prête encore pour un second voyage.
Elles attendent le lendemain soir. Elles se font jouir encore et encore. Leur manège dure longtemps, en tout cas jusqu'après les vacances de Pâques.
Cette fois Gégé à pu se faire embrasser par un garçon: le baiser était meilleur qu'avec Marie. En attendant elles continuent leurs petits jeux sans danger.
A nouveau au retour des vacances, Marie lui dit qu'elle a revu le premier qui l'avait embrassé.
C'était au cours de la fête de Limoux, sous les marronniers. Il l'avait encore embrassée. Comme elle était excitée, qu'il le sentait fort bien, il l'a entraîné vers une cabane. Il allait de plus en plus loin. Elle sentait bien qu'il bandait. En lui caressant la poitrine elle avait envie de lui.
Quand il lui a mis la main sur la cuisse, elle n'espérait qu'une chose: qu'il la monte le plus haut possible. Elle devenait sa chose, il arrivait à lui trouver la culotte La sentant plus qu'humide, il passait ses doigts en dessous. Il trouvait bien vite son bouton. Elle se laissait branler sans rien dire, sinon qu'en elle-même elle espérait beaucoup qu'il aille le plus loin possible. Il la faisait coucher sur un tas de paille, lui enlevait la culotte, puis la jupe. Elle se trouvait devant lui presque nue. Elle n'avait pas peur, au contraire. Si elle ignorait énormément de chose sur la sexualité, elle savait comment l'amour se faisait. Il enlevait aussi et son pantalon et son slip.
Elle voyait enfin un sexe d'homme qui malgré sa normalité lui semblait énorme. Il venait sur elle, lui écartait les cuisses. Elle faisait un petit effort en le dirigeant vers sa vulve. Elle pensait avoir très mal. En réalité, comme rarement, elle se faisait dépuceler sans souffrance sauf sinon une petite gêne en tout début. Elle sentait le membre masculin qui au-delà de la rendre femme lui faisait un bien fou. Elle accompagnait les mouvements et jouissait très vite. Lui en était encore à ses débuts, alors il continuait à baiser. Elle jouissait presque sans arrêt. Quand il sortait d'elle elle aurait bien voulu qu'il recommence aussitôt. Pour la calmer un peu et pour reprendre des forces, il lui passait sa langue sur son abricot. Le jus était abondant et agréable: il bandait encore. Comme il venait de la baiser et en ayant déduit qu'elle aimait se faire mettre, il changeait de tactique. Il l'a mettait sur le ventre. Il passait son gland tout le long de sa fente fessière, il lui faisait à peine connaître le bout de sa queue sur le cul, pour finalement la lui mettre encore devant. Elle allait au devant de tous ses désirs.

Quand il finissaient de baiser, il lui donnait rendrez vous pour le lendemain dans un dépôt de grain où des sacs de céréales étaient entassés. Et là, pour la première fois il la couchait à plat ventre sur un des sacs: il venait la lui mettre pour la baiser. Cette fois il la faisait retourner sur le ventre. Elle sentait toutes les imperfections des sacs sur son ventre et surtout sur ses seins. Elle se trouvait à cheval. Lui venait derrière elle, lui embrassait l'ensemble des fesses pour mettre sa langue sur son anus. Elle n'avait jamais pensait à se faire mettre ainsi. Pourquoi ne pas essayer: il la lui mettait lentement. Il arrivait à la lui mettre à fond. Elle n'arrêtait pas de jouir. Lui la sentait jouir sous ses coups de butoir. Elle sentait encore plus la pine dans son cul quand elle jouissait. Hélas, tout a une fin.
Au retour des vacances Marie racontait ses aventures à Gégé qui en mouillait. Gégé aurait bien voulu qu'elle lui montre comment faire: les mains de femmes arrivent difficilement à reproduire les mouvements d'une vrai bite. Alors tant bien que mal; Marie doigtait Gégé. Elle arrivait malgré tout à la faire jouir.
Le bac, arrivaient: reçue toutes le deux, une trouvait une place à EDF, grâce à son père et l'autre dans l'Administration de l'enregistrement chez elle à Limoux. Elles pouvaient se voir souvent, surtout que Marie, toujours avec son amant continuait de plus belle à baiser. Pour être suivi, elle venait au moins une fois par mois à Carcassonne pour consulter un gynécologue. Pratiquement elle avant rendez vous la dernière pour une raison très simple: elle ne souffrait de rien de particulier, sinon qu'à chaque fois qu'il lui mettait l'instrument pour voir son intérieur, elle mouillait. Il comprenait vite à qui il avait affaire, aussi les consultations se déroulaient toujours de la même façon, couchée sur la table les jambes posées bien écartées les pieds dans les étriers, il venait devant elle, sortait son engin et la baisait. Il se demandait si elle ne venait pas chez lui pour se faire troncher.
Chez elle à Limoux, étant libre sur le plan financier, elle n'avait plus besoin de son père qui était conservateur dans le musée local. Elle trouvait facilement une chambre hors de chez elle. Pour la baise, elle était assez grande, bien faites et sexy pour avoir sans arrêt des prétendants non pas au mariage, mais à son cul. Elle venait voir son amie Gégé à peu près tous le quinze jours. Là, bien sur elles ne pouvaient s'empêcher de jouir ensemble.
C'est à cette époque que je rencontrais un soir Gégé. Après un plusieurs jours j'arrivais à la mettre dans mon lit. Instruite par Marie, elle se donnait facilement sans a priori. Je l'ai dépucelé assez facilement. Sauf que je ne suis arrivé à la faire jouir que plus tard. Elle me présentait Marie au cours d'une soirée dansante. Elle acceptait les invitations d'à peu près tout le monde.
Entre autre par un Ivoirien. Elle se laissait embarquer pour aller baiser dans un petit jardin public, contre un mur, simplement pour savoir qu'elle était la grosseur de la bite de cet homme noir. Elle en revenait déçue non pas à cause de la taille, mais à cause de la rapidité de jouissance de cet amant.
Elle voulait connaître autre chose que la vie dans les villes moyennes du midi. Elle obtenait sa mutation à une dizaine de kilomètre de Paris. Son plan était bien établi: à partir du vendredi soir jusqu'aux premières heures du lundi, elle était libre de son corps. Aussi elle louait au centre de paris toujours la même chambre dans le même hôtel du 17 arrondissement. Elle y était connue comme la fille qui aimait baiser. A peu près tout le personnel de l'hôtel passait sur elle. Elle arrivait à connaître les endroits où elle pouvait sans risque trouver chaussures à son pied. Chaque week-end elle trouvait plusieurs amants. Ses goûts changeant petits à petit, il lui fallait plusieurs hommes à la fois. Elle connaissait bien avant que la mode soit courante, la double pénétration. Son délice était également de participer des partouzes où il lui arrivait de baiser d'autre filles.
Elle regrettait de n'avoir pas baisé Gégé en 69.
Ce n'est que bien plus tard que je connaissais enfin la fin de ses aventures. Elle tombait amoureuses folle d'un homme un peu plus âgé qui ne répondait pas à ses avances. J'étais marié avec Gégé nous nous aimions toujours terriblement, nous baisions toujours aussi bien quand nous recevions un faire-part avec l'invitation d'assister à son mariage: Gégé devenant son témoin. Nous nous sommes rendus vers Paris. Nous rencontrions un fiancé tout ce qu'il y avait de bien et surtout une Marie totalement changée. Il avait réussi à la guérir de sa nymphomanie, sans doute, mais elle ne nous l'a jamais dit en la baisant souvent et très bien.

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