Ma nouvelle voisine (suite)
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2016 dans la catégorie Plus on est
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Ma nouvelle voisine (suite)
Enfin je rencontre ma voisine que je n'avais pas pu voir lé veille; elle recevait une des ses copines pour faire l'amour. Elle me l'avait déjà dit. D'ailleurs cette nuit seul dans mon lit je m'imaginais ce qu'elles pouvaient faire. Je n'avais jamais vu des femmes ensemble. J'en étais tellement troublé que je me suis branlé. Je lui demandais si tout c'était passé comme elle l'espérait, elle me répondait qu'elle était presque satisfaite. Je lui demandais ce que voulait dire le presque. Elle me demandait de venir prendre un verre chez elle. Autrement dit aller baiser.
D'avance je commençais à bander: elle le voyais bien. Le verre est passé à l'as. Nous nous sommes embrassés comme si nous ne nous étions pas vue depuis une éternité. Je prenais son sein et le caressais avant de le faire sortir de là où il était. Comme d'habitude je l'embrassais de telles sorte qu'elle soit au oins aussi excitée que moi. Je lui reposais la question du "presque". Elle me faisait entrer dans la chambre et nus nous nous sommes caressés de toutes part. je commençais par finir de lui embrasser les seins, pour descendre ma langue sur son sexe. Je commençais par lui passer la langue sur son petit cul. C'est justement ce qui lui manquait. Je profitais de son anus un maximum de temps, pour la aire jouir comme elle l'aime. Je montais ma bouche sur son clitoris. Elle jouissait encore. Je venais sur elle. Le prenant la bite elle la passait partout dans sa fente. Elle en jouissait encore. Enfin elle la lâchait pour que je puisse la baiser. J'entrais en elle normalement: elle recommençait à jouir. Je n'arrivais pas à la rassasier. Je sortais de son sexe pour la mettre sur le ventre. Sans prévu elle précautions particulières je la sodomisais. Je savais que j'allais lui faire mal. Tant pis pour elle: elle n'a qu'à préférer les hommes. Je posais ma pine sur son cul. Je pensais qu'elle allait dite non. Au contraire, elle ouvrait son cul en grand.
J'entrais facilement et là encore elle jouissait. Elle était dans une période de rut, comme les animaux. Je ne pouvais même p^lus la satisfaire. Je la branlais sur le clitoris, je la doigtais dans le vagin et dans le cul. Je la suçais partout. Rien n'y faisait. Je lui demandais de se branler devant moi. Elle le faisait plusieurs fois, toujours sans résultat. Je lui proposer d'aller avec elle sous la douche pour la calmer un peu. Enfin elle venait avec moi.
Je l'installais sous le jet, je dirigeai moi-même le jet sur sa moule. Elle recommençable à jouir.
Mais la durée et la longueur des caresses du jet arrivaient à la calmer.
Nous revenions nous coucher surtout pour qu'elle récupère. Elle a voulu me remercier: elle s'est pencher vers ma queue, la mise dans la bouche et m'a donner une fellation comme elle ne m'en avait jamais faite. Elle avalait rapidement mon sperme pour revenir à mes coté. Ce n'est que le matin enfin qu'elle se sentait totalement remisse de sa crise digne d'une nymphomane.
Elle voulait que je vienne le samedi pour baiser avec son amie et elle bien sur. J'avais beau lui dire que je ne saurais sans doute pas les contenter toutes les deux, elle affirmait le contraire.
Le samedi j'allais chez elle. Elle n'était pas seile: sa compagne, une rousse flamboyante, était presque nue. Prête déjà à une bonne séance de baise. Les présentation étaient: mon amant, ma maîtresse un baiser sur la bouche suffisait pour mieux nous connaître. J'avoue que cette fille était splendide, avec sa fourrure presque rouge. J'avais déjà envie d'elle. C'est ma voisine qui nous poussait à tirer un coup dans la chambre. Nous étions trois : deux sur le lit et la troisième nous regardant faire. Je ne m'attardais pas trop à peloter cette nouvelle. J'allais directement entre ses cuisses, sur sa chatte. Je lui mettais ma langue sur l'anus. Elle semblait bien aimer. En tout cas elle jouissait. Ma voisine assise à nos coté se branler en nous regardant, elle se penchait pour embrasser sa compagne.
Je continuais la promenade de ma langue en lui prenant le clitoris. De sa bouche. Finalement je voulais qu'elle me suce. Je me mettait en 69.Ma surprise état grande, sa fellation était sans doute moins bien faite que par ma voisine, en tout cas je jouissait. Elles partageaient mon sperme deux.
Maintenant j'aller assister à leurs amours. J'étais assis sur une chausse en face du lit: je pouvais tout voir. Au début tout ait classique: les baisers étaient les même qu'avec moi. Les caresses sur les moules ressemblais singulièrement ce que je faisais. Par contre quand au bout d'un court instant elles étaient en 69. Je pouvais voir les langues sucer le sexe de l'autre fille. Elles jouissaient presque ensemble. Au boit d'un instant elles se tournaient pour chanter de coté. A partir de là, elles commençaient à se mettre des doigts dans le cul. Je bandais comme un âne: il fallait que je me branle. MOI non plus sans pudeurs je venais sur elles pour jouir. Je ne pensais jamais que des femmes entre elles pouvaient se donner tant de plaisirs surtout si longtemps et souvent. Elles jouissaient presque sans cesse. Ce n'est que vers la fin qu'elles me demandaient de venir leur donner un autre plaisir: elles s'étaient mises l'une sur l'autre, ventre contre ventre, les jambes écartées: ce qu'elle demandaient était simple; je devais les baiser ensemble: un coup dans l'une un coup dans l'autre. Je faisais l'essai en pendant je n'arriverai jamais à les faire jouir. Et pourtant après une période d'adaptation pour moi, j'arriver à passer d'un con à l'autre. Le plus fort est qu'elles gémissaient toutes les deux. Je les sentais jouir. Je finissais de décharger dans le premier con venu: celui de la rousse qui finalement était très bonne baiseuse, malgré ce que m'en avait dit la voisins.
Depuis je baise seul avec la voisine deux fois par semaine et avec notre nouvelle commune amante le samedi.
D'avance je commençais à bander: elle le voyais bien. Le verre est passé à l'as. Nous nous sommes embrassés comme si nous ne nous étions pas vue depuis une éternité. Je prenais son sein et le caressais avant de le faire sortir de là où il était. Comme d'habitude je l'embrassais de telles sorte qu'elle soit au oins aussi excitée que moi. Je lui reposais la question du "presque". Elle me faisait entrer dans la chambre et nus nous nous sommes caressés de toutes part. je commençais par finir de lui embrasser les seins, pour descendre ma langue sur son sexe. Je commençais par lui passer la langue sur son petit cul. C'est justement ce qui lui manquait. Je profitais de son anus un maximum de temps, pour la aire jouir comme elle l'aime. Je montais ma bouche sur son clitoris. Elle jouissait encore. Je venais sur elle. Le prenant la bite elle la passait partout dans sa fente. Elle en jouissait encore. Enfin elle la lâchait pour que je puisse la baiser. J'entrais en elle normalement: elle recommençait à jouir. Je n'arrivais pas à la rassasier. Je sortais de son sexe pour la mettre sur le ventre. Sans prévu elle précautions particulières je la sodomisais. Je savais que j'allais lui faire mal. Tant pis pour elle: elle n'a qu'à préférer les hommes. Je posais ma pine sur son cul. Je pensais qu'elle allait dite non. Au contraire, elle ouvrait son cul en grand.
J'entrais facilement et là encore elle jouissait. Elle était dans une période de rut, comme les animaux. Je ne pouvais même p^lus la satisfaire. Je la branlais sur le clitoris, je la doigtais dans le vagin et dans le cul. Je la suçais partout. Rien n'y faisait. Je lui demandais de se branler devant moi. Elle le faisait plusieurs fois, toujours sans résultat. Je lui proposer d'aller avec elle sous la douche pour la calmer un peu. Enfin elle venait avec moi.
Je l'installais sous le jet, je dirigeai moi-même le jet sur sa moule. Elle recommençable à jouir.
Mais la durée et la longueur des caresses du jet arrivaient à la calmer.
Nous revenions nous coucher surtout pour qu'elle récupère. Elle a voulu me remercier: elle s'est pencher vers ma queue, la mise dans la bouche et m'a donner une fellation comme elle ne m'en avait jamais faite. Elle avalait rapidement mon sperme pour revenir à mes coté. Ce n'est que le matin enfin qu'elle se sentait totalement remisse de sa crise digne d'une nymphomane.
Elle voulait que je vienne le samedi pour baiser avec son amie et elle bien sur. J'avais beau lui dire que je ne saurais sans doute pas les contenter toutes les deux, elle affirmait le contraire.
Le samedi j'allais chez elle. Elle n'était pas seile: sa compagne, une rousse flamboyante, était presque nue. Prête déjà à une bonne séance de baise. Les présentation étaient: mon amant, ma maîtresse un baiser sur la bouche suffisait pour mieux nous connaître. J'avoue que cette fille était splendide, avec sa fourrure presque rouge. J'avais déjà envie d'elle. C'est ma voisine qui nous poussait à tirer un coup dans la chambre. Nous étions trois : deux sur le lit et la troisième nous regardant faire. Je ne m'attardais pas trop à peloter cette nouvelle. J'allais directement entre ses cuisses, sur sa chatte. Je lui mettais ma langue sur l'anus. Elle semblait bien aimer. En tout cas elle jouissait. Ma voisine assise à nos coté se branler en nous regardant, elle se penchait pour embrasser sa compagne.
Je continuais la promenade de ma langue en lui prenant le clitoris. De sa bouche. Finalement je voulais qu'elle me suce. Je me mettait en 69.Ma surprise état grande, sa fellation était sans doute moins bien faite que par ma voisine, en tout cas je jouissait. Elles partageaient mon sperme deux.
Maintenant j'aller assister à leurs amours. J'étais assis sur une chausse en face du lit: je pouvais tout voir. Au début tout ait classique: les baisers étaient les même qu'avec moi. Les caresses sur les moules ressemblais singulièrement ce que je faisais. Par contre quand au bout d'un court instant elles étaient en 69. Je pouvais voir les langues sucer le sexe de l'autre fille. Elles jouissaient presque ensemble. Au boit d'un instant elles se tournaient pour chanter de coté. A partir de là, elles commençaient à se mettre des doigts dans le cul. Je bandais comme un âne: il fallait que je me branle. MOI non plus sans pudeurs je venais sur elles pour jouir. Je ne pensais jamais que des femmes entre elles pouvaient se donner tant de plaisirs surtout si longtemps et souvent. Elles jouissaient presque sans cesse. Ce n'est que vers la fin qu'elles me demandaient de venir leur donner un autre plaisir: elles s'étaient mises l'une sur l'autre, ventre contre ventre, les jambes écartées: ce qu'elle demandaient était simple; je devais les baiser ensemble: un coup dans l'une un coup dans l'autre. Je faisais l'essai en pendant je n'arriverai jamais à les faire jouir. Et pourtant après une période d'adaptation pour moi, j'arriver à passer d'un con à l'autre. Le plus fort est qu'elles gémissaient toutes les deux. Je les sentais jouir. Je finissais de décharger dans le premier con venu: celui de la rousse qui finalement était très bonne baiseuse, malgré ce que m'en avait dit la voisins.
Depuis je baise seul avec la voisine deux fois par semaine et avec notre nouvelle commune amante le samedi.
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