Nos turpitudes

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Nos turpitudes Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2016 dans la catégorie Plus on est
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Nos turpitudes
Je vais vous raconter les diverses baises avec celle qui est maintenant mon épouse.
Nous nous sommes rencontrés par hasard chez des amis communs. Ce jour là je l'ai a peine regardé. Ce n'est que le lendemain que nous nous sommes croisés en ville. Comme nous nous connaissions de vue, nous avons bavardé. Dès cet instant j'ai eu envie d'elle: grande, des seins moyens, de longue jambes et des fesses à damner un saint. En attendant nous sommes allés dîner ensemble dans le restaurant que je fréquente. Nous continuons à bavasser un certain temps quand je lui prend une main pour la caresser. Comme elle se laisse faire, je monte ma main sur son bras nu. J'arrête ma caresse pour poser ma main sur son genoux: là aussi elle se laisse faire. Je monte ma main la haut, vers son paradis. Je trouve son slip. Elle m'arrête en disant simplement tout à l'heure. En sortant du restaurant elle me dit qu'elle connaît un jardin public où de nuit les bancs sont dans l'ombre, bien cachés.
Je me dis que j'ai gagné: je vais pourvoir aller plus loin avec elle. Nous arrivons dans ce jardin à quelques minutes à pied. Elle a raison, des bancs sont loin du regard de autres. Nous nous assaillons bien serrés. Je me penche vers sa bouche: elle ouvre la sienne pour recevoir ma langue.
Elle embrasse fort bien, tellement bien qu'elle me fait presque bander. Je repose encore une fois ma main sur son genou. Cette fois elle me permet de passer un doigt pour aller à la découverte de sa chatte. D'abord elle est toute mouillée, ensuite comme je ne sais pas où commencer, je pose mon doigt sur son anus. Elle écarte bien les fesses pour que j'y entre. Je le fait aller et venir: elle jouit. Je passe mon doigt dans son vagin où je trouve rapidement la zone plus rugueuse que je frôle seulement. Elle est très sensible et jouit encore. Je veux aller plus loin, elle refuse. Elle arrive à sortir ma bite: elle commence me branler lentement, puis elle se penche sur elle pour la lécher, d'abord le gland, puis ensuite toute la colonne. Enfin elle me prend en entier dans la bouche. Je ne sais qui lui a appris à faire des fellations, en tout cas, chapeau. Je l'avertis que je vais jouir.
Elle sort légèrement la bite de sa bouche pour prendre la racine dans ses mains. Elle garde ma semence dans la bouche. Je pense qu'elle va la cracher: pas du tout elle se relève et en me regardant avale mon sperme.
Je veux lui rentre la pareille: je m'accroupis entre ses jambes. Elle se lève pour enlever le slip.
Je peux tout fouiller sa chatte avec son bon goût semi salé et sucré. En la branlant je n'avais pas pu lui caresser le clitoris. Pour l'instant c'est le seul organe que je veux; dès que je le trouve je le prends dans la bouche pour le sucer à l'intérieur de mes lèvres. Elle gémit un moment avant de jouir encore. Je redescends ma langue vers son anus. J'y entre la moitié. Elle prend ma tête dans ses mains me caresse les cheveux jusque-là son dernier orgasme. Nous nous embrassons une dernière fois sur ce banc: nous échangeons ainsi les deux goûts de nos sexe. Nous prenons rendez vous pour le lendemain soir chez moi.
Le lendemain soir j'attends ce qui me semble des heures, en réalité moins d'un quart d'heure. Nous nous jetons l'un sur l'autre comme des affamés. Nos lèvres ne se quittent plus. Je commence par la déshabiller. Je peux enfin voir son corps en entier: pour moi c'est une merveille de la nature avec ses seins hauts perchés et durs, son ventre plat, son bas ventre légèrement rasé et ses jambes…….
Je voudrais tout lui faire à la fois. Une femme est souvent plus pratique qu'un homme, elle me demande de me mettre nu moi aussi.
Cette fois nous pouvons nous regarder sans pudeur. Je vais contre elle pour la serrer contre moi.
Non seulement elle accepte mais en plus, elle se sert de son ventre pour caresser ma bite qui bande bien. Je me venge en lui mettant une main dans la main entre les fesses. Je me doute qu'elle sait où je veux aller: j'arrive sur son anus et y met mon doigt non pas dedans mais autour. Elle doit bien en profiter quand elle me demande de le rentrer. Je lui branle le cul, avant la moule. Finalement nous allons nous coucher. Cette fois, elle écarte les jambes, pensant que je vais la lui mettre immédiatement dans son con. J'adore sucer les filles. Cette fois je peux aller commodément partout.
Je commence par le haut, par son clitoris que je suce comme hier. J'arrête avant elle jouisse, ce qui la fait râler. Je préfère aller dans ce que je préfère, toute sa chatte à commencer par ses lèvres juste avant de longer encore dans son vagin Je retrouve son point sensible. Je l'y attarde longuement, elle jouit d'une façon presque continue. Et enfin le clou du spectacle: son anus. Cette fois je ne m'attarde pas en route, ma langue va directement dans son cul. Elle en jouir encore.
Quand je me lève un peu, elle veut me sucer. Je la veux elle d'abord. Je vais entre ses cuisses toujours ouvertes. Elle prend ma bite pour la guider vers son sexe: c'est quand même notre première fois. J'entre sans difficulté: elle est tellement mouillée que je suis presque sur le col de la marice très vite. J'y reste immobile pour bien profiter de cette première fois. Elle en fait autant.
Ensuite elle pose ses talons sur mes fesses: nous formons pour de bon la bébête à deux dos. Nos mouvements se synchronisent de suite, comme nous baisons depuis toujours ensemble. Je sens les spasmes de ses orgasmes autour de ma queue. Enfin je jouis dans son ventre. Je reste en elle. Elle me tourne pour venir me sucer: elle goûte ainsi nos deux liquides: sa cyprine et mon sperme. Je ne sais comment elle arrive à me laisser toujours bandant. Je ne demande pas mieux. Je veux l'enculer sachant d'avance qu'elle aimera. Je veux la mettre en levrette. Non pour la sodomie, c'est debout juste penchée en avant, mes mains sur ses seins et sa main sur le clitoris. Dès que je la pénètre son cul est facilement pénétrable, elle adore se faire mettre par là. Nous jouissons ensemble. Elle se recouche, écarte encore les jambes pour se branler devant moi. Elle me fait encore bander et pour lui montrer que moi aussi je sais: je me masturbe devant elle.
Le temps passant nous logeons ensemble chez moi. Nos baises deviennent de plus en plus chaudes, surtout de son coté. Un soir elle me dit qu'elle a rencontré une vielle amie avec laquelle elle s'amusait à faire l'amour: elle en jouissait avant de connaître son premier initiateur. Elle me demande si j'accepte qu'elle vienne chez nous: nous pourrions faire ménage à trois pour baiser. Je réfléchi rapidement: si je dit non, elle risque d'aller je ne sais où avec cette copine pour s'envoyer en l'air sans rien me dire, alors que si s'accepte, je pourrai profiter d'abord d'une autre fille et ensuite du spectacle de deux gouines.
Dès le lendemain arrive cette copine qui finalement est à la source de toutes les turpitudes de notre couple. Si cette nouvelle demande à ma femme (puisque nous sommes mariés) de baiser avec moi d'abord, et qu'elle a son accord, je trouve un autre sexe, plus serré que celui de ma femme. J'y entre comme pas effraction tellement elle est étroite. Ma femme nous regarde sans tien dire, mais pas sans rien faire: elle est vite nue, sa main sur son clitoris, et jouit presque en même temps que nous. Ensuite les deux nanas s'accordent du bon temps. C'est la nouvelle qui d'abord lui rappelle qu'elles baisaient en 69, pour finalement lui apprendre comment faire quand les deux clitoris se caressent entre eux. Elles arrivent à me faire bander. Je n'ose pas me mêler à leurs amours. Je préfère me masturber sans me cacher d'ailleurs.
Cette nana vient en gros une fois tous les quinze jours. Et justement au cours d'une de ces visites elle nous invite chez des "amis". Avec ma femme nous pensons aussitôt à un groupe d'échangistes.
Pourquoi ne pas essayer me dit ma femme.
Nous nous retrouvons dans une ambiance glauque où les couples sont ensemble uniquement pour la baise, entre couple avec plusieurs. Ma femme se fait draguer par deux types assez membrés. Elle accepte l'invitation pour se trouver prise par les deus orifices qu'elles aiment. Je la vois prendre son pied plusieurs fois. Pour me venger je trouve une fille pas trop mal qui avant d'accepter regarde ma queue: elle doit lui plaire puisqu'elle me demande de la baiser sur le tapis, devant tous les autres. Je comprends pourquoi elle a voulu que nous soyons au milieu: elle est semble-t-il bien connu pour ses activités de baise. Je suis à peine sur et dans elle qu'elle commence un récital de :- Oui, Oui, encore, c'est bon, j'en veux plein mon con, mets moi la encore plus profond, je vais jouir, ne pars pas, oui, encore, je jouis, ne pars pas, continue, recommence à me baiser, à me la mettre comme à une chienne.
Même ma femme me regarde: c'est la première fois que je baise ainsi, c'est sans doute pourquoi je tarde à jouir, pour le bonheur de cette fille. Quand nous rentrons ma femme me demande si j'ai bien jouis. Ma réponse positive entraîne la sienne : elle aussi a pris son pied avec sa première double pénétration.
Nous nous séparons de sa copine et désormais nous nous débrouillons pour trouver des endroits moins "peuple. Nous trouvons un coin sans trop de monde. Nous tombons sur un couple qui plait à ma femme, surtout la fille. Nous bavardons surtout pour connaître les envies de futurs partenaires. C'est la femme qui parle: elle aime autant le hommes que les filles, son mari aussi et aujourd'hui il a envie de se faire mettre dans le cul. Je vais pour partir quand ma femme me dit d'essayer d'enculer cet homme bien monté par ailleurs. Je n'ose pas aller mettre ma bite dans cet homme qui commence à bander. Sa femme me demande comme une faveur de la lui mettre, il aime bien ça et en plus je pourrai le branler tout en la lui mettant.
Finalement je me laisse convaincre, après tout un cul est un cul. Les deux femmes ont déjà commencé à s'aimer. Elles viennent mettre leur cyprine sur le cul de cet homme. La main douce de ma femme me guide vers l'anus déjà un peu ouvert. J'hésite encore quand sa femme donne un grand coup vers l'arrière pour que son homme reçoive ma bite. Elle a eu raisons, je suis presque au fond de son cul.
J'entame les vas et viens qu'il accompagne. Je cherche un peu sa queue que je branle comme si c'était la mienne. Je vais trop vite pour lui. Il me demande d'aller doucement pour faire durer nos plaisirs. J'avoue que je commence à prendre mon pied dans le cul d'un autre homme.
Les deux femmes se désintéressent de nous pour baiser ensemble. Je jouis en même temps que lui. Je sens sa bite lâcher son sperme que sa femme vient vite récupérer pour le partager avec la mienne.
Ainsi nous continuons depuis nos aventures, quoique je n'ai plus jamais sodomise un homme, par contre je ne compte plus les culs féminins que j'ai eu, pas plus que ma femme ne compte les chattes qu'elle a sucées.

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