aventures d'ados ( suite 9 )
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2007 dans la catégorie Plus on est
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aventures d'ados ( suite 9 )
Je reviens à la soirée, celle ci n'est pas terminée loin s'en faut.
Audrey a un long râle, puis plus rien. Ce silence soudain m’intrique, je jette un œil vers elle. Son mari est toujours fiché en elle, ils sont debout, collés l’un à l’autre. Il lui tient les seins, l’embrasse dans le cou, place une main sur sa chatte, un doigt s’agite, il doit s’occuper du clito. Elle se débranche, se tourne vers lui, se met à genoux, le prend en bouche, lui pompe le dard, il se laisse faire, me regarde.
- Ah non ! Il repousse sa femme, vient vers nous, monte sur le canapé, se place derrière moi à genoux, m’écarte franchement les jambes, je perds l’équilibre et me retrouve aplatie sur ce mec qui m’emmanche, le cul a disposition. Le mec attend, sa queue est encastrée en entier, je suis verrouillée par sa bite, Audrey a un long râle, puis plus rien. Ce silence soudain m’intrique, je jette un œil vers elle. Son mari est toujours fiché en elle, ils sont debout, collés l’un à l’autre. Il lui tient les seins, l’embrasse dans le cou, place une main sur sa chatte, un doigt s’agite, il doit s’occuper du clito. Elle se débranche, se tourne vers lui, se met à genoux, le prend en bouche, lui pompe le dard, il se laisse faire, me regarde.
Bob a ses jambes qui bloquent les miennes, je ne peux pas bouger, je ne parviens pas à me dégager.
Il m’ouvre la raie des fesses des deux mains, caresse mon œillet.
- Fout moi la paix, ne touche pas à mon cul..
Je le remue, essaie de me libérer de la bite qui est dans mon vagin, tente de me relever, en vain. Je veux échapper au supplice qui m’attend, je sens qu’il va m’enculer. Il enfonce un index puis les deux dans mon trou du cul, tire par côté pour l’agrandir, y ajoute un troisième doigt, les enfoncent, les fait tourner, coulisser plusieurs fois, les retirent.
- Enlève tes pattes, tu me fais mal !
Audrey est revenue vers nous. Mon anus est exposé à la merci de son mari. Il enlève ses doigts, appuie le gland sur ma rosette entrouverte. Il le maintient en place, pousse, je sens le bout arrondi qui commence à dilater mon anus.
Audrey, de la main, pétrit mes seins, tire sur les tétons, les roule dans ses doigts, ils s’érigent, je sens ma poitrine durcir. Elle lui dit :
- Pousse plus fort, elle s’ouvre, je veux la voir prise dans les deux trous !
Je me fâche :
- Je ne veux pas que tu m’encules !
Et je dis à Audrey :
- Au lieu de me peloter, pompe le !
C’est lui qui me répond :
- J’ai tout gardé pour te remplir !
- Rentre avec l’autre, mais laisse mon cul tranquille.
Sa bite me fait de plus en plus mal, je n’en peux plus.
- Aïe. Tu me fais mal, t’es trop gros.
- Détends-toi, ça rentre.
- Je t’en supplie, arrête.
Audrey, tout en me malaxant les seins, me répond :
- Laisse toi faire, tu vas y passer !
- Aïe aïe aïe ! J’ai les larmes aux yeux, je transpire, contracte le sphincter, résiste, ne veux pas qu’il entre par là dans mon ventre. Malgré moi mon cul s’ouvre sous la poussée du gland. Je le sens progresser, il me dilate, entre lentement. Le sphincter vient de céder, je pousse un hurlement.
- - Aaaaaaaaa aïe ! J’ai mal, mon cul est en feu., le gland est passé, il est dedans. Il continue sa progression, ne s’arrête pas, pénètre en entier, je suis empalée. Prise par les deux trous, les mecs se mettent à me ramoner en alternance. Quand la queue de l’un revient près de l’orifice, celle de l’autre arrive au fond. Je sens les bites se croiser dans mes entrailles, elles me comblent le ventre. Celle de Bob, en coulissant, me fait mal, mon anus est irrité, sensible. Je ne sais plus où j’en suis, ferme les yeux, abandonne, les laisse faire, je m’écroule, passive, attends qu’ils en terminent. Ils s’activent, se bloquent au fond de moi. Quelques soubresauts, un grognement, Bob explose dans mon conduit d’évacuation, s’arrête, se vide, reste en place. Il sort le premier, va dans la salle de bains, il doit se laver la queue. L’autre recommence à me ramoner, prend son temps, envoi plusieurs giclées au fond du vagin, ne bouge plus. C’est fini, la queue ramollit, commence à sortir. Je me dégage, explosée, remplie de foutre, il en coule par mes deux orifices, ils avaient une sacrée réserve. Les salauds, ils ont bien profité de mon corps. J’ai le cul sale, irrité, je prends une douche, insiste sur mes parties intimes, j’en ai besoin. Je me rhabille, n’oublie pas de remettre ma culotte, et cette fois insiste auprès de Bob pour qu’il me raccompagne.
Il est 2 h du mat ! Les mecs se rhabillent, ils sont lamentables avec leurs bites pendantes. Le copain rentre chez lui, je dis au revoir. Dans la voiture Bob me dit que, ni la baise, ni le copain, n’étaient prévus. Tout s’est enchaîné à cause d’Audrey qui a eu envie de me gouiner. Le copain est rentré tard, a vu que nos fenêtres étaient encore éclairées. Il est passé dire bonsoir avant de rejoindre sa copine. Je lui ai dis qu’on avait engagé une partie de baise avec une copine. Il m’a demandé s’il pouvait se joindre à nous ? Je l’écoute, ne réponds pas, il me vient une idée, lui faire un coup « en vache » ! On arrive devant chez moi, il m’embrasse. Pendant que sa langue cherche la mienne, je passe ma main sur son sexe, ouvre la braguette, sort bite et couilles. Il se glisse sur le siège pour bien dégager ses outils. Il ouvre mon jean, fourre sa main dedans, écarte ma culotte, deux doigts entrent direct dans mon trou, je le laisse faire. Elle est molle, je le branle, fait coulisser la peau, ça y est, il se met à bander. Je recule sur mon siège, enlève la main qui est entre mes cuisses. Je me penche vers lui, passe ma langue sur le méat, suce le bout du gland. Je caresse les couilles, ça y est, je les ai en main ! J’amène les deux testicules en contact, les fait rouler doucement entre mes doigts, m’assure qu’ils sont bien l’un contre l’autre, les sers énergiquement. Il fait un bond, pousse un hurlement à réveiller tout le quartier.
- Espèce de cinglée !
Je me redresse, ouvre la portière, attrape mon sac, descends de voiture en vitesse, lui dis :
- J’ai mal au cul, toi aux couilles, on est quitte. A plus !
Je claque la portière, remonte et referme mon jean, vais sur le pas de la porte, y reste un moment, attends, regarde. Plusieurs minutes passent, il n’a pas bougé, la voiture est toujours là. J’ai peut être serré un peu trop fort, pourvu qu’il n’ait pas perdu connaissance. Je vais voir, on ne sait jamais. J’ouvre la portière, lui demande :
- Ca va ?
Il se tient les couilles à deux mains, est écroulé sur le volant, le visage crispé, bite toujours à l’air. Il me gueule :
- Salope, dégage !
Bon, il n’est pas évanoui. Rassurée, je claque la portière et cette fois je rentre.
J’ai vraiment le troufignon en fleur, j’ai beaucoup de mal à m’endormir. Je me repasse le film de la soirée. Depuis que je baise, c’est la première fois qu’on m’encule. Ca a été rapide, une ou à peine deux minutes pour me l’enfoncer jusqu’à la garde, près d’une dizaine pour que l’un et l’autre en terminent avec mon cul. L’introduction de cet énorme mandrin dans l’anus m’a semblé durer une éternité tellement ça m’a fait mal.
Pourquoi Audrey a-t- elle encouragé son mec à me défoncer le cul ? Peut être par vengeance, car l’autre jour, c’est le mien qui lui a forcé la rosette. Mais la bite de mon mec est nettement moins grosse et longue que celles qui m’ont ramonées aujourd’hui. Une autre différence, elle n’avait qu’une queue dans le cul, alors que j’en avais une dans chaque orifice qui me pilonnaient simultanément. J’ai eu trop mal au cul pendant et après l’introduction, je n’ai pas pu jouir une seconde fois.
Audrey a un long râle, puis plus rien. Ce silence soudain m’intrique, je jette un œil vers elle. Son mari est toujours fiché en elle, ils sont debout, collés l’un à l’autre. Il lui tient les seins, l’embrasse dans le cou, place une main sur sa chatte, un doigt s’agite, il doit s’occuper du clito. Elle se débranche, se tourne vers lui, se met à genoux, le prend en bouche, lui pompe le dard, il se laisse faire, me regarde.
- Ah non ! Il repousse sa femme, vient vers nous, monte sur le canapé, se place derrière moi à genoux, m’écarte franchement les jambes, je perds l’équilibre et me retrouve aplatie sur ce mec qui m’emmanche, le cul a disposition. Le mec attend, sa queue est encastrée en entier, je suis verrouillée par sa bite, Audrey a un long râle, puis plus rien. Ce silence soudain m’intrique, je jette un œil vers elle. Son mari est toujours fiché en elle, ils sont debout, collés l’un à l’autre. Il lui tient les seins, l’embrasse dans le cou, place une main sur sa chatte, un doigt s’agite, il doit s’occuper du clito. Elle se débranche, se tourne vers lui, se met à genoux, le prend en bouche, lui pompe le dard, il se laisse faire, me regarde.
Bob a ses jambes qui bloquent les miennes, je ne peux pas bouger, je ne parviens pas à me dégager.
Il m’ouvre la raie des fesses des deux mains, caresse mon œillet.
- Fout moi la paix, ne touche pas à mon cul..
Je le remue, essaie de me libérer de la bite qui est dans mon vagin, tente de me relever, en vain. Je veux échapper au supplice qui m’attend, je sens qu’il va m’enculer. Il enfonce un index puis les deux dans mon trou du cul, tire par côté pour l’agrandir, y ajoute un troisième doigt, les enfoncent, les fait tourner, coulisser plusieurs fois, les retirent.
- Enlève tes pattes, tu me fais mal !
Audrey est revenue vers nous. Mon anus est exposé à la merci de son mari. Il enlève ses doigts, appuie le gland sur ma rosette entrouverte. Il le maintient en place, pousse, je sens le bout arrondi qui commence à dilater mon anus.
Audrey, de la main, pétrit mes seins, tire sur les tétons, les roule dans ses doigts, ils s’érigent, je sens ma poitrine durcir. Elle lui dit :
- Pousse plus fort, elle s’ouvre, je veux la voir prise dans les deux trous !
Je me fâche :
- Je ne veux pas que tu m’encules !
Et je dis à Audrey :
- Au lieu de me peloter, pompe le !
C’est lui qui me répond :
- J’ai tout gardé pour te remplir !
- Rentre avec l’autre, mais laisse mon cul tranquille.
Sa bite me fait de plus en plus mal, je n’en peux plus.
- Aïe. Tu me fais mal, t’es trop gros.
- Détends-toi, ça rentre.
- Je t’en supplie, arrête.
Audrey, tout en me malaxant les seins, me répond :
- Laisse toi faire, tu vas y passer !
- Aïe aïe aïe ! J’ai les larmes aux yeux, je transpire, contracte le sphincter, résiste, ne veux pas qu’il entre par là dans mon ventre. Malgré moi mon cul s’ouvre sous la poussée du gland. Je le sens progresser, il me dilate, entre lentement. Le sphincter vient de céder, je pousse un hurlement.
- - Aaaaaaaaa aïe ! J’ai mal, mon cul est en feu., le gland est passé, il est dedans. Il continue sa progression, ne s’arrête pas, pénètre en entier, je suis empalée. Prise par les deux trous, les mecs se mettent à me ramoner en alternance. Quand la queue de l’un revient près de l’orifice, celle de l’autre arrive au fond. Je sens les bites se croiser dans mes entrailles, elles me comblent le ventre. Celle de Bob, en coulissant, me fait mal, mon anus est irrité, sensible. Je ne sais plus où j’en suis, ferme les yeux, abandonne, les laisse faire, je m’écroule, passive, attends qu’ils en terminent. Ils s’activent, se bloquent au fond de moi. Quelques soubresauts, un grognement, Bob explose dans mon conduit d’évacuation, s’arrête, se vide, reste en place. Il sort le premier, va dans la salle de bains, il doit se laver la queue. L’autre recommence à me ramoner, prend son temps, envoi plusieurs giclées au fond du vagin, ne bouge plus. C’est fini, la queue ramollit, commence à sortir. Je me dégage, explosée, remplie de foutre, il en coule par mes deux orifices, ils avaient une sacrée réserve. Les salauds, ils ont bien profité de mon corps. J’ai le cul sale, irrité, je prends une douche, insiste sur mes parties intimes, j’en ai besoin. Je me rhabille, n’oublie pas de remettre ma culotte, et cette fois insiste auprès de Bob pour qu’il me raccompagne.
Il est 2 h du mat ! Les mecs se rhabillent, ils sont lamentables avec leurs bites pendantes. Le copain rentre chez lui, je dis au revoir. Dans la voiture Bob me dit que, ni la baise, ni le copain, n’étaient prévus. Tout s’est enchaîné à cause d’Audrey qui a eu envie de me gouiner. Le copain est rentré tard, a vu que nos fenêtres étaient encore éclairées. Il est passé dire bonsoir avant de rejoindre sa copine. Je lui ai dis qu’on avait engagé une partie de baise avec une copine. Il m’a demandé s’il pouvait se joindre à nous ? Je l’écoute, ne réponds pas, il me vient une idée, lui faire un coup « en vache » ! On arrive devant chez moi, il m’embrasse. Pendant que sa langue cherche la mienne, je passe ma main sur son sexe, ouvre la braguette, sort bite et couilles. Il se glisse sur le siège pour bien dégager ses outils. Il ouvre mon jean, fourre sa main dedans, écarte ma culotte, deux doigts entrent direct dans mon trou, je le laisse faire. Elle est molle, je le branle, fait coulisser la peau, ça y est, il se met à bander. Je recule sur mon siège, enlève la main qui est entre mes cuisses. Je me penche vers lui, passe ma langue sur le méat, suce le bout du gland. Je caresse les couilles, ça y est, je les ai en main ! J’amène les deux testicules en contact, les fait rouler doucement entre mes doigts, m’assure qu’ils sont bien l’un contre l’autre, les sers énergiquement. Il fait un bond, pousse un hurlement à réveiller tout le quartier.
- Espèce de cinglée !
Je me redresse, ouvre la portière, attrape mon sac, descends de voiture en vitesse, lui dis :
- J’ai mal au cul, toi aux couilles, on est quitte. A plus !
Je claque la portière, remonte et referme mon jean, vais sur le pas de la porte, y reste un moment, attends, regarde. Plusieurs minutes passent, il n’a pas bougé, la voiture est toujours là. J’ai peut être serré un peu trop fort, pourvu qu’il n’ait pas perdu connaissance. Je vais voir, on ne sait jamais. J’ouvre la portière, lui demande :
- Ca va ?
Il se tient les couilles à deux mains, est écroulé sur le volant, le visage crispé, bite toujours à l’air. Il me gueule :
- Salope, dégage !
Bon, il n’est pas évanoui. Rassurée, je claque la portière et cette fois je rentre.
J’ai vraiment le troufignon en fleur, j’ai beaucoup de mal à m’endormir. Je me repasse le film de la soirée. Depuis que je baise, c’est la première fois qu’on m’encule. Ca a été rapide, une ou à peine deux minutes pour me l’enfoncer jusqu’à la garde, près d’une dizaine pour que l’un et l’autre en terminent avec mon cul. L’introduction de cet énorme mandrin dans l’anus m’a semblé durer une éternité tellement ça m’a fait mal.
Pourquoi Audrey a-t- elle encouragé son mec à me défoncer le cul ? Peut être par vengeance, car l’autre jour, c’est le mien qui lui a forcé la rosette. Mais la bite de mon mec est nettement moins grosse et longue que celles qui m’ont ramonées aujourd’hui. Une autre différence, elle n’avait qu’une queue dans le cul, alors que j’en avais une dans chaque orifice qui me pilonnaient simultanément. J’ai eu trop mal au cul pendant et après l’introduction, je n’ai pas pu jouir une seconde fois.
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