La gourgandine ( 27 )
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La gourgandine ( 27 )
27---- Je regarde ma montre, il est 7h, ça fait une heure qu’on baise, je le secoue, il sort de moi, on se lève. On prend la douche ensemble, chacun s’occupe des parties intimes de l’autre. Pendant qu’il me savonne, fourre ses doigts dans mon con, aspire mes tétons, caresse mes seins, je tiens son matériel en main. Je referme la main, l’astique doucement d’avant en arrière, agasse le bout du gland, ça le fait rebander. La queue se redresse, devient raide comme un bout de bois, gorgée de sang. Il ferme l’eau, me montre son attirail:
- Regarde dans quel état tu me mets !
- J’n’aurais pas dû ?
- Tu vas le regretter !
Il m’attrape à bras le corps, me colle le dos contre la paroi de la douche, me tient contre, me relève une jambe.
- Non, ne me la rentrez pas !
- Fallait pas m’exciter !
- Laissez-moi, j’ai plus envie.
- Moi si !
Hier soir et encore ce matin, il me l’a rentré après avoir viré la capote, j’ai senti son foutre se répandre au fond de ma gaine. Heureusement que je prends la pilule ! Je ne vais pas lui dire, bien sûr ! Il en profiterait.
Je suis coincée, il est costaud, je ne parviens pas à me dégager de son emprise, sa queue commence à me pénétrer. Trop tard, je ne peux plus rien faire, c’est rentré, d’un seul coup de rein il m’emmanche à fond, je suis prisonnière de sa queue. Je supplie :
- J’aime pas qu’on m’baise de cette façon!
Mais il n’en a cure. Il me prend sous les fesses, me soulève, sa queue reste dedans. Je mets mes jambes sur ses hanches, m’accroche à son cou, c’est moi qui a des couilles qui pendent entre les jambes. Soulever 45 kg ne lui fait pas peur ! J’aime sa bite, elle est bien au fond de moi, je me laisse faire ! Sa bite est nue, chaude, coulisse dans ma gaine bien lubrifiée, j’aime le contact de sa chair dans la mienne. Il me fait monter et descendre sur son mandrin, me l’enfonce jusqu’aux couilles. Il me pilonne hard, je sens bien la présence de sa queue tout le long des parois de mon vagin, elle l’étire, le comble, il m’envoie encore plusieurs giclées de sa semence. Il sort de la douche toujours fiché en moi, je descends les jambes, il me dépose au sol, m’incline sur le lavabo, s’aplatit sur moi, laisse sa queue rétrécir et ressortir d’elle-même. Elle est molle, retombe sur les couilles. C’est fini, il me dit :
- J’ai pas pu m’empêcher de t’emmancher !
- J’prends pas la pilule !
- T’aurais pu m’le dire plus tôt !
- Mauvaise période !
- J’avais envie de sentir ta mouille, j’ai pas pu résister.
- Vous avez pris le risque de me faire un gosse !
- Je sais, j’ai fait une connerie, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’aurais dû te demander !
- Et comment je fais maintenant ?
- Sais pas ! Si t'es pleine, tu ne gardes pas?
- Non, pas question!
Je laisse planer le doute, ça l’apprendra, il faut que je lui montre que c’est moi qui décide le moment et la façon dont j ‘ai envie de me faire sauter. On se sèche, se rhabille, on descend. Il passe à la réception, je l’attends dehors. Je lui demande de me déposer à 50m de chez moi. Avant de descendre de voiture, il me dit :
- Tiens-moi au courant !
- J’y manquerais pas, salut !
Il va être 8h, le café est ouvert depuis longtemps. J’entre par la porte de service, grimpe l’escalier en catimini, file dans ma chambre. Je me déshabille, ouvre mon lit, m’allonge dedans, me relève, laisse traîner une culotte déjà portée, tout ça pour une petite mise en scène ! Je me précipite en robe de chambre dans la douche, fais couler l’eau sur moi, ça me fait du bien, ça me détend, je me rince la vulve, elle est collante, enduite de foutre. Je suis fatiguée, il m’a crevée, je tiens à peine sur mes jambes, j’ai mal aux cuisses lorsque je m’accroupis, je les ai trop écartées. Je sorts de la salle de bain, robe de chambre grande ouverte, tombe nez à nez avec ma mère qui me dit :
- Qu’est c’qui t’prends ? Tu t’ trimbales ventre à l’air ?
- Laisse moi passer, j’suis en retard !
- Et si c’était ton père ?
- Et alors, y va pas en perdre la vue
- T’as pas à lui montrer ton corps !
- Oh tu sais ! Y m’a d’jà vue
- Comment ça ? C’est ton père, t’as pas l’droit !
- J’suis pas de lui!
- T’avises pas d’y toucher !
- J’suis pas conne !T’es pas un peu jalouse ?
- T’as couché dehors cette nuit ?
- Non, j’suis rentrée tard, j’ai pas fait de bruit !
- T’as une sale tête! Tu t’es encore faite tirer ?
- Et alors, j’vois pas en quoi ça te regarde !
Je rentre dans ma chambre, enfile une culotte et un jean, mets un corsage, une veste jean, prends mon sac à dos, laisse mon lit ouvert. Je descends à la cuisine, avale mon petit déjeuner, j’ai une faim de loup, file en vitesse, je suis juste à l’heure au boulot.
À suivre 28
- Regarde dans quel état tu me mets !
- J’n’aurais pas dû ?
- Tu vas le regretter !
Il m’attrape à bras le corps, me colle le dos contre la paroi de la douche, me tient contre, me relève une jambe.
- Non, ne me la rentrez pas !
- Fallait pas m’exciter !
- Laissez-moi, j’ai plus envie.
- Moi si !
Hier soir et encore ce matin, il me l’a rentré après avoir viré la capote, j’ai senti son foutre se répandre au fond de ma gaine. Heureusement que je prends la pilule ! Je ne vais pas lui dire, bien sûr ! Il en profiterait.
Je suis coincée, il est costaud, je ne parviens pas à me dégager de son emprise, sa queue commence à me pénétrer. Trop tard, je ne peux plus rien faire, c’est rentré, d’un seul coup de rein il m’emmanche à fond, je suis prisonnière de sa queue. Je supplie :
- J’aime pas qu’on m’baise de cette façon!
Mais il n’en a cure. Il me prend sous les fesses, me soulève, sa queue reste dedans. Je mets mes jambes sur ses hanches, m’accroche à son cou, c’est moi qui a des couilles qui pendent entre les jambes. Soulever 45 kg ne lui fait pas peur ! J’aime sa bite, elle est bien au fond de moi, je me laisse faire ! Sa bite est nue, chaude, coulisse dans ma gaine bien lubrifiée, j’aime le contact de sa chair dans la mienne. Il me fait monter et descendre sur son mandrin, me l’enfonce jusqu’aux couilles. Il me pilonne hard, je sens bien la présence de sa queue tout le long des parois de mon vagin, elle l’étire, le comble, il m’envoie encore plusieurs giclées de sa semence. Il sort de la douche toujours fiché en moi, je descends les jambes, il me dépose au sol, m’incline sur le lavabo, s’aplatit sur moi, laisse sa queue rétrécir et ressortir d’elle-même. Elle est molle, retombe sur les couilles. C’est fini, il me dit :
- J’ai pas pu m’empêcher de t’emmancher !
- J’prends pas la pilule !
- T’aurais pu m’le dire plus tôt !
- Mauvaise période !
- J’avais envie de sentir ta mouille, j’ai pas pu résister.
- Vous avez pris le risque de me faire un gosse !
- Je sais, j’ai fait une connerie, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’aurais dû te demander !
- Et comment je fais maintenant ?
- Sais pas ! Si t'es pleine, tu ne gardes pas?
- Non, pas question!
Je laisse planer le doute, ça l’apprendra, il faut que je lui montre que c’est moi qui décide le moment et la façon dont j ‘ai envie de me faire sauter. On se sèche, se rhabille, on descend. Il passe à la réception, je l’attends dehors. Je lui demande de me déposer à 50m de chez moi. Avant de descendre de voiture, il me dit :
- Tiens-moi au courant !
- J’y manquerais pas, salut !
Il va être 8h, le café est ouvert depuis longtemps. J’entre par la porte de service, grimpe l’escalier en catimini, file dans ma chambre. Je me déshabille, ouvre mon lit, m’allonge dedans, me relève, laisse traîner une culotte déjà portée, tout ça pour une petite mise en scène ! Je me précipite en robe de chambre dans la douche, fais couler l’eau sur moi, ça me fait du bien, ça me détend, je me rince la vulve, elle est collante, enduite de foutre. Je suis fatiguée, il m’a crevée, je tiens à peine sur mes jambes, j’ai mal aux cuisses lorsque je m’accroupis, je les ai trop écartées. Je sorts de la salle de bain, robe de chambre grande ouverte, tombe nez à nez avec ma mère qui me dit :
- Qu’est c’qui t’prends ? Tu t’ trimbales ventre à l’air ?
- Laisse moi passer, j’suis en retard !
- Et si c’était ton père ?
- Et alors, y va pas en perdre la vue
- T’as pas à lui montrer ton corps !
- Oh tu sais ! Y m’a d’jà vue
- Comment ça ? C’est ton père, t’as pas l’droit !
- J’suis pas de lui!
- T’avises pas d’y toucher !
- J’suis pas conne !T’es pas un peu jalouse ?
- T’as couché dehors cette nuit ?
- Non, j’suis rentrée tard, j’ai pas fait de bruit !
- T’as une sale tête! Tu t’es encore faite tirer ?
- Et alors, j’vois pas en quoi ça te regarde !
Je rentre dans ma chambre, enfile une culotte et un jean, mets un corsage, une veste jean, prends mon sac à dos, laisse mon lit ouvert. Je descends à la cuisine, avale mon petit déjeuner, j’ai une faim de loup, file en vitesse, je suis juste à l’heure au boulot.
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