La gourgandine ( 20 )
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La gourgandine ( 20 )
20------On est au début juillet, mes parents partent en vacances dimanche, ferment le café, je vais rester seule. Vers minuit je suis réveillée par des bruits suspects. Des sortes de gémissements, pas de doute ma mère est en train de s’envoyer en l’air. Puis le silence revient, je me mets sur le côté, en chien de fusil, me rendors. Je suis nue et comme il fait chaud, j’ai le corps à peine recouvert par le drap, mes fesses sont à l’air. Je dors d’un sommeil paisible. Plongée dans un rêve érotique, j’ai l’impression qu’on me caresse la fente. Je trouve ça agréable à tel point que j’en mouille, soupire, remue. J’imagine qu’une bite se glisse dans ma fente, se met en place sur mon trou, je me cambre, remue, je m’ouvre. Quel beau rêve érotique, ça fait longtemps que je n’en ai pas fait un comme ça. Toujours dans mon rêve, j’ai la sensation qu’une queue commence à me pénétrer, ça me réveille en sursaut, je reviens soudain à la réalité. Je dis tout bas :
- T’es gonflé de venir me baiser quand je dors!
- Ta mère dort, j’avais la trique !
Mon beau-père est allongé contre mon dos, je sens la chaleur de son corps. C’est le gland en franchissant l’orifice qui m’a réveillé. La queue rentre doucement dans moi, je remue le cul pour l’aider à s’enfoncer, elle commence à coulisser dans mon vagin, me ramone lentement, que c’est bon. Chaque va et vient l’enfonce plus profondément, elle disparaît en moi jusqu’aux couilles. Il fait de lents va et vient dans mon vagin, je l’accompagne, soupire. Je lui chuchote à l’oreille :
- Je t’ai entendu la baiser hier soir !
- J’lui ai rien mis, j’ai tout gardé pour toi !
- Qu’elle heure il est ?
- 4 h je crois, fait pas de bruit !
C’est si bon que je l’aide à me ramoner en silence, allonge mes jambes, garde les cuisses serrées, me mets sur le ventre sans qu’il sorte de moi, cambre les reins, remonte mon cul. Il est sur mon dos, depuis le début il m’a enfilé ses 20cm de queue, me ramone déjà depuis un bon moment, il va de plus en plus vite, ma respiration s’accélère. Je cambre un peu plus les reins, ondule, vibre à chaque fois qu’il coulisse en moi, mon cœur s’emballe. Je me cache le visage dans l’oreiller, étouffe ma jouissance car, par petits coups de reins successifs, il décharge dans mon antre, me remplit de son foutre. Il reste affalé sur mon dos, m’écrase de son poids, j’ai chaud, je suis bien sous lui. Je ne bouge pas, l’emprisonne en resserrant les muscles de mon vagin, je ne veux pas qu’il ressorte de moi, le tient bien au chaud dans mon ventre. On reste soudés l’un dans l’autre, doucement il continue à parcourir mon vagin, je savoure ces quelques instants de bonheur de l’avoir en moi. Au bout d’un long moment il sa bloque, sa queue se contracte, il m’envoie ce qui lui reste de foutre dans les couilles. Il est affalé sur moi, sa bite ramollit lentement, il l’extrait de mon emprise, roule à côté de moi, je me retourne sur le dos, il me dit à l’oreille :
- Ca t’a plu ?
- Oui ! Au début j’ai cru rêver !
J’allume le chevet, il est 4h1/2. Il se lève, il est à poil, sa bite pendouille sur les couilles, il est vide, enfile son caleçon, remet le drap sur moi, me fait la bise, s’éclipse sans bruit.
- Bonne nuit !
J’éteins, glisse un doigt dans mon vagin, du foutre en sort, tapisse ma fente. Je suce mon doigt, je n’ai pas rêvé, il est bien venu me la mettre !
Le lendemain matin, quand je me lève, je vois une grosse tache de sperme sur le drap housse. Comment dissimuler ça, ma mère risque de le voir et me poser des questions. Qui est venu dans ma chambre pour me sauter ? Il n’y a qu’un mâle ici, ça ne peut-être que lui. Il arrive quelque fois à ma mère de changer mes draps pour les mettre dans la machine le jour de lessive. Je vais prendre les devant, sinon il risque d’y avoir de la casse ! Et dire que je dois me rendre au boulot tout à l’heure. J’enlève mon drap, le remplace, le range soigneusement au bas de l’armoire, refait mon lit. Je vais attendre que mes parents partent en vacances dimanche pour le mettre dans la machine à laver
À suivre châpitre 21
- T’es gonflé de venir me baiser quand je dors!
- Ta mère dort, j’avais la trique !
Mon beau-père est allongé contre mon dos, je sens la chaleur de son corps. C’est le gland en franchissant l’orifice qui m’a réveillé. La queue rentre doucement dans moi, je remue le cul pour l’aider à s’enfoncer, elle commence à coulisser dans mon vagin, me ramone lentement, que c’est bon. Chaque va et vient l’enfonce plus profondément, elle disparaît en moi jusqu’aux couilles. Il fait de lents va et vient dans mon vagin, je l’accompagne, soupire. Je lui chuchote à l’oreille :
- Je t’ai entendu la baiser hier soir !
- J’lui ai rien mis, j’ai tout gardé pour toi !
- Qu’elle heure il est ?
- 4 h je crois, fait pas de bruit !
C’est si bon que je l’aide à me ramoner en silence, allonge mes jambes, garde les cuisses serrées, me mets sur le ventre sans qu’il sorte de moi, cambre les reins, remonte mon cul. Il est sur mon dos, depuis le début il m’a enfilé ses 20cm de queue, me ramone déjà depuis un bon moment, il va de plus en plus vite, ma respiration s’accélère. Je cambre un peu plus les reins, ondule, vibre à chaque fois qu’il coulisse en moi, mon cœur s’emballe. Je me cache le visage dans l’oreiller, étouffe ma jouissance car, par petits coups de reins successifs, il décharge dans mon antre, me remplit de son foutre. Il reste affalé sur mon dos, m’écrase de son poids, j’ai chaud, je suis bien sous lui. Je ne bouge pas, l’emprisonne en resserrant les muscles de mon vagin, je ne veux pas qu’il ressorte de moi, le tient bien au chaud dans mon ventre. On reste soudés l’un dans l’autre, doucement il continue à parcourir mon vagin, je savoure ces quelques instants de bonheur de l’avoir en moi. Au bout d’un long moment il sa bloque, sa queue se contracte, il m’envoie ce qui lui reste de foutre dans les couilles. Il est affalé sur moi, sa bite ramollit lentement, il l’extrait de mon emprise, roule à côté de moi, je me retourne sur le dos, il me dit à l’oreille :
- Ca t’a plu ?
- Oui ! Au début j’ai cru rêver !
J’allume le chevet, il est 4h1/2. Il se lève, il est à poil, sa bite pendouille sur les couilles, il est vide, enfile son caleçon, remet le drap sur moi, me fait la bise, s’éclipse sans bruit.
- Bonne nuit !
J’éteins, glisse un doigt dans mon vagin, du foutre en sort, tapisse ma fente. Je suce mon doigt, je n’ai pas rêvé, il est bien venu me la mettre !
Le lendemain matin, quand je me lève, je vois une grosse tache de sperme sur le drap housse. Comment dissimuler ça, ma mère risque de le voir et me poser des questions. Qui est venu dans ma chambre pour me sauter ? Il n’y a qu’un mâle ici, ça ne peut-être que lui. Il arrive quelque fois à ma mère de changer mes draps pour les mettre dans la machine le jour de lessive. Je vais prendre les devant, sinon il risque d’y avoir de la casse ! Et dire que je dois me rendre au boulot tout à l’heure. J’enlève mon drap, le remplace, le range soigneusement au bas de l’armoire, refait mon lit. Je vais attendre que mes parents partent en vacances dimanche pour le mettre dans la machine à laver
À suivre châpitre 21
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