La gourgandine ( 23 )
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
La gourgandine ( 23 )
23------- Mes parents sont rentrés de vacances la semaine dernière. Vers 3h du matin, je me réveille, j’ai envie d’aller aux toilettes. Je dors nue, allume le chevet, me lève, sorts de ma chambre, laisse la porte ouverte. Je n’allume pas le couloir, il est éclairé par la lune grâce à une fenêtre en bout. Dans la pénombre je vais dans la salle de bains. Soulagée, je regagne ma chambre. Arrivée devant la porte de mes parents, je tombe nez à nez avec mon beau-père, il est en caleçon. Je lui demande à voix basse :
- Elle dort ?
- Oui !
Je passe la main dans l’ouverture du caleçon, attrape la queue, dès que je la touche elle se redresse :
- Viens !
- C’n’est pas prudent !
- J’ai envie !
Il me suit dans ma chambre, je ferme la porte sans bruit, m’assoie sur mon lit, sorts la bite du caleçon, prends le gland en bouche, suce, elle a un goût dégueulasse, est plutôt rêche, n’a pas été lavée, il a dû baiser sa femme hier soir. Il bande, me regarde, incrédule. Toujours à voix basse, je lui dis :
- Prends-moi !
Je m’allonge sur mon lit, écarte les cuisses, remonte les jambes, ouvre mon sexe avec les doigts, en glisse un dedans, lui montre l’intérieur de ma fente.
- Alors tu viens !
Il hésite puis s’allonge sur moi, je prends sa bite, la met devant mon trou, je donne un coup de rein en même temps que lui pousse. J’en ai tellement envie que cette fois la queue entre sans aucune difficulté malgré sa taille. Il me burine en silence, j’évite de couiner, halète, me donne à fond. Il me ramone de plus en plus vite, va de plus en plus profondément en moi, me la rentre en entier. Il fait varier la cadence, s’arrête au fond, ressort, me pilonne hard. Je l’accompagne par des mouvements du bassin, cambre les reins, vais au devant de chaque coup de bite. Au bout d’une bonne dizaine de minutes d’activité intense à l’intérieur de mon corps, je sens que je viens, mon cœur s’emballe, passe à 120, ma respiration est de plus en plus rapide, je grimpe aux rideaux. Au moment où je jouis, il plaque rapidement sa main sur ma bouche et en même temps se cabre, je sens sa queue se contracter à l’intérieur de ma gaine, il donne un coup de rein et décharge au fond de moi. Je sens son foutre m’envahir, juste une ou deux giclées c’est tout. Mais il y en a assez pour me remplir de bonheur. Il s’écroule sur moi, ne bouge plus, sa queue reste en moi, je la comprime avec mon vagin, on reste soudés l’un à l’autre. Elle ramollit doucement, il la retire. Ca y est, j’ai eu ce que je voulais, sa bite, son jus. Je le repousse, il me chuchote à l’oreille :
- T’es quand même une sacrée salope !
- Tu ne t’en plains pas ?
- T’n’oublies pas de prendre la pilule ?
- Non, il n’y a pas de risque ! Vas rejoindre ta femme !
Il se lève, sort de la chambre en silence, referme la porte. Il doit aller aux toilettes maintenant, je l’ai intercepté pour qu’il me la mette ! Je prends un tampon, le glisse dans mon vagin pour ne pas risquer de tacher le drap, me rendors, heureuse, le ventre plein de son jus ! Quel bon amant, quelle bite, dommage qu’elle ne soit pas à moi ! Pourvu que sa femme ne s’aperçoive de rien !
Le lendemain matin je passe par la cuisine prendre mon petit dèje avant d’aller au bureau. Je commence à 9h, termine à 17, à midi j’ai 1h pour déjeuner. Le samedi matin je termine à 13h. Mon père a déjà ouvert le café, m’entend, vient faire un tour dans la cuisine entre deux clients à servir. Je lui demande à voix basse :
- Elle ne s’est aperçue de rien ?
- Elle s’est réveillée quand je suis rentré dans le lit, m’a demandé :
- Qu’est c’que tu fous, tu ne dors pas, d’où tu viens ?
- J’ai été pisser et boire un coup à la cuisine.
- Ca t’en a pris un temps !
- Pas plus que d’habitude, j’avais soif !
- Elle m’a tourné le dos et s’est rendormie.
- Parfois j’vous entends baiser la nuit, depuis que tu m’l’as enfilé, je voudrais toujours être à sa place ! J’aime ton mandrin et le jus de tes couilles, j’voudrais que tu m’prennes plus souvent. Tu dis que je ne suis pas discrète quand je baise, mais vous non plus ! Je vous ai entendu remettre ça ce matin ! T’en avais encore pour elle ?
- Non, j’ai pas eu le temps de recharger, à vous deux vous m’avez crevé !
Il retourne au comptoir, j’ai fini mon p’tit dèje, voilà ma mère, elle a l’air fatiguée, je l’embrasse, je dois me dégrouiller, j’ai une 1/2h de trajet.
- À ce soir !
Ca va faire 2 ans que je travaille dans le service appros. En ce moment je prends des cours de conduite, recherche un appartement. Je baise rarement, chez moi c’est pas possible, donc je me fais monter à la sauvette, des queues il y en a sur le marché, c’est facile de s’en faire rentrer une quand le besoin devient trop pressant. Le plus dur, c’est de trouver un porte couille qui me plait. Je ne baise jamais avec des mecs de la boîte, je ne veux pas risquer ma place. Il y en a un qui me fait du rentre dedans, je l’envoie se faire foutre. Il y a bien mon chef de service qui m’intéresse, s’il me le demande je ne dirais pas non. Mais…….
Il ne m’a jamais reparlé de la soirée au restaurant dans lequel il m’avait invité il y a de cela 3 ans. Ce soir là il m’a fait passer une sorte d’entretient d’embauche J’ai eu mon diplôme, il a tenu sa promesse, m’a pris dans son service. Et, chose étonnante, quand un mec invite une gonzesse au resto c’est généralement parce qu’il a l’intention de la sauter. Hé bien non, je n’y ai pas eu droit, dommage ! Pourtant, au dire de ceux qui me connaissent, je suis parfaitement mettable ! Mais lui ne doit pas être intéressé par mon cul !
Depuis quelque temps mon beau-père a prit l’habitude de laisser ma mère au comptoir le samedi après midi, il va faire des courses ! Je crois qu’il passe livrer en ville, fait un petit détour, un tuyau à détartrer, un moteur à faire tourner, une bougie à essayer pour voir si elle s’adapte bien !
À suivre 24
- Elle dort ?
- Oui !
Je passe la main dans l’ouverture du caleçon, attrape la queue, dès que je la touche elle se redresse :
- Viens !
- C’n’est pas prudent !
- J’ai envie !
Il me suit dans ma chambre, je ferme la porte sans bruit, m’assoie sur mon lit, sorts la bite du caleçon, prends le gland en bouche, suce, elle a un goût dégueulasse, est plutôt rêche, n’a pas été lavée, il a dû baiser sa femme hier soir. Il bande, me regarde, incrédule. Toujours à voix basse, je lui dis :
- Prends-moi !
Je m’allonge sur mon lit, écarte les cuisses, remonte les jambes, ouvre mon sexe avec les doigts, en glisse un dedans, lui montre l’intérieur de ma fente.
- Alors tu viens !
Il hésite puis s’allonge sur moi, je prends sa bite, la met devant mon trou, je donne un coup de rein en même temps que lui pousse. J’en ai tellement envie que cette fois la queue entre sans aucune difficulté malgré sa taille. Il me burine en silence, j’évite de couiner, halète, me donne à fond. Il me ramone de plus en plus vite, va de plus en plus profondément en moi, me la rentre en entier. Il fait varier la cadence, s’arrête au fond, ressort, me pilonne hard. Je l’accompagne par des mouvements du bassin, cambre les reins, vais au devant de chaque coup de bite. Au bout d’une bonne dizaine de minutes d’activité intense à l’intérieur de mon corps, je sens que je viens, mon cœur s’emballe, passe à 120, ma respiration est de plus en plus rapide, je grimpe aux rideaux. Au moment où je jouis, il plaque rapidement sa main sur ma bouche et en même temps se cabre, je sens sa queue se contracter à l’intérieur de ma gaine, il donne un coup de rein et décharge au fond de moi. Je sens son foutre m’envahir, juste une ou deux giclées c’est tout. Mais il y en a assez pour me remplir de bonheur. Il s’écroule sur moi, ne bouge plus, sa queue reste en moi, je la comprime avec mon vagin, on reste soudés l’un à l’autre. Elle ramollit doucement, il la retire. Ca y est, j’ai eu ce que je voulais, sa bite, son jus. Je le repousse, il me chuchote à l’oreille :
- T’es quand même une sacrée salope !
- Tu ne t’en plains pas ?
- T’n’oublies pas de prendre la pilule ?
- Non, il n’y a pas de risque ! Vas rejoindre ta femme !
Il se lève, sort de la chambre en silence, referme la porte. Il doit aller aux toilettes maintenant, je l’ai intercepté pour qu’il me la mette ! Je prends un tampon, le glisse dans mon vagin pour ne pas risquer de tacher le drap, me rendors, heureuse, le ventre plein de son jus ! Quel bon amant, quelle bite, dommage qu’elle ne soit pas à moi ! Pourvu que sa femme ne s’aperçoive de rien !
Le lendemain matin je passe par la cuisine prendre mon petit dèje avant d’aller au bureau. Je commence à 9h, termine à 17, à midi j’ai 1h pour déjeuner. Le samedi matin je termine à 13h. Mon père a déjà ouvert le café, m’entend, vient faire un tour dans la cuisine entre deux clients à servir. Je lui demande à voix basse :
- Elle ne s’est aperçue de rien ?
- Elle s’est réveillée quand je suis rentré dans le lit, m’a demandé :
- Qu’est c’que tu fous, tu ne dors pas, d’où tu viens ?
- J’ai été pisser et boire un coup à la cuisine.
- Ca t’en a pris un temps !
- Pas plus que d’habitude, j’avais soif !
- Elle m’a tourné le dos et s’est rendormie.
- Parfois j’vous entends baiser la nuit, depuis que tu m’l’as enfilé, je voudrais toujours être à sa place ! J’aime ton mandrin et le jus de tes couilles, j’voudrais que tu m’prennes plus souvent. Tu dis que je ne suis pas discrète quand je baise, mais vous non plus ! Je vous ai entendu remettre ça ce matin ! T’en avais encore pour elle ?
- Non, j’ai pas eu le temps de recharger, à vous deux vous m’avez crevé !
Il retourne au comptoir, j’ai fini mon p’tit dèje, voilà ma mère, elle a l’air fatiguée, je l’embrasse, je dois me dégrouiller, j’ai une 1/2h de trajet.
- À ce soir !
Ca va faire 2 ans que je travaille dans le service appros. En ce moment je prends des cours de conduite, recherche un appartement. Je baise rarement, chez moi c’est pas possible, donc je me fais monter à la sauvette, des queues il y en a sur le marché, c’est facile de s’en faire rentrer une quand le besoin devient trop pressant. Le plus dur, c’est de trouver un porte couille qui me plait. Je ne baise jamais avec des mecs de la boîte, je ne veux pas risquer ma place. Il y en a un qui me fait du rentre dedans, je l’envoie se faire foutre. Il y a bien mon chef de service qui m’intéresse, s’il me le demande je ne dirais pas non. Mais…….
Il ne m’a jamais reparlé de la soirée au restaurant dans lequel il m’avait invité il y a de cela 3 ans. Ce soir là il m’a fait passer une sorte d’entretient d’embauche J’ai eu mon diplôme, il a tenu sa promesse, m’a pris dans son service. Et, chose étonnante, quand un mec invite une gonzesse au resto c’est généralement parce qu’il a l’intention de la sauter. Hé bien non, je n’y ai pas eu droit, dommage ! Pourtant, au dire de ceux qui me connaissent, je suis parfaitement mettable ! Mais lui ne doit pas être intéressé par mon cul !
Depuis quelque temps mon beau-père a prit l’habitude de laisser ma mère au comptoir le samedi après midi, il va faire des courses ! Je crois qu’il passe livrer en ville, fait un petit détour, un tuyau à détartrer, un moteur à faire tourner, une bougie à essayer pour voir si elle s’adapte bien !
À suivre 24
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