Coup de coeur entre artistes 14

- Par l'auteur HDS July2 -
Récit érotique écrit par July2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin :  Coup de coeur entre artistes 14 Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Coup de coeur entre artistes 14
Quand j’arrive, il ne m’entend pas arriver : il a mis de la musique et chantonne tout en préparant le repas. Il est dos à moi. Il a enfilé un short style surfer qui lui tombe bas sur les reins.

- On mange quoi de bon ? Je lui demande en posant mes mains sur ses hanches avant de me coller à son dos.

Il se tourne alors vers moi et je constate qu’il rougit.

- Je rêve ou tu fais le timide ? T’as peur que je t’entende chanter alors que tu n’as absolument pas peur de faire choper en train baiser ? Tu es vraiment paradoxal…
Lui.

- Et je rêve ou tu te promènes toute nue chez moi ?
- C’est ça, change de sujet va ! Me répond-elle. Et non tu ne rêves pas, tu as dit que tu me trouvais belle toute nue, alors j’ai eu envie de te faire plaisir.

Pour me faire plaisir, elle me fait plaisir, je bande à nouveau.

- ça ne me dit pas ce qu’on mange, dit-elle en souriant.
- Chipirons farcis aux poivrons et tomates et du riz safrané.
- C’est toi qui a fait ça ?
- Ben oui, tu vois quelqu’un d’autre que toi ou moi dans la cuisine ? C’est si surprenant que ça un mec qui cuisine ? Je lui réponds en faisant mine d’être vexé.
- Désolée bébé, je voulais pas te blesser.
- Tu marches pas tu cours toi… je suis pas vexé mais c’était trop tentant …
Elle me donne un coup sur le pec. Je lui attrape les mains et les pose sur ma queue.

- Sois sage sinon je ne te laisse profiter de ça après…- C’est toi qui dit ça ? Ça te manquerait plus qu’à moi je suis sûre !
- Ah oui, tu crois ? Tu me prends vraiment pour un chaud de la bite … je suis tout à fait capable de pas m’envoyer en l’air quelques jours. Et j’ai toujours ma main… tu craquerais la première… - Je te rappelle que j’ai pas eu de mec dans mon lit pendant un moment après Eric, alors je pense que je peux tenir.
- On verra bien… sinon tu veux manger dedans ou dehors ?
- Dehors, il fait bon autant en profiter.

J’installe la table sur la terrasse et on passe à table.

- C’était super bon, me dit-elle à la fin du repas.
- Merci ma puce.

On passe la soirée devant un film. Quand on monte se coucher, je suis encore tout dur. Mais elle m’a piqué dans ma fierté, je vais lui montrer que je peux me passer de sexe et qu’elle me suppliera de la baiser la première.

Je m’allonge derrière elle et la prends dans mes bras. Ses fesses contre ma queue me donnent envie de la prendre par le petit trou. Mais je prends sur moi. Elle veut jouer, on va jouer. Je la serre fort contre moi avec un bras. De ma main libre, je joue avec son clito et l’embrasse dans le cou.

- Tu vois que c’est à toi que ça manque le plus, me lance-t-elle.

Je ne réponds pas. Je continue de la caresser. Elle essaie de se tourner vers moi, mais je l’en empêche en resserrant un peu plus mon étreinte. Elle mouille de plus en plus, sa respiration s’accélère et elle commence à gémir.

Je la laisse se tourner vers moi et l’embrasse tendrement.

- Bonne nuit ma puce, lui dis-je avant de me tourner et de m’allonger sur le ventre.
- Tu plaisantes là ?
- Pas du tout, je suis K.O. ma puce.
- Tu me chauffes et tu me laisses comme ça ?
- Oui… j’ai dit que je te ferai pas l’amour, pas que je t’allumerai pas.

Puis j’éteins la lumière.

- Je te déteste…- Moi aussi je t’aime bébé. Essaie de dormir tu as cours demain…
Je me déteste aussi en fait. J’ai tellement envie d’elle. En plus de l’avoir eu nue toute la soirée n’a pas arrangé les choses… je peine à m’endormir. Et quand je me lève le matin, j’ai une gaule d’enfer. Je file sous la douche avant que Julie ne se réveille. J’en profite pour me soulager. Je m’appuie dos au carrelage de la douche, le jet d’eau battant sur mon torse alors que je fais des vas et vient sur ma queue avec ma main droite. Après de longues minutes, un flot blanc jailli de mon gland. Je termine de me doucher et vais préparer le petit déjeuner.

Je remonte avec plateau pour ma chérie. A côté du café et des tartines que je lui ai préparés, j’ai posé une rose.

Elle ouvre doucement les yeux quand j’ouvre la porte. Je pose le plateau à côté d’elle et l’embrasse dans les cheveux.

- Merci bébé, c’est trop mignon. T’as pas de rose dans le jardin, t’as trouvé un fleuriste à cette heure ?
- Non, je l’ai piquée dans le jardin de la voisine… je réponds un peu honteux. Mange, tu dois avoir faim…- J’ai faim mais de toi… et t'es déjà tout habillé… si on t’enlevait tout ça…- On n’a pas le temps ma puce, faut qu’on aille déposer Ice chez toi avant que je te dépose et j’ai pas mal de rendez vous ce matin, je peux pas être en retard.
- T’es une pourriture ! Je me vengerai…- J’attends de voir ça ma puce. Pour l’instant je vais faire faire un tour aux chiens. La salle de bains est juste en face. Je t’aime.

Je descends et j’appelle les chiens. Je fais un tour dans le quartier avec eux. Quand je reviens, Julie m’attend devant la porte de la maison. Je fais monter Ice dans le coffre. Pendant que Julie s’installe, je vais donner à manger à Max. Je la rejoins ensuite.

Après avoir déposé son chien chez elle, nous voilà devant l’école d’arts.

- A ce soir ma puce.
- A ce soir. On se rejoint chez moi ? Comme ça je roule.
- Ça marche.

Elle sort de la voiture et entre dans l’école. Je file au studio.

Elle.

Je le maudis de m’avoir privée de sexe. Et je pensais franchement que ce matin ça lui serait passé et qu’on se serait envoyé en l’air.

- Il t’a rendue accro au sexe ! Toi qui n’avait pas vu de bite depuis des mois…- Mais n’importe quoi…je suis pas accro…

J’explose de rire.

- Si, il m’a rendue accro. Mais accro au sexe avec lui…- Et sinon il a dit quoi quand tu lui as dit que tu voulais qu'il vienne avec toi chez ton frère ?
- Il est content que je veuille le lui présenter. Et je lui ai parlé des modalités…- Et alors ? Me demande-t-elle soudainement très sensuelle.
- Ben lui est plutôt open à pas mal de choses. Moi je sais pas trop encore, je pense que ça viendra avec le temps et les expériences. Et comme à priori c’est avec toi qu’on va commencer j’ai pas peur de passer pour une tarte si y a un truc que je suis pas prête…
Dans l’après-midi j’envoie un sms à Thomas.

‘’ j’ai un de mes cours qui est annulé, du coup je termine plus tôt, ça te dit que je passe au studio, on pourra se rattraper d’hier soir et ce matin…’’
‘’ coucou ma puce. Désolé j’ai vraiment pas le temps cet aprem. J’ai une séance mariage à préparer pour demain, faut que j’aille déposer une partie du matos à la salle déjà aujourd’hui, et j’ai des clichés à sortir encore. Je suis grave à la bourre. ‘’
‘’ OK ça marche.’’
‘’ au fait, faut partir à quelle heure de chez toi ce soir ?’’
‘’ 19h00, faut compter une demie heure pour y aller’’
‘’ je serai là pour 19h alors. A toute ma puce, je t’embrasse tout plein. ‘’
Je suis choquée de tant de distance. Je suis sûre qu’il le fait exprès. Le connaissant, il attend que ça.

En sortant de cours, je file à la maison me doucher.

A 19h00 tapantes, Thomas frappe à la porte. Je le fais entrer. Il me prend dans ses bras et me serre contre lui.

- Ça fait du bien de t’avoir contre moi bébé. Tu m’as manquée…- Je t’aurais moins manquée si tu m’avais laissée venir au studio… lui dis-je en passant mes mains sous son t-shirt.
- Tu vois que c’est toi qui réclame d’abord, me répond-il.
- Fais pas genre t’as pas envie… mais bon là on n’a pas le temps.

Je file dans la deuxième chambre et reviens un instant plus tard.

- Tiens, lui dis-je en lui tendant un casque et une veste de moto.
- C’est pour quoi faire ça ?
- On va chez mon frère en moto. C’est son casque et sa veste. Et dans le casque y a des gants.
- T’as le permis moto toi ?
- Ça te surprends après ce que tu sais de moi ?
- En fait non.

On descend et je sors ma Repsol du garage.

- Ah oui, et en plus c’est pas une moto de bluff.
- Allez, monte.

25 minutes plus tard, on est arrivé à Hendaye.

- Dis moi, y a pas plutôt 40 minutes de route pour arriver à Hendaye depuis chez toi ?
- Ça dépend de qui roule…
Au même moment, mon frère ouvre la porte.

- Salut la frangine.
- Salut Jo ! Je te présente Thomas. Thomas, voici Jonathan, mon frère. Et Nathalie sa femme.
- Enchanté, dit Thomas.
- Marraine !!! Crie Rosi du bout du salon.

Elle traverse la pièce en courant et me saute au cou.

- Coucou ma princesse ! Et là c’est Rosi, mon petit rayon de soleil. Lui c’est Thomas, tu verras, il est gentil.
- Salut Thomas, dit-elle de sa petite voix.
- Bonjour Rosi.

Mon frère nous fait entrer. Je récupère le casque de Thomas et nos vestes et vais les déposer sur le lit de Jonathan.

- Alors, elle a roulé à combien ? Demande-t-il à Thomas quand je reviens.
- Tu sais très bien que j’ai coupé le compteur pour pas être tentée de rouler à chaque fois un peu plus vite. Mais vu qu’on a mis 25 minutes au lieu de 40, je dirais du 120 sur la départementale et du 150 sur l’autoroute.
- Heureusement que papa n’est pas là pour t’entendre, il en ferait une attaque. Venez, on va prendre l’apéro sur la terrasse.

Lui.

Le frère de Julie est vraiment super sympa. Il est prof de sport à Saint Jean de Luz. Sa femme, Nathalie, est auxiliaire de puériculture. Pendant qu’on discute, Julie joue avec Rosi dans le jardin. La petite a l’air ravie de voir sa marraine. Et Julie semble heureuse profiter de la petite. Elle fera une maman géniale…
- Rosi, Julie, on passe à table, dit Nathalie.

Elles nous rejoignent. Au cours du repas, on échange sur nos boulots.

- Marraine, tu veux m’emmener toi au dodo ? Lui demande Rosi quand sa maman lui dit qu’il est l’heure d’aller au lit.
- Bien sûr ma chérie.

Elle prend la petite dans ses bras et disparaît au détour d’une porte. Après quelques minutes, je demande à Jonathan de m’indiquer les toilettes. Il me montre la même porte que celle empruntée par Julie.

Je me lève et m’y engage. Elle donne sur la partie nuit de la maison. Les toilettes sont à droite, la salle de bains à gauche. Je tourne à gauche et m’appuie à l’encadrement de porte. Quand Julie passe devant moi, je l’attrape par la taille et l’entraîne dans la salle de bains.

- La petite dort ? Je lui demande.
- Oui.
- Parfait. J’en pouvais plus d’attendre. J’ai eu ce que j’ai voulu, tu m’as demandé 2 fois de te prendre, je pensais réussir à tenir jusqu’à ce qu’on rentre mais là j’ai trop envie.
- Arrête, ils vont nous entendre… me dit-elle alors que j’ouvre son jean et que je commence à le baisser.
- Pas si tu sais te faire discrète. Et je t’ai déjà dit, c’est pas un truc qui m’arrête moi… au contraire. Tu crois qu’il se doute pas qu’on baise ?

J’ouvre mon jeans et baisse un peu mon boxer pour laisser sortir ma queue. Je soulève Julie et l’assied sur le meuble vasque. Je me mets à genoux devant elle et lui écarte les jambes avant de mettre ma bouche sur son clito. Aussitôt elle gémit et agrippe mes cheveux.

- Humm, c’est top bon… oui...
- Je croyais que tu avais peur qu’on nous entende ?

Elle rougit un peu. Je reprends mon exploration de sa chatte. Elle jouit rapidement. Je la fais descendre du meuble et la fait se tourner.

- Oh que j’aime ton cul, lui dis-je en la fessant.

Je la saisis par les hanches et la pénètre violemment. C’est si bon de la sentir autour de moi. Je la pilonne avec force. Elle a du mal à retenir un petit cri quand elle jouit. Je profite de sa mouille ruisselante sur ma queue pour la baiser par derrière. Elle gémit un peu plus fort. Alors que je suis à 2 doigts de jouir, elle me demande de m’arrêter.

- Je t’ai fait mal ? Je lui demande.
- Non, pas du tout, j’ai envie que tu finisses dans ma bouche.

Je lui souris. Elle se met à genoux devant moi et enfourne ma queue dans sa bouche, bien profondément. Elle me suce avec vigueur. Je ne tarde pas à lui gicler dans la gorge.

On se rhabille rapidement. Quand on sort de la salle de bains, Rosi appelle Julie.

- J’espère que c’est pas nos ébats qui m’ont réveillée, lui dis-je.
- Je pense pas, elle a du faire un mauvais rêve. Vas-y j’arrive.

Je retourne avec son frère et sa belle sœur.

- Désolé, je me suis planté de porte, je me suis retrouvé dans votre chambre, puis celle de la petite.
- Pas de souci, t’inquiète.

Puis durant les 10 minutes suivantes, il me mitraille de questions sur ce que j’ai fait avant, ce que je fait maintenant, mon âge, ma famille…
- Excuse moi de te demander tout ça, mais j’ai pas envie que ma sœur revive le même calvaires qu’avec ce fils de pute… - Je te rassure, j’en ai pas envie non plus, c’est pas pour rien que j’ai tout fait pour qu’il finisse en taule cette fois.
- Et je t’en remercie. Quand Julie est sortie de l’hôpital, elle était vraiment mal en point, je l’ai fait venir ici le temps qu’elle se remette, qu’elle se trouve un appart’. Elle a mis du temps à accepter que c’était un connard, qu’elle avait perdu le bébé. Ça a été dur de lui dire qu’elle avait subi une hystérectomie, elle ne voulait pas y croire. Je pensais pas qu’elle s'en remettrait ni qu’elle voudrait à nouveau sortir avec quelqu’un.

Julie nous rejoint et il change de sujet. Nous discutons encore une heure.

- Ma puce, ça te dérange si on y va ? Je fais un mariage demain, j’ai besoin de me reposer.
- Non pas du tout.

Julie va chercher nos affaires. On est sur le seuil de la porte pour saluer sa famille.

- Merci pour l’accueil. J’ai passé une excellente soirée, dis je.
- Je n’en doute pas une seule seconde, me répond son frère sans que je ne comprenne trop le sens de sa phrase. Jusqu’à ce qu’il ajoute au moment où je monte derrière Julie sur la moto : d’ailleurs sœurette, tu as oublié de fermer la braguette de ton jeans après votre passage dans la salle de bains.

Elle se redresse d’un coup et son frangin pouffe de rire.

- Elle est fermée, t’inquiète, je voulais juste te mettre mal à l’aise. Mais la prochaine fois, on a une chambre d’amis, vous serez plus à l’aise.

Et il rentre dans la maison.

- Je t’avais dit qu’ils allaient nous entendre…- Sois pas gênée… lui il ne l’est pas, je lui réponds en riant.

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