Rencontre inattendue 5
Récit érotique écrit par July2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rencontre inattendue 5
ELLE
Je reprends mon souffle après cet orgasme pendant que Thomas embrasse l’intérieur de mes cuisses. Il lève des yeux emplis de désir sur mon visage.
Il se relève et vient m’embrasser. Je termine d’ouvrir sa ceinture et défait le bouton de son pantalon. Il retire ses chaussures avec ses pieds et je laisse tomber son pantalon au sol.
- Tu as envie de quoi ma belle ?
Je n’ai tellement pas l’habitude qu’on me demande ce qui me ferait plaisir, que dans un premier temps je ne sais pas quoi lui répondre.
- Montre moi comme tu peux être bestial en faisant l’amour à une femme… - Ce n’est pas un banal pour une fille comme toi ?
- Pas quand c’est moi qui le demande. Et tu m’as fait l’amour tendrement cette nuit, j’ai envie que tu me brusques ce soir.
- Alors accroches toi à moi, on monte…
J’enroule de mes jambes autour de lui. Il ramasse nos fringues sur le canapé et monte les escaliers en me portant.
Arrivés dans sa chambre, il me jette sur le lit. Alors qu’il pose nos vêtements sur la commode, je commence à retirer mes escarpins.
- Oh non bébé, garde les, dit-il d’une voix rauque, pleine d’envie. Tu es archi bandante comme ça, mais ça aussi ça doit être banal pour toi…- Dans ta bouche, c’est tout sauf banal, c’est même très excitant…
Il prend sa ceinture qu’il vient de poser sur la commode.
- Tends moi les mains, poignets joints.
Il enroule la ceinture autour de mes poignets, la fait passer entre eux et serre jusqu’à ce que je ne puisse plus les bouger.
- Mets toi en haut du lit, face au mur, les mains sur la barre en bois.
Je fais ce qu’il me demande, et contrairement à d’habitude , cela m’excite réellement de recevoir des ordres. Il enroule la ceinture autour du bois et fait un nœud.
Il se met à genoux derrière moi, le plus près possible, pressant sa queue contre mes fesses à travers son boxer. Il mordille le lobe de mon oreille, pose ses mains sur mon ventre et les fait remonter jusqu’à mes seins.
Il les empoigne d’un coup, fort. Il presse encore un peu plus son érection contre mes fesses. Il malaxe mes seins vigoureusement puis pince doucement mes tétons entre ses pouces et ses index pour les faire pointer.
Sa langue court le long de mon cou jusqu’au creux de mon épaule. Je pousse un petit gémissement. C’est ce moment qu’il choisi pour pincer mes tétons et tirer si fort dessus qu’il me fait mal à m’en faire plaisir. Je sens l’excitation me faire mouiller.
Il fait glisser ses mains jusqu’à mon entrejambe. Sa main droite descend jusqu’à ma chatte, sa gauche contourne ma hanche jusqu’à mes fesses.
Il glisse son index dans la raie de mes fesses jusqu’à trouver mon petit trou. Il l’y introduit et entame un léger va et vient.
De sa main droite, il joue avec mon clitoris et mes lèvres. Il les caresse doucement avant de les pincer.
Quand son majeur rejoint son index dans mon cul, il tire mon clitoris pincé entre ses doigts.
Je pousse un petit cri de plaisir.
LUI
Je me recule un peu, l’attrape par les hanches et les bascule en arrière pour qu’elle ait les fesses en l’air. J’enlève mon boxer et enfile un de ces putains bout de plastique que je déteste.
Elle tend sa croupe d’impatience. Je pose mes mains de chaque côté de ses fesses et m’enfonce en elle brutalement. Elle pousse un nouveau cri de surprise. Je la pilonne fort, butant en elle à chaque coup de reins. Elle gémit de plus en plus fort.
Je me retire et pénètre son petit trou. D’abord doucement pour ne pas lui faire mal, puis plus violemment quand elle exprime son plaisir. Quand elle jouit, je me retire et balance la capote dans la poubelle à côté du lit.
Je la retourne pour la coucher sur le dos. Ses yeux regardent ma queue avec gourmandise.
- Pas maintenant bébé…
Je fixe son visage barré d’un sourire. Ses joues sont rosies par l’excitation .
Je renfile une capote et entre en elle brutalement, la faisant crier. Mais elle donne aussi des coups de reins pour que je la pénètre plus profondément encore.
Je pose ma main à la base de sa gorge, réduisant sa respiration juste assez pour provoquer en elle le plaisir du contrôle de respiration. Elle écarquille les yeux.
- Je te ferai pas de mal. Détends toi, accepte de perdre le contrôle…
Elle ferme les yeux et soudain elle laisse aller sa jouissance. Je retire ma main de sa gorge et défais le nœud de la ceinture. Je libère ses mains et me mets à genoux avant de la prendre sur moi.
Elle passe ses bras autour de mon cou, remonte ses mains dans mes cheveux en m’embrassant. Ma bouche va trouver ses seins. Je les lèche du bout de ma langue et titille ses tétons avec. Quand ils sont bien durs, j’en prends un entre mes dents, tire délicatement dessus tout en continuant de donner des coups de reins en elle.
En jouissant, je sers un peu plus mes dents sur ce bout de chair colorée et tire fermement dessus, la faisant hurler mon nom.
Je me laisse tomber en arrière, l’entraînant avec moi. Elle se retrouve couchée sur moi.
- Tu vois, ça c’est que moi j’appelle baiser, me dit-elle en riant.
- Et pour moi, baiser, c’est sauter quelqu’un sans se soucier de savoir s’il ou elle prend du plaisir. Alors là je ne t’ai pas baisée, je t’ai fait l’amour.
Je la fais rouler sur le côté et me débarrasse de la capote.
- T’aimes pas ces trucs là, hein ?
- T’en connais beaucoup des mecs qui aiment que leur queue soit coincée dans une capote ? Et en plus, ça réduit le plaisir.
Elle rit doucement.
- Je peux te poser une question ?
- Bien sûr, je ne m’attendais pas à ne pas discuter après avoir fini.
Je souris comme un con.
- Ça fait longtemps que tu fais ça ?
- L’escort ? Ou coucher contre du fric ?
- Les deux…
Ai-je vraiment envie de savoir ? Il est trop tard pour me le demander.
- J’ai commencé comme escort girl il y a 6 ans. Et forcément, quand tu fais ce genre de trucs, les hommes tentent leur chance… au départ, j’étais totalement contre. Sydney arrêtait pas de me dire que ça rapportait bien. Mais qu’il valait mieux prévenir Maria. J’ai mis du temps avant de m’y résigner.
- Qu’est ce qui t’a fait accepter ?
- Un homme un peu comme toi. Gentil, pas relou comme les autres . C’était à l’époque où Nymphea n’était pas encore réputé comme maintenant. Il m’a demandé ça le plus simplement du monde : ‘’ est-ce-que le sexe fait partie de vos services ? ‘’. Je lui ai répondu que normalement non, mais que ça pouvait se négocier, que je devais voir ça avec Maria. Je l’ai appelée, elle m’a donné les tarifs, et ça s’est fait. Quand Maria m’a donné ma ‘’ paie ‘’, je me suis dit que ça valait le coup. Mais à une condition, ne le faire que si j’en ai envie.
- Tu veux dire que les mecs avec qui tu couches t’excitent vraiment ? Que tu prends ton pied à chaque fois ?
- Non, je dis juste que si y a un mec qui me rebute totalement ou qu’il y a un truc que je veux pas faire, ben je le fais pas. Mais je ne suis pas toujours attirée par ces hommes. Et je prends rarement mon pied, par contre je simule très bien.
Ah merde… j’ai eu droit à la comédienne ou à la Julie qui a pris son pied ?
- 3 fois en une nuit, et te revoir ce soir, j’ai pas simulé. J’ai vraiment pris mon pied, me dit-elle comme si elle avait deviné mon doute.
- J’ai 2 autres questions, un peu plus déplacées…- Je t’écoute.
- Tu as quel âge en fait ?
- Tu trouves ça déplacé ? Tes parents t’ont vraiment trop bien élevé. J’ai 24 ans.
- Ah oui, tu as commencé super tôt à faire ça…
Je l’imagine presque gamine assouvir les plaisirs de vieux porcs… et j’ai un haut le cœur.
- Le premier avec qui j’ai fait ça contre de l’argent, c’était le deuxième avec qui je couchais… la plupart des filles qui font ça, elles ont perdu leur virginité à 14, 15 ans… moi c’était le jour de mes 18 ans… mais parle moi de toi un peu…
ELLE
- Qu’est-ce que tu voudrais savoir ?
- Je connais déjà ton boulot, ton âge, ton penchant pour le whisky. Et toi tu sais un certain nombre de choses intimes à mon sujet alors que moi non… jusqu’à quel âge tu as été puceau ?
- 15 ans. Dernier jour des vacances d’été avant d’entrer au lycée. T’imagines même pas le sentiment de puissance qu’on peut ressentir quand on est un petit con de 15 ans sachant qu’il est le seul de sa bande de potes à avoir culbuté une fille.
Il part dans un éclat de rire. Il est beau quand il rit.
- Avec le recul, j’étais vraiment ridicule, reprend-il. Je donnais des conseils à mes potes alors que je giclais en 3 minutes chrono… mais quand les filles apprenaient que j’étais plus puceau, je devenais une rock star, elles se battaient pour que je couche avec elles. J’ai commencé à cumuler pas mal de conquêtes. Mais ça a atteint son sommet quand je suis passé en terminale. Forcément, les filles de seconde voulaient sortir avec les terminales, et j’avais toujours ma réputation de coucheur. Se faire prendre sa virginité par un dernier année, y a rien de mieux pour être populaire. J’étais fier de toutes me les taper.
Je me demande bien ce qui a pu le faire changer. On dirait que c’était un vrai connard plus jeune.
- Un jour, en sortant dans un bar avec des potes, on est tombé sur une bande de nanas de la fac. J’ai réussi à en brancher une. Elle m’a emmené chez elle. J’ai fait comme d’habitude, la laissant me branler, me sucer avant de la prendre en levrette. Quand je me suis laissé tomber à côté d’elle, elle m’a simplement regardé et m’a traité d’égoïste. Voyant que je ne comprenais pas pourquoi elle me disait ça, elle m’a expliqué qu’elle n’avait rien ressenti, si ce n’est de se sentir être un vide couilles. Et le restant de la nuit elle m’a montré comment on peut donner du plaisir à une fille. Depuis ce jour, je me suis promis que si je couchais avec une fille, fallait qu’elle ait autant de plaisir que moi, si ce n’est plus.
- Y pas beaucoup d’hommes qui pensent comme toi. Et d’où te vient ce penchant pour le sadisme ?
- Une ex qui aimait bien ça… elle m’a appris pas mal de trucs. J’espère que je ne t’ai pas fait mal ni peur… dit-il en passant son doigt sur ma gorge.
- Mal non, mais j’avoue que sur le coup j’ai eu un peu peur, je ne connaissais pas. Et j’ai beaucoup aimé l’effet que ça eu sur moi…- Alors je suis content de t’avoir fait plaisir.
Je reste un moment allongée à côté de lui tout en sachant qu’il faudrait que je parte maintenant que j’ai fait mon boulot.
- Il faut que j’y aille… dis-je enfin.
- Je sais. Je vais t’appeler un taxi pendant que tu te rhabilles.
Il se lève du lit et quitte la chambre. Je reste un moment à fixer le plafond, me disant que ça faisait longtemps que je n’avais pas pris autant de plaisir.
LUI
Je sors de la chambre et passe par la salle de bains prendre un jeans dans le sèche-linge.
Dans la cuisine, je me fais couler un café en appelant la compagnie de taxi. L’hôtesse m’annonce qu’un chauffeur sera là dans 15 minutes.
Dans la poche de ma veste, je cherche mon portefeuille pour en sortir 1200 euros que je pose sur la tablette de l’entrée, plus 50 euros pour le taxi.
Julie me rejoint 10 minutes après que je sois descendu. J’ai pas envie de la voir partir. Et j’ai l’impression qu’elle ne le veut pas non plus.
- Tiens, ce que je te dois pour la nuit… - Tu ne me dois pas autant. Et je ne veux pas que tu paies.
- On a passé une grosse partie de la nuit ensemble, et il est hors de question que je ne te paie pas. C’est ton gagne pain et je veux pas que tu aies de problèmes avec ta maquerelle.
- N’insiste pas. J’ai couché avec toi parce que j’avais envie de toi, pas parce que tu alignes la monnaie. On va dire que j’ai rendu service à un ami…
Un ami… ça veut tout dire…
- Tu t’attendais à plus ? Me demande-t-elle.
- Je dois pas être le premier à m’enticher de toi… ça fait grave cliché, hein ?
- Non, tu n’es pas le premier. Mais je pense que tu le seul à le faire pour les bonnes raisons. Et c’est pour ça que je vais te dire qu’il ne faut pas que tu espères qu’on devienne plus que des potes qui s’envoient en l’air. J’aime le niveau de vie que m’apporte ce boulot. Et j’aime que les hommes me désirent. Je ne veux pas me lancer dans une relation de couple parce qu’aucun homme n’accepterait que sa copine fasse ce que je fais.
Tu m’étonnes, surtout avec une aussi jolie fille qu’elle.
- Tu as raison, je sais pas ce qui m’a pris d’imaginer qu’il pouvait en être autrement.
Je remets les billets dans mon portefeuille, mais insiste pour payer le taxi. Elle accepte sans trop protester.
En lui tendant les billets, je lui tends aussi ma carte professionnelle.
- Comme ça tu as mon numéro. Je passerai plus par ta page. Si tu veux qu’on se voit, appelle moi. Je continuerai à te payer, je veux pas que tu aies des histoires avec Maria, c’est juste que si je passe par la voie « officielle », je vais bloquer tous les créneaux que je peux pour pas te savoir avec d’autres hommes. Et je suis pas millionnaire non plus.
Elle me sourit timidement.
- Ton taxi doit être là maintenant. Ne le faisons pas attendre, il risquerait de partir…
Je la raccompagne sur le pas de la porte.
- Bonne nuit…- Bonne nuit beau gosse, me répond- elle avant de m’embrasser doucement.
Qu’est-ce qu’elle est cruelle.
Après avoir refermé la porte derrière elle, je vais dans la cuisine me servir un double whisky que j’avale cul sec, puis un second avant d’aller me coucher.
Je reprends mon souffle après cet orgasme pendant que Thomas embrasse l’intérieur de mes cuisses. Il lève des yeux emplis de désir sur mon visage.
Il se relève et vient m’embrasser. Je termine d’ouvrir sa ceinture et défait le bouton de son pantalon. Il retire ses chaussures avec ses pieds et je laisse tomber son pantalon au sol.
- Tu as envie de quoi ma belle ?
Je n’ai tellement pas l’habitude qu’on me demande ce qui me ferait plaisir, que dans un premier temps je ne sais pas quoi lui répondre.
- Montre moi comme tu peux être bestial en faisant l’amour à une femme… - Ce n’est pas un banal pour une fille comme toi ?
- Pas quand c’est moi qui le demande. Et tu m’as fait l’amour tendrement cette nuit, j’ai envie que tu me brusques ce soir.
- Alors accroches toi à moi, on monte…
J’enroule de mes jambes autour de lui. Il ramasse nos fringues sur le canapé et monte les escaliers en me portant.
Arrivés dans sa chambre, il me jette sur le lit. Alors qu’il pose nos vêtements sur la commode, je commence à retirer mes escarpins.
- Oh non bébé, garde les, dit-il d’une voix rauque, pleine d’envie. Tu es archi bandante comme ça, mais ça aussi ça doit être banal pour toi…- Dans ta bouche, c’est tout sauf banal, c’est même très excitant…
Il prend sa ceinture qu’il vient de poser sur la commode.
- Tends moi les mains, poignets joints.
Il enroule la ceinture autour de mes poignets, la fait passer entre eux et serre jusqu’à ce que je ne puisse plus les bouger.
- Mets toi en haut du lit, face au mur, les mains sur la barre en bois.
Je fais ce qu’il me demande, et contrairement à d’habitude , cela m’excite réellement de recevoir des ordres. Il enroule la ceinture autour du bois et fait un nœud.
Il se met à genoux derrière moi, le plus près possible, pressant sa queue contre mes fesses à travers son boxer. Il mordille le lobe de mon oreille, pose ses mains sur mon ventre et les fait remonter jusqu’à mes seins.
Il les empoigne d’un coup, fort. Il presse encore un peu plus son érection contre mes fesses. Il malaxe mes seins vigoureusement puis pince doucement mes tétons entre ses pouces et ses index pour les faire pointer.
Sa langue court le long de mon cou jusqu’au creux de mon épaule. Je pousse un petit gémissement. C’est ce moment qu’il choisi pour pincer mes tétons et tirer si fort dessus qu’il me fait mal à m’en faire plaisir. Je sens l’excitation me faire mouiller.
Il fait glisser ses mains jusqu’à mon entrejambe. Sa main droite descend jusqu’à ma chatte, sa gauche contourne ma hanche jusqu’à mes fesses.
Il glisse son index dans la raie de mes fesses jusqu’à trouver mon petit trou. Il l’y introduit et entame un léger va et vient.
De sa main droite, il joue avec mon clitoris et mes lèvres. Il les caresse doucement avant de les pincer.
Quand son majeur rejoint son index dans mon cul, il tire mon clitoris pincé entre ses doigts.
Je pousse un petit cri de plaisir.
LUI
Je me recule un peu, l’attrape par les hanches et les bascule en arrière pour qu’elle ait les fesses en l’air. J’enlève mon boxer et enfile un de ces putains bout de plastique que je déteste.
Elle tend sa croupe d’impatience. Je pose mes mains de chaque côté de ses fesses et m’enfonce en elle brutalement. Elle pousse un nouveau cri de surprise. Je la pilonne fort, butant en elle à chaque coup de reins. Elle gémit de plus en plus fort.
Je me retire et pénètre son petit trou. D’abord doucement pour ne pas lui faire mal, puis plus violemment quand elle exprime son plaisir. Quand elle jouit, je me retire et balance la capote dans la poubelle à côté du lit.
Je la retourne pour la coucher sur le dos. Ses yeux regardent ma queue avec gourmandise.
- Pas maintenant bébé…
Je fixe son visage barré d’un sourire. Ses joues sont rosies par l’excitation .
Je renfile une capote et entre en elle brutalement, la faisant crier. Mais elle donne aussi des coups de reins pour que je la pénètre plus profondément encore.
Je pose ma main à la base de sa gorge, réduisant sa respiration juste assez pour provoquer en elle le plaisir du contrôle de respiration. Elle écarquille les yeux.
- Je te ferai pas de mal. Détends toi, accepte de perdre le contrôle…
Elle ferme les yeux et soudain elle laisse aller sa jouissance. Je retire ma main de sa gorge et défais le nœud de la ceinture. Je libère ses mains et me mets à genoux avant de la prendre sur moi.
Elle passe ses bras autour de mon cou, remonte ses mains dans mes cheveux en m’embrassant. Ma bouche va trouver ses seins. Je les lèche du bout de ma langue et titille ses tétons avec. Quand ils sont bien durs, j’en prends un entre mes dents, tire délicatement dessus tout en continuant de donner des coups de reins en elle.
En jouissant, je sers un peu plus mes dents sur ce bout de chair colorée et tire fermement dessus, la faisant hurler mon nom.
Je me laisse tomber en arrière, l’entraînant avec moi. Elle se retrouve couchée sur moi.
- Tu vois, ça c’est que moi j’appelle baiser, me dit-elle en riant.
- Et pour moi, baiser, c’est sauter quelqu’un sans se soucier de savoir s’il ou elle prend du plaisir. Alors là je ne t’ai pas baisée, je t’ai fait l’amour.
Je la fais rouler sur le côté et me débarrasse de la capote.
- T’aimes pas ces trucs là, hein ?
- T’en connais beaucoup des mecs qui aiment que leur queue soit coincée dans une capote ? Et en plus, ça réduit le plaisir.
Elle rit doucement.
- Je peux te poser une question ?
- Bien sûr, je ne m’attendais pas à ne pas discuter après avoir fini.
Je souris comme un con.
- Ça fait longtemps que tu fais ça ?
- L’escort ? Ou coucher contre du fric ?
- Les deux…
Ai-je vraiment envie de savoir ? Il est trop tard pour me le demander.
- J’ai commencé comme escort girl il y a 6 ans. Et forcément, quand tu fais ce genre de trucs, les hommes tentent leur chance… au départ, j’étais totalement contre. Sydney arrêtait pas de me dire que ça rapportait bien. Mais qu’il valait mieux prévenir Maria. J’ai mis du temps avant de m’y résigner.
- Qu’est ce qui t’a fait accepter ?
- Un homme un peu comme toi. Gentil, pas relou comme les autres . C’était à l’époque où Nymphea n’était pas encore réputé comme maintenant. Il m’a demandé ça le plus simplement du monde : ‘’ est-ce-que le sexe fait partie de vos services ? ‘’. Je lui ai répondu que normalement non, mais que ça pouvait se négocier, que je devais voir ça avec Maria. Je l’ai appelée, elle m’a donné les tarifs, et ça s’est fait. Quand Maria m’a donné ma ‘’ paie ‘’, je me suis dit que ça valait le coup. Mais à une condition, ne le faire que si j’en ai envie.
- Tu veux dire que les mecs avec qui tu couches t’excitent vraiment ? Que tu prends ton pied à chaque fois ?
- Non, je dis juste que si y a un mec qui me rebute totalement ou qu’il y a un truc que je veux pas faire, ben je le fais pas. Mais je ne suis pas toujours attirée par ces hommes. Et je prends rarement mon pied, par contre je simule très bien.
Ah merde… j’ai eu droit à la comédienne ou à la Julie qui a pris son pied ?
- 3 fois en une nuit, et te revoir ce soir, j’ai pas simulé. J’ai vraiment pris mon pied, me dit-elle comme si elle avait deviné mon doute.
- J’ai 2 autres questions, un peu plus déplacées…- Je t’écoute.
- Tu as quel âge en fait ?
- Tu trouves ça déplacé ? Tes parents t’ont vraiment trop bien élevé. J’ai 24 ans.
- Ah oui, tu as commencé super tôt à faire ça…
Je l’imagine presque gamine assouvir les plaisirs de vieux porcs… et j’ai un haut le cœur.
- Le premier avec qui j’ai fait ça contre de l’argent, c’était le deuxième avec qui je couchais… la plupart des filles qui font ça, elles ont perdu leur virginité à 14, 15 ans… moi c’était le jour de mes 18 ans… mais parle moi de toi un peu…
ELLE
- Qu’est-ce que tu voudrais savoir ?
- Je connais déjà ton boulot, ton âge, ton penchant pour le whisky. Et toi tu sais un certain nombre de choses intimes à mon sujet alors que moi non… jusqu’à quel âge tu as été puceau ?
- 15 ans. Dernier jour des vacances d’été avant d’entrer au lycée. T’imagines même pas le sentiment de puissance qu’on peut ressentir quand on est un petit con de 15 ans sachant qu’il est le seul de sa bande de potes à avoir culbuté une fille.
Il part dans un éclat de rire. Il est beau quand il rit.
- Avec le recul, j’étais vraiment ridicule, reprend-il. Je donnais des conseils à mes potes alors que je giclais en 3 minutes chrono… mais quand les filles apprenaient que j’étais plus puceau, je devenais une rock star, elles se battaient pour que je couche avec elles. J’ai commencé à cumuler pas mal de conquêtes. Mais ça a atteint son sommet quand je suis passé en terminale. Forcément, les filles de seconde voulaient sortir avec les terminales, et j’avais toujours ma réputation de coucheur. Se faire prendre sa virginité par un dernier année, y a rien de mieux pour être populaire. J’étais fier de toutes me les taper.
Je me demande bien ce qui a pu le faire changer. On dirait que c’était un vrai connard plus jeune.
- Un jour, en sortant dans un bar avec des potes, on est tombé sur une bande de nanas de la fac. J’ai réussi à en brancher une. Elle m’a emmené chez elle. J’ai fait comme d’habitude, la laissant me branler, me sucer avant de la prendre en levrette. Quand je me suis laissé tomber à côté d’elle, elle m’a simplement regardé et m’a traité d’égoïste. Voyant que je ne comprenais pas pourquoi elle me disait ça, elle m’a expliqué qu’elle n’avait rien ressenti, si ce n’est de se sentir être un vide couilles. Et le restant de la nuit elle m’a montré comment on peut donner du plaisir à une fille. Depuis ce jour, je me suis promis que si je couchais avec une fille, fallait qu’elle ait autant de plaisir que moi, si ce n’est plus.
- Y pas beaucoup d’hommes qui pensent comme toi. Et d’où te vient ce penchant pour le sadisme ?
- Une ex qui aimait bien ça… elle m’a appris pas mal de trucs. J’espère que je ne t’ai pas fait mal ni peur… dit-il en passant son doigt sur ma gorge.
- Mal non, mais j’avoue que sur le coup j’ai eu un peu peur, je ne connaissais pas. Et j’ai beaucoup aimé l’effet que ça eu sur moi…- Alors je suis content de t’avoir fait plaisir.
Je reste un moment allongée à côté de lui tout en sachant qu’il faudrait que je parte maintenant que j’ai fait mon boulot.
- Il faut que j’y aille… dis-je enfin.
- Je sais. Je vais t’appeler un taxi pendant que tu te rhabilles.
Il se lève du lit et quitte la chambre. Je reste un moment à fixer le plafond, me disant que ça faisait longtemps que je n’avais pas pris autant de plaisir.
LUI
Je sors de la chambre et passe par la salle de bains prendre un jeans dans le sèche-linge.
Dans la cuisine, je me fais couler un café en appelant la compagnie de taxi. L’hôtesse m’annonce qu’un chauffeur sera là dans 15 minutes.
Dans la poche de ma veste, je cherche mon portefeuille pour en sortir 1200 euros que je pose sur la tablette de l’entrée, plus 50 euros pour le taxi.
Julie me rejoint 10 minutes après que je sois descendu. J’ai pas envie de la voir partir. Et j’ai l’impression qu’elle ne le veut pas non plus.
- Tiens, ce que je te dois pour la nuit… - Tu ne me dois pas autant. Et je ne veux pas que tu paies.
- On a passé une grosse partie de la nuit ensemble, et il est hors de question que je ne te paie pas. C’est ton gagne pain et je veux pas que tu aies de problèmes avec ta maquerelle.
- N’insiste pas. J’ai couché avec toi parce que j’avais envie de toi, pas parce que tu alignes la monnaie. On va dire que j’ai rendu service à un ami…
Un ami… ça veut tout dire…
- Tu t’attendais à plus ? Me demande-t-elle.
- Je dois pas être le premier à m’enticher de toi… ça fait grave cliché, hein ?
- Non, tu n’es pas le premier. Mais je pense que tu le seul à le faire pour les bonnes raisons. Et c’est pour ça que je vais te dire qu’il ne faut pas que tu espères qu’on devienne plus que des potes qui s’envoient en l’air. J’aime le niveau de vie que m’apporte ce boulot. Et j’aime que les hommes me désirent. Je ne veux pas me lancer dans une relation de couple parce qu’aucun homme n’accepterait que sa copine fasse ce que je fais.
Tu m’étonnes, surtout avec une aussi jolie fille qu’elle.
- Tu as raison, je sais pas ce qui m’a pris d’imaginer qu’il pouvait en être autrement.
Je remets les billets dans mon portefeuille, mais insiste pour payer le taxi. Elle accepte sans trop protester.
En lui tendant les billets, je lui tends aussi ma carte professionnelle.
- Comme ça tu as mon numéro. Je passerai plus par ta page. Si tu veux qu’on se voit, appelle moi. Je continuerai à te payer, je veux pas que tu aies des histoires avec Maria, c’est juste que si je passe par la voie « officielle », je vais bloquer tous les créneaux que je peux pour pas te savoir avec d’autres hommes. Et je suis pas millionnaire non plus.
Elle me sourit timidement.
- Ton taxi doit être là maintenant. Ne le faisons pas attendre, il risquerait de partir…
Je la raccompagne sur le pas de la porte.
- Bonne nuit…- Bonne nuit beau gosse, me répond- elle avant de m’embrasser doucement.
Qu’est-ce qu’elle est cruelle.
Après avoir refermé la porte derrière elle, je vais dans la cuisine me servir un double whisky que j’avale cul sec, puis un second avant d’aller me coucher.
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