Rencontre inattendue 3
Récit érotique écrit par July2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rencontre inattendue 3
ELLE
Au moment où sa semence se déverse sur ma poitrine, il balance la tête en arrière, passant ses mains dans ses cheveux en râlant de plaisir.
Puis il m’attrape par les cheveux pour me relever, me plaque contre l’une des parois de verre et m’embrasse sauvagement. Puis il se laisse tomber à genoux devant moi et fait passer ma jambe gauche sur son épaule droite pour écarter mes jambes.
De son pouce, il frotte mon clitoris alors que sa langue parcourt chaque parcelle de mon intimité. Il la fait glisser le long de mes lèvres, les écarte et frôle mon clito déjà gonflé grâce à ses caresses.
Puis il l’enfonce dans mon vagin, accompagnée de ses doigts. Il devient alors brutal, comme avide de mon plaisir. Il fait remonter sa bouche jusqu’à mon clitoris qu’il suce, lèche, tire et mordille jusqu’à me faire jouir. J’explose dans un cri, laissant couler le jus de mon plaisir sur son visage sans qu’il n’en perde une goûte.
Il se relève, prend la fleur de douche et l’imbibe de savon avant de me nettoyer la poitrine encore maculée de son sperme. Et c’est plus fort que moi, je dépose délicatement un baiser sur ses lèvres.
En sortant de la douche, j’enroule une serviette autour de ma poitrine. Il fait de même autour de sa taille avant de se diriger dans la chambre. Je détache mes cheveux que j’avais relevés pour ne pas les mouiller avant de le rejoindre.
Il est face au mini bar.
- Si tu veux y aller, vas-y, me dit-il en se servant un whisky bien tassé.
Je me mets debout derrière lui, passe une main sous son bras et lui prends le verre des mains. Il me laisse faire.
- Je veux rester, tu as payé pour la nuit, elle n’est pas finie et je veux que tu en aies pour ton argent.
En réalité, il est 4h30, on peut dire que la nuit est presque finie. On a baisé 2 fois, je l’ai sucé, branlé, il a fini sur mes seins, il en a eu pour son argent. Mais en fait, je n’ai pas envie de partir. De 1, je prends mon pied avec ce mec, c’est un bon coup. De 2, je me sens bien en se présence. Et c’est con, mais je sais que dès que j’aurai quitté sa chambre, il va vider le mini bar. Je ne le connais pas, mais l’imaginer broyer du noir en se bourrant la gueule me fait de la peine.
- Alors je compte bien à ce que tu prennes ton pied encore une fois au moins avant de te laisser. Mais d’abord, tu vas dormir, parce que la fatigue et l’alcool te donne sale mine. Je te rejoins sous le drap après avoir récupéré mes affaires et essayer de trouver Sydney pour la prévenir.
- Sydney, c’est miss Coke ? Celle qui sniffait directement sur le bite de mon collègue ?
- C’est elle…
Je fais demi-tour et laisse tomber ma serviette pour sortir de la suite, quand il me rappelle.
- Julie, enfile ça s’il te plaît, me dit-il en me lançant sa chemise. Tu seras pas moins sexy qu’en étant nue, mais au moins tu seras un peu cachée de leurs regards de porc…
Je l’enfile et la boutonne jusqu’au col. J’écarte les bras pour lui montrer. Il sourit doucement.
Je quitte la chambre et tente de trouver Sydney. Dans la salon privé, ne restent plus que quelques traders totalement défoncés, certains la bite encore à l’air. Je tente les autres suites, elles sont toutes verrouillées, et de chacune s’échappent des bruits de coït.
Je me dirige vers celle qui nous sert de vestiaire quand j’entends une porte s’ouvrir plus loin dans le couloir. Sydney en sort nue, titubant. Elle a certainement du abuser de l’alcool et de la drogue.
Je l’entraîne avec moi là où nous avons nos affaires.
- Faut que tu rentres avec une des filles, moi je reste encore.
- Dis donc, vu l’heure, c’est qu’ils étaient nombreux à te vouloir…
- Non juste un, enfin 2 mais le premier à payer cher pour être le seul. Et je m’amuse bien avec lui… je prends mes affaires et je le rejoins. On se voit au Nymphea plus tard ?
- Ça marche ma belle.
Le Nymphea est en fait la maison de Maria, là où elle prend soin de nous et reçoit les clients.
Je prends mon sac avec mes fringues et reprends le chemin de la suite où Thomas m’attend.
LUI
Elle quitte ma chambre juste vêtue de ma chemise et je la trouve super bandante. Je crois que je pourrais lui sauter dessus dès qu’elle passera à nouveau la porte.
Mais elle a raison, faut que je dorme et que je boive moins, je viens de me voir dans un miroir, et elle a été gentille en disant que j’ai mauvaise mine. J’ai une sale gueule ouais !
Mon verre encore plein est posé sur le mini bar. Je pourrais l’avaler avant de me coucher. Mais je ne voudrais pas la décevoir.
Je débarrasse le lit du plateau encore empli de victuailles. Je laisse le verre où il est pour lui montrer que je n’y ai pas touché.
Je ramasse sa serviette, et mes fringues et je vais les poser dans la salle de bains.
Je reviens dans la suite et entreprends de retirer la serviette qui cache ma nudité quand j’entends des bruits dans le couloir.
- Le salaud, il n’a pas voulu te partager…
Je crois reconnaître cette voix.
- Vous ne pouvez pas me forcer à vous suivre si je ne le veux pas…
- Lui tu l’as suivi, il a quoi de plus que moi ?
Quand j’entends Julie émettre une plainte de douleur, je déboule dans le couloir.
Je saisis ce connard de Dylan, les yeux encore injectés de sang, par la gorge et le plaque contre le mur, lui écrasant la trachée.
- Je ne la traite pas comme une chienne moi ! Je la laisse faire ses choix.
Je sers un peu plus ma main sur sa gorge, lui coupant complètement la respiration.
- Julie, dans la chambre.
- Thomas, laiss…
- Vas dans la chambre, maintenant ! Dis-je en lui coupant la parole.
Elle ne proteste plus et obtempère.
- Maintenant barre toi avant que je ne te casse la gueule et que je ne fasse savoir au boss que tu t’en prends aux filles. Ce serait vraiment bête que tu perdes ton job, déjà que tu as perdu ta place de meilleur trader…
Celle-là me démangeait depuis un moment. Je le relâche et il part sans demander son reste.
Je rejoins Julie dans la chambre et prends son visage entre mes mains.
- Il ne t’a pas fait mal ?
- Non, il m’a juste serré un peu fort le poignet quand j’ai voulu me dégager… et tu es sorti juste quand il voulait passer sa main entre mes cuisses…
- Je vais le défoncer ce fils de…
Je me retiens de finir mon juron, pas sûr que ce soit le genre d’insultes à dire devant une femme qui vend ses charmes.
- En même temps, on ne peut pas le blâmer d’avoir tenté sa chance vu ce que je suis et ma tenue…
- Tenter oui, insister comme ça non. Mais j’avoue que tu es vraiment sexy comme ça…
Je laisse tomber ma serviette à nos pieds, libérant mon érection, et elle me regarde, l’air gourmand.
- Mais tu as raison, j’ai besoin de dormir, je ne tiendrai pas bien longtemps sinon. Et j’ai envie que tu prennes ton pied autant que moi.
Je me glisse sous les draps. Elle se tient au pied du lit, face à moi. Elle me fixe de ses yeux de braise. Puis elle défait un à un les boutons de ma chemise, prenant tout son temps et m’excitant encore un peu plus. Je meurs d’envie de la prendre sans attendre, mais avec la fatigue et l’alcool, j’ai peur que la mécanique ne suive pas. Et c’est une chose qu’aucun homme n’aime vivre.
Elle me rejoint dans le lit. Je me tourne vers l’extérieur, lui tournant le dos. Ça fait des mois qu’aucune femme n’a dormi avec moi.
ELLE
Il s’endort rapidement. Par contre, moi je peine à trouver le sommeil. Je repense à son collègue dans le couloir. Il était vraiment lourd.
Et je ne m’attendais pas à ce que Thomas réagisse ainsi. J’ai vraiment cru qu’il allait le castagner.
Mais j’ai trouvé ça très excitant qu’il débarque presque nu et qu’il me défende. Ce mec me trouble énormément.
Je finis par me tourner du même côté que lui, me collant à son dos et posant ma main sur son torse. Il pose la sienne par-dessus.
Je me réveille 5h plus tard et entreprends de le réveiller avec toute l’envie qui irradie dans mon bassin depuis qu’il a laissé tomber cette serviette.
LUI
Je suis réveillé par sa main sur mon entrejambe. En émergeant, je réalise que de son autre main elle se touche aussi, couchée sur le côté, derrière moi.
- Tu sais que c’est très excitant de savoir que tu te touches dans mon dos en même temps que tu me branles ?
- Je sais… c’est pour ça que je le fais bébé, me répond-elle de la voix la plus sensuelle que j’ai jamais entendue.
Putain, elle sait s’y prendre aussi bien avec son corps qu’avec ses mots pour chauffer un mec.
Je pose ma main par-dessus la sienne, et c’est avec nos 2 mains que je me branle alors qu’elle se doigte.
Puis je me tourne vers elle. Elle retire sa main de son intimité.
- Non, continue… ça me plaît que tu te touches.
Je la pousse sur le dos, et, comme avant avec ma queue, c’est de nos 2 mains qu’on la caresse alors que ma bouche s’occupe de ses seins que j’ai envie de dévorer depuis qu’elle les a libérés de ma chemise.
J’attrape une capote derrière moi et la lui tends.
- J’aime bien ce que tu me fais avec tes mains…
Elle me regarde et ses yeux sont plein d’espièglerie. Elle déchire l’emballage très lentement sans me quitter des yeux. Puis elle pose l’anneau de plastique enroulé sur mon gland et le fais glisser encore plus doucement le long de ma queue, une main après l’autre.
- Sadique… je souffle entre 2 montées d’excitation.
- Je sais… mais je vois que ça te fait de l’effet…
Je la tourne sur le ventre, lui remonte le bassin et écarte ses cuisses pour m’enfoncer en elle. Je la tiens fermement par les hanches et je la pilonne. Quand je ralentis la cadence, c’est elle qui redonne du rythme.
Mais je n’ai pas envie de finir cette nuit comme la plupart des mecs qui l’ont passé avec elle l’ont finie : en levrette. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne la vois pas comme une simple fille qui gagne sa vie avec le sexe. Même si comme je l’ai compris, ce n’est pas son activité principale.
- Tourne toi sur le dos ma belle, lui dis-je en me retirant.
Je m’allonge doucement au-dessus d’elle et plonge mon regard dans le sien en même temps que ma queue en elle. Je la fais aller et venir dans son fourreau chaud jusqu’à ce que nous jouissons ensemble sans pouvoir la quitter des yeux.
Je roule sur le côté et l’attire à moi après m’être débarrassé ce préservatif dont je maudis le contact. Je la prends dans mes bras comme pour la retenir. Je sais que j’ai déjà eu bien plus que ce à quoi j’avais droit. Et elle va partir.
Elle se laisse aller contre mon torse. Et épuisé de ces mois de stress, je m’endors en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
Au moment où sa semence se déverse sur ma poitrine, il balance la tête en arrière, passant ses mains dans ses cheveux en râlant de plaisir.
Puis il m’attrape par les cheveux pour me relever, me plaque contre l’une des parois de verre et m’embrasse sauvagement. Puis il se laisse tomber à genoux devant moi et fait passer ma jambe gauche sur son épaule droite pour écarter mes jambes.
De son pouce, il frotte mon clitoris alors que sa langue parcourt chaque parcelle de mon intimité. Il la fait glisser le long de mes lèvres, les écarte et frôle mon clito déjà gonflé grâce à ses caresses.
Puis il l’enfonce dans mon vagin, accompagnée de ses doigts. Il devient alors brutal, comme avide de mon plaisir. Il fait remonter sa bouche jusqu’à mon clitoris qu’il suce, lèche, tire et mordille jusqu’à me faire jouir. J’explose dans un cri, laissant couler le jus de mon plaisir sur son visage sans qu’il n’en perde une goûte.
Il se relève, prend la fleur de douche et l’imbibe de savon avant de me nettoyer la poitrine encore maculée de son sperme. Et c’est plus fort que moi, je dépose délicatement un baiser sur ses lèvres.
En sortant de la douche, j’enroule une serviette autour de ma poitrine. Il fait de même autour de sa taille avant de se diriger dans la chambre. Je détache mes cheveux que j’avais relevés pour ne pas les mouiller avant de le rejoindre.
Il est face au mini bar.
- Si tu veux y aller, vas-y, me dit-il en se servant un whisky bien tassé.
Je me mets debout derrière lui, passe une main sous son bras et lui prends le verre des mains. Il me laisse faire.
- Je veux rester, tu as payé pour la nuit, elle n’est pas finie et je veux que tu en aies pour ton argent.
En réalité, il est 4h30, on peut dire que la nuit est presque finie. On a baisé 2 fois, je l’ai sucé, branlé, il a fini sur mes seins, il en a eu pour son argent. Mais en fait, je n’ai pas envie de partir. De 1, je prends mon pied avec ce mec, c’est un bon coup. De 2, je me sens bien en se présence. Et c’est con, mais je sais que dès que j’aurai quitté sa chambre, il va vider le mini bar. Je ne le connais pas, mais l’imaginer broyer du noir en se bourrant la gueule me fait de la peine.
- Alors je compte bien à ce que tu prennes ton pied encore une fois au moins avant de te laisser. Mais d’abord, tu vas dormir, parce que la fatigue et l’alcool te donne sale mine. Je te rejoins sous le drap après avoir récupéré mes affaires et essayer de trouver Sydney pour la prévenir.
- Sydney, c’est miss Coke ? Celle qui sniffait directement sur le bite de mon collègue ?
- C’est elle…
Je fais demi-tour et laisse tomber ma serviette pour sortir de la suite, quand il me rappelle.
- Julie, enfile ça s’il te plaît, me dit-il en me lançant sa chemise. Tu seras pas moins sexy qu’en étant nue, mais au moins tu seras un peu cachée de leurs regards de porc…
Je l’enfile et la boutonne jusqu’au col. J’écarte les bras pour lui montrer. Il sourit doucement.
Je quitte la chambre et tente de trouver Sydney. Dans la salon privé, ne restent plus que quelques traders totalement défoncés, certains la bite encore à l’air. Je tente les autres suites, elles sont toutes verrouillées, et de chacune s’échappent des bruits de coït.
Je me dirige vers celle qui nous sert de vestiaire quand j’entends une porte s’ouvrir plus loin dans le couloir. Sydney en sort nue, titubant. Elle a certainement du abuser de l’alcool et de la drogue.
Je l’entraîne avec moi là où nous avons nos affaires.
- Faut que tu rentres avec une des filles, moi je reste encore.
- Dis donc, vu l’heure, c’est qu’ils étaient nombreux à te vouloir…
- Non juste un, enfin 2 mais le premier à payer cher pour être le seul. Et je m’amuse bien avec lui… je prends mes affaires et je le rejoins. On se voit au Nymphea plus tard ?
- Ça marche ma belle.
Le Nymphea est en fait la maison de Maria, là où elle prend soin de nous et reçoit les clients.
Je prends mon sac avec mes fringues et reprends le chemin de la suite où Thomas m’attend.
LUI
Elle quitte ma chambre juste vêtue de ma chemise et je la trouve super bandante. Je crois que je pourrais lui sauter dessus dès qu’elle passera à nouveau la porte.
Mais elle a raison, faut que je dorme et que je boive moins, je viens de me voir dans un miroir, et elle a été gentille en disant que j’ai mauvaise mine. J’ai une sale gueule ouais !
Mon verre encore plein est posé sur le mini bar. Je pourrais l’avaler avant de me coucher. Mais je ne voudrais pas la décevoir.
Je débarrasse le lit du plateau encore empli de victuailles. Je laisse le verre où il est pour lui montrer que je n’y ai pas touché.
Je ramasse sa serviette, et mes fringues et je vais les poser dans la salle de bains.
Je reviens dans la suite et entreprends de retirer la serviette qui cache ma nudité quand j’entends des bruits dans le couloir.
- Le salaud, il n’a pas voulu te partager…
Je crois reconnaître cette voix.
- Vous ne pouvez pas me forcer à vous suivre si je ne le veux pas…
- Lui tu l’as suivi, il a quoi de plus que moi ?
Quand j’entends Julie émettre une plainte de douleur, je déboule dans le couloir.
Je saisis ce connard de Dylan, les yeux encore injectés de sang, par la gorge et le plaque contre le mur, lui écrasant la trachée.
- Je ne la traite pas comme une chienne moi ! Je la laisse faire ses choix.
Je sers un peu plus ma main sur sa gorge, lui coupant complètement la respiration.
- Julie, dans la chambre.
- Thomas, laiss…
- Vas dans la chambre, maintenant ! Dis-je en lui coupant la parole.
Elle ne proteste plus et obtempère.
- Maintenant barre toi avant que je ne te casse la gueule et que je ne fasse savoir au boss que tu t’en prends aux filles. Ce serait vraiment bête que tu perdes ton job, déjà que tu as perdu ta place de meilleur trader…
Celle-là me démangeait depuis un moment. Je le relâche et il part sans demander son reste.
Je rejoins Julie dans la chambre et prends son visage entre mes mains.
- Il ne t’a pas fait mal ?
- Non, il m’a juste serré un peu fort le poignet quand j’ai voulu me dégager… et tu es sorti juste quand il voulait passer sa main entre mes cuisses…
- Je vais le défoncer ce fils de…
Je me retiens de finir mon juron, pas sûr que ce soit le genre d’insultes à dire devant une femme qui vend ses charmes.
- En même temps, on ne peut pas le blâmer d’avoir tenté sa chance vu ce que je suis et ma tenue…
- Tenter oui, insister comme ça non. Mais j’avoue que tu es vraiment sexy comme ça…
Je laisse tomber ma serviette à nos pieds, libérant mon érection, et elle me regarde, l’air gourmand.
- Mais tu as raison, j’ai besoin de dormir, je ne tiendrai pas bien longtemps sinon. Et j’ai envie que tu prennes ton pied autant que moi.
Je me glisse sous les draps. Elle se tient au pied du lit, face à moi. Elle me fixe de ses yeux de braise. Puis elle défait un à un les boutons de ma chemise, prenant tout son temps et m’excitant encore un peu plus. Je meurs d’envie de la prendre sans attendre, mais avec la fatigue et l’alcool, j’ai peur que la mécanique ne suive pas. Et c’est une chose qu’aucun homme n’aime vivre.
Elle me rejoint dans le lit. Je me tourne vers l’extérieur, lui tournant le dos. Ça fait des mois qu’aucune femme n’a dormi avec moi.
ELLE
Il s’endort rapidement. Par contre, moi je peine à trouver le sommeil. Je repense à son collègue dans le couloir. Il était vraiment lourd.
Et je ne m’attendais pas à ce que Thomas réagisse ainsi. J’ai vraiment cru qu’il allait le castagner.
Mais j’ai trouvé ça très excitant qu’il débarque presque nu et qu’il me défende. Ce mec me trouble énormément.
Je finis par me tourner du même côté que lui, me collant à son dos et posant ma main sur son torse. Il pose la sienne par-dessus.
Je me réveille 5h plus tard et entreprends de le réveiller avec toute l’envie qui irradie dans mon bassin depuis qu’il a laissé tomber cette serviette.
LUI
Je suis réveillé par sa main sur mon entrejambe. En émergeant, je réalise que de son autre main elle se touche aussi, couchée sur le côté, derrière moi.
- Tu sais que c’est très excitant de savoir que tu te touches dans mon dos en même temps que tu me branles ?
- Je sais… c’est pour ça que je le fais bébé, me répond-elle de la voix la plus sensuelle que j’ai jamais entendue.
Putain, elle sait s’y prendre aussi bien avec son corps qu’avec ses mots pour chauffer un mec.
Je pose ma main par-dessus la sienne, et c’est avec nos 2 mains que je me branle alors qu’elle se doigte.
Puis je me tourne vers elle. Elle retire sa main de son intimité.
- Non, continue… ça me plaît que tu te touches.
Je la pousse sur le dos, et, comme avant avec ma queue, c’est de nos 2 mains qu’on la caresse alors que ma bouche s’occupe de ses seins que j’ai envie de dévorer depuis qu’elle les a libérés de ma chemise.
J’attrape une capote derrière moi et la lui tends.
- J’aime bien ce que tu me fais avec tes mains…
Elle me regarde et ses yeux sont plein d’espièglerie. Elle déchire l’emballage très lentement sans me quitter des yeux. Puis elle pose l’anneau de plastique enroulé sur mon gland et le fais glisser encore plus doucement le long de ma queue, une main après l’autre.
- Sadique… je souffle entre 2 montées d’excitation.
- Je sais… mais je vois que ça te fait de l’effet…
Je la tourne sur le ventre, lui remonte le bassin et écarte ses cuisses pour m’enfoncer en elle. Je la tiens fermement par les hanches et je la pilonne. Quand je ralentis la cadence, c’est elle qui redonne du rythme.
Mais je n’ai pas envie de finir cette nuit comme la plupart des mecs qui l’ont passé avec elle l’ont finie : en levrette. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne la vois pas comme une simple fille qui gagne sa vie avec le sexe. Même si comme je l’ai compris, ce n’est pas son activité principale.
- Tourne toi sur le dos ma belle, lui dis-je en me retirant.
Je m’allonge doucement au-dessus d’elle et plonge mon regard dans le sien en même temps que ma queue en elle. Je la fais aller et venir dans son fourreau chaud jusqu’à ce que nous jouissons ensemble sans pouvoir la quitter des yeux.
Je roule sur le côté et l’attire à moi après m’être débarrassé ce préservatif dont je maudis le contact. Je la prends dans mes bras comme pour la retenir. Je sais que j’ai déjà eu bien plus que ce à quoi j’avais droit. Et elle va partir.
Elle se laisse aller contre mon torse. Et épuisé de ces mois de stress, je m’endors en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe histoire, vraiment bien écrite!!