Rencontre inattendue
Récit érotique écrit par July2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rencontre inattendue
ELLE
Quand les gens me voient dans la rue, ils pensent souvent que je suis une fille à papa, issue d’une famille fortunée. Il est vrai que j’ai beaucoup de temps libre que j’emploie à faire les boutiques de luxe et que j’en ressors souvent les bras chargée de paquets. Je roule dans une belle voiture luxueuse.
Mais tout ça, je ne le dois pas à mes parents. Je viens d’un milieu plutôt très modeste. Et aujourd’hui, c’est moi qui vient en aide à mes parents en améliorant financièrement leur quotidien. Ils pensent que je travaille dans un cabinet d’avocats réputé.
En réalité, je n’ai jamais plaidé la moindre affaire. Au bout de 6 mois d’études, j’ai lâché mon job dans un fast-food qui me permettait de payer mes études, au profit d’un autre bien plus lucratif et me permettant de me consacrée d’avantage à mes révisions.
Une fois diplômée du barreau, j’ai totalement laissé le droit pour me consacrer à temps plein à mon activité secondaire. Mais il m’est impossible de l’avouer à mes parents. Parce que soyons honnête, quel parent serait heureux de savoir que sa fille est escort et pute de luxe ?
C’est une fille, Sidney, de ma promotion à la fac de droit qui est venue me trouver un jour :
- Je ne vois pas pourquoi tu te fais chier à aller bosser dans ce fast-food, à puer la frite pour un salaire de misère et risquer de rater tes études… m’avait-elle dit.
- Parce que moi je n’ai pas Papa et Maman pour me payer mes études, avais-je marmonné pour lui répondre.
- Ce ne sont pas mes parents qui me paient mes études, je bosse, mais je me fais en une soirée ce que tu gagnes en 1 mois…
Elle m’a alors expliqué qu’elle était escort girl pour des hommes fortunés voulant avoir à leur bras de jolies filles lors de leur soirée.
- Faire la pute pour des bourges, non merci, je passe mon tour…- Je ne te parle pas de faire la pute, ça c’est chacune son choix, je te parle de sortir le temps d’une soirée avec des hommes riches, dans des expositions, des galas. C’est bien payé, tu bois de bons champagnes, tu manges dans de beaux endroits. Et si monsieur le veut et qu’il te plaît, pourquoi pas finir la soirée en prenant ton pied…
J’étais restée dubitative.
- Réfléchis y et si tu changes d’avis, viens me voir.
Et le soir, en sortant les frites de leur bain d’huile, je me suis rappelée ses paroles. C’est vrai que j’en avais marre se sentir le graillon tous les soirs. Et côté notes, elles avaient chutées au fil des mois. Je bossais presque tous les soirs pour avoir assez d’argent pour financer l’école et payer mon loyer. Mais du coup je n’avais pas beaucoup de temps pour bosser mes cours et je me plantais souvent aux exams. Sa proposition était donc alléchante.
Le lendemain, j’allais la trouver. Puis les choses se sont faites très vite. Elle m’a présentée à sa ‘’patronne’’. Elle m’a demandé d’enfiler différentes robes et paires de chaussures, de défiler devant elle. Puis elle m’a montrée comment me maquiller pour une soirée chic
- Les premières fois, tu pourras venir ici emprunter des robes et des chaussures, mais dans quelques temps tu te seras fait assez d’argent pour pouvoir te payer de jolies tenues, tu ne viendras plus que pour chercher ton argent. Et dans la plus grande discrétion possible.
Elle m’a prise en photo et m’a demandé mon numéro de portable.
- Je te mets dans mon catalogue. Je note que tu es dispo un soir par semaine, le week-end exclusivement pour le moment. Si les clients s’intéressent à toi, et que cela te convient, on pourra te rajouter des jours.
Puis Sidney m’a ramenée chez moi. J’étais incapable de sortir de mon silence, trop préoccupée par ce que je venais de faire. J’essayais de mon convaincre que je ne ferais qu’accompagner ces hommes. Il n’y avait rien de mal à ça.
Le lendemain après-midi, en sortant de cours, Maria, la patronne, m’a appelée.
- Julie, demain matin il faut que tu viennes ici, j’ai déjà un contrat pour toi.
Je n’ai pas dormi de la nuit. Tout un tas de questions de sont bousculées dans ma tête.
Elle a du le remarquer en me voyant arriver.
- Ma jolie, faut que tu dormes la nuit. Les hommes paient pour avoir de jolies filles à leur côté. Un bon maquillage devrait masquer ces signes de fatigue. Allez suis moi, je vais t’aider à choisir ta tenue pour ce soir.
Elle m’a emmenée à l’étage, à l’endroit même où elle m’avait déjà fait faire des essayages. Elle m’a expliqué que j’allais accompagner un homme d’affaires suisse à une exposition d’art moderne.
- Tu as l’air anxieuse ma chérie.
- J’ai peur Maria…- De quoi ? M’a-t-elle demandé gentiment.
- Qu’il en veuille plus et que je ne le veuille pas…- Tu as peur qu’il te viole ?
Elle a mis le mot juste sur ma crainte. Une larme roule sur ma joue.
- Je comprends. Aucune de mes filles n’a jamais eu ce souci. Nos clients ne sont pas des monstres. Certains tentent leur chance, parfois ça paie. Parmi les éconduits, il y en a qui insistent, mais cela ne va jamais plus loin. Et pour ta première escorte, tu vas accompagner le meilleur de nos clients, que ce soit pour sa fidélité à nos services ou pour sa gentillesse envers les filles.
Ses mots me rassurent mais je ne peux m’empêcher de me dire qu’on ne sait jamais.
- D’ailleurs, je n’ai jamais vu une des filles avoir autant de succès que toi. J’avais à peine mis ton profil en ligne que j’ai eu 5 demandes pour ce soir en 5 minutes, et 20 dans la demi-heure suivante. La nouveauté les attire toujours, mais jamais à ce point. Et c’est avec lui que j’ai voulu te faire sortir aujourd’hui parce que je sais que ça va bien se passer.
Et elle a eu raison. Il a été extrêmement gentil, n’a eu aucun geste déplacé, ne m’a fait aucune proposition indécente.
Alors j’ai retenté l’expérience, et cela s’est toujours bien passé. J’ai même pris goût à ces soirées. Et comme Maria me l’avait dit, certains m’ont fait des avances, toujours de manière courtoise. Au début, je me faisais un point d’honneur à les décliner. Accepter de coucher avec eux m’aurait définitivement donné le sentiment de me prostituer.
Mais un soir j’ai cédé à celles d’un client que j’accompagnais régulièrement en soirée. Au moment de partir, il m’a laissé un petit supplément. Et contrairement à ce que je pensais, cela ne m’a pas gênée plus que ça. On a recommencé chaque fois qu’il me demandait comme escort.
Puis j’ai fini par accepter les avances d’autres hommes, mais choisissant avec soin ceux qui pourraient me toucher.
C’était il y a 6 ans, et aujourd’hui Maria a étoffé son catalogue de services auprès de ses clients pour ses filles les plus expérimentées.
Et ce soir, c’est justement à une demande particulière qu’elle a accédé. Depuis quelques mois, un patron offre à ses employés 2 fois par mois une soirée pleine de débauche.
Cela fait plusieurs fois que j’y participe. Les types de mettent dans des états pas possibles, mais restent tout à fait correct avec nous, ne nous forçant jamais à faire ce que nous ne voulons pas. Et leur patron est bien clair avec eux sur ce point là.
Ce soir, c’est avec Sydney et 4 autres filles que je me rends à cette soirée. On s’est donné rendez-vous à 20h30 dans le hall de l’hôtel. Quand nous sommes toutes réunies, nous nous présentons à l’accueil. On nous indique une chambre où l’on va pouvoir se préparer.
L’exigence de cet homme est que nous soyons totalement nues, à l’exception de nos escarpins, de bijoux qu’il fournit et de menottes en plaqué or, composées de bracelets larges reliés par une chaîne de 60cm. Il demande que pendant la première partie de la soirée, nous servions ses employés, déambulant parmi eux avec de grands plateaux d’argent sur lesquels trônent alcool et drogue.
Quand nous sommes prêtes, nous nous tenons devant la double porte du salon privé où se tient la réunion. Le musique se met en route et les portes s’ouvrent. Les yeux se tournent alors vers nous.
- Profitez de la soirée messieurs, mais n’oubliez pas que si vous voulez garder votre boulot, le contrat que j’ai passé avec la société stipule que la pénétration n’est pas comprise. Pour ça, il faudra y aller de vos deniers et en suite, pas ici.
Il a dit à Maria qu’il ne veut pas être responsable d’orgies et que si l’une de nous venait à se plaindre d’un de ses employés, il serait licencié sur le champ.
Sydney et deux des autres filles portent les plateaux avec la coke et les cachets d’extasy. Sur le mien, deux bouteilles de whisky attendent de voir leur contenu remplir les verres de ces hommes.
Je suis en train de servir le boss quand je reçois une tape sur les fesses. En me redressant pour voir à quel mâle je la dois, j’aperçois Sydney penchée à l’oreille d’un beau jeune homme.
Il lui sourit poliment, semble décliner sa proposition puis me regarde en lui répondant quelque chose. Sydney me regarde à son tour. C’est alors qu’un des trader m’interpelle :
- Hey miss Whisky, si tu venais me servir un verre ma jolie ?
Je me dirige vers lui. Il se tient dos à la table, m’obligeant à me pencher au-dessus de lui pour prendre un verre sur la table. Il en profite pour poser ses mains sur mes fesses et passer sa langue sur l’un de mes tétons.
Je lui sers son whisky et m’apprête à me diriger vers quelqu’un d’autre qui sera peut-être moins relou, mais il me retient par la chaîne des menottes.
- Reste là ma belle. Tu sais que tu es bonne ?
Je ne réponds rien, me contentant de jouer mon rôle : je me mets à califourchon sur lui, ondulant contre sa queue déjà dressée, plaquant mes seins contre son visage. Il les caresse, les lèche, les suce.
Il passe un bras autour de mes reins et repousse mon buste en arrière avant de faire signe à Sydney de s’approcher avec son plateau. Il attrape un sachet de coke, le perce et en déverse le contenu sur mon sein droit. Il sort sa carte bleue de la poche de sa veste de costard et tasse la drogue en une ligne suivant la courbe de mon sein qu’il vient sniffer tout en laissant glisser sa langue sur ma peau.
Quand il relève la tête de ma poitrine, il a encore le nez poudré.
Sydney attrape mon bras et me tire vers elle. Mon shooté ne réagit déjà plus. Ça ne devait pas être son premier sniff de la journée.
- Le type là-bas ne veut être servi que par toi…
Elle me désigne l’homme qui m’observait avant. Il y a quelque chose en lui qui détonne dans ce contexte. Il n’a pas ce regard avide qu’ont les autres. Il semble plus calme aussi.
- Que puis-je pour toi mon beau ? Je lui demande une fois à côté de lui.
- Je voudrais bien un double whisky sans glace, s’il vous plaît.
Je pose mon plateau sur la table et prends un verre que je commence à remplir. Il est tout l’opposé de ces hommes. Ça fait maintenant un paquet de fois que je viens dans ces soirées et que je le vois, et pas une seule fois je l’ai vu se shooter, se mettre à l’envers ou avoir des attitudes grossières avec les filles. Certes, il les touche, se laisse faire des trucs, mais sans ce regard de pervers ni cette attitude d’homme à qui tout est du.
C’est la première fois que j’ai à faire à lui. Il est plutôt séduisant, surtout maintenant que je le vois de près.
Je prends le verre que je viens de remplir et me mets à califourchon sur lui avant de le lui donner. Alors qu’il penche la tête en arrière et bois son verre cul sec, je parcours sa gorge de baisers. A mesure que je le touche, je sens qu’il durci.
- Qu’est-ce qui te ferait plaisir maintenant ?
- La nuit avec vous…- Tutoie moi… et il n’est pas un peu tôt pour parler de la nuit ? Que veux tu que je te fasse, maintenant ?
- On ne se connaît pas assez pour que je vous tutoie. Et je veux être sûr que vous n’ayez pas à la passer avec un de ces drogués.
Comme il ne répond pas à ma question, j’ouvre doucement sa chemise, un bouton après l’autre, dévoilant un torse musclé, imberbe à l’exception d’une ligne de poils partant de son nombril et descendant sous sa ceinture. Il pose ses mains sur ma taille, je les fais descendre sur mes fesses.
Il me colle alors un peu plus contre lui et m’embrasse. Pas de cette manière dégueulasse que nos clients ont généralement, cette façon dont ils essaient de nous posséder. Non, d’une manière bien plus délicate mais pleine de désir.
Je me redresse et me glisse entre ses jambes. Alors que j’ouvre sa ceinture, il attrape mon menton.
- Tu n’es pas obligée…- Je sais, mais j’en ai envie.
Je termine d’ouvrir son pantalon et baisse légèrement l’élastique de son boxer pour libérer une belle queue bien droite. Il prend la bouteille de whisky, se ressert un double qu’il descend à nouveau cul sec avant de basculer sa tête en arrière en soupirant de plaisir quand je prends sa queue entre mes lèvres. Je sens qu’il se retient de basculer son bassin.
- Thomas ? Lui demande un blondinet en lui tendant un cachet d’exta.
- Dylan, je te l’ai déjà dit, c’est pas mon truc…- Par contre, je vois que tu aimes bien les putes rousses à gros seins. J’avoue qu’elle est plutôt bonne… quand elle aura fini avec toi, envoie la moi, je la voudrais bien pour la nuit, à moins que tu aies déjà une option dessus, dans ce cas on peut se la partager peut être…
Il ne lui répond rien et le blondinet s’en va.
Après quelques minutes, il pose sa main sur mon épaule.
- Arrête, j’ai pas envie de jouir ici…
Je me relève et il se rhabille. Je prends mon plateau pour continuer mon ‘’service’’.
- Non, viens, on va dans une chambre.
- Je ne peux pas encore, ton patron paie pour qu’on reste dans le salon privé au moins jusqu’à minuit, il n’est que 23h00.
- Je te paie 3 fois le prix de la nuit. Je suis sûr que ta maquerelle saura fermer les yeux et trouver un truc à lui dire pour lui rabattre le caquet.
Il a raison, si Maria apprend que j’ai refusé une telle somme, je vais me faire passer un savon.
- Je vais juste prévenir une de mes copine.
Je pose mon plateau et me dirige vers Sydney. Elle est à genoux entre les jambes d’un mec en train de sniffer un rail de coke sur sa bite, pendant qu’un autre, couché à même le sol, lui lèche la chatte et lui enfonce un doigt dans le cul.
- Je pars en solo.
- OK, fais gaffe à toi.
Quand je vois sa situation, je pense que c’est plutôt elle qui devrait faire attention à elle. Contrairement à moi, elle se livre à toutes sortes de débauches. Elle suit volontiers les clients dans leur consommation de drogue et d’alcool.
LUI
Quand je rentre ce soir là, je suis exténué. Le cours de la bourse a encore joué avec mon palpitant. Je n’ai rien avalé de la journée si ce n’est mon litre quotidien de café. Depuis que j’ai commencé à ce poste de trader dans cette agence, j’ai perdu 17 kilos. 17 kilos en 6 mois à force de stresser et de ne manger qu’un repas par jour.
Je me suis retrouvé trader après avoir démissionné de mon poste de banquier. Mon boulot consistait à endetter les gens. Aujourd’hui je m’enrichis en les enrichissant. Ce qui m’a permis de changer de voiture et d’acheter une maison dans les beaux quartiers.
Mais ce job a ses revers. Le stress permanent est le plus gros et celui qui amène aux autres : l’alcool, l’énervement, la drogue. Sans être alcoolique, je dois reconnaître qu’il m’arrive de boire davantage qu’avant. J’avoue également être plus enclin à m’énerver. Mais il y a une chose sur laquelle j’ai toujours été catégorique : je ne touche pas à la drogue. Certains de mes collègues ne le comprennent pas et ont tendance à insister dans leurs propositions.
Et il y a un moment dans mon boulot où il y en a à revendre : les soirées du patron. Deux fois par mois, notre boss organise une soirée pour faire le point. Cela commence sous forme de réunion pour parler chiffres et objectif puis cela finit par ressembler à des soirées de débauche, où les filles se promènent nue, les collaborateurs se retrouvent ivres et défoncés, le tout fourni et financé par le boss.
Je n’apprécie pas beaucoup ces ‘’réunions’’, mais notre présence y est obligatoire. Pour fédérer l’esprit d’équipe, dit-il. Je n’arrive pas à concevoir que l’on puisse se mettre dans de tels états. La présence des filles me choquait au début, mais je dois reconnaître que c’est finalement ce que je trouve de plus plaisant. J’ai fini par prendre goût de les voir déambuler nues avec leur plateau autour de la table, aguicher les collègues. J’ai pris goût à ce comportement qui me gênait terriblement de la part de mes collègues : les toucher et leur demander de me faire plaisir, et ce en pleine réunion.
Il faut dire qu’avec ce boulot, on n’a plus vraiment le temps de sortir et de rencontrer du monde. Et je dois reconnaître que de les voir glousser sous les fessées, gémir sous les coups de langue ou sucer les queues de mes collègues a fini par devenir très excitant. D’autant que certaines d’entre elles sont très convaincantes.
Il les fait venir grâce à une agence d’escort girls assez réputée dans les coulisses des gens de la haute société. La patronne est devenue une sorte de maquerelle de putes de luxe. Si l’on y met le prix, tous nos désirs peuvent être réalisables.
Demain soir est justement celui de la deuxième réunion du mois. Et il paraît que le boss est hyper satisfait des chiffres des 15 derniers jours. Les collègues sont aux anges : quand il est satisfait, il regarde encore moins à la dépense pour faire plaisir à ses employés. Ce qui veut dire alcool, drogue, filles à gogo… j’en connais qui ne vont plus retrouver leur chemin pour rentrer.
La journée s’annonce longue demain. Je vais faire un jogging de 10km avant d’aller me coucher.
Le lendemain, les marchés boursiers s’affolent suite à l’annonce d’une grande société d’entrer en bourse. Nos clients se ruent pour tenter d’acheter des parts. Nous clôturons en hausse.
Je rentre chez moi me doucher et me changer. Nous avons rendez-vous à 20h dans un grand hôtel.
Le boss y réserve toujours un salon privé et quelques suites.
J’arrive en même temps que d’autres collaborateurs.
- Hey Thomas ! Prêt pour passer une soirée de débauche ? Une telle réussite, ce serait l’occasion de sniffer un peu… me lance Dylan.
- Je compte bien passer une bonne soirée, mais toujours pas de poudre pour moi. J’ai pas besoin de ça pour m’éclater.
On entre dans le salon et on s’installe autour de la table ronde. Nous sommes une quinzaine de traders, plus le boss. Ce dernier se tient en bout de table devant un écran blanc. Le rétroprojecteur accroché au plafond y fera apparaître les chiffres de la société.
Sur la table, il a des verres, des amuses gueules, des pains surprises, des cigares, des cendriers et des capotes.
La première fois que j’ai mis les pieds à ces réunions, je me demandais où j’étais tombé. Maintenant, rien ne me choque.
Le boss nous fait son laïus, nous félicite des chiffres et pour la troisième fois consécutive je me trouve être le meilleur trader de la boîte. Et pour la troisième fois, il m’offre un paquet contenant du champagne, du whisky, du vin et de la coke. Celle-ci finira au fond de mes chiottes encore une fois.
- Et maintenant, passons aux choses plus plaisantes.
Il met la musique en route et les portes s’ouvrent sur des femmes magnifiques.
Elles sont 6, nues, aux formes parfaites. 3 d’entre elles portent des plateaux avec des bouteilles d’alcool. J’ai déjà repéré celle qui s’occupe du whisky. Les 3 autres se chargent de la coke et de l’extasy.
La rouquine, la plus jolie d’ailleurs, qui porte le plateau de whisky se dirige vers le boss. Il l’a reluque comme un chien aux abois. Pendant qu’elle lui sert un verre, il gobe un cacheton d’exta.
Au même moment, un gros porc lui donne une claque sur la fesse droite. Alors qu’elle se tourne pour jeter un œil à celui qui vient de la toucher, une de ses copines se penche vers moi.
- Un petit rail de coke pour vous détendre monsieur, vous semblez tendu… me chuchote-t-elle à l’oreille en frôlant mon bras de ses seins.
- Non merci, je lui réponds gentiment sans quitter la petite rousse des yeux.
Je lui dis que je n’aurais rien contre le fait que son amie vienne me servir un whisky quand cette dernière tourne la tête vers moi et nos regards se croisent. Plus un mot ne sort alors de ma bouche.
- Je vais lui dire de venir vous voir, Julie est un très bon choix, me répond miss coke.
Elle s’éloigne de moi et mon regard suis Julie de l’autre côté de la table. Un de mes collègues déjà plus que défoncé la hèle pour se faire servir. Il joue de sa position de supériorité pour la faire se mettre sur elle. Le voilà en train de gober un téton. Quand il perce un sachet de coke sur ses seins, c’est le summum pour moi. Je préfère ne plus les regarder pour ne pas m’énerver de le voir la traiter ainsi.
D’ailleurs je ne sais pas ce qui me prends de réagir comme ça. C’est pas la première fois que mes abrutis de collègues se comportent comme ça avec ces filles. Et ce n’est pas la première fois que Julie sert ici. Pourtant aujourd’hui elle a un effet sur moi auquel je ne m’attendais pas.
J’ose leur jeter un coup d’œil. Son amie la tire des griffes de ce malotru et me désigne du regard.
La jolie rousse me rejoint alors de l’autre côté de la table.
- Que puis-je pour toi mon beau ?
- Je voudrais bien un double whisky sans glace, s’il vous plaît, je lui demande poliment.
Elle pose son plateau, prend un verre à whisky et le remplit de liquide ambré. J’en profite pour la reluquer.
Elle a un corps de rêve : des seins bien portés, ronds, des tétons qui donnent envie de les croquer, une taille fine et marquée, et des fesses légèrement rebondies. Sa peau semble sans imperfection, finement velouté. Ses gestes sont plein de grâce.
J’ai une folle envie de la retourner, la prendre contre moi et d’envahir sa bouche de ma langue. De l’imaginer entre mes bras, je commence à me sentir serré dans mon pantalon.
C’est à ce moment là qu’elle se tourne vers moi, mon verre à la main. Elle se met à califourchon sur mes genoux et me donne le verre. Je le porte à mes lèvres et penche la tête en arrière pour boire le breuvage cul-sec.
Je sens alors ses lèvres contre la peau de mon cou. Elle les dépose à plusieurs endroits, me faisant frissonner. Et bander un peu plus.
- Qu’est-ce qui te ferait plaisir maintenant ?
- La nuit avec vous…- Tutoie moi… et il n’est pas un peu tôt pour parler de la nuit ? Que veux tu que je te fasse, maintenant ?
- On ne se connaît pas assez pour que je vous tutoie. Et je veux être sûr que vous n’ayez pas à la passer avec un de ces drogués.
Une nouvelle fois, je ne sais pas pourquoi je réagis ainsi. Mais l’imaginer sous un de ces porcs me donne la gerbe. Je serais même prêt à la payer sans qu’il ne se passe rien juste pour lui éviter ça.
Mais je compte bien profiter du temps avec elle pour prendre mon pied. J’ai follement envie tout de suite.
Elle me fixe de ses magnifiques yeux verts, attendant une réponse autre que celle que je viens de lui donner. Mais la seule chose qui vient c’est « j’ai envie de toi, ici et maintenant ». Sachant que ce n’est pas possible, je me contente de plonger mon regard dans le sien.
Elle ouvre alors les boutons de ma chemise. Le contact de ses doigts sur mon torse me donne l’envie de sentir davantage de sa peau contre mon corps. Elle écarte les pans de ma chemise, dévoilant complètement mon buste.
Je pose mes mains sur sa taille, elle les fait descendre sur des fesses. Je me retiens de les empoigner fermement. Je la colle un peu plus contre moi. Ses seins se plaquent contre mes pecs. Je sens ses tétons pointer contre ma peau.
Je pose doucement mes lèvres sur les siennes, ma langue les frôlent et elle entrouvre la bouche. Donc langue vient à la rencontre de la mienne. J’aimerais que ce baiser dure encore et encore.
Elle quitte mes genoux pour se mettre entre mes jambes. Elle ouvre mon pantalon et fait sortir ma queue de mon boxer.
- Tu n’es pas obligée, lui dis-je en plaçant mes doigts sous son menton.
- Je sais, mais j’en ai envie…
Elle fait alors glisser ses lèvres très lentement le long de mon membre. Sa langue tourne autour de mon gland, ses lèvres l’aspirent. Je me sers un second whisky que j’avale d’un trait puis je laisse ma tête aller en arrière tant ce qu’elle me fait avec sa bouche est bon.
Je suis si excité qu’il faut que je me retienne de donner des petits coups de reins.
- Thomas ?
Je tourne légèrement la tête pour voir Dylan qui m’interpelle en me tendant un cachet d’exta. Il ne veut décidément pas comprendre que ça ne m’intéresse pas.
- Dylan, je te l’ai déjà dit, c’est pas mon truc…- Par contre, je vois que tu aimes bien les putes rousses à gros seins. J’avoue qu’elle est plutôt bonne… quand elle aura fini avec toi, envoie la moi, je la voudrais bien pour la nuit, à moins que tu aies déjà une option dessus, dans ce cas on peut se la partager peut être…
J’ai envie de lui péter la gueule à ce connard. Plutôt que de m’énerver, je préfère l’ignorer et il finit par partir.
Après quelques minutes, je sens que je suis à 2 doigts de jouir.
- Arrête, j’ai pas envie de jouir ici…
Elle se relève et je me rhabille. Elle reprend son plateau, mais je ne veux pas voir repartir auprès de ces shootés qui me servent de collègues.
- Non, viens, on va dans une chambre.
- Je ne peux pas encore, ton patron paie pour qu’on reste dans le salon privé au moins jusqu’à minuit, il n’est que 23h00.
- Je te paie 3 fois le prix de la nuit. Je suis sûr que ta maquerelle saura fermer les yeux et trouver un truc à lui dire pour lui rabattre le caquet.
Mon argument semble la convaincre.
- Je vais juste prévenir une de mes copines.
ELLE
Je rejoins le fameux Thomas près de la porte. Il m’emmène dans l’une des suites réservées par son boss. Il ferme la porte derrière lui et la verrouille.
- C’est combien la nuit complète ? Me demande-t-il.
- 1200. Mais tu peux payer plus tard. Et tu ne devrais jamais garder ton portefeuille sur toi quand tu passes du temps avec une pute…- Je te dois donc 3600. Et je veux te payer maintenant comme ça quand tu veux partir, tu pars. Et je pense que tu n’es pas le genre de fille à te barrer avec mes papiers, me répond-il en posant une liasse de billets sur la commode pendant que je me frotte à lui.
Je fais glisser sa veste le long de son dos. Il défait les boutons de manchettes de sa chemise et se tourne vers moi. Il attrape mes poignets et retire les bracelets de menottes qui les entourent.
Alors que je commence à ouvrir sa chemise, il me stoppe.
- J’aimerais que tu te douches d’abord… dit-il un peu timidement.
- Merci, je sais pas comment je le dois prendre. C’est parce que tes potes ont posé les mains sur moi ou tu me trouves sale ?
- Ça n’a rien à voir avec les mains de ces porcs… c’est juste que tu as encore plein de coke sur les seins, et c’est pas mon truc…
Je me sens bête d’un coup.
- Viens avec dans la salle de bains, tu pourras te rincer l’œil un peu…
J’en prends la direction et allume l’eau dans la cabine immense. Les parois de verre s’embuent presque aussitôt. Il me rejoint rapidement, un nouveau whisky à la main, la chemise ouverte, les pieds nus. Il se met assis sur le bord de la baignoire alors que j’entre dans la douche.
- C’est peut-être pas ton truc la coke mais le whisky…- On a tous nos vices. Et je ne bois autant que lors de ces soirées. Je n’aime pas me mettre dans de sales états. Je ne comprends pas le plaisir qu’ils ont à se défoncer. Ils disent que c’est pour tenir le coup. Je pense qu’il y a d’autres moyens.
Je termine de me rincer en l’observant à travers la buée. Il vide son vers et le pose sur le bord du lavabo. Il frotte sa barbe naissante.
Je me tourne pour fermer le robinet et ouvre la porte. Il m’attend avec un peignoir ouvert. Quand je pose le pied au sol, il m’enveloppe dedans et me sèche doucement.
- J’ai plutôt l’habitude qu’on se jette sur moi quand je suis nue devant un homme.
- Et moi je pense que ça fait longtemps qu’un mec n’a pas pris soin de toi au lieu de te baiser comme une chienne. C’est pas parce que c’est ton boulot de t’envoyer en l’air qu’on doit te traiter comme un morceau de viande.
Il termine de me sécher et je l’entraîne dans la chambre. Je le pousse pour qu’il se couche sur le lit et me mets au-dessus de lui.
- Alors maintenant tu vas me dire ce qui te ferait plaisir beau gosse ?!?
- Dis moi ce qui te ferait plaisir que je te fasse…- C’est toi qui paies et c’est moi qui choisis ? La blague. Allez dis moi…- Ce qui me ferait plaisir c’est de te faire plaisir à toi.
LUI
Elle pose son plateau et va voir miss coke. J’en profite pour me servir un nouveau verre que je vois rapidement. Je me dirige doucement vers la porte, attrapant quelques capotes au passage.
Quand elle me rejoint près de la porte, mon boss me regarde fixement puis me sourit comme pour me donner son approbation. Il semblerait qu’être le meilleur trader de la société me donne certains privilèges.
Alors que je sors mon portefeuille de ma poche, elle se colle à mon dos.
- C’est combien la nuit complète ?
- 1200. Mais tu peux payer plus tard. Et tu ne devrais jamais garder ton portefeuille sur toi quand tu passes du temps avec une pute…- Je te dois donc 3600. Et je veux te payer maintenant comme ça quand tu veux partir, tu pars. Et je pense que tu n’es pas le genre de fille à te barrer avec mes papiers, je lui dis en posant une liasse de billet sur la commode.
Elle m’enlève ma veste et je défais les boutons de manchettes de ma chemise avant de me tourner vers elle pour lui retirer les bracelets de menottes qui entourent ses poignets.
Une fois ses mains libérées, elle s’en sert pour déboutonner ma chemise.
- J’aimerais que tu te douches d’abord, lui dis-je en retenant ses mains.
- Merci, je sais pas comment je le dois prendre. C’est parce que t’es potes ont posé les mains sur moi ou tu me trouves sale ?
J’avoue qu’en y réfléchissant, je comprends qu’elle le prenne comme ça.
- Ça n’a rien à voir avec les mains de ces porcs… c’est juste que tu as encore plein de coke sur les seins et c’est pas mon truc…- Viens avec dans la salle de bains, tu pourras te rincer l’œil un peu…
Elle entre dans la salle de bains et j’entends l’eau couler quand elle ouvre le robinet. Je me dirige vers le mini bar et me sert un nouveau whisky double. J’ouvre ma chemise et retire mes chaussures et mes chaussettes. Je pose ensuite ma montre sur la commode avant de la rejoindre dans la salle de bains. Je me mets assis sur le bord de la baignoire alors qu’elle entre dans la douche.
- C’est peut-être pas ton truc la coke mais le whisky… dit-elle en frottant son corps avec la fleur de douche.
Je lui réponds en la matant sans gêne. Elle est franchement bien foutue. Mais plus que ça, elle est jolie.
- On a tous nos vices. Et je ne bois autant que lors de ces soirées. Je n’aime pas me mettre dans de sales états. Je ne comprends pas le plaisir qu’ils ont à se défoncer. Ils disent que c’est pour tenir le coup. Je pense qu’il y a d’autres moyens.
Quand elle se tourne pour se rincer, je fais mine de pas l’avoir regardée et avale mon whisky. Elle ferme le robinet et je l’attends avec un peignoir avant de la sécher.
- J’ai plutôt l’habitude qu’on se jette sur moi quand je suis nue devant un homme.
- Et moi je pense que ça fait longtemps qu’un mec n’a pas pris soin de toi au lieu de te baiser comme une chienne. C’est pas parce que c’est ton boulot de t’envoyer en l’air qu’on doit te traiter comme un morceau de viande.
J’avoue elle a choisi d’être escort girl et pute, mais n’empêche qu’elle en reste une femme, et une femme on en prend soin.
Quand je pose le peignoir, elle m’entraîne dans la chambre et me pousse sur le lit avant de me chevaucher. Elle est franchement bandante comme ça.
- Alors maintenant tu vas me dire ce qui te ferait plaisir beau gosse ?!?
- Dis moi ce qui te ferait plaisir que je te fasse…- C’est toi qui paies et c’est moi qui choisis ? La blague. Allez dis moi…- Ce qui me ferait plaisir c’est de te faire plaisir à toi.
Comme elle croise les bras et me fixe dans les yeux au lieu de me répondre, je décide de prendre les devants. Je me redresse et la porte jusqu’à la tête de lit.
- Ce je veux c’est que tu te mettes à genoux, face au pied du lit et les jambes légèrement écartées. Et que tu fermes les yeux.
Elle obéit. Et pendant qu’elle prend position, je retire mon pantalon. Puis je m’allonge sur le dos, sous elle, la bouche juste sous sa chatte dénuée de tout poil. Elle hoquète de surprise.
- Chut… je souffle doucement.
- Non mais c’est bon job de te faire plaisir, c’est pour ça que tu paies…- Je te paie pour prendre mon pied, et en te faisant plaisir je prends mon pied. Alors si je veux te faire un cunni, profite !
Elle tient enfin sa langue sauf pour gémir de plaisir.
Puis elle se laisse tomber à 4 pattes et baisse mon boxer pour libérer mon érection qu’elle prend en bouche et suce goulûment.
Après de longues minutes et des coups de langue experts, je suis au bord de la jouissance. Mais je ne veux finir comme ça.
Je la saisis par la taille et la fait tomber sur le côté. Je me relève et fais tomber ma chemise au sol. Mon boxer la rejoins rapidement. Dans la poche de mon pantalon, j’attrape une capote et la déroule hâtivement sur ma queue.
- Tu veux qu’on fasse ça comment ? Je lui demande.
- Tu te poses trop de questions. Fais ce qui te plaît.
- Je t’ai dit, ce qui me plaît c’est de te faire plaisir…- Je n’ai vraiment pas de préférence…
Alors je vais la prendre comme rarement les hommes doivent le faire depuis qu’elle couche pour gagner sa vie.
Je m’allonge doucement au-dessus d’elle et entre en elle délicatement. Elle ferme les yeux, penche la tête en arrière et se mord la lèvre à mesure que ma queue la pénètre.
J’entame un lent va et vient en elle, tout en goûtant ses seins. Quand elle jouit, je me laisse enfin aller et jouis à mon tour.
Quand les gens me voient dans la rue, ils pensent souvent que je suis une fille à papa, issue d’une famille fortunée. Il est vrai que j’ai beaucoup de temps libre que j’emploie à faire les boutiques de luxe et que j’en ressors souvent les bras chargée de paquets. Je roule dans une belle voiture luxueuse.
Mais tout ça, je ne le dois pas à mes parents. Je viens d’un milieu plutôt très modeste. Et aujourd’hui, c’est moi qui vient en aide à mes parents en améliorant financièrement leur quotidien. Ils pensent que je travaille dans un cabinet d’avocats réputé.
En réalité, je n’ai jamais plaidé la moindre affaire. Au bout de 6 mois d’études, j’ai lâché mon job dans un fast-food qui me permettait de payer mes études, au profit d’un autre bien plus lucratif et me permettant de me consacrée d’avantage à mes révisions.
Une fois diplômée du barreau, j’ai totalement laissé le droit pour me consacrer à temps plein à mon activité secondaire. Mais il m’est impossible de l’avouer à mes parents. Parce que soyons honnête, quel parent serait heureux de savoir que sa fille est escort et pute de luxe ?
C’est une fille, Sidney, de ma promotion à la fac de droit qui est venue me trouver un jour :
- Je ne vois pas pourquoi tu te fais chier à aller bosser dans ce fast-food, à puer la frite pour un salaire de misère et risquer de rater tes études… m’avait-elle dit.
- Parce que moi je n’ai pas Papa et Maman pour me payer mes études, avais-je marmonné pour lui répondre.
- Ce ne sont pas mes parents qui me paient mes études, je bosse, mais je me fais en une soirée ce que tu gagnes en 1 mois…
Elle m’a alors expliqué qu’elle était escort girl pour des hommes fortunés voulant avoir à leur bras de jolies filles lors de leur soirée.
- Faire la pute pour des bourges, non merci, je passe mon tour…- Je ne te parle pas de faire la pute, ça c’est chacune son choix, je te parle de sortir le temps d’une soirée avec des hommes riches, dans des expositions, des galas. C’est bien payé, tu bois de bons champagnes, tu manges dans de beaux endroits. Et si monsieur le veut et qu’il te plaît, pourquoi pas finir la soirée en prenant ton pied…
J’étais restée dubitative.
- Réfléchis y et si tu changes d’avis, viens me voir.
Et le soir, en sortant les frites de leur bain d’huile, je me suis rappelée ses paroles. C’est vrai que j’en avais marre se sentir le graillon tous les soirs. Et côté notes, elles avaient chutées au fil des mois. Je bossais presque tous les soirs pour avoir assez d’argent pour financer l’école et payer mon loyer. Mais du coup je n’avais pas beaucoup de temps pour bosser mes cours et je me plantais souvent aux exams. Sa proposition était donc alléchante.
Le lendemain, j’allais la trouver. Puis les choses se sont faites très vite. Elle m’a présentée à sa ‘’patronne’’. Elle m’a demandé d’enfiler différentes robes et paires de chaussures, de défiler devant elle. Puis elle m’a montrée comment me maquiller pour une soirée chic
- Les premières fois, tu pourras venir ici emprunter des robes et des chaussures, mais dans quelques temps tu te seras fait assez d’argent pour pouvoir te payer de jolies tenues, tu ne viendras plus que pour chercher ton argent. Et dans la plus grande discrétion possible.
Elle m’a prise en photo et m’a demandé mon numéro de portable.
- Je te mets dans mon catalogue. Je note que tu es dispo un soir par semaine, le week-end exclusivement pour le moment. Si les clients s’intéressent à toi, et que cela te convient, on pourra te rajouter des jours.
Puis Sidney m’a ramenée chez moi. J’étais incapable de sortir de mon silence, trop préoccupée par ce que je venais de faire. J’essayais de mon convaincre que je ne ferais qu’accompagner ces hommes. Il n’y avait rien de mal à ça.
Le lendemain après-midi, en sortant de cours, Maria, la patronne, m’a appelée.
- Julie, demain matin il faut que tu viennes ici, j’ai déjà un contrat pour toi.
Je n’ai pas dormi de la nuit. Tout un tas de questions de sont bousculées dans ma tête.
Elle a du le remarquer en me voyant arriver.
- Ma jolie, faut que tu dormes la nuit. Les hommes paient pour avoir de jolies filles à leur côté. Un bon maquillage devrait masquer ces signes de fatigue. Allez suis moi, je vais t’aider à choisir ta tenue pour ce soir.
Elle m’a emmenée à l’étage, à l’endroit même où elle m’avait déjà fait faire des essayages. Elle m’a expliqué que j’allais accompagner un homme d’affaires suisse à une exposition d’art moderne.
- Tu as l’air anxieuse ma chérie.
- J’ai peur Maria…- De quoi ? M’a-t-elle demandé gentiment.
- Qu’il en veuille plus et que je ne le veuille pas…- Tu as peur qu’il te viole ?
Elle a mis le mot juste sur ma crainte. Une larme roule sur ma joue.
- Je comprends. Aucune de mes filles n’a jamais eu ce souci. Nos clients ne sont pas des monstres. Certains tentent leur chance, parfois ça paie. Parmi les éconduits, il y en a qui insistent, mais cela ne va jamais plus loin. Et pour ta première escorte, tu vas accompagner le meilleur de nos clients, que ce soit pour sa fidélité à nos services ou pour sa gentillesse envers les filles.
Ses mots me rassurent mais je ne peux m’empêcher de me dire qu’on ne sait jamais.
- D’ailleurs, je n’ai jamais vu une des filles avoir autant de succès que toi. J’avais à peine mis ton profil en ligne que j’ai eu 5 demandes pour ce soir en 5 minutes, et 20 dans la demi-heure suivante. La nouveauté les attire toujours, mais jamais à ce point. Et c’est avec lui que j’ai voulu te faire sortir aujourd’hui parce que je sais que ça va bien se passer.
Et elle a eu raison. Il a été extrêmement gentil, n’a eu aucun geste déplacé, ne m’a fait aucune proposition indécente.
Alors j’ai retenté l’expérience, et cela s’est toujours bien passé. J’ai même pris goût à ces soirées. Et comme Maria me l’avait dit, certains m’ont fait des avances, toujours de manière courtoise. Au début, je me faisais un point d’honneur à les décliner. Accepter de coucher avec eux m’aurait définitivement donné le sentiment de me prostituer.
Mais un soir j’ai cédé à celles d’un client que j’accompagnais régulièrement en soirée. Au moment de partir, il m’a laissé un petit supplément. Et contrairement à ce que je pensais, cela ne m’a pas gênée plus que ça. On a recommencé chaque fois qu’il me demandait comme escort.
Puis j’ai fini par accepter les avances d’autres hommes, mais choisissant avec soin ceux qui pourraient me toucher.
C’était il y a 6 ans, et aujourd’hui Maria a étoffé son catalogue de services auprès de ses clients pour ses filles les plus expérimentées.
Et ce soir, c’est justement à une demande particulière qu’elle a accédé. Depuis quelques mois, un patron offre à ses employés 2 fois par mois une soirée pleine de débauche.
Cela fait plusieurs fois que j’y participe. Les types de mettent dans des états pas possibles, mais restent tout à fait correct avec nous, ne nous forçant jamais à faire ce que nous ne voulons pas. Et leur patron est bien clair avec eux sur ce point là.
Ce soir, c’est avec Sydney et 4 autres filles que je me rends à cette soirée. On s’est donné rendez-vous à 20h30 dans le hall de l’hôtel. Quand nous sommes toutes réunies, nous nous présentons à l’accueil. On nous indique une chambre où l’on va pouvoir se préparer.
L’exigence de cet homme est que nous soyons totalement nues, à l’exception de nos escarpins, de bijoux qu’il fournit et de menottes en plaqué or, composées de bracelets larges reliés par une chaîne de 60cm. Il demande que pendant la première partie de la soirée, nous servions ses employés, déambulant parmi eux avec de grands plateaux d’argent sur lesquels trônent alcool et drogue.
Quand nous sommes prêtes, nous nous tenons devant la double porte du salon privé où se tient la réunion. Le musique se met en route et les portes s’ouvrent. Les yeux se tournent alors vers nous.
- Profitez de la soirée messieurs, mais n’oubliez pas que si vous voulez garder votre boulot, le contrat que j’ai passé avec la société stipule que la pénétration n’est pas comprise. Pour ça, il faudra y aller de vos deniers et en suite, pas ici.
Il a dit à Maria qu’il ne veut pas être responsable d’orgies et que si l’une de nous venait à se plaindre d’un de ses employés, il serait licencié sur le champ.
Sydney et deux des autres filles portent les plateaux avec la coke et les cachets d’extasy. Sur le mien, deux bouteilles de whisky attendent de voir leur contenu remplir les verres de ces hommes.
Je suis en train de servir le boss quand je reçois une tape sur les fesses. En me redressant pour voir à quel mâle je la dois, j’aperçois Sydney penchée à l’oreille d’un beau jeune homme.
Il lui sourit poliment, semble décliner sa proposition puis me regarde en lui répondant quelque chose. Sydney me regarde à son tour. C’est alors qu’un des trader m’interpelle :
- Hey miss Whisky, si tu venais me servir un verre ma jolie ?
Je me dirige vers lui. Il se tient dos à la table, m’obligeant à me pencher au-dessus de lui pour prendre un verre sur la table. Il en profite pour poser ses mains sur mes fesses et passer sa langue sur l’un de mes tétons.
Je lui sers son whisky et m’apprête à me diriger vers quelqu’un d’autre qui sera peut-être moins relou, mais il me retient par la chaîne des menottes.
- Reste là ma belle. Tu sais que tu es bonne ?
Je ne réponds rien, me contentant de jouer mon rôle : je me mets à califourchon sur lui, ondulant contre sa queue déjà dressée, plaquant mes seins contre son visage. Il les caresse, les lèche, les suce.
Il passe un bras autour de mes reins et repousse mon buste en arrière avant de faire signe à Sydney de s’approcher avec son plateau. Il attrape un sachet de coke, le perce et en déverse le contenu sur mon sein droit. Il sort sa carte bleue de la poche de sa veste de costard et tasse la drogue en une ligne suivant la courbe de mon sein qu’il vient sniffer tout en laissant glisser sa langue sur ma peau.
Quand il relève la tête de ma poitrine, il a encore le nez poudré.
Sydney attrape mon bras et me tire vers elle. Mon shooté ne réagit déjà plus. Ça ne devait pas être son premier sniff de la journée.
- Le type là-bas ne veut être servi que par toi…
Elle me désigne l’homme qui m’observait avant. Il y a quelque chose en lui qui détonne dans ce contexte. Il n’a pas ce regard avide qu’ont les autres. Il semble plus calme aussi.
- Que puis-je pour toi mon beau ? Je lui demande une fois à côté de lui.
- Je voudrais bien un double whisky sans glace, s’il vous plaît.
Je pose mon plateau sur la table et prends un verre que je commence à remplir. Il est tout l’opposé de ces hommes. Ça fait maintenant un paquet de fois que je viens dans ces soirées et que je le vois, et pas une seule fois je l’ai vu se shooter, se mettre à l’envers ou avoir des attitudes grossières avec les filles. Certes, il les touche, se laisse faire des trucs, mais sans ce regard de pervers ni cette attitude d’homme à qui tout est du.
C’est la première fois que j’ai à faire à lui. Il est plutôt séduisant, surtout maintenant que je le vois de près.
Je prends le verre que je viens de remplir et me mets à califourchon sur lui avant de le lui donner. Alors qu’il penche la tête en arrière et bois son verre cul sec, je parcours sa gorge de baisers. A mesure que je le touche, je sens qu’il durci.
- Qu’est-ce qui te ferait plaisir maintenant ?
- La nuit avec vous…- Tutoie moi… et il n’est pas un peu tôt pour parler de la nuit ? Que veux tu que je te fasse, maintenant ?
- On ne se connaît pas assez pour que je vous tutoie. Et je veux être sûr que vous n’ayez pas à la passer avec un de ces drogués.
Comme il ne répond pas à ma question, j’ouvre doucement sa chemise, un bouton après l’autre, dévoilant un torse musclé, imberbe à l’exception d’une ligne de poils partant de son nombril et descendant sous sa ceinture. Il pose ses mains sur ma taille, je les fais descendre sur mes fesses.
Il me colle alors un peu plus contre lui et m’embrasse. Pas de cette manière dégueulasse que nos clients ont généralement, cette façon dont ils essaient de nous posséder. Non, d’une manière bien plus délicate mais pleine de désir.
Je me redresse et me glisse entre ses jambes. Alors que j’ouvre sa ceinture, il attrape mon menton.
- Tu n’es pas obligée…- Je sais, mais j’en ai envie.
Je termine d’ouvrir son pantalon et baisse légèrement l’élastique de son boxer pour libérer une belle queue bien droite. Il prend la bouteille de whisky, se ressert un double qu’il descend à nouveau cul sec avant de basculer sa tête en arrière en soupirant de plaisir quand je prends sa queue entre mes lèvres. Je sens qu’il se retient de basculer son bassin.
- Thomas ? Lui demande un blondinet en lui tendant un cachet d’exta.
- Dylan, je te l’ai déjà dit, c’est pas mon truc…- Par contre, je vois que tu aimes bien les putes rousses à gros seins. J’avoue qu’elle est plutôt bonne… quand elle aura fini avec toi, envoie la moi, je la voudrais bien pour la nuit, à moins que tu aies déjà une option dessus, dans ce cas on peut se la partager peut être…
Il ne lui répond rien et le blondinet s’en va.
Après quelques minutes, il pose sa main sur mon épaule.
- Arrête, j’ai pas envie de jouir ici…
Je me relève et il se rhabille. Je prends mon plateau pour continuer mon ‘’service’’.
- Non, viens, on va dans une chambre.
- Je ne peux pas encore, ton patron paie pour qu’on reste dans le salon privé au moins jusqu’à minuit, il n’est que 23h00.
- Je te paie 3 fois le prix de la nuit. Je suis sûr que ta maquerelle saura fermer les yeux et trouver un truc à lui dire pour lui rabattre le caquet.
Il a raison, si Maria apprend que j’ai refusé une telle somme, je vais me faire passer un savon.
- Je vais juste prévenir une de mes copine.
Je pose mon plateau et me dirige vers Sydney. Elle est à genoux entre les jambes d’un mec en train de sniffer un rail de coke sur sa bite, pendant qu’un autre, couché à même le sol, lui lèche la chatte et lui enfonce un doigt dans le cul.
- Je pars en solo.
- OK, fais gaffe à toi.
Quand je vois sa situation, je pense que c’est plutôt elle qui devrait faire attention à elle. Contrairement à moi, elle se livre à toutes sortes de débauches. Elle suit volontiers les clients dans leur consommation de drogue et d’alcool.
LUI
Quand je rentre ce soir là, je suis exténué. Le cours de la bourse a encore joué avec mon palpitant. Je n’ai rien avalé de la journée si ce n’est mon litre quotidien de café. Depuis que j’ai commencé à ce poste de trader dans cette agence, j’ai perdu 17 kilos. 17 kilos en 6 mois à force de stresser et de ne manger qu’un repas par jour.
Je me suis retrouvé trader après avoir démissionné de mon poste de banquier. Mon boulot consistait à endetter les gens. Aujourd’hui je m’enrichis en les enrichissant. Ce qui m’a permis de changer de voiture et d’acheter une maison dans les beaux quartiers.
Mais ce job a ses revers. Le stress permanent est le plus gros et celui qui amène aux autres : l’alcool, l’énervement, la drogue. Sans être alcoolique, je dois reconnaître qu’il m’arrive de boire davantage qu’avant. J’avoue également être plus enclin à m’énerver. Mais il y a une chose sur laquelle j’ai toujours été catégorique : je ne touche pas à la drogue. Certains de mes collègues ne le comprennent pas et ont tendance à insister dans leurs propositions.
Et il y a un moment dans mon boulot où il y en a à revendre : les soirées du patron. Deux fois par mois, notre boss organise une soirée pour faire le point. Cela commence sous forme de réunion pour parler chiffres et objectif puis cela finit par ressembler à des soirées de débauche, où les filles se promènent nue, les collaborateurs se retrouvent ivres et défoncés, le tout fourni et financé par le boss.
Je n’apprécie pas beaucoup ces ‘’réunions’’, mais notre présence y est obligatoire. Pour fédérer l’esprit d’équipe, dit-il. Je n’arrive pas à concevoir que l’on puisse se mettre dans de tels états. La présence des filles me choquait au début, mais je dois reconnaître que c’est finalement ce que je trouve de plus plaisant. J’ai fini par prendre goût de les voir déambuler nues avec leur plateau autour de la table, aguicher les collègues. J’ai pris goût à ce comportement qui me gênait terriblement de la part de mes collègues : les toucher et leur demander de me faire plaisir, et ce en pleine réunion.
Il faut dire qu’avec ce boulot, on n’a plus vraiment le temps de sortir et de rencontrer du monde. Et je dois reconnaître que de les voir glousser sous les fessées, gémir sous les coups de langue ou sucer les queues de mes collègues a fini par devenir très excitant. D’autant que certaines d’entre elles sont très convaincantes.
Il les fait venir grâce à une agence d’escort girls assez réputée dans les coulisses des gens de la haute société. La patronne est devenue une sorte de maquerelle de putes de luxe. Si l’on y met le prix, tous nos désirs peuvent être réalisables.
Demain soir est justement celui de la deuxième réunion du mois. Et il paraît que le boss est hyper satisfait des chiffres des 15 derniers jours. Les collègues sont aux anges : quand il est satisfait, il regarde encore moins à la dépense pour faire plaisir à ses employés. Ce qui veut dire alcool, drogue, filles à gogo… j’en connais qui ne vont plus retrouver leur chemin pour rentrer.
La journée s’annonce longue demain. Je vais faire un jogging de 10km avant d’aller me coucher.
Le lendemain, les marchés boursiers s’affolent suite à l’annonce d’une grande société d’entrer en bourse. Nos clients se ruent pour tenter d’acheter des parts. Nous clôturons en hausse.
Je rentre chez moi me doucher et me changer. Nous avons rendez-vous à 20h dans un grand hôtel.
Le boss y réserve toujours un salon privé et quelques suites.
J’arrive en même temps que d’autres collaborateurs.
- Hey Thomas ! Prêt pour passer une soirée de débauche ? Une telle réussite, ce serait l’occasion de sniffer un peu… me lance Dylan.
- Je compte bien passer une bonne soirée, mais toujours pas de poudre pour moi. J’ai pas besoin de ça pour m’éclater.
On entre dans le salon et on s’installe autour de la table ronde. Nous sommes une quinzaine de traders, plus le boss. Ce dernier se tient en bout de table devant un écran blanc. Le rétroprojecteur accroché au plafond y fera apparaître les chiffres de la société.
Sur la table, il a des verres, des amuses gueules, des pains surprises, des cigares, des cendriers et des capotes.
La première fois que j’ai mis les pieds à ces réunions, je me demandais où j’étais tombé. Maintenant, rien ne me choque.
Le boss nous fait son laïus, nous félicite des chiffres et pour la troisième fois consécutive je me trouve être le meilleur trader de la boîte. Et pour la troisième fois, il m’offre un paquet contenant du champagne, du whisky, du vin et de la coke. Celle-ci finira au fond de mes chiottes encore une fois.
- Et maintenant, passons aux choses plus plaisantes.
Il met la musique en route et les portes s’ouvrent sur des femmes magnifiques.
Elles sont 6, nues, aux formes parfaites. 3 d’entre elles portent des plateaux avec des bouteilles d’alcool. J’ai déjà repéré celle qui s’occupe du whisky. Les 3 autres se chargent de la coke et de l’extasy.
La rouquine, la plus jolie d’ailleurs, qui porte le plateau de whisky se dirige vers le boss. Il l’a reluque comme un chien aux abois. Pendant qu’elle lui sert un verre, il gobe un cacheton d’exta.
Au même moment, un gros porc lui donne une claque sur la fesse droite. Alors qu’elle se tourne pour jeter un œil à celui qui vient de la toucher, une de ses copines se penche vers moi.
- Un petit rail de coke pour vous détendre monsieur, vous semblez tendu… me chuchote-t-elle à l’oreille en frôlant mon bras de ses seins.
- Non merci, je lui réponds gentiment sans quitter la petite rousse des yeux.
Je lui dis que je n’aurais rien contre le fait que son amie vienne me servir un whisky quand cette dernière tourne la tête vers moi et nos regards se croisent. Plus un mot ne sort alors de ma bouche.
- Je vais lui dire de venir vous voir, Julie est un très bon choix, me répond miss coke.
Elle s’éloigne de moi et mon regard suis Julie de l’autre côté de la table. Un de mes collègues déjà plus que défoncé la hèle pour se faire servir. Il joue de sa position de supériorité pour la faire se mettre sur elle. Le voilà en train de gober un téton. Quand il perce un sachet de coke sur ses seins, c’est le summum pour moi. Je préfère ne plus les regarder pour ne pas m’énerver de le voir la traiter ainsi.
D’ailleurs je ne sais pas ce qui me prends de réagir comme ça. C’est pas la première fois que mes abrutis de collègues se comportent comme ça avec ces filles. Et ce n’est pas la première fois que Julie sert ici. Pourtant aujourd’hui elle a un effet sur moi auquel je ne m’attendais pas.
J’ose leur jeter un coup d’œil. Son amie la tire des griffes de ce malotru et me désigne du regard.
La jolie rousse me rejoint alors de l’autre côté de la table.
- Que puis-je pour toi mon beau ?
- Je voudrais bien un double whisky sans glace, s’il vous plaît, je lui demande poliment.
Elle pose son plateau, prend un verre à whisky et le remplit de liquide ambré. J’en profite pour la reluquer.
Elle a un corps de rêve : des seins bien portés, ronds, des tétons qui donnent envie de les croquer, une taille fine et marquée, et des fesses légèrement rebondies. Sa peau semble sans imperfection, finement velouté. Ses gestes sont plein de grâce.
J’ai une folle envie de la retourner, la prendre contre moi et d’envahir sa bouche de ma langue. De l’imaginer entre mes bras, je commence à me sentir serré dans mon pantalon.
C’est à ce moment là qu’elle se tourne vers moi, mon verre à la main. Elle se met à califourchon sur mes genoux et me donne le verre. Je le porte à mes lèvres et penche la tête en arrière pour boire le breuvage cul-sec.
Je sens alors ses lèvres contre la peau de mon cou. Elle les dépose à plusieurs endroits, me faisant frissonner. Et bander un peu plus.
- Qu’est-ce qui te ferait plaisir maintenant ?
- La nuit avec vous…- Tutoie moi… et il n’est pas un peu tôt pour parler de la nuit ? Que veux tu que je te fasse, maintenant ?
- On ne se connaît pas assez pour que je vous tutoie. Et je veux être sûr que vous n’ayez pas à la passer avec un de ces drogués.
Une nouvelle fois, je ne sais pas pourquoi je réagis ainsi. Mais l’imaginer sous un de ces porcs me donne la gerbe. Je serais même prêt à la payer sans qu’il ne se passe rien juste pour lui éviter ça.
Mais je compte bien profiter du temps avec elle pour prendre mon pied. J’ai follement envie tout de suite.
Elle me fixe de ses magnifiques yeux verts, attendant une réponse autre que celle que je viens de lui donner. Mais la seule chose qui vient c’est « j’ai envie de toi, ici et maintenant ». Sachant que ce n’est pas possible, je me contente de plonger mon regard dans le sien.
Elle ouvre alors les boutons de ma chemise. Le contact de ses doigts sur mon torse me donne l’envie de sentir davantage de sa peau contre mon corps. Elle écarte les pans de ma chemise, dévoilant complètement mon buste.
Je pose mes mains sur sa taille, elle les fait descendre sur des fesses. Je me retiens de les empoigner fermement. Je la colle un peu plus contre moi. Ses seins se plaquent contre mes pecs. Je sens ses tétons pointer contre ma peau.
Je pose doucement mes lèvres sur les siennes, ma langue les frôlent et elle entrouvre la bouche. Donc langue vient à la rencontre de la mienne. J’aimerais que ce baiser dure encore et encore.
Elle quitte mes genoux pour se mettre entre mes jambes. Elle ouvre mon pantalon et fait sortir ma queue de mon boxer.
- Tu n’es pas obligée, lui dis-je en plaçant mes doigts sous son menton.
- Je sais, mais j’en ai envie…
Elle fait alors glisser ses lèvres très lentement le long de mon membre. Sa langue tourne autour de mon gland, ses lèvres l’aspirent. Je me sers un second whisky que j’avale d’un trait puis je laisse ma tête aller en arrière tant ce qu’elle me fait avec sa bouche est bon.
Je suis si excité qu’il faut que je me retienne de donner des petits coups de reins.
- Thomas ?
Je tourne légèrement la tête pour voir Dylan qui m’interpelle en me tendant un cachet d’exta. Il ne veut décidément pas comprendre que ça ne m’intéresse pas.
- Dylan, je te l’ai déjà dit, c’est pas mon truc…- Par contre, je vois que tu aimes bien les putes rousses à gros seins. J’avoue qu’elle est plutôt bonne… quand elle aura fini avec toi, envoie la moi, je la voudrais bien pour la nuit, à moins que tu aies déjà une option dessus, dans ce cas on peut se la partager peut être…
J’ai envie de lui péter la gueule à ce connard. Plutôt que de m’énerver, je préfère l’ignorer et il finit par partir.
Après quelques minutes, je sens que je suis à 2 doigts de jouir.
- Arrête, j’ai pas envie de jouir ici…
Elle se relève et je me rhabille. Elle reprend son plateau, mais je ne veux pas voir repartir auprès de ces shootés qui me servent de collègues.
- Non, viens, on va dans une chambre.
- Je ne peux pas encore, ton patron paie pour qu’on reste dans le salon privé au moins jusqu’à minuit, il n’est que 23h00.
- Je te paie 3 fois le prix de la nuit. Je suis sûr que ta maquerelle saura fermer les yeux et trouver un truc à lui dire pour lui rabattre le caquet.
Mon argument semble la convaincre.
- Je vais juste prévenir une de mes copines.
ELLE
Je rejoins le fameux Thomas près de la porte. Il m’emmène dans l’une des suites réservées par son boss. Il ferme la porte derrière lui et la verrouille.
- C’est combien la nuit complète ? Me demande-t-il.
- 1200. Mais tu peux payer plus tard. Et tu ne devrais jamais garder ton portefeuille sur toi quand tu passes du temps avec une pute…- Je te dois donc 3600. Et je veux te payer maintenant comme ça quand tu veux partir, tu pars. Et je pense que tu n’es pas le genre de fille à te barrer avec mes papiers, me répond-il en posant une liasse de billets sur la commode pendant que je me frotte à lui.
Je fais glisser sa veste le long de son dos. Il défait les boutons de manchettes de sa chemise et se tourne vers moi. Il attrape mes poignets et retire les bracelets de menottes qui les entourent.
Alors que je commence à ouvrir sa chemise, il me stoppe.
- J’aimerais que tu te douches d’abord… dit-il un peu timidement.
- Merci, je sais pas comment je le dois prendre. C’est parce que tes potes ont posé les mains sur moi ou tu me trouves sale ?
- Ça n’a rien à voir avec les mains de ces porcs… c’est juste que tu as encore plein de coke sur les seins, et c’est pas mon truc…
Je me sens bête d’un coup.
- Viens avec dans la salle de bains, tu pourras te rincer l’œil un peu…
J’en prends la direction et allume l’eau dans la cabine immense. Les parois de verre s’embuent presque aussitôt. Il me rejoint rapidement, un nouveau whisky à la main, la chemise ouverte, les pieds nus. Il se met assis sur le bord de la baignoire alors que j’entre dans la douche.
- C’est peut-être pas ton truc la coke mais le whisky…- On a tous nos vices. Et je ne bois autant que lors de ces soirées. Je n’aime pas me mettre dans de sales états. Je ne comprends pas le plaisir qu’ils ont à se défoncer. Ils disent que c’est pour tenir le coup. Je pense qu’il y a d’autres moyens.
Je termine de me rincer en l’observant à travers la buée. Il vide son vers et le pose sur le bord du lavabo. Il frotte sa barbe naissante.
Je me tourne pour fermer le robinet et ouvre la porte. Il m’attend avec un peignoir ouvert. Quand je pose le pied au sol, il m’enveloppe dedans et me sèche doucement.
- J’ai plutôt l’habitude qu’on se jette sur moi quand je suis nue devant un homme.
- Et moi je pense que ça fait longtemps qu’un mec n’a pas pris soin de toi au lieu de te baiser comme une chienne. C’est pas parce que c’est ton boulot de t’envoyer en l’air qu’on doit te traiter comme un morceau de viande.
Il termine de me sécher et je l’entraîne dans la chambre. Je le pousse pour qu’il se couche sur le lit et me mets au-dessus de lui.
- Alors maintenant tu vas me dire ce qui te ferait plaisir beau gosse ?!?
- Dis moi ce qui te ferait plaisir que je te fasse…- C’est toi qui paies et c’est moi qui choisis ? La blague. Allez dis moi…- Ce qui me ferait plaisir c’est de te faire plaisir à toi.
LUI
Elle pose son plateau et va voir miss coke. J’en profite pour me servir un nouveau verre que je vois rapidement. Je me dirige doucement vers la porte, attrapant quelques capotes au passage.
Quand elle me rejoint près de la porte, mon boss me regarde fixement puis me sourit comme pour me donner son approbation. Il semblerait qu’être le meilleur trader de la société me donne certains privilèges.
Alors que je sors mon portefeuille de ma poche, elle se colle à mon dos.
- C’est combien la nuit complète ?
- 1200. Mais tu peux payer plus tard. Et tu ne devrais jamais garder ton portefeuille sur toi quand tu passes du temps avec une pute…- Je te dois donc 3600. Et je veux te payer maintenant comme ça quand tu veux partir, tu pars. Et je pense que tu n’es pas le genre de fille à te barrer avec mes papiers, je lui dis en posant une liasse de billet sur la commode.
Elle m’enlève ma veste et je défais les boutons de manchettes de ma chemise avant de me tourner vers elle pour lui retirer les bracelets de menottes qui entourent ses poignets.
Une fois ses mains libérées, elle s’en sert pour déboutonner ma chemise.
- J’aimerais que tu te douches d’abord, lui dis-je en retenant ses mains.
- Merci, je sais pas comment je le dois prendre. C’est parce que t’es potes ont posé les mains sur moi ou tu me trouves sale ?
J’avoue qu’en y réfléchissant, je comprends qu’elle le prenne comme ça.
- Ça n’a rien à voir avec les mains de ces porcs… c’est juste que tu as encore plein de coke sur les seins et c’est pas mon truc…- Viens avec dans la salle de bains, tu pourras te rincer l’œil un peu…
Elle entre dans la salle de bains et j’entends l’eau couler quand elle ouvre le robinet. Je me dirige vers le mini bar et me sert un nouveau whisky double. J’ouvre ma chemise et retire mes chaussures et mes chaussettes. Je pose ensuite ma montre sur la commode avant de la rejoindre dans la salle de bains. Je me mets assis sur le bord de la baignoire alors qu’elle entre dans la douche.
- C’est peut-être pas ton truc la coke mais le whisky… dit-elle en frottant son corps avec la fleur de douche.
Je lui réponds en la matant sans gêne. Elle est franchement bien foutue. Mais plus que ça, elle est jolie.
- On a tous nos vices. Et je ne bois autant que lors de ces soirées. Je n’aime pas me mettre dans de sales états. Je ne comprends pas le plaisir qu’ils ont à se défoncer. Ils disent que c’est pour tenir le coup. Je pense qu’il y a d’autres moyens.
Quand elle se tourne pour se rincer, je fais mine de pas l’avoir regardée et avale mon whisky. Elle ferme le robinet et je l’attends avec un peignoir avant de la sécher.
- J’ai plutôt l’habitude qu’on se jette sur moi quand je suis nue devant un homme.
- Et moi je pense que ça fait longtemps qu’un mec n’a pas pris soin de toi au lieu de te baiser comme une chienne. C’est pas parce que c’est ton boulot de t’envoyer en l’air qu’on doit te traiter comme un morceau de viande.
J’avoue elle a choisi d’être escort girl et pute, mais n’empêche qu’elle en reste une femme, et une femme on en prend soin.
Quand je pose le peignoir, elle m’entraîne dans la chambre et me pousse sur le lit avant de me chevaucher. Elle est franchement bandante comme ça.
- Alors maintenant tu vas me dire ce qui te ferait plaisir beau gosse ?!?
- Dis moi ce qui te ferait plaisir que je te fasse…- C’est toi qui paies et c’est moi qui choisis ? La blague. Allez dis moi…- Ce qui me ferait plaisir c’est de te faire plaisir à toi.
Comme elle croise les bras et me fixe dans les yeux au lieu de me répondre, je décide de prendre les devants. Je me redresse et la porte jusqu’à la tête de lit.
- Ce je veux c’est que tu te mettes à genoux, face au pied du lit et les jambes légèrement écartées. Et que tu fermes les yeux.
Elle obéit. Et pendant qu’elle prend position, je retire mon pantalon. Puis je m’allonge sur le dos, sous elle, la bouche juste sous sa chatte dénuée de tout poil. Elle hoquète de surprise.
- Chut… je souffle doucement.
- Non mais c’est bon job de te faire plaisir, c’est pour ça que tu paies…- Je te paie pour prendre mon pied, et en te faisant plaisir je prends mon pied. Alors si je veux te faire un cunni, profite !
Elle tient enfin sa langue sauf pour gémir de plaisir.
Puis elle se laisse tomber à 4 pattes et baisse mon boxer pour libérer mon érection qu’elle prend en bouche et suce goulûment.
Après de longues minutes et des coups de langue experts, je suis au bord de la jouissance. Mais je ne veux finir comme ça.
Je la saisis par la taille et la fait tomber sur le côté. Je me relève et fais tomber ma chemise au sol. Mon boxer la rejoins rapidement. Dans la poche de mon pantalon, j’attrape une capote et la déroule hâtivement sur ma queue.
- Tu veux qu’on fasse ça comment ? Je lui demande.
- Tu te poses trop de questions. Fais ce qui te plaît.
- Je t’ai dit, ce qui me plaît c’est de te faire plaisir…- Je n’ai vraiment pas de préférence…
Alors je vais la prendre comme rarement les hommes doivent le faire depuis qu’elle couche pour gagner sa vie.
Je m’allonge doucement au-dessus d’elle et entre en elle délicatement. Elle ferme les yeux, penche la tête en arrière et se mord la lèvre à mesure que ma queue la pénètre.
J’entame un lent va et vient en elle, tout en goûtant ses seins. Quand elle jouit, je me laisse enfin aller et jouis à mon tour.
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