Le grand jour de clarté
Récit érotique écrit par Christiankiki6 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le grand jour de clarté
Philippe travaillait d'après-midi cette semaine, et finissait à 22h30. Il ne
rentrait guère avant onze heures du soir, et je l'attendais bien sagement, habillée en
maîtresse de maison, le repas déjà servi, en lisant un bouquin sur le canapé. Cela
faisait deux ans, maintenant, que nous vivions en couple, sans l'ombre d'un nuage, et
je ne saurais dire lequel était le plus amoureux des deux. Il se mit à table dès son
arrivée, car il avait faim, après m'avoir appliqué un grand bisou sur mes lèvres, et
me raconta son après-midi. "Je me suis bien marré, aujourd'hui, car notre nouveau
contremaître est venu plusieurs fois sur le chantier, me détaillant longuement à
chaque fois, avec de grands sourires à mon attention. Je me demande s'il est pas un
peu amoureux de moi". Je lui répondis que c'était normal, qu'il était vraiment très
beau, comme garçon, tout en me réjouissant qu'il ne me parle jamais d'une fille.
Tandis que je me déshabillai, il prit sa douche, avant de sauter tout nu dans le lit
"conjugal", déjà prêt à batifoler, mais je lui dis gentiment que j'avais vraiment un
mauvais mal de crâne, et il n'insista pas. Quelques caresses et deux gros baisers de
sa part me rappelèrent qu'il m'adorait, et je m'endormis comme une souche, tandis
qu'il se masturbait sur mon ventre.
J'étais en train de déjeuner, le lendemain matin, ayant juste enfilé un
peignoir sur moi, lorsque la sonnerie de la porte retentit. Me rajustant quelque peu,
je fermai la porte de ma chambre, avant d'aller ouvrir. C'était Emilie, la grande sœur
de Philippe, qui venait lui apporter quelques effets personnels, puisque elle, ou sa
mère, continuait à laver son linge. "Il dort encore, tu sais, il est d'après-midi, et
s'est couché tard", dis-je, pour excuser son absence, avant de lui proposer un café,
qu'elle accepta. Emilie avait un plan derrière la tête, çà se devinait, car elle ne
venait jamais si tôt, et savait bien, de plus, que son frère était d'après-midi. Je
poussai donc la porte de la cuisine, et anticipai ses propos: "Dis-moi, Emilie, tu
l'aimes bien ton frère, tu le couves comme si tu avais peur qu'il ne manque de
quelque chose", lui déclarai-je à brule pourpoint, sur le ton léger de la blague.
"Disons que je le connais bien, ou du moins je croyais le connaître bien, jusque là",
répondit-elle d'un ton énigmatique.
C'est vrai qu'elle avait un an de plus que moi, et donc trois de plus que
son frère, et elle avait essayé de me draguer, quand j'avais connu Philippe, mais sans
succès. Je me méfiai d'elle, car elle était assez intuitive, comme beaucoup de jeunes
filles et de femmes, et j'attendis la suite, dans un grand sourire. "Il a l'air très
heureux depuis que vous vivez tous les deux, mais es-tu sûr que vous êtes juste deux
simples colocataires? Je suis certaine que si j'ouvre ta chambre, ton lit n'est même
pas défait", et joignant le geste à la parole, elle gagna l'entrée de ma chambre,
avant de m'indiquer, en ne plaisantant plus, cette fois: "Tu sais, Philippe est tête
en l'air, et dans son linge, il y a souvent deux ou trois sous-vêtements féminins.
Alors, ou bien il a une copine, et tu me caches cela, ou bien vous vivez en couple,
comme je l'ai toujours pensé. Pourquoi refuserais-tu toujours mes avances, autrement".
Alors, cédant pour une fois à un début de panique, je me précipitai sur
elle, et lui roulai une pelle monumentale, la conjurant de n'en rien dire à ses
parents, ni même à sa sœur, ajoutant que d'ailleurs, il était majeur, maintenant,
qu'il était lui aussi, attiré par les hommes seulement, et que j'étais prêt en échange
à céder à toutes ses avances. "Gros nigaud, tu crois que je voudrais le chagrin de mon
petit frère? non, surement pas, mais toi, par contre, si j'ai envie de toi, je veux te
voir à mes pieds, prêt à obéir. Tu le jures, dis, tu le jures?", et moi, comme un
pleutre, je jurai tout ce qu'elle voulait.
Philippe dormait toujours du sommeil du juste, et je racontai un peu plus en
détail à Emilie notre mode de vie, vie amoureuse, bien sûr, mais aussi notre vie
quotidienne et professionnelle, tout simplement, la vie d'un couple ordinaire, tout
simplement, où nous alternions juste le rôle de l'homme et de la femme, mais où le
sexe n'accaparait pas plus notre vie que dans n'importe quel jeune couple. Je lui
montrai notre garde-robe féminine, l'essentiel se trouvant dans mon armoire, et elle
s'offrit à la compléter avec des fringues qu'elle portait rarement. Avant de ressortir
de ma chambre, la garce tira brusquement sur la ceinture de mon peignoir, dévoilant du
même coup toute mon anatomie. "C'était plus fort que moi, je voulais voir, et tu ne te
serais pas dévoilé tout seul" m'indiqua t'elle, en lorgnant longuement mon corps, et
effleurant mes parties génitales. "Je comprends mieux mon frérot maintenant, tu es
plutôt bien gaulé, tu sais, c'est vraiment dommage de ne pas offrir çà à une fille,
mais si Filou en a décidé ainsi, c'est lui qui commande. Et puis, si je me décide à ce
que tu le trompes avec moi, n'oublie jamais, tu as juré. Il faudra bien que tu saches
un jour ce que c'est de coucher avec une femme, et j'en ai bien envie".
Lorsque Philippe se réveilla, Emilie était encore là, et j'avais l'air
défait. "Qu'est-ce que tu as, tu as l'air fatigué", me dit-il en m'embrassant
pudiquement sur les joues, comme un frère, "et qu'est-ce qu'Emilie fait là"? Elle lui
répondit du tac-au-tac "et toi, pourquoi tu ne lui a pas roulé une gamelle, à ton
amoureux, au lieu de l'embrasser sur la joue, petit hypocrite"? Alors, pour la
première fois depuis deux ans, je le vis passer par les couleurs de l'arc-en-ciel, ou
presque, avant d'exploser de colère: "Je m'en doutais que tu le savais, que tu l'avais
deviné, et pourtant tu ne m'as jamais rien dit. Pourquoi, mais pourquoi, réponds-moi".
Alors, je le pris par le cou, le serrai tout contre moi, comme le font des vieux
amants, et lui dis avec douceur: "Emilie ne dira rien, ni à tes parents, ni à
personne, c'est un secret entre nous trois, Elle ne veut que ton bonheur, et moi
aussi". "C'est plus que cela, Chris", intervint-elle, "c'est votre bonheur à tous les
deux que je veux, et j'espère qu'un jour, vous pourrez faire éclater votre amour à la
face du monde, et surtout à celle de mes parents".
L'émotion avait été trop forte pour Philippe, et il éclata en sanglots, en
courant se réfugier dans sa chambre. Je fis mes adieux à Emilie, d'un grand poutou sur
la joue, lui expliquant que je rejoignais son frère pour calmer son émotion et qu'elle
ne s'inquiète pas. Une fois seul avec l'Amour de ma vie, je le caressai gentiment,
l'embrassai, le choyai comme un enfant, attendant qu'il soit enfin calmé, pour lui
expliquer que ce moment était arrivé maintenant, mais qu'il aurait bien fallu qu'il se
produise de toute manière un jour, et que cela était sans conséquences pour notre
bonheur. "On en n'a pas fini, tu sais, un jour prochain, il faudra bien qu'on fasse
notre "coming-out", puisque c'est devenu une mode, mais pourquoi devrait-on avoir
honte? Nous le ferons ensemble face à nos deux familles réunies, sans qu'ils le
sachent à l'avance. Ce sera une surprise, sans doute même une très grosse surprise,
pour eux".
C'est quand même au fond de notre lit que se termina notre matinée. Nous
étions enlacés, et tout en parlant, je sortis discrètement un objet du tiroir de la
table de nuit. "A propos de surprise, donne moi ta main, mon amour", et tandis qu'il
me présentait sa main gauche, je lui enfilai une superbe chevalière en or à
l'annulaire, en lui souhaitant un heureux anniversaire. "Eh oui, mon Cœur, çà fait
deux ans tout juste aujourd'hui que nous nous sommes rencontrés, et pour moi, ce fut
le plus beau jour de ma vie, mon grand jour de clarté. Ce matin là, soudés l'un à
l'autre, au fond de notre lit d'amour, nous connûmes une extase indicible.
rentrait guère avant onze heures du soir, et je l'attendais bien sagement, habillée en
maîtresse de maison, le repas déjà servi, en lisant un bouquin sur le canapé. Cela
faisait deux ans, maintenant, que nous vivions en couple, sans l'ombre d'un nuage, et
je ne saurais dire lequel était le plus amoureux des deux. Il se mit à table dès son
arrivée, car il avait faim, après m'avoir appliqué un grand bisou sur mes lèvres, et
me raconta son après-midi. "Je me suis bien marré, aujourd'hui, car notre nouveau
contremaître est venu plusieurs fois sur le chantier, me détaillant longuement à
chaque fois, avec de grands sourires à mon attention. Je me demande s'il est pas un
peu amoureux de moi". Je lui répondis que c'était normal, qu'il était vraiment très
beau, comme garçon, tout en me réjouissant qu'il ne me parle jamais d'une fille.
Tandis que je me déshabillai, il prit sa douche, avant de sauter tout nu dans le lit
"conjugal", déjà prêt à batifoler, mais je lui dis gentiment que j'avais vraiment un
mauvais mal de crâne, et il n'insista pas. Quelques caresses et deux gros baisers de
sa part me rappelèrent qu'il m'adorait, et je m'endormis comme une souche, tandis
qu'il se masturbait sur mon ventre.
J'étais en train de déjeuner, le lendemain matin, ayant juste enfilé un
peignoir sur moi, lorsque la sonnerie de la porte retentit. Me rajustant quelque peu,
je fermai la porte de ma chambre, avant d'aller ouvrir. C'était Emilie, la grande sœur
de Philippe, qui venait lui apporter quelques effets personnels, puisque elle, ou sa
mère, continuait à laver son linge. "Il dort encore, tu sais, il est d'après-midi, et
s'est couché tard", dis-je, pour excuser son absence, avant de lui proposer un café,
qu'elle accepta. Emilie avait un plan derrière la tête, çà se devinait, car elle ne
venait jamais si tôt, et savait bien, de plus, que son frère était d'après-midi. Je
poussai donc la porte de la cuisine, et anticipai ses propos: "Dis-moi, Emilie, tu
l'aimes bien ton frère, tu le couves comme si tu avais peur qu'il ne manque de
quelque chose", lui déclarai-je à brule pourpoint, sur le ton léger de la blague.
"Disons que je le connais bien, ou du moins je croyais le connaître bien, jusque là",
répondit-elle d'un ton énigmatique.
C'est vrai qu'elle avait un an de plus que moi, et donc trois de plus que
son frère, et elle avait essayé de me draguer, quand j'avais connu Philippe, mais sans
succès. Je me méfiai d'elle, car elle était assez intuitive, comme beaucoup de jeunes
filles et de femmes, et j'attendis la suite, dans un grand sourire. "Il a l'air très
heureux depuis que vous vivez tous les deux, mais es-tu sûr que vous êtes juste deux
simples colocataires? Je suis certaine que si j'ouvre ta chambre, ton lit n'est même
pas défait", et joignant le geste à la parole, elle gagna l'entrée de ma chambre,
avant de m'indiquer, en ne plaisantant plus, cette fois: "Tu sais, Philippe est tête
en l'air, et dans son linge, il y a souvent deux ou trois sous-vêtements féminins.
Alors, ou bien il a une copine, et tu me caches cela, ou bien vous vivez en couple,
comme je l'ai toujours pensé. Pourquoi refuserais-tu toujours mes avances, autrement".
Alors, cédant pour une fois à un début de panique, je me précipitai sur
elle, et lui roulai une pelle monumentale, la conjurant de n'en rien dire à ses
parents, ni même à sa sœur, ajoutant que d'ailleurs, il était majeur, maintenant,
qu'il était lui aussi, attiré par les hommes seulement, et que j'étais prêt en échange
à céder à toutes ses avances. "Gros nigaud, tu crois que je voudrais le chagrin de mon
petit frère? non, surement pas, mais toi, par contre, si j'ai envie de toi, je veux te
voir à mes pieds, prêt à obéir. Tu le jures, dis, tu le jures?", et moi, comme un
pleutre, je jurai tout ce qu'elle voulait.
Philippe dormait toujours du sommeil du juste, et je racontai un peu plus en
détail à Emilie notre mode de vie, vie amoureuse, bien sûr, mais aussi notre vie
quotidienne et professionnelle, tout simplement, la vie d'un couple ordinaire, tout
simplement, où nous alternions juste le rôle de l'homme et de la femme, mais où le
sexe n'accaparait pas plus notre vie que dans n'importe quel jeune couple. Je lui
montrai notre garde-robe féminine, l'essentiel se trouvant dans mon armoire, et elle
s'offrit à la compléter avec des fringues qu'elle portait rarement. Avant de ressortir
de ma chambre, la garce tira brusquement sur la ceinture de mon peignoir, dévoilant du
même coup toute mon anatomie. "C'était plus fort que moi, je voulais voir, et tu ne te
serais pas dévoilé tout seul" m'indiqua t'elle, en lorgnant longuement mon corps, et
effleurant mes parties génitales. "Je comprends mieux mon frérot maintenant, tu es
plutôt bien gaulé, tu sais, c'est vraiment dommage de ne pas offrir çà à une fille,
mais si Filou en a décidé ainsi, c'est lui qui commande. Et puis, si je me décide à ce
que tu le trompes avec moi, n'oublie jamais, tu as juré. Il faudra bien que tu saches
un jour ce que c'est de coucher avec une femme, et j'en ai bien envie".
Lorsque Philippe se réveilla, Emilie était encore là, et j'avais l'air
défait. "Qu'est-ce que tu as, tu as l'air fatigué", me dit-il en m'embrassant
pudiquement sur les joues, comme un frère, "et qu'est-ce qu'Emilie fait là"? Elle lui
répondit du tac-au-tac "et toi, pourquoi tu ne lui a pas roulé une gamelle, à ton
amoureux, au lieu de l'embrasser sur la joue, petit hypocrite"? Alors, pour la
première fois depuis deux ans, je le vis passer par les couleurs de l'arc-en-ciel, ou
presque, avant d'exploser de colère: "Je m'en doutais que tu le savais, que tu l'avais
deviné, et pourtant tu ne m'as jamais rien dit. Pourquoi, mais pourquoi, réponds-moi".
Alors, je le pris par le cou, le serrai tout contre moi, comme le font des vieux
amants, et lui dis avec douceur: "Emilie ne dira rien, ni à tes parents, ni à
personne, c'est un secret entre nous trois, Elle ne veut que ton bonheur, et moi
aussi". "C'est plus que cela, Chris", intervint-elle, "c'est votre bonheur à tous les
deux que je veux, et j'espère qu'un jour, vous pourrez faire éclater votre amour à la
face du monde, et surtout à celle de mes parents".
L'émotion avait été trop forte pour Philippe, et il éclata en sanglots, en
courant se réfugier dans sa chambre. Je fis mes adieux à Emilie, d'un grand poutou sur
la joue, lui expliquant que je rejoignais son frère pour calmer son émotion et qu'elle
ne s'inquiète pas. Une fois seul avec l'Amour de ma vie, je le caressai gentiment,
l'embrassai, le choyai comme un enfant, attendant qu'il soit enfin calmé, pour lui
expliquer que ce moment était arrivé maintenant, mais qu'il aurait bien fallu qu'il se
produise de toute manière un jour, et que cela était sans conséquences pour notre
bonheur. "On en n'a pas fini, tu sais, un jour prochain, il faudra bien qu'on fasse
notre "coming-out", puisque c'est devenu une mode, mais pourquoi devrait-on avoir
honte? Nous le ferons ensemble face à nos deux familles réunies, sans qu'ils le
sachent à l'avance. Ce sera une surprise, sans doute même une très grosse surprise,
pour eux".
C'est quand même au fond de notre lit que se termina notre matinée. Nous
étions enlacés, et tout en parlant, je sortis discrètement un objet du tiroir de la
table de nuit. "A propos de surprise, donne moi ta main, mon amour", et tandis qu'il
me présentait sa main gauche, je lui enfilai une superbe chevalière en or à
l'annulaire, en lui souhaitant un heureux anniversaire. "Eh oui, mon Cœur, çà fait
deux ans tout juste aujourd'hui que nous nous sommes rencontrés, et pour moi, ce fut
le plus beau jour de ma vie, mon grand jour de clarté. Ce matin là, soudés l'un à
l'autre, au fond de notre lit d'amour, nous connûmes une extase indicible.
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