Les nouvelles liaisons dangereuses
Récit érotique écrit par Christiankiki6 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les nouvelles liaisons dangereuses
Ainsi que je le disais, ma liaison avec Corinne fut assez compliquée, faite à la fois d'amour et de jalousies. Elle était persuadée que l'enfant de sa sœur était bien de moi, et j'en étais du reste à peu près certain également. Elle ne m'a jamais reproché qu'une seule fois avoir fait l'amour avec Emilie, ce soir là, trop contente que celle-ci lui ait permis de devenir femme, mais ne pouvait surtout pas admettre qu'elle n'ait pas avorté. "Tu le savais qu'elle prenait pas la pilule, tu le savais, je vous ai entendu depuis ma chambre, quand elle te l'a dit. Pourquoi ne lui as-tu pas dit de se faire avorter". Je dus lui expliquer qu'elle me l'avait dit six semaines plus tard, (n'allant quand même pas jusqu'à lui dire que c'était sur l'oreiller), et que je lui avais bien proposé, mais qu'elle n'avait pas voulu, "Si elle voulait le garder, de toute manière, je ne pouvais pas l'en empêcher". Elle me répondit alors qu'elle n'aurait jamais du me laisser coucher avec sa sœur, qu'elle même ne voulait pas, mais que Emilie était passée outre, ce en quoi elle était de mauvaise foi, sinon comment aurait-elle pu coucher avec moi, un homosexuel. "Suppose que tu m'aies fait un enfant, en même temps qu'à elle, parce qu'elle t'a aussi menti, je ne prenais pas encore la pilule J'ai couché avec toi pour avoir un bébé avec toi, et çà n'a même pas marché, c'est elle qui en a eu un, c'est vraiment pas juste".
Ainsi, tout le monde cachait tout à tout le monde dans cette histoire, les filles surtout. Corinne, par exemple, et son désir d'enfant, malgré son jeune âge, qu'elle m'avait bien caché. Corinne encore, qui espionnait sa grande sœur, et n'eut pas de mal à prouver que je couchais toujours régulièrement avec elle. Emilie, également, qui me faisait un chantage éhonté à propos de sa petite sœur. "Comment voulais-tu que je fasse autrement" lui rétorquai-je, "Tu étais mineure quand on a couché ensemble, et rappelle toi ce qu'elle m'a promis si je ne lui obéissais pas, j'ai pas envie d'aller voir la police, moi!. C'est vrai que je te connaissais depuis un bon moment, chez tes parents, mais on a jamais parlé de ton âge, et tu n'étais même pas dans mes projets..." Alors, elle me fit une scène, la première, me donnant des coups de poings sur les bras et le ventre, que je stoppai vite fait, en me criant "T'es nul, je t'aime plus, tu sais bien, qu'elle aurait jamais fait çà, à cause de moi. C'est parce que tu voulais te la taper, oui, et en plus tu couchais avec moi aussi, et avec mon frère, et avec qui encore, vas-y, parle..." et elle éclata en sanglots.
C'était un gros caprice de petite fille jalouse, de femme jalouse devrais-je plutôt dire, mais elle n'avait pas complètement tort. C'est vrai que l'excuse de craindre une dénonciation de sa sœur était un peu grosse, la vérité était que j'aimais faire l'amour avec Emilie, parce qu'on faisait des jeux un peu spéciaux, tous les deux, des séances "sadomaso", qu'elle m'avait fait découvrir pour me dresser, me punir, et auxquelles je prenais goût, sans le lui dire, toujours un peu plus soumis à elle... mais je n'allai quand même pas donner raison à Corinne. "Mais non, t'es injuste, là, c'est toi que j'aime, et toi seule" et elle de me répondre en sanglotant: "Ah oui, mais tu couches quand même avec elle, et avec Philippe. Deux femmes et un mec pour toi tout seul, bravo". J'avoue que çà devenait assez compliqué à gérer, car il ne fallait pas que les deux filles soient là ensemble, et de plus, Philippe ne savait toujours rien (il n'en connut une partie que deux ans plus tard, comme on l'a vu, quelques mois seulement avant nos mariages respectifs). "Ecoute, ma chérie, parle à Emilie, pour qu'elle me lâche un peu la bride, explique lui que c'est toi que je veux, elle le sait, mais si c'est toi qui le lui dit, ce sera mieux, je pense. Quant à Philippe, on peut pas faire autrement, pour le moment, il n'est pas prêt, mentalement, à une séparation, et lui n'a jamais connu que moi, mais je te jure que je mettrai une petite distance entre lui et moi dans notre vie sexuelle, espacer nos rapports, à petites touches, jusqu'à ce qu'il ait envie d'autre chose.".
Je voyais Corinne assez souvent, soit chez moi, soit chez ses parents, en cachette de ses frère et sœur, bien sur. Ses parents me connaissaient bien maintenant, et n'étaient pas regardants sur notre complicité, qu'ils assimilaient à une relation frère-sœur. On s'enfermait à clé quelques heures dans sa chambre, à écouter les Beatles, les Stones, les Who, Pink-Floyd, les Credence Clrearwater Revival, bien d'autres encore, et jamais une seule fois, ses parents vinrent nous déranger. En fait, nous faisions l'amour comme des bêtes, presque sauvagement, et entre deux assauts d'amour, elle me demandait toujours quand on allait faire un enfant. "Tu te rends compte, depuis toutes les fois où on a baisé, le nombre d'enfants perdus".
Je préférai ne pas lui expliquer qu'il y avait encore plus "d'enfants" perdus en dehors d'elle, car je me devais aussi à Emilie, moins souvent, certes, mais encore à Philippe, que j'honorais plusieurs fois par semaine, comme il le faisait pour moi. Il m'était arrivé plus d'une fois, d'avoir à satisfaire les trois dans la même journée, autant dire que j'étais franchement "crevé", certains jours, voire certaines semaines, car évidemment, j'avais aussi mon travail à l'usine. Emilie se moquait complètement de mon état, trop heureuse d'assouvir ses bas-instincts dominateurs, et Corinne n'en n'avait jamais assez, tellement obnubilée par son désir d'enfant qu'elle ne me voyait pas dépérir. Ce fut encore mon bon Philippe, toujours aussi sensible, et toujours aussi attentionné, qui prit le taureau (si l'on peut dire) par les cornes. "Ecoute, mon chéri, çà peut pas durer comme çà, tu vas te mettre en maladie une semaine, et moi aussi. Comme on est pas sur le même chantier, çà ne se remarquera même pas, et on va aller quelques jours en Bretagne, se reposer à l'hôtel"
Nous partîmes dès le samedi matin, pour ne rentrer que le dimanche de la semaine suivante. Huit jours de repos complet au grand air, de promenades en bord de mer, de câlins et de bisous, et très peu de sexe, en fin de compte, vraiment du repos complet. Toujours prévenant à mon égard, il me demandait si çà allait mieux, si je me sentais reposé, si la télé ne me dérangeait pas trop... J'eus envie de me confier à lui plusieurs fois, j'étais prêt à franchir le pas, un soir en tête, sur l'oreiller, et je le regardai, je lui souris... mais rien ne vint. Je n'eus pas le courage. Il était décidément trop gentil, trop amoureux, que je pouvais pas lui faire du mal, et je gardai pour moi ce qui me torturait. Quand même, à mon retour, je me sentais beaucoup mieux, presque soulagé, aussi, car je savais comment j'allais procéder dans les mois à venir.
Ces mois à venir, je ne parvenais pas à me détacher de Corinne, à laquelle j'avais fini par promettre, un peu rapidement peut-être, de me marier avec elle. C'est vrai que j'étais bien content de faire l'amour avec elle; C'était assez différent de mes pratiques homosexuelles, bien sûr, mais comme j'aime le changement... Et Corinne, désormais certaine de mes intentions, stoppa net la pilule, sans me le dire, bien évidemment. Deux mois tout juste après mon retour de vacances, elle m'annonça qu'elle était enceinte, ce qui, finalement, me fit plutôt plaisir. Je l'aimais réellement d'amour, et elle aussi, alors... Il ne restait plus qu'à nous marier, comme vous le savez, Philippe avec sa copine également, Seule Emilie ne se maria jamais, et on ne lui connut aucun autre homme, comme si elle s'était infligée cette punition. Elle éleva et choya son enfant jusqu'à son dernier souffle, et je ne couchai plus jamais avec elle !
Ainsi, tout le monde cachait tout à tout le monde dans cette histoire, les filles surtout. Corinne, par exemple, et son désir d'enfant, malgré son jeune âge, qu'elle m'avait bien caché. Corinne encore, qui espionnait sa grande sœur, et n'eut pas de mal à prouver que je couchais toujours régulièrement avec elle. Emilie, également, qui me faisait un chantage éhonté à propos de sa petite sœur. "Comment voulais-tu que je fasse autrement" lui rétorquai-je, "Tu étais mineure quand on a couché ensemble, et rappelle toi ce qu'elle m'a promis si je ne lui obéissais pas, j'ai pas envie d'aller voir la police, moi!. C'est vrai que je te connaissais depuis un bon moment, chez tes parents, mais on a jamais parlé de ton âge, et tu n'étais même pas dans mes projets..." Alors, elle me fit une scène, la première, me donnant des coups de poings sur les bras et le ventre, que je stoppai vite fait, en me criant "T'es nul, je t'aime plus, tu sais bien, qu'elle aurait jamais fait çà, à cause de moi. C'est parce que tu voulais te la taper, oui, et en plus tu couchais avec moi aussi, et avec mon frère, et avec qui encore, vas-y, parle..." et elle éclata en sanglots.
C'était un gros caprice de petite fille jalouse, de femme jalouse devrais-je plutôt dire, mais elle n'avait pas complètement tort. C'est vrai que l'excuse de craindre une dénonciation de sa sœur était un peu grosse, la vérité était que j'aimais faire l'amour avec Emilie, parce qu'on faisait des jeux un peu spéciaux, tous les deux, des séances "sadomaso", qu'elle m'avait fait découvrir pour me dresser, me punir, et auxquelles je prenais goût, sans le lui dire, toujours un peu plus soumis à elle... mais je n'allai quand même pas donner raison à Corinne. "Mais non, t'es injuste, là, c'est toi que j'aime, et toi seule" et elle de me répondre en sanglotant: "Ah oui, mais tu couches quand même avec elle, et avec Philippe. Deux femmes et un mec pour toi tout seul, bravo". J'avoue que çà devenait assez compliqué à gérer, car il ne fallait pas que les deux filles soient là ensemble, et de plus, Philippe ne savait toujours rien (il n'en connut une partie que deux ans plus tard, comme on l'a vu, quelques mois seulement avant nos mariages respectifs). "Ecoute, ma chérie, parle à Emilie, pour qu'elle me lâche un peu la bride, explique lui que c'est toi que je veux, elle le sait, mais si c'est toi qui le lui dit, ce sera mieux, je pense. Quant à Philippe, on peut pas faire autrement, pour le moment, il n'est pas prêt, mentalement, à une séparation, et lui n'a jamais connu que moi, mais je te jure que je mettrai une petite distance entre lui et moi dans notre vie sexuelle, espacer nos rapports, à petites touches, jusqu'à ce qu'il ait envie d'autre chose.".
Je voyais Corinne assez souvent, soit chez moi, soit chez ses parents, en cachette de ses frère et sœur, bien sur. Ses parents me connaissaient bien maintenant, et n'étaient pas regardants sur notre complicité, qu'ils assimilaient à une relation frère-sœur. On s'enfermait à clé quelques heures dans sa chambre, à écouter les Beatles, les Stones, les Who, Pink-Floyd, les Credence Clrearwater Revival, bien d'autres encore, et jamais une seule fois, ses parents vinrent nous déranger. En fait, nous faisions l'amour comme des bêtes, presque sauvagement, et entre deux assauts d'amour, elle me demandait toujours quand on allait faire un enfant. "Tu te rends compte, depuis toutes les fois où on a baisé, le nombre d'enfants perdus".
Je préférai ne pas lui expliquer qu'il y avait encore plus "d'enfants" perdus en dehors d'elle, car je me devais aussi à Emilie, moins souvent, certes, mais encore à Philippe, que j'honorais plusieurs fois par semaine, comme il le faisait pour moi. Il m'était arrivé plus d'une fois, d'avoir à satisfaire les trois dans la même journée, autant dire que j'étais franchement "crevé", certains jours, voire certaines semaines, car évidemment, j'avais aussi mon travail à l'usine. Emilie se moquait complètement de mon état, trop heureuse d'assouvir ses bas-instincts dominateurs, et Corinne n'en n'avait jamais assez, tellement obnubilée par son désir d'enfant qu'elle ne me voyait pas dépérir. Ce fut encore mon bon Philippe, toujours aussi sensible, et toujours aussi attentionné, qui prit le taureau (si l'on peut dire) par les cornes. "Ecoute, mon chéri, çà peut pas durer comme çà, tu vas te mettre en maladie une semaine, et moi aussi. Comme on est pas sur le même chantier, çà ne se remarquera même pas, et on va aller quelques jours en Bretagne, se reposer à l'hôtel"
Nous partîmes dès le samedi matin, pour ne rentrer que le dimanche de la semaine suivante. Huit jours de repos complet au grand air, de promenades en bord de mer, de câlins et de bisous, et très peu de sexe, en fin de compte, vraiment du repos complet. Toujours prévenant à mon égard, il me demandait si çà allait mieux, si je me sentais reposé, si la télé ne me dérangeait pas trop... J'eus envie de me confier à lui plusieurs fois, j'étais prêt à franchir le pas, un soir en tête, sur l'oreiller, et je le regardai, je lui souris... mais rien ne vint. Je n'eus pas le courage. Il était décidément trop gentil, trop amoureux, que je pouvais pas lui faire du mal, et je gardai pour moi ce qui me torturait. Quand même, à mon retour, je me sentais beaucoup mieux, presque soulagé, aussi, car je savais comment j'allais procéder dans les mois à venir.
Ces mois à venir, je ne parvenais pas à me détacher de Corinne, à laquelle j'avais fini par promettre, un peu rapidement peut-être, de me marier avec elle. C'est vrai que j'étais bien content de faire l'amour avec elle; C'était assez différent de mes pratiques homosexuelles, bien sûr, mais comme j'aime le changement... Et Corinne, désormais certaine de mes intentions, stoppa net la pilule, sans me le dire, bien évidemment. Deux mois tout juste après mon retour de vacances, elle m'annonça qu'elle était enceinte, ce qui, finalement, me fit plutôt plaisir. Je l'aimais réellement d'amour, et elle aussi, alors... Il ne restait plus qu'à nous marier, comme vous le savez, Philippe avec sa copine également, Seule Emilie ne se maria jamais, et on ne lui connut aucun autre homme, comme si elle s'était infligée cette punition. Elle éleva et choya son enfant jusqu'à son dernier souffle, et je ne couchai plus jamais avec elle !
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